[T] Et Tom m'a pendue par les pieds à un arbre...

han sa crin
je veux pas qu'il se sépare !!
suiiiiiiiiite

Omg tu peux pas nous laisser sur sa .
suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.

 CHAPITRE 60
ELLE SAIT CE QU'EST LA FIN DU MONDE MAINTENANT

Elle saisit la poignée pour ne pas tomber. Comment?! Ca respiration se coupa pendant quelques secondes. Quelques secondes où il la regarda dans les yeux d'un air glacial... Comme s'il venait vous annoncer la fin du monde. Et pourtant, elle était arrivée, cette fin du monde. Elle n'aurait jamais dû répondre à cet appel radio. Jamais. Elle n'aurait d'ailleurs jamais dû venir habiter chez les Kaulitz. Mais quelle bêtise elle avait faite! Des larmes roulèrent sur ses joues, venant s'écraser sur le sol. Mon Dieu, pensa-t-elle. Olala. Il venait de la larguer. Il tourna la tête vers la fenêtre, regardant dans le vide. Jamais une fille ne l'avait faite autant souffrir. Jacqui referma la porte derrière elle, mais la poignée se rouvrit. Elle regarda Bill, avec un espoir dans les yeux.

_ Et aussi, commença-t-il. Oublie Berlin.

Il referma la porte en la claquant. Jacqui voulut mourir, sur le moment. Voilà à quoi les avaient conduit ses mensonges. Oublie Berlin, se répéta-t-elle. Oublie Berlin. Elle alla à pas lents dans sa chambre et ferma la porte doucement, ne réalisant pas les deux nouvelles qui avaient pointées leurs nez. Elle ouvrit sa fenêtre et passa la tête pour respirer. Elle laissa les larmes s'échapper et s'écraser sur le sol. Elle n'eut jamais autant envie de revenir à Plöchingen. De revoir Tobby avec qui elle était sûre de vivre une histoire plus simple et toute aussi palpitante. Elle sourit. Elle pensa à Leah et à toutes ses autres amies. Elles lui manquaient. Maintenant qu'elle y pensait, elle ne s'était faite aucune vraie amie. Elle avait l'impression de vivre comme une femme de quarante ans, qui divorçait. Maman, pensa-t-elle. Papa. Elle pleura de plus belle. Elle entendit la chambre à côté de la sienne s'agiter. Mais que fait Tom? pensa-t-elle. Elle attendit un moment et les bruit se calmèrent. Elle entendit cependant des pas précipités dans les escaliers et une porte qui claqua. Puis plus rien. Elle sortit de sa chambre et frappa aux chambres des frères. Personne ne répondait. Elle descendit au rez-de-chaussée et il n'y avait personne non plus. Seul un petit mot trônait sur la table.

" Bill a avancé notre départ pour Berlin. Adieu. Tom. "

T'as réussi à me mettre les larmes aux yeux. ='(
Suite

haaaaaaaaaaan Oo
tu peux pas t'arreter la
mon dieuuu
la suiiite

Pour être sincère, j'ai aussi les larmes aux yeux.
Je viens de voir mon moral partir à la vistesse grand V

Ouah oh ...

T'es la première dans ta fic, à m'avoir émue de cette façon

Alors c'est avec un énorme coeur comme ça, que je te demande une suite, stp

Bordel. Une deuxième fois j'ai les larmes aux yeux, grâce à ta fic. C'est triste ='(
Suite

han
la pauvre
il lui arrive que des malheur
haaaan sa crin Oo
la suite stp
laisse nous pas comme sa

 CHAPITRE 62
RESERVATION

Elle lâcha le papier et s'assit à une chaise de la table de la cuisine. Elle ragardait dans le vide, attendant de recevoir le fameux choc émotionnel. Mais non, elle ne versa pas une larme. Elle décida de revenir sur le canapé et de continuer à voir les informations. Et c'est là que ça arriva. C'est là qu'elle subit le choc. Elle hurla de douleur se roula sur le canapé et tapant des poings en pleurant et en hurlant, appellant ses parents. Papa, murmurait-elle en plurant. Maman. Vous ne pouvez pas être morts. Nan, c'est pas possible. Elle pleurait encore et encore. Soudain le téléphone sonna, mais elle l'ignora. Quand la sonnerie devint trop insitante elle hurla un "Ta gueule!" mais finit par décrocher en pleurant toujours.

_ Allô Jacqui? C'est Frank.
_ Oui?
_ Est-ce que tu as vu...
_ Que j'ai vu quoi?
_ Je sais que tes parents étaient censés prendre cet... avion.
_ ...
_ Tu es avec les jumeaux?
_ Non.
_ Pardon?! Tu es toute seule entrain de vivre... ça?!
_ Oui.
_ Je les appelle tout de suite.

Jacqui raccrocha et ses sanglots reprirent de plus belle. Elle composa un numéro et attendit que quelqu'un réponde. "Oui. Bonjour. J'aimerai rréserver pour le prochain vol pour New York. Depuis Stuttgart. Dans 5 heures? Pas de problème. Jacarei Bones. Aurevoir." Elle monta dans sa chambre en continuant de crier sa douleur. Elle fit ses bagages, emportant avec elle deux valises, avec toutes ses affaires. Elle ne voulait rien laisser. Ca y est. Elle était totalement seule. C'est là qu'elle se dit que la fin du monde n'était pas arrivée hier. Mais maintenant.

Son téléphone vibra. Il refusa tout d'abord de décrocher et vu l'insistance de son interlocuteur, il prit l'appel.

_ Allô? murmura-t-il d'une voix endormie.
_ Allô Tom? C'est papa.
_ Oui?
_ Ecoute, où est-ce que vous êtes?
_ Bah à Berlin... On est arrivés y environ 8 heures...
_ Putain, merde.
_ Quoi? demanda Tom, commençant à comprendre qu'il se passait quelque chose d'anormal.
_ Allume la télé, ordonna son père.

C'est ce qu'il fit et il vit les informations, l'avion, le présentateur, les hélicoptères, etc... Il ne comprit pas se que son père voulait dire. Il lui demanda.

_ Et? demanda Tom.
_ Tom, les parents de Jacqui étaient dans cet avion.
_ C'est pas vrai! Et elle le sait??
_ Je viens de l'appeller et en effet elle est au courant et ses réponses étaient monocordes.
_ Oh non...
_ Tom, je crois qu'elle va faire une bêtise.

Sur ce, Tom raccrocha et ressentit une vraie panique. Il sortit de sa chambre, toujours en boxer et frappa à celle de son frère. Celui-ci ne répondait pas. Il tambourina à la porte et il l'entendit s'approcer. "C'est qui ?" avait-il demandé, endormi. Tom lui répondit et celui ci lui ouvrit la porte. Tom entra en furie et pris Bill par les épaules et alluma la télé.

_ Bill, dit-il paniqué. Tu vois ca?
_ Heu... oui.
_ C'est... Jacqui, commenca-t-il à pleurer.
_ Quoi Jacqui? Qu'est-ce qu'elle a cette abrutie?
_ Ta gueule! lui cria Tom. Les parents de Jacqui étaient dans cet avion.
_ Quoi?!
_ Et elle est au courant! Papa vient de m'appeller et il l'a eu. Il sent qu'elle va faire une connerie...

Arf. Faut pas qu'elle fasse de conneries...
Suite