[T] Une guitare, deux guitares, trois guit... Je t'aime.

mdr les filles,bon alor j´attend la suite avec impatience et le bisous entre tom et elle,ben oui va y avoir obliger xd.

Han vite vite la suite =)

j'ai rattraper tout mon ratard

suite stp

trop contente pour Tom parce que Clem je l'aimùais pas nn plu^^

Mdr c'est ce que j'appelle de la motivation ça





« Doucement, pose-la sur son lit, je m’occuperai de la changer, murmura Laura.
- Voilà, fit Tom sur le même ton, déposant la brune toujours endormie.
- Merci, Tom.
- C’est normal.
- Est-ce... Est-ce qu’elle t’a parlé de ses vacances ? Comment ça s’est passé avec Clément ?
- Oh et bien... apparemment elle était très heureuse d’avoir revu sa famille. Et Clément...
- ... on est plus ensemble, finit une voix.
- Oh Abby, ma puce, nous t’avons réveillée ! Je suis désolée...
- C’est rien.
- Bon alors, j’vais y aller. J’vais te laisser dormir... commença Tom.
- Non, reste. Je... Reste. »
Laura sourit, déposa une bise sur le front de sa fille et sortit en leur souhaitant une bonne nuit.
Abby se redressa un peu tout en se décalant pour laisser de la place à Tom.
« Tu voulais qu’on parle ?
- Oui. Il paraît que... t’es mon type.
- Qui t’as dit ça ? demanda Tom faussement surpris.
- Oh, un mec que j’connais. »
Tom lâcha un rire.
« Tu peux pas te passer d’moi. »
Ce n’était pas une question, une simple constatation. Ce qui mit Abby mal à l’aise.
« ‘Faut que j’dorme », dit-elle en se tournant, tirant la couverture sur elle.
Elle sentit que Tom se levait. Il éteignit la lumière et revint se coucher, passant un bras autour d’elle et nichant sa tête dans son cou. Abby frissonna, passa sa main entre ses doigts et ferma les yeux.
Tom ne dormit pas de la nuit. Il avait tellement attendu ce moment qu’il ne pu se résigner à en perdre ne serait-ce qu’une minute. Il avait souvent eu peur de la perdre définitivement et il voulait profiter de tous les instants qu’il passerait à ses côtés.

