[T] Une guitare, deux guitares, trois guit... Je t'aime. 2

JE VEUX ENCORE TOUT PLEIN DE SUITES!!

J'aime .
Sauf le coter culcul

Fui fui

Tu as reussit à me faire pleurer . C'était magnifique ! J'adoree !!

Moi aussi je veux tout plein de suite qui vont me faire pleurer et me serrer le coeur !

Suite!!!!!!!!!!!!

Lorsque le reste du groupe entra dans l’appartement, Tom et Abby étaient lovés l’un contre l’autre sur le canapé devant un film des plus barbants. Tom lui avait dessiné un cœur dans la nuque à coup de suçons et Abby s’amusait à suivre le tracé parfait de ses abdos du bout des doigts.
« Tom ! On a eu une idée géniale !
- Ah ouais ? fit celui-ci sans daigner le regarder, occupé à entortiller une mèche de cheveux noire entre ses doigts tout en regardant Abby se concentrer sur son torse.
- On va engager des danseuses. »
Tom éclata de rire. Il en eut les larmes aux yeux et regarda son frère d’un air qui voulait dire « t’as faillit m’avoir ». Mais lorsqu’il croisa le regard on ne peut plus sérieux de son jumeau, il s’arrêta brusquement.
« T’étais sérieux ?!
- Bin, oui... fit Bill légèrement vexé.
- Des danseuses ?! Et pourquoi pas des chœurs ? Non mais Bill...
- Oh ça va, c’était juste une idée ! »
Le brun alla dans sa chambre en claquant la porte. Tom lança un regard un peu perdu à Gustav et Georg qui haussèrent les épaules.
« Bon... souffla-t-il. J’crois qu’une discussion s’impose, les mecs. »
Il se redressa doucement, laissant le temps à Abby de se relever à son tour. Puis il se leva et rejoignit son frère dans sa chambre.
Abby regarda le batteur et le bassiste qui firent une moue confuse.
« Rassurez-moi, vous faites toujours du rock ? J’veux dire... pour faire une chorégraphie sur « Lass Uns Hier Raus » ou « Ich Brech Aus » ça me paraît assez compliqué... voire infaisable.
- C’est Bill et ses idées saugrenues, qu’est-ce que tu veux que j’te dise, soupira Gustav en se laissant tomber sur le canapé à côté d’elle.
- Et ça lui a prit comme ça ?
- Il voulait innover. »
La porte de la chambre s’ouvrit brusquement. Tom sortit d’un bond, évitant un oreiller qui heurta le mur avant de tomber au sol. Il referma la porte en ronchonnant et rejoignit les trois jeunes dans le salon.
« Il est fou ce type ! J’vous promets des fois j’me demande si on est vraiment jumeaux, si nos parents se sont pas plantés de berceau... »
Il éteignit la télévision qui diffusait maintenant des publicités puis s’adossa au mur.
« Qu’est-ce que tu lui as dit pour qu’il s’énerve comme ça ? s’enquit Gustav.
- Mais rien ! C’est bien ça le problème !
- Tom, tu sais autant qu’moi que Bill s’énerve pas comme ça sans raison !
- Hm... Bon, je lui ai peut-être fait une petite réflexion... dit-il d’une petite voix.
- Du genre ?
- Du genre... Est-ce que Robin faisait partie des danseuses qu’il envisageait d’engager...
- Tom ! »
Malgré son air qu’il voulait sérieux, Gustav ne put se retenir de rire. Quant à Abby et Georg, ils étaient déjà pliés de rire depuis un moment déjà.
« Thomas Kaulitz Trümper ! Ramène ton cul semblable au mien tout de suite ! » hurla la voix de Bill.
Le concerné soupira et se dirigea vers la chambre de son double, appréhendant un tantinet la conversation qui allait suivre.
« Oui ? fit-il d’une voix mielleuse en ouvrant la porte, provoquant une fois de plus les rires de Georg et Abby.
- Ferme la porte, j’ai des choses à te dire. »
Tom ferma la porte, restant dans le couloir, tirant la langue d’un air malin. Une fois de plus, la voix de Bill s’éleva.
« TOM ! »
Ce dernier soupira, se renfrogna et entra avant de refermer derrière lui.
« J’peux vraiment pas laisser la porte ouverte ?
- Non, ‘faut qu’on parle en privé.
- Bon, bin j’t’écoute alors... »
Il était adossé à la porte, la main sur la poignée, prêt à sortir si son frère faisait le moindre geste suspect en direction des coussins qui ornaient son lit.
« J’en ai marre qu’tu te foutes ouvertement de ma tronche en public.
- C’est de ma faute si t’as des idées farfelues comme ça ?!
- T’es pas obligé d’en rajouter !
- Mais j’étais sûr que tu plaisantais !
- Bin tu sauras que non !
- Bill, le prend pas comme ça...
- Et j’devrais le prendre comment ?!
- Avec le sourire ! Rigole un peu...
- J’ai pas envie là, tu vois !
- Oui, j’vois...
- Et arrête de répondre ! »
Tom soupira. Il savait comment tout ça allait finir : ils ne se parleraient pas de la journée, chacun se sentant de plus en plus coupable puis le lendemain, au petit-déjeuner, ils feraient comme si de rien était, se disant juste qu’ils avaient perdu une journée pour des broutilles.
« Bill... J’suis désolé. »
Bill allait répliquer mais il s’arrêta, la bouche ouverte ; son frère venait de s’excuser.
« Par... pardon ?
- J’suis désolé ! »
Les yeux du chanteur s’écarquillèrent.
« Me regarde pas comme ça ! J’ai pas envie qu’on s’prenne la tête, la vie est trop courte pour qu’on se permette de donner de l’importance à ce genre de bêtise. »
Les yeux de Bill s’écarquillèrent au plus possible.
« Quoi encore ?
- Où est mon carnet ?! cria-t-il en mettant sa chambre à sac à la recherche dudit carnet. ‘Faut que j’note cette phrase avant de l’oublier, elle va finir en chanson... »
Tom leva les yeux au ciel et sortit.
Il rejoignit le reste du groupe et Abby dans le salon.
« Abby, dis-moi qu’on va dormir chez toi ce soir...
- Euh... Si tu veux. Pourquoi ?
- Parce que Bill est parti pour écrire une chanson, il va chanter toute la nuit... »
Il soupira. Abby lui sourit.
« Ça vous dit pas un ciné ? proposa soudainement Georg.
- T’as eu une illumination ? fit Tom, moqueur.
- Ça serait sympa ! s’enjoua Abby. Ça fait des siècles que j’suis pas allée voir un bon film au ciné... »
Elle se tourna vers Tom, qui faisait une moue boudeuse.
« Oh, Tom, allez ! S’il te plaît.
- Y’a quoi ce soir au programme ? demanda-t-il sur le point de céder.
- Sûrement un film bien ! »
Abby se leva, le prit par le bras et l’entraina vers l’entrée. Tom enfila ses chaussures, saisit un sweat sur le porte-manteau et suivit Abby qui était déjà en bas des escaliers.
« J’espère pour toi que ça vaut vraiment le coup. »





