[T] Une guitare, deux guitares, trois guit... Je t'aime.

Waaaah, j'ai adoré !
Tu écris si bien
Suite s'il te plait.

J'adore!
Suite please!

Peur non, c'est juste qu'on a PAS l'habitude
Suiiiite

DAHHHHHHHHHHHHH <3
J'adore carrément :O <3
Révélationnnsss :DDDD
Je veux pas qu'elle continue avec Clément u_u XDDD
Suiiteeuuhhhhhh <3

excellente toutes ses suites j´adore toujour autant,aller abby choisie tom on s´en fous de clement lol,suite please.

titite479 je pense exactement la même chose que toi xDDD
Suiteuhhhh

Whao, révélations, c'est tellement bien écris en plus.
Je veux une suite =D

XD Moi aussi je t'aime Mélo ♥
Voilà la suite. Vous me comblez avec tous vos compliments.





La sonnerie de son portable la tira de ses pensées. Elle regarda l’écran avant de décrocher.
« Allô, m’man ?
- Abby, ma puce, nous sommes tombés en panne sur le chemin du retour. Les dépanneurs ne peuvent pas venir nous chercher avant demain matin, alors nous allons passer la nuit chez Marta.
- D’accord, pas de problème.
- Je te fais confiance, ne saccage pas tout dans la maison. »
Elle devina le sourire de sa mère à l’autre bout du fil.
« M’man, c’est pas la première fois que j’reste seule à la maison pendant deux jours et t’as jamais rien eu à me reprocher.
- Oui, mais jusque là tu ne connaissais pas Tom...
- Qu’est-ce que t’insinues ?
- Que l’amour peut nous faire faire des choses que l’on ne mesure pas vraiment...
- Maman, je t’arrête tout de suite. Il s’passera jamais rien entre Tom et moi, j’sors avec Clément.
- Le fils du banquier ?! s’exclama son père dans le combiné.
- Oui, lâcha Abby en riant.
- Ma puce, tu emporteras des préservatifs en Angleterre, d’accord ?
- Maman !
- Quoi maman ? J’ai raison, non ? Tu préfères peut-être attraper une...
- Stop ! l’interrompit la jeune fille. J’ai compris. Rentrez chez Marta avant qu’il fasse nuit. J’me débrouillerai, vous en faites pas pour moi. Et demain j’irai à la pharmacie acheter des capotes, si ça peut te rassurer... soupira-t-elle.
- Bonne soirée ma puce, dors bien. Je t’aime.
- Oui, moi aussi. »
Elle raccrocha et lâcha son portable qui s’écrasa au sol. Fermant les yeux, elle sourit. Finalement, elle n’était peut-être pas si accro à Tom qu’elle le prétendait. Un rien le lui faisait oublier. Elle reprit son portable et envoya un texto à son petit-ami.
« Hey, tu viens dormir à la maison ce soir ? Mes parents sont pas là de la soirée et j’ai besoin de t’sentir près de moi... Je t’aime. »
Elle claqua le clapet de son téléphone, se releva et sortit de sa chambre. Tyson, allongé devant la porte, sursauta. Elle imagina ses parents rentrer le lendemain et la découvrir, dormant dans les bras du « fils du banquier », sachant qu’elle n’aurait pas pu aller à la pharmacie entre temps... Un sourire s’étira sur son visage. Son père changerait sûrement de banque et sa mère l’emmènerait chez son gynécologue pour un cours d’éducation sexuelle avant de l’envoyer en pension chez sa grand-mère jusqu’à qu’elle soit convaincue de rester vierge jusqu’à son mariage. Le vibreur de son portable la sortit de ses pensées. Elle rit intérieurement d’elle-même et des sottises auxquelles elle pouvait songer.
« J’arrive tout de suite !!! »
Son sourire s’étira encore plus. Elle fourra son portable dans sa poche et s’avachit sur le canapé du salon. Elle se surprit à paniquer à l’idée que Clément lui prenne sa virginité cette nuit même. Ses parents finiraient par la rendre folle avec leurs idées...
Au bout d’un quart d’heure, Tyson se leva et s’approcha de la porte d’entrée. Il avait entendu Clément dans l’allée, ce qui fit paniquer Abby encore plus. Elle n’en avait pourtant aucune raison. Elle se leva, lissa ses vêtements et se dirigea dans l’entrée pour ouvrir quand son copain sonnerait. Mais à la place, Tyson fit demi-tour et retourna se coucher. Abby arqua un sourcil et ouvrit la porte. Personne. Elle était pourtant sûre d’avoir entendu quelqu’un marcher sur les graviers. Elle s’apprêta à refermer, mais Clément apparu au bout de la rue. Elle courut dans sa direction et lui sauta littéralement au cou.