Le lendemain matin, lorsqu’Abby se réveilla, avant même d’ouvrir les yeux, elle savait que Tom était là, à la regarder. Elle sourit, se retourna et ouvrit les yeux.
« Bien dormi ? lui demanda-il en souriant.
- Oui. Et toi ?
- Oui. »
Il avait des cernes très marquées et semblait ne pas avoir fermé l’œil depuis des jours. Abby s’en rendit compte mais ne dit rien. Après tout, il devait avoir ses raisons. Elle se leva, s’étira et déposa une bise sur sa joue.
« J’vais me doucher, après on va petit-déjeuner ?
- OK. »
Elle prit des vêtements dans son armoire et se dirigea vers la salle de bain.
L’eau chaude lui fit le plus grand bien. Elle serait restée des heures ainsi si Tom ne l’attendait pas dans sa chambre. Et si elle n’avait pas une irrésistible envie de replonger son regard dans les yeux noisette du jeune homme. Elle avait rêvé de son sourire, de sa voix, de son odeur aussi, mais même le rêve le plus réaliste qui soit n’atteindrait pas la réalité, ne lui procurerait pas le bien-être qu’elle ressentait en sa présence.
Elle se sécha rapidement, s’habilla et retourna dans sa chambre. Tom n’était plus là. Son cœur eut un raté, mais elle se reprit en apercevant un papier sur son oreiller.
« Je pourrais rester éveillé juste pour t’entendre respirer, te regarder sourire pendant que tu dors, pendant que tu es loin et que tu rêves. Je pourrais passer ma vie dans ce doux abandon, je pourrais me perdre à jamais dans cet instant. Chaque moment passé avec toi est un moment que j’apprécie. Je ne veux pas fermer les yeux, je ne veux pas m’endormir, car tu me manques et je ne veux rien rater. Car même quand je rêve de toi, le plus doux des rêves n’y fera rien, tu me manques quand même et je ne veux rien rater. Allongé contre toi, sentant ton cœur battre, je me demande ce à quoi tu rêves, je me demande si c’est moi que tu vois. Alors j’embrasse ta peau et je remercie le destin de me faire vivre ça. Je veux juste rester avec toi en cet instant et pour toujours, toujours et à jamais. »
Abby laissa tomber le bout de papier et serra les lèvres. Elle saisit son portable et envoya un texto à Tom.
« C’est quoi ton problème ? »
Elle posa son téléphone sur son bureau et sortit de sa chambre.
« Ah, tu tombes bien, l’interpella Laura en passant en bas des escaliers. Ton père et moi allons aider nos nouveaux voisins à déménager, tu viens ?
- Ouais...
- Tom est encore là ?
- Non, il est partit.
- D’accord. Vous avez passé une bonne nuit ?
- Moi oui, mais lui j’ai l’impression qu’il a pas énormément dormit...
- Pourquoi ?
- Pour... des conneries. On y va ? »
Laura lui sourit. Abby descendit les escaliers, enfila ses chaussures dans l’entrée et sortit. Un camion de déménagement était garé devant la maison en face de la sienne et une dizaine de personnes s’affairait autour.
« Bonjour, tu dois être Abbygaëlle ?
- Juste Abby.
- Enchantée, je suis Sonja, la mère de Nyco, le jeune homme qui emménage ici.
- Enchantée. »
Elles se serrèrent la main. Un garçon d’une vingtaine d’années sortit du camion, portant trois cartons empilés.
« Nyco ! Tu vas te faire mal ! »
Sonja accouru auprès de son fils, qui failli rentrer dans une fille sur le trottoir.
« Idiot ! lui cria cette dernière, apparemment effrayée.
- Oh ça va, t’as qu’à te tirer d’mon ch’min. »
Il parcourut l’allée en trois petite foulées et disparut dans la maison.
« Sonja !
- Oui, Lorelei, je sais... »
Abby secoua la tête et avança vers eux.
« Vous... vous avez besoin d’un coup de main ?
- Oh, ça serait très gentil de ta part, Abby. Pourrais-tu emmener ce carton dans la chambre ? Lorelei va te montrer le chemin. »
La petite blonde adressa un sourire à Abby et lui fit signe de la suivre.
« Ça fait longtemps que t’habites ici ?
- Presque quatre ans.
- Ah quand même... J’sais pas comment tu fais pour survivre dans ce trou paumé...
- Oh, on s’habitue vite. »
Elles rirent et entrèrent dans une pièce qui devait être la fameuse chambre.
« Euh... Pose tout dans un coin, Nyco se débrouillera pour ranger.
- D’accord. Nyco, c’est ton copain ?
- Non ! C’est mon frère. Il était temps qu’il quitte la maison...
- Il a l’air gentil pourtant.
- Ne pas se fier aux apparences...
- C’est ce qu’on dit. »
Elles retournèrent dans la rue.
Abby et Nyco sympathisèrent rapidement. Ce dernier était DJ, d’où la nécessité d’un camion de déménagement entier pour lui tout seul. Il avait travaillé à Ibiza aux côtés de David Guetta, mais les grandes villes n’étaient pas vraiment son truc. Il préférait les petits villages avec une ambiance sympathique où tout le monde se connaissait.
« T’es pas Allemand, j’me trompe ?
- Gagné, lui répondit-il avec un sourire. Qu’est-ce qui m’a trahit ?
- Ton accent. Parfois tu roules les « r ».
- J’suis italien. J’ai toujours eu beaucoup de mal à renier mes origines. »
Il lui fit un clin d’œil et posa le dernier carton sur son lit.
« Eh bien ! On aura bien mérité un verre nous !
- J’vais te laisser te reposer et ranger. Hésite pas à venir à la maison si t’as besoin de quelque chose.
- Merci, c’est gentil.
- Bon courage. »
Elle lui fit la bise et sortit. Au passage, elle salua Sonja et Lorelei et fila jusqu’à chez elle. Ses parents étaient partis plus tôt dans l’après-midi. Ils avaient prévu de rendre visite à Marta pour une raison qu’elle n’avait pas saisit.
Elle alla directement dans sa chambre, sur son lit. Elle ne regretterait jamais d’avoir proposé son aide... Nyco avait des yeux d’un bleu magnifique...





