[T] Une guitare, deux guitares, trois guit... Je t'aime.

J'adore!
Suite please!

euh quesqui ses passer la,jai pas compris pourquoi elle a reagis comme sa xd,suite stp jadore trop.

aHHHHHHHHHHHHH jveux savoir pourquoi elle part en courant mdr
non je ne suis pas folle
bon peut etre un peu j'avou mdr
bref une suite please c'est pas possible de nous laisser comme ca ^^

ohh on va devoir attendre jusqu'a demain
tu n'as pas un peu de pitié pour tes lectrices???
lol

Suite s'il te plait !

suite stp !!

FreedOm'
Vu que t'es en super bonne humeur tu veux pas nous mettre une suite s'il te plait ?!

Suite parce que j'suis de super bonne humeur. ^^
Et sacrée suite d'ailleurs... ^^





En arrivant au lycée, il vit Abby qui l’attendait dans la cour, assise dans un coin, le dos contre un mur. Il se gara et alla la rejoindre.
« Qu’est-ce qui t’as prit tout à l’heure ? dit-il, intrigué.
- J’ai... le mal de transport. »
Tom la regarda fixement, apparemment peu convaincu.
« J’vais en cours, on s’retrouve au self. »
Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et entra. Au passage, elle alla justifier son absence à l’accueil.
« J’me suis pas réveillée.
- Et tu penses que je vais avaler ça ?
- Bin si ça vous plaît pas j’vais pas en cours !
- Tu vas aller chez le proviseur, oui ! »
Abby soupira bruyamment, fit volte-face et se dirigea vers le bureau dudit proviseur.