« Eh bien ! Quel accueil ! Presque parfait.
- Presque ?
- Et mon bisou alors ? »
Abby secoua la tête en souriant, desserra son étreinte et embrassa tendrement le jeune homme. Ils allèrent à l’intérieur. Abby débarrassa Clément de ses affaires et lui offrit à boire. Ils s’installèrent sur les fauteuils du salon, parlant de tout et de rien.
Peu après, Clément récupéra son sac dans l’entrée et revint au salon afin de les monter dans la chambre d’Abby. Mais en entrant de la pièce, il fut envoûté par le sourire qu’Abby lui adressait. Il lâcha son sac et s’approcha d’elle, un sourire en coin. Il la plaqua violemment contre lui et captiva presque aussitôt ses lèvres. Ils étaient à la limite de perdre l’équilibre et de tomber sur la table basse ; Abby le repoussa donc, un peu trop fortement. Puis, sans qu’elle ne comprenne vraiment ce qui se passait, la porte d’entrée claqua et Tom surgit à l’intérieur. Il attrapa Clément par le col et le frappa au visage. Ce dernier s’étala au sol, sonné, le nez en sang. Tom s’agenouilla et le frappa de nouveau, au niveau de la mâchoire. Clément se mit à cracher du sang : sa lèvre inférieure était ouverte. Abby poussa un hurlement et sauta sur Tom pour l’empêcher de rabaisser son poing. Elle le poussa de toutes ses forces et réussit à le mettre à terre. Tom parut surpris.
« Mais... Abby...
- Qu’est-ce qui t’prends, Tom ?! Et qui t’as permit d’entrer comme ça chez moi !
- Je... J’passais devant et par la fenêtre je l’ai vu qu’il te sautait dessus... Tu le repoussais, j’ai pensé qu’il faisait ça contre ton gré...
- Et bien t’as mal pensé ! Maintenant dégage ! Vite avant que j’appelle les flics ! Pauvre con ! »
Tom resta immobile une fraction de seconde, paraissant perdu. Puis il se dirigea vers la porte qu’il venait de franchir et partit. Abby tourna la tête vers Clément et accourut, voyant qu’il perdait toujours autant de sang. Elle l’aida à se relever et l’emmena jusqu’à la salle de bain de l’étage, avant de le faire asseoir sur le bord de la baignoire.
« Il t’a bien amoché... constata-t-elle en regardant ses blessures. J’vais essayer de t’soigner un peu.
- Ça doit pas être si grave, t’en fait pas pour moi...
- Bouge pas ! »
Elle lui colla un coton imbibé d’alcool sur la lèvre. Clément fit une grimace, serra les poings, mais resta silencieux. Abby lui demanda de tenir le coton tandis qu’elle soignait son nez.
« Finalement, c’est pas si mal qu’il ait débarqué celui-là. J’vis un moment presque parfait.
- Parfait, mis à part que t’as le nez presque cassé ?
- Non, mis à part le fait que tu portes pas de tenue d’infirmière...
- Éternel insatisfait... soupira Abby, amusée.
- Exactement. J’aurais droit à une petite consolation pour la peine ?
- Si t’es sage. »
Clément lui sourit, attrapa son poignet et l’empêcha de continuer de le soigner. Il se releva et s’approcha d’elle. Leurs deux corps collés ne tardèrent pas à réchauffer l’air de la pièce. La jeune fille posa les cotons et les désinfectants derrière elle, à l’aveuglette juste avant que Clément ne prenne possession de ses lèvres, emprisonnant ses mains entre les siennes. Il la plaqua contre le mur, collant son bassin au sien. Ses mains montèrent jusqu’à sa nuque, rendant leur baiser plus passionné encore. Sa lèvre endolorie le fit grimacer. Abby s’en rendit compte et mit fin à leur étreinte.
« Aller monsieur le grand blessé de guerre, dans la chambre. C’est l’heure de la consolation.
- Tout seul ? »
Abby éclata de rire.
« Si tu préfères, c’est toi qui vois ! »
Clément fit la moue et croisa les bras.
« Aller, va t’allonger, j’arrive. »