Je vous avais dit que vous alliez vouloir me réduire en chair à pâté.
Sauf que si vous le faites, vous pourrez pas avoir la suite.
Et pour voir la tête de Nyco, c'est ici et ici

blaah... J'aime pas ses yeux!! lol

Suite!!! aie pitie d'une pauvre jeune fille clouee chez elle avec la grippe porcine, dont les seuls loisirs sont de google-stalker des gens et de lire ta fic' de sadique... ^^

ahhhhh c'est le frere de pierrick lool
bref j'ai pas tout compris pourquoi Tom était pas resté ^^
suite pleaaseee

et ben se nico je l´aime pas deja sa ses fait mdr,tom ta du soucie a te fair la concurence et rude xd,suite stp.

bah le gars de la photo nyco c'est le frere d'un gars qui a fait la nouvelle star et qui s'appel pierrick lool
bah moi je l'aime bien nyco lol ca met encore plus de piment dans l'histoire ^^
suite please

Oh mais Tom ><. Quel handicapé quand même !
Une suite stp =)

Mdr carrément ! xD
Aller, voilà la suite.





« Abby ! Descend ! Vite ! »
Elle accourut à la rambarde des escaliers, paniquée.
« M’man, qu’est-ce qui a ?
- Dépêche-toi de descendre ! »
Elle dévala les escaliers à toute vitesse et rejoignit ses parents à l’extérieur. Sa mère lui ordonna de monter dans la voiture tandis qu’elle fermait la porte à clés.
« Où on va ? Qu’est-ce qui se passe ? C’est Marta ? Il lui est arrivé quelque chose ?
- Calme-toi, Abby. On voulait juste te booster.
- Vous êtes trop cons. »
Ses parents se regardèrent et sourirent. Ils s’arrêtèrent devant le cinéma, où Andreas les attendait. À peine la voiture fut immobile que la brune bondit en dehors de l’habitacle et sauta au cou de son jumeau.
« Andy !
- Alors p’tite sœur, comment c’était l’Angleterre ?
- Bien. Et toi, tu t’es pas trop ennuyé ?
- Non, j’ai assisté aux répétitions du groupe...
- Les jeunes, je ne voudrais pas vous interrompre mais... Marta nous attend, leur rappela Laura.
- Ah bon ? s’étonna Abby.
- Monte. »
Les deux jeunes s’installèrent à l’arrière. Peu après, ils arrivèrent devant le portail du parc municipal.
« C’est quoi ce délire ? On fait quoi là ?
- Andy ? fit son père sans daigner lui répondre.
- Tout d’suite. »
Il sortit un foulard de sa poche et banda les yeux de sa sœur.
« J’suis pas d’accord ! Expliquez-moi ! »
Personne ne lui répondit. Elle se laissa guider par son frère.
« Attention, y’a une marche. »
Abby soupira. Elle sentit l’air se réchauffer tout d’un coup, puis entendit un bruit métallique.
« C’était quoi ça ?
- Rien, t’inquiète pas.
- On vous laisse, lâcha la voix de Marta.
- Marta ?! Qu’est-ce qui se passe !
- Tu vas vite comprendre. Bonne soirée les jeunes ! »
Andreas guida sa sœur dans une pièce qui semblait petite à Abby. Elle pouvait toucher les deux murs simplement en écartant les bras.
« Andy !
- Arrête de crier, tu sais très bien qu’ça sert à rien.
- J’te préviens... »
Elle n’eut pas le temps de finir qu’une secousse se fit sentir. Elle s’agrippa à son frère qui lâcha un rire.
« On y est presque. »
Abby entendit un cliquetis, suivit d’un grincement.
« Prête ?
- Ça dépend pour quoi. »
Son frère défit le nœud du foulard et dégagea la vue d’Abby. Celle-ci ouvrit les yeux et la bouche par la même occasion.
« Je... C’est...
- Chez toi, oui. »
Sans attendre, la jeune fille se précipita à l’intérieur et visita toutes les pièces d’un appartement qu’elle croyait connaître.
« C’est super grand ! J’pensais pas que... quand Marta vivait ici ça paraissait plus petit.
- C’était encombré. Maintenant on a refait la déco, comme tu peux l’voir. Après, si ça t’plaît pas, libre à toi de tout changer.
- Non, c’est parfait ! »
