Quand elle était encore la assise en face de moi, j'aurais du. J'aurais du lui dire à quel point je la trouvais belle, à quel point elle me faisait penser à moi, à quel point je lui ressemblait quand j'avais son âge.
Quand elle nous à raconter la façon dont on la aidé, la façon dont on la sauvé, j'aurais du. J'aurais du lui dire que je ressentais sa souffrance, que je la comprenais mieux que personne, je la comprenais mieux que Tom qui pourtant avait les larmes aux yeux.
J'aurais du, oui j'aurais du lui dire ce que je pensais, ce que je ressentais, mais j'avais peur. Peur de la perdre, peur que le monde dans lequel on vit la bouffe, l'aspire à nouveau dans un tourbillon noir dont elle à déja eu du mal à sortir. Mais c'est pathétique. Je cherche des excuses, des raisons au fait que je l'ai laissé filer.
Mais y à pas de raisons. Avec moi à ces côtés elle aurait tenu, elle aurait était plus forte que d'habitude et j'aurais même réussit à mentir aux fans en prétendant être célibataire.
J'aurais du la retenir, lui dire que je l'aime avant que le train s'en aille, avant qu'elle reparte dans son petit village perdu au fin fond de la France. J'aurais du oui, mais pourtant j'ai rien dit, j'ai rien fait. J'ai regarder le train s'éloigner et je suis resté sur le quai. Je garde l'espoir qu'un jour je la reverrais, qu'un jour je pourrais lui dire la vérité.
J'aurais du en vérité lui dire que si je l'aime, c'est parce qu'elle me ressemble, parce qu'elle est mon moi au féminin. Parce qu'elle n'est pas comme les autres filles, elle à ce côté masculin qui fait toute la différence, qui fait qu'elle m'as attiré. Elle n'as pas crié non plus en me voyant, elle m'as sourit, mais avec un sourire qui à illuminer ma vie.
J'aurais du lui dire tant de choses mais je n'ai rien dit. Alors je garde mon espoir, au fond de moi. Aprés tout, elle est fan de nous, je la reverrais. Mais quand ?
Je m'apelle Bill Kaulitz et je viens de laisser filer, la femme de ma vie.