Je sais, ça change de la dernière suite. ^^
Bien plus mouvementée.
Quelqu'un veut une suite ?

Wahou, génial
MOI JE VEUX BIEN UNE SUITE S IL TE PLAIT BIEN !

pareil je veut une suite maintenant stp,ses just genialisime cette fic.

Dahh je veux une suite aussiii <3
J'adoreeeee

Bon aller, une petite suite, mais la dernière de la journée. x)





« Aller, va t’allonger, j’arrive. »
Elle déposa un chaste baiser au coin de ses lèvres et le poussa à l’extérieur de la pièce avant de refermer la porte. Attendant que les pas s’éloignent vers le fond du couloir, elle retira ses vêtements et enfila un simple peignoir. Elle saisit un flacon d’huile d’amande douce puis alla en direction de sa chambre. Clément était allongé sur son lit, sur le ventre, la tête enfouie dans l’oreiller. C’était parfait.
Elle entra silencieusement et se mit à califourchon sur lui. Clément, surpris, tenta de se retourner mais la brune l’en empêcha, planquant ses épaules contre le matelas.
« Bouge pas, je m’occupe de tout. T’as juste à te détendre... »
Elle ouvrit le flacon, versa un peu de son contenu dans l’une de ses mains et referma. Elle frotta ses doigts ensembles, puis les passa sensuellement dans le creux que formaient les omoplates de Clément. Elle entama un massage doux, lent, pour le plus grand bonheur du jeune homme qui laissait échapper des soupirs d’aise.
Après plusieurs minutes, Clément se retourna.
« Et si... Tu massais mes abdos, histoire que j’puisse profiter de la vue...»
Abby ne se fit pas prier. Elle s’installa correctement et balada ses doigts sur le torse musclé qui s’offrait à elle. Elle l’effleura simplement, puis plus sensuellement. Lorsqu’elle eut finit, Clément l’attrapa par la taille et la fit s’allonger entièrement sur lui. Il fit glisser ses mains sous le seul vêtement qui couvrait le corps qu’il désirait tant, captura les lèvres pulpeuses de sa petite-amie et la fit basculer pour se retrouver sur elle.
« Alors, ça fait quoi d’être soumise pour une fois ? murmura-t-il dans le creux de son oreille.
- Très excitant... souffla Abby.
- Mais encore... ? »
Elle saisit brusquement le flacon d’huile, en prit une grosse quantité dans ses mains et étala le tout sur le visage et dans les cheveux de Clément.
« J’aime pas être soumise ! »
Elle se leva et partit en courant, riant comme une enfant. Clément ne tarda pas à la rejoindre au rez-de-chaussée, son arme à la main. Il retira le bouchon et se mit à courir après Abby. Il n’eut pas une grande difficulté à la rattraper, puis à la recouvrir du produit luisant et graisseux. La brune repartit en courant mais dérapa sur une flaque et se retrouva à terre. Clément cessa de rire et accouru auprès d’elle, soudainement inquiet. Il s’accroupit devant elle et lui prit délicatement le menton afin de lui faire lever la tête. Il se rendit compte qu’elle riait à en pleurer. Il secoua la tête de gauche à droite et l’aida à se relever.
« Plutôt sportive comme première nuit ensemble, insinua Abby, un sourire au coin des lèvres.
- J’avoue. »
Il glissa les doigts de sa main droite entre les siens et saisit son menton de sa main libre. Plongeant son regard dans les yeux verts émeraude d’Abby, il approcha lentement son visage du sien avant de capturer ses lèvres tendrement. Abby soupira de plaisir et passa son bras libre derrière sa nuque pour allonger leur baiser.
« Si on allait se laver ? finit-elle par dire. Je... colle légèrement.
- Ouais, t’as raison. À toi l’honneur, j’vais aller dehors pour pas en mettre partout.
- Fais gaffe que l’autre taré soit pas encore dans les environs... » grogna-t-elle.
Clément lui adressa un petit sourire et sortit. Quant à elle, elle se dirigea directement dans la salle de bain, quitta le peignoir pour la nudité d’un ver et entra dans la cabine de douche.