Le salon était très spacieux. Deux fauteuils et un canapé blancs trônaient au milieu de la pièce, ainsi qu’une table basse noire. La porte vitrée, inaccessible avant, avait été dégagée et donnait accès sur le balcon. La cuisine, américaine, avait simplement été dépersonnalisée. Quant à sa chambre elle était plutôt simple : murs grisés, sol blanc vitrifié, une armoire et un lit.
« C’est... parfait !
- Tes cousins se sont occupés des plans, depuis Londres.
- J’me disais que ma chambre avait un air de déjà vu...
- Bon, alors ça te plaît ?
- Carrément !
- Ça tombe bien, parce que... voilà les clés. »
Il lui tendit un trousseau. Abby hésita à les prendre. Elle savait qu’à partir de ce moment, la vie ne serait plus la même pour elle. Elle ne serait plus obligée de vérifier sa montre le soir pour ne pas rentrer en retard, personne ne pourrait l’empêcher de dormir le matin...
« Et Tyson ? Il a son coin ?
- Bien sûr. Suis-moi. »
Il la guida jusqu’au balcon.
« Ty’ devra dormir dehors ?!
- Oui, mais te connaissant tu trouveras vite une autre place pour sa niche... »
Ils sortirent. Abby éclata de rire. La niche était plutôt grande, blanche avec de petites colonnes devant l’entrée qui lui donnaient l’aspect d’une maison miniature. Des fenêtres et des tuiles avaient été dessinées en trompe-l’œil.
« Ça à l’air de te plaire.
- J’la trouve originale. Après... ‘faut voir avec Ty’.
- Évidemment, fit Andreas en riant.
- J’vais pouvoir en faire des fêtes... dit Abby plus pour elle que pour son frère.
- J’te fais confiance sur ce point là. »
Andreas lui fit un clin d’œil et s’accouda à la rambarde du balcon.
« Andy ?
- Oui ? fit-il en tournant légèrement la tête vers sa sœur.
- Tu sais à propos de Clément...
- Ah oui ! Vous en êtes où vous deux ?
- Bin justement... C’est fini. J’suis désolée, j’aurais dû t’écouter. Il était pas fait pour moi.
- Alala... Quand est-ce que tu comprendras que j’ai beau avoir seulement deux minutes d’avance sur toi, j’suis le plus sage et réfléchi des deux ?
- Bin... C’est fait. J’retiens. »
Il passa un bras autour de ses épaules et l’attira contre lui un peu brusquement.
« Tu vois ça, fit Andreas en désignant la ville d’un signe de main, ça restera pour moi un lieu unique, plein de bons souvenirs. Et seulement de bons souvenirs. Je garderai toujours en tête nos retrouvailles, nos moments ensembles...
- Pourquoi tu me dis ça ? On dirait qu’tu vas partir...
- Abby, tu sais bien qu’un d’ces jours on se séparera.
- Andy ! Je t’interdis de penser à ça ! Tu sais que... maintenant j’me vois plus sans toi. T’es mon jumeau... Non seulement t’es une partie de ma vie, mais aussi de moi-même. T’as réussi à combler le vide que j’avais depuis toutes ces années... J’veux pas qu’tu me laisses, t’entends ? J’te l’interdis. J’sais que j’suis pas facile à vivre parfois, que j’suis difficile à suivre, que j’écoute pas toujours les conseils qu’on me donne... mais justement, si t’es pas là pour m’aider, comment tu veux que j’reste sur le bon chemin ? C’est toi qui me remets sur la bonne voie à chaque fois... »
Son frère resta silencieux, le regard perdu dans le vide.
« Espèce de dépendante. »
Abby lâcha un rire et serra la main de son frère entre les siennes.
« Tout c’que j’veux, c’est que tu sois heureuse, alors si j’dois faire partie de ton bonheur, j’reste. Après tout, mes rêves peuvent aussi se réaliser ici.
- Merci... »
Ils s’enlacèrent.
« T’es quand même une bonne manipulatrice.
- Et toi t’es un comique ! »
Abby lui tira la langue et retourna à l’intérieur de l’appartement, son frère sur les talons.
« Tu veux que j’te laisse ?
- Non, j’vais retourner chez mes parents. ‘Faudrait quand même que j’prenne des vêtements de rechange.
- Pas faux. »