Petite précision : Par rapport au "Thomas Kaulitz Trümper", non ce n'est pas une erreur, ni une faute de frappe, j'ai simplement décidé que Tom s'appelait en réalité Thomas. Sauf que très peu de personnes le savent... Héhé. Voilà, c'était la p'tite blaguounette du jour.

À part ça, vos impressions ? C'est tout d'suite moins cul-cul hein ?
Partantes pour des longs commentaires ?

Je suis relaaaaa (encore une fois ).

Ouah, ouah, ouah.

J'imagine tellement la scene. Tom qui louche sur les cheveux de Abby et Bill qui arrive avec une apoule au dessus de la tête. Mais des danseurs. Des DANNNSEURS!
Il veut quand même pas appelé les pussycat dolls si ???
Mouhaha, Abby rassure moi on dort chez toi , MDR. Cette suite je l'adore. Thomas a pousser les limites des limites.

C'était extra ! Qu'est ce que j'ai rit , mon Dieu ! Trop marrant quoi ! Nan mais franchement la crise de Bill était super !
C'est comme toujours bien écrit !
J'aime j'aime j'aime j'aime et je re aime !

Une grande bouffée d'air pour commencer la journée . Je débute ma journée super bien en te lisant !

Gros bisouXxXx à toi !

J'ai plus qu'à demander une SUiiiiTE

J'adore!
C'est toujours aussi bien =)
Hâte de lire la suite =)

XDDDDD je suis morte de rire devant la suite! xDDD
j'adoooore!! et j'en veux encore pleins comme ça!!