Une heure plus tard, douché et calmé, le jeune couple se câlinait devant la télévision.
« Ma puce ?
- Oui ?
- Tu m’aimes ?
- Pire encore. »
Il pressa légèrement la main qu’il tenait.
« Et Tom ?
- Si Tom t’aime ? s’amusa la jeune fille.
- Abby...
- Pourquoi tu me demandes si je l’aime ? Et dans quel sens ?
- Parce que j’étais persuadé qu’il t’intéressait.
- Tu t’es trompé. On change de sujet ?
- Hum.
- T’as faim ?
- Oui. »
La brune se redressa et se dégagea de l’étreinte de son petit-ami, avant d’aller dans la cuisine.
« Des pâtes, ça te va ?
- C’est parfait ! »

mdr sont naze ses deux la font les fous fous lol,suite stp jadore.

Hann j'adore <3
Hâte à la suiteee

suite please!

Han une suite une suite =D

Yop !
Suite. Je respècte plus trop les "une suite par page" mais tant pis. vous allez pas vous plaindre j'espère.





Plus tard dans la nuit, après avoir copieusement mangé, ils allèrent se coucher. Abby, blottie dans les bras de son amoureux, se laissa emporter dans un sommeil paisible.
Le lendemain, lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle était seule dans son lit. Elle regarda son réveil qui affichait treize heures cinquante sept. Se laissant retomber sur l’oreiller, elle lâcha un soupire, écartant les bras et repoussant la couverture à l’aide de ses pieds.
« Bien dormi ? »
Cette voix la fit sursauter. Elle se redressa brusquement et tourna la tête vers sa fenêtre. Clément était assit sur le rebord et fumait tranquillement, se réchauffant sous les quelques rayons de soleil qui l’atteignaient.
Le ciel était bleu, aucun nuage ne le traversait et il faisait chaud. Rien de tel pour mettre Abby de bonne humeur.
« J’ai bien dormi et toi ? finit-elle par dire.
- On n’peut mieux. »
À ce moment, la porte d’entrée claqua. Abby ne put se retenir de rire en voyant la tête paniquée de Clément.
« Qu’est-ce qui te fait rire ?!
- Tu verrais ta tête... ! »
Elle serra les lèvres afin de ne pas repartir dans un fou rire, mais en voyant son ami faire la moue, elle ne put résister plus longtemps.
« Abby chérie, nous sommes rentrés ! annonça la voix de son père dans les escaliers.
- J’suis dans ma chambre ! »
Clément la regarda intensément.
« Quoi ? Ils sont au courant pour nous deux si c’est ça qui t’inquiète. En plus ils te connaissent depuis longtemps donc y’a pas de problème pour les présentations...
- Et alors ? J’suis peut-être pas prêt pour ça.
- C’est vrai ?
- ...
- Dans c’cas... »
Elle se dirigea vers sa porte et ferma à clé, au moment où son père appuyait sur la poignée.
« J’me change !
- Oh, pardon, se moqua son paternel. Marta est venue avec nous. Quand tu seras prête, rejoins-nous au salon, il faut qu’on parle.
- OK ! »
Elle attendit que son père ait descendu les escaliers pour se tourner vers Clément.
« Bon, comment j’fais pour partir maintenant ?
- La fenêtre, fit-elle avec un grand sourire.
- C’est ça, tu me rattrapes en bas, hein...
- Oh ça va, c’est pas très haut non plus. T’as vu c’que tu sautes en skate ? C’est pas un petit saut pareil qui devrait t’effrayer !
- Pourquoi t’es méchante avec moi ! » se plaignit Clément, avec un faux air accablé.
Abby soupira.