Hop, comme toujours, une petite photo de chaque pièce. Libre à vous de cliquer ou de tout imaginer.
Salon : ici
Cuisine : ici
Chambre : ici
Voilà !
Oui, moi aussi je voudrais des cousins architectes

oh bordel la maison quoi je veut la meme lol,serieux ses clair que ses bien d´avoir de la famille qui sont architecte ya pas a dire,suite stp jadore.

MDR
Pardon, y'a rien de drôle. U_u Mais vos réactions me font tellement plaisir et puis c'est exactement celles que je voulais. Je suis fière de moi.
Aller hop, suite.
Bon retour Moit' Moit'





Durant tout le trajet, Abby raconta ses vacances à son frère. Elle avait l’impression qu’il la comprenait. Enfin... Il la comprenait sûrement, mais pas comme les autres. Et cette sensation, elle l’appréciait par-dessus tout.
Mais son frère avait osé envisager l’idée de partir. Autrement dit, qu’ils se séparent. Cette simple pensée fit monter les larmes à Abby. Elle baissa la tête et renifla.
« Abby ? »
Andreas saisit délicatement son menton et releva son visage jusqu’à qu’elle le regarde.
« Pourquoi... Qu’est-ce qui a ?
- Rien... J’suis... heureuse de t’avoir retrouvé. Mais... j’ai tellement peur de te perdre...
- Oh Abby ! Je t’ai dit que j’restais... ! »
Il la serra contre lui, caressant ses cheveux.
« Et puis... Y’a trop de choses que j’voudrais faire mais qui sont impossibles à réaliser...
- Comme ?
- Tom... Et... J’voudrais vivre avec toute ma famille autour de moi... Tu vois, Nolan, Jonathan, Jeanne, Mamy... Tout l’monde. Mais j’sais que c’est tout bonnement impossible. »
Son frère resserra son étreinte, enfouissant son visage dans ses cheveux.
« Tu sais petite sœur, si je t’ai accrochée à mes rêves, c’est parce que tu croyais plus aux tiens... »