« Entrez ! invita une voix après qu’Abby eut frappé.
- Bonjour, m’sieur, dit-elle en entrant.
- Abbygaëlle Frantz. Que me vaut cet honneur ?
- J’suis arrivée en r’tard. Enfin, non, j’viens d’arriver. J’me suis pas réveillée c’matin et personne me croit.
- Et ?
- Et... et rien ! L’autre bonne femme de l’accueil m’envoie ici, point !
- Tu n’as pas changé depuis ton arrivée ici, Abbygaëlle...
- Abby, juste Abby, l’interrompit-elle.
- Abbygaëlle, poursuivit le proviseur, je dois te parler de quelque chose dont on m’a fait part il y a peu de temps. Assieds-toi, ça risque d’être long.
- Mais m’sieur, ‘faut que j’aille en cours !
- Abbygaëlle !
- OK, allez-y... soupira-t-elle en s’asseyant.
- Tout d’abord, il y a quelques semaines, deux ou trois tout au plus, j’ai engagé un nouveau professeur de guitare. Tu dois être au courant, puisqu’il me semble que tu le connais.
- Oui et... ?
- Là est tout le problème ! Tu te souviens de ce qu’il s’est passé il y a quelques années il me semble, lorsqu’un professeur à été accusé d’attouchement...
- Merci, j’m’en souviens quand même.
- Abbygaëlle, je pense que tu ne voudrais pas revivre cette épreuve une deuxième fois, alors je te demande de ne plus sympathiser avec monsieur Kaulitz.
- Mais m’sieur...
- Écoute-moi, je vais te rafraîchir la mémoire. Il y a deux ans, tu es arrivée en pleures dans mon bureau, accusant monsieur Keller de t’avoir fait plusieurs fois des avances, et te t’avoir caressée. À cette époque, tu étais fragile, tu venais d’arriver, tu étais la proie parfaite. En deux ans, tu as eu le temps de changer, de grandir, ton corps est devenu celui d’une femme et je doute que tu ne laisses beaucoup de garçons indifférents. Tu as aussi forgé ton caractère, mais cela ne suffira pas à empêcher un professeur, surtout jeune et vigoureux, de te...
- Monsieur ! Tom est pas comme ça !
- Tom ?
- Euh... monsieur Kaulitz.
- Et bien, je vois que tout est allé plus loin que ce que l’on m’a dit...
- Non, vous comprenez pas ! Monsieur Kaulitz est aussi mon professeur de guitare en dehors du lycée !
- Je me fiche de tout cela ! Je vous demande juste de ne plus vous montrez si proche de lui dans l’enceinte de mon établissement ! S’il vous arrive malheur j’en serai responsable ! »
Abby se leva brusquement, faisant tomber sa chaise. Elle rageait intérieurement.
« Vous êtes vraiment qu’un enfoiré !! Pourquoi vous engagez des profs si vous leur interdisez d’voir leurs élèves ! C’est vraiment n’importe quoi ! À partir du moment où vous les engagez c’est bien qu’vous avez confiance en eux ! »
Elle sortit furieusement du bureau, tandis que le proviseur s’égosillait pour qu’elle revienne.
Elle partit, ne s’arrêtant pas lorsqu’un surveillant l’appela. Elle alla jusqu’au parc municipal, assise sur la pelouse à l’ombre d’un arbre. Les larmes coulaient, la scène qu’elle avait rêvée cette nuit passait en boucle dans sa tête. Son professeur de mathématiques, avec qui elle s’était retrouvée plusieurs fois seule, avait gagné sa confiance. Abby était une jeune fille naïve à l’époque, elle offrait facilement sa confiance et son amitié. Évidemment, elle venait d’arriver en ville, elle devait donc se trouver de nouveaux amis... Kristof Keller avait été l’un des plus gentil avec elle, même s’il était son professeur, elle s’était réellement liée d’amitié avec. Il lui faisait souvent des compliments sur son physique, qu’Abby recevait avec un grand sourire... Jusqu’au jour où il était allé plus loin. Un jour qu’elle n’oublierait pas. Et depuis, elle n’avait plus eu confiance en personne, elle n’avait plus jamais parlé à un professeur, elle n’avait plus été heureuse. Pendant deux longues années, Abby n’avait plus été souriante et heureuse comme la veille. Malgré ce qu’elle pensait, que Tom était digne de confiance, elle ne pouvait s’empêcher de douter. Le proviseur avait peut-être raison, tout recommençait. L’intérieur de sa voiture était semblable à celui de monsieur Keller, elle n’avait pas rêvé de cette période de sa vie depuis plus d’un an... Ce n’étaient que des détails, mais elle ne pouvait les ignorer. Tom Kaulitz avait les mêmes goûts que Kristof Keller ? Les mêmes habitudes ? Les mêmes... envies ?
Une main se posa sur son épaule. Elle sursauta et retint de justesse un cri.
« Tom ! s’écria-t-elle en se levant brusquement.
- Eh ! Qu’est-ce qui t’arrive ? J’te fais peur ? ria-t-il.
- Je... euh...
- Abby, pourquoi t’es pas en cours ? »
Tom s’approchait, elle reculait. Ses jambes tremblaient, et les larmes coulaient de plus belle. Soudain, Tom s’arrêta. Il regarda Abby d’un air interrogateur.
« Quoi ? Pourquoi tu recules ? J’te fais vraiment peur ? Et pourquoi tu pleures ?
- Je... »
Un hoquet l’empêcha de continuer. Elle se retourna et partit en courant. Il fallait qu’elle trouve du monde. Ainsi Tom n’oserait pas l’approcher.
« Abby ! Abby, mais attend ! »
Elle accéléra le pas, et finit par atteindre le chemin principal du parc. Il y avait une agitation inhabituelle. Elle repéra une affiche. « Fête de la musique, samedi 20 juin ». Abby se mêla à la foule, l’esprit perturbé, elle était perdue, ne savait que faire ni où aller. Son sac était resté dans le bureau du proviseur, et ses clés étaient à l’intérieur. Elle ne pouvait donc pas retourner chez elle. Et même, Tom l’y attendrait sûrement.
C’est alors qu’elle se souvint que Marta habitait l’immeuble en face de l’entrée sur parc. Elle courut dans cette direction. Elle pourrait prétendre vouloir lui dire au revoir, la voir une dernière fois, peu importait. Là-bas, elle serait en sécurité jusqu’au soir.





J'avais prévenu que c'était tordu.

Suite j'aime bien.
Désoleii' je ne suis pas douée pour les long commentaire =$ !

O_o ben oui ses tordu mais jaime xd,alor ses donc sa je me demande pourkoi elle etais partie comme sa,en voyant l interieur de la voiture,la je comprend,suite stp jadore trop.

J'adore ^^
Suite please!

moi je trouve pas ca aussi tordu lol je dois etre un peu bizarre mdr
mais j'aime bien ca explique beaucoup de chose ^^
suite pleasee

et la tu n'aurais pas une grande motivation? ^^
sinon je peux laisser pleins de coms en demandant la suite lol

rhoo mais moi je la trouve pas tordu lool
on attendra demain alors ^^
bonne nuit

J'adore ♥

Suiite