« J’avais froid quand j’me suis réveillée et c’est de ta faute. On récolte ce qu’on sème !
- Genre. »
Il écrasa sa cigarette et la jeta par la fenêtre avant de se lever pour prendre le même chemin.
« Et tu m’dis même pas au revoir ? s’offusqua la brune.
- Non. »
Il sauta. Le sourire d’Abby s’effaça aussitôt. Elle se pencha à la fenêtre et aperçut Clément s’éloigner, les mains dans les poches. Elle referma sa fenêtre, dépitée. Pourquoi avait-il changé subitement ?
Elle enfila les premiers vêtements qu’elle trouva : un short bermuda noir et un tee-shirt rose - maintenant trop larges pour elle, dû à sa maigreur - qu’elle ne se rappelait plus avoir en sa possession.
Elle sortit de sa chambre et rejoignit ses parents au salon. Voir ses deux mères réunies, discutant joyeusement et son père les regarder d’un œil attendrit lui fit rater une marche et s’étaler à plat ventre au sol.
« Abby, tu vas bien ?! s’inquiéta Marta en courant vers elle.
- Oui, je... j’crois, fit-elle en vérifiant que tous ses membres étaient encore là.
- Toujours aussi maladroite... soupira Laura en l’aidant à se relever. Petite déjà, tu tombais avant d’avoir appris à marcher. Je ne sais pas comment tu te débrouillais... Et puis quand tu as fait tes premiers pas...
- Quelle galère ! renchérit son père en riant. On a souvent pensé à te mettre des protections pour le roller, mais on n’en a jamais trouvé à ta taille...
- Finalement on a opté pour plusieurs couches de vêtements, le temps que tes envies soudaines de promenades te passent.
- Bon, vous vouliez m’dire quelque chose d’important ou vous m’avez fait v’nir pour m’ridiculiser ?
- Assieds-toi, l’invita Laura.
- J’vous écoute, dit-elle lorsqu’elle fut installée.
- Bien, commença son père, tout d’abord sache que pendant notre court séjour chez Marta, nous avons beaucoup réfléchit à propos de toi. De toi et de nous tous en fait. Il faut que tu choisisses chez qui tu veux passez le plus de temps, Abby. Nous ne pourrons pas constamment faire des navettes entre notre maison et celle de Marta.
- Choisir ?! Mais vous vous rendez compte de c’que vous m’demandez ?!
- Oui, continua Marta. C’est pourquoi j’ai proposé de te laisser mon appartement. Je savais que le temps de cette décision arrivait, j’ai simplement... anticipé.
- Tu as dix-huit ans, Abby, tu es donc majeure et libre de tes choix.
- Je... J’pourrais pas payer l’eau, l’électricité... J’veux pas abandonner mes études pour aller bosser.
- Nous avons également abordé ce sujet, lui dit son père. Nous pouvons nous arranger pour payer chacun une petite partie afin de t’aider, jusqu’à que tu te sentes prête à prendre ton indépendance totale. »
Les yeux d’Abby devinrent larmoyants. Elle n’avait jamais envisagé le fait que ses trois parents puissent se lier d’amitié et encore moins se serrer les coudes pour l’aider, elle, à quitter la maison.
« Ça me ferait vraiment plaisir... » dit-elle d’une petite voix.
Marta lui adressa un sourire radieux, auquel elle répondit volontiers.






Suite ?

YEAH YES !
Suiiiite

ah ben oui quel question suite,ses gentil de leur part en tous cas.

suite please!

Youpiiii <333
Suiteeuhhh