Abby entra dans sa chambre. Elle attrapa son portable sur son bureau : il affichait huit messages non lus.
« Quel problème ? Abby, j’te suis pas. »
« J’ai fait quelque chose de mal ? Dit quelque chose qui fallait pas ? »
« Tu boudes ? »
« Bon, apparemment t’as pas envie d’me répondre. »
« Abby !!! »
« C’est mon mot qui t’a gênée ? Trop sentimental à ton goût peut-être ? »
« Bon, Abby, arrête de faire comme si tu lisais pas mes messages. »
« Tu finiras par répondre. »
Et c’est ce qu’elle fit.
« Tom, il t’arrive jamais de réfléchir ? J’avais simplement pas mon portable sur moi. Et pour répondre à ta question, non ton mot me gêne pas, simplement, j’me demande à quoi tu joues. Tu sors avec Letizia, tu me dragues, tu dors avec moi, tu m’écris des mots comme si on était ensemble. C’est quoi le but là ? »
Elle fourra l’appareil dans sa poche et descendit. Tyson se réveillait.
« Hey mon tout beau ! »
Elle s’accroupit et le caressa en lui murmurant quelques mots gentils. Le rottweiler s’allongea, les quatre fers en l’air et couina. Abby lui gratta le ventre, heureuse de le retrouver lui aussi.
Son portable vibra.
« Tu m’as juste manqué, j’voulais te revoir. Et puis c’est toi qui m’as proposé de dormir avec toi. Et à propos de drague, j’ai jamais rien fait vis-à-vis de toi, c’est mon charme naturel qui fait effet... »
Abby leva les yeux au ciel avant de répondre.
« Je t’ai pas forcé à rester, moi j’voulais de la compagnie, rien d’autre. J’aurais pu demander à Tyson ça aurait fait la même chose. J’avais pas besoin de ton espèce de déclaration à l’eau de rose. »
Elle posa son téléphone sur la table basse du salon et partit chercher le courrier. Elle sortit en chaussettes dans les graviers, ce qu’elle trouva être une très mauvaise idée, finalement.
Une fois qu’elle eut récupéré les factures et les publicités en tout genre, elle fit demi-tour, mais glissa sur un caillou et se mit à sauter sur un pied, se tenant l’autre.
« C’est une nouvelle danse ? »
Abby fit une grimace et se tourna vers son interlocuteur.
« Nyco, rigole pas, ça fait mal !
- J’en doute pas une seconde. »
La jeune fille soupira et s’assit dans la pelouse. Son voisin ne tarda pas à la rejoindre.
« T’as rien, c’était pas la peine de m’engueuler.
- J’me passe de tes commentaires. »
Le jeune italien la regardait dans tous les détails. Il n’avait encore jamais rencontré de fille si... parfaite. Physiquement parlant. Elle avait un petit visage rond, la peau lisse et parfaitement bronzée, ses yeux verts étaient si profonds qu’il s’y perdrait, son nez était droit et fin, ses lèvres pulpeuses la rendaient sensuelle et les fossettes qui se formaient sur ses joues quand elle souriait le faisaient totalement craquer. Mais ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était sa voix. Elle était à la fois douce et dure, c’était inexplicable... Et elle se cassait lorsqu’Abby s’énervait. Nyco avait l’impression d’être face à une chanteuse professionnelle qui maîtrisait sa voix à la perfection et lui faisait suivre ses envies sans aucune difficulté.
Quant à son corps, il n’avait aucun défaut. Abby ressemblait au genre de mannequin que l’on trouve en couverture des magasines de mode. Ses jambes, menues et plutôt longues était si belles qu’il avait du mal à se retenir de les caresser. Ses bras étaient musclés à souhait et son ventre ferme laissait deviner qu’elle avait des abdominaux légèrement marqués.
Nyco avait beau chercher une imperfection, en vain, Abby avait un corps de rêve.
« Abby ?
- Oui ? »
Elle qui avait fermé les yeux à cause du soleil les rouvrit et tourna la tête vers le jeune homme.
« J’voulais te demander... commença-t-il.
- J’t’écoute.
- Est-ce que ce soir tu accepterais de... venir au restaurant avec moi ? Pour te remercier de m’avoir aidé à m’installer.
- Avec joie ! »
Elle lui fit un sourire radieux qui le fit fondre.
« J’passe te chercher chez toi à dix-neuf heures trente ?
- D’accord. »
Ils se levèrent. Abby déposa une bise sur la joue du bel italien et rentra chez elle.
En passant par le salon, elle récupéra son portable et alla directement dans sa chambre. Elle avait reçu un message.
« De la compagnie... Mon œil. Dis plutôt que tu voulais une consolation pour ce qui s’est passé avec Clément... Et à propos de ma « déclaration », comme tu dis, c’était simplement... ce que je pensais. Pas une masse de phrases préfabriquées histoire de te mettre la larme à l’œil. »
Elle répondit.
« C’était très beau - pas au point de me faire pleurer, mais beau quand même - mais je trouve que c’est déplacé, sachant que tu sors avec Letizia. C’est un manque de respect pour elle et je veux pas participer. Tu comprends... ? »
Elle envoya le message et deux minutes après Tom répondait déjà.
« Attend, je t’appelle. »





Je sais, je suis sadique. Mais c'est comme ça que vous m'aimez.

suite stp jadore.

nan mais oh!!!
Abby elle est zinzin du cervau ou il lui manque un neurone?
Franchement! J'ai comme l'impression qu'elle va sortir avec ce Niko...Mais bon...

Tom, il a intéré à pas dérapé! ^^ .. hihihi

Ensuite ben, qu'est ce que tom va lui dire à abby? T'es sadique de coupé là!

suite!!!