Ton visage me procure une certaine haine,
Si tu savais comme je t'aime..
Tes yeux refletent l'hiver glacial qui nous attend,
Les tiens et les miens ne font que printemps...
Tes levres, rouge de sang brulent en enfer,
Je voudrais savoir quelle est cette saveur amer.
Je nous vois, enlacés.
Ton corps contre le mien.
Prepare toi à m'aimer.
Et l'on ne fait plus qu'un.
C'est le rythme du bonheur.
Ton corps contre le mien.
Laisse moi cet honneur,
d'inhaler ton odeur.
Et satan te possede.
Il te brule interieurement.
As-tu besoin d'aide ?
J'attendrais le bon moment.
Je ferais ça avec douceur,
Tendresse et malice.
Je ne voudrais pas que tu meurs,
étouffée par les toiles qui se tissent.
Je nous vois, enlacés.
Ton corps contre le mien.
Prepare toi à m'aimer.
Et l'on ne fait plus qu'un.
C'est le rythme du bonheur.
Ton corps contre le mien.
Laisse moi cet honneur,
d'inhaler ton odeur.
Et tu prends plaisir,
suffocante,
C'est tout cque tu désires,
tremblante.
Tu n'y arrive plus,
Ton coeur ne bat plus.
Et dans un élan de bonheur, il a fallut que tu meurs.
De ce plaisir absolu, de cette force résolue.