Crevette_de_Bill a écrit:

à la fin j'ai pas tout saisit : il s'appelle vraiment Thomas ou c'est toi qui le "transforme" en Thomas ?

Non, non, c'est moi l'ai transformé en Thomas. x) Après, il s'appelle peut-être vraiment comme ça, qui sait. xD


Rassurez-vous, pas de danseuses. xD En tout cas, j'ai pas prévu. U_u

La suite demain, ce soir j'dois réviser le code. :S
Enfin, demain si vous avez pas de suite ça veut dire que j'ai râté mon code, dans ce cas j'aurai sûrement pas le moral pour venir ici... Dans le cas contraire par contre, si je l'ai, j'vais vous poster une méga suite à la hauteur de ma bonne humeur !
Mais... qui dit suite joyeuse dit... évènement moins euphorique par la suite, héhé...

Merci pour vos commentaires ! Ca me fait toujours autant plaisir... Je me lasserai jamais de toutes vos réflexions

J'adore trop (comme toujours ^^)

Suite please!!!!!!!

Wahhh
J'adore suiteeeee <333

j'ai rattrapé tout mon retard

dons suite stp
et ton code?

suite s'il te plait =).

suite stp j´adore de trop.

J'ai eu le code !!!
Oui et donc je devais poster hier, sauf que... pas moyen de me connecter :O
Voilà la suite





Plus tard dans la soirée, une fois leur film terminé, Tom et Abby prirent le chemin de l’appartement de cette dernière, main dans la main. Les rues étaient étrangement calmes, désertes et mal éclairées. Abby serra la main de Tom dans la sienne.
« Ça t’a plu ? s’enquit-elle, afin de tenter d’occuper son esprit et ne pas penser à l’obscurité qui les entourait.
- Ouais...
- OK. »
Elle eut un frisson. Non pas dû au froid mais à la peur. La présence de Tom avait beau la rassurer, les rues de Perleberg en pleine nuit étaient effrayantes.
Une silhouette se dirigea vers eux. Abby resserra un peu plus son emprise, broyant la main de Tom.
« Abby, ça va pas ? s’inquiéta celui-ci.
- Si, si ! »
Elle avait les yeux rivés sur la silhouette qui, maintenant, était à moins de dix mètres d’eux.
Et si c’était un psychopathe ? Un fou armé d’un couteau vraiment tranchant ? Ou alors un garçon jaloux de Tom parce que sa copine lui en parlait tout le temps ? Et si c’était un homme engagé par Keller pour s’occuper de Tom qui lui faisait obstacle dans son but de conquérir Abby ?
« Pourquoi tu fais cette tête si tout va bien ?
- Parce que le gars en face il fait peur. »
Tom tourna la tête vers ledit « gars » et sourit.
« Gustav ! Éclaire ta tête tu fais peur à mon bébé ! »
L’interpellé sortit son téléphone portable et éclaira son visage en posant l’écran sur son menton. Abby se raidit ; il était d’autant plus effrayant.
« Gustav ! râla Tom en riant.
- Oh, on peut plus plaisanter ici... »
Il rangea son portable et rejoignit le jeune couple.
« Alors ce film ?
- Nul ! lança Tom en lâchant Abby. J’ai jamais vu plus ennuyeux. Et puis j’ai rien compris à l’histoire.
- Et toi, Abby ? demanda Gustav en se tournant vers elle.
- Moi j’ai bien aimé. Mais tu sais Tom, t’aurais peut-être compris si t’avais pas essayé de m’embrasser pendant les deux heures. »
Elle croisa les bras sur sa poitrine, affichant une moue boudeuse. Gustav éclata de rire.
« Non mais c’est Tom tout craché ça, dès qu’il est dans le noir avec une fille il se sent plus. »
Tom lui donna une tape sur l’épaule avant d’enrouler ses bras autour d’Abby. Elle faillit le repousser mais l’envie lui manqua lorsque la chaleur qu’il dégageait réchauffa chacun de ses membres. Elle lâcha un soupire d’aise mélangé à de l’agacement et glissa l’une de ses mains dans le dos de Tom, sous son tee-shirt. Ce dernier frissonna.
« Putain, t’es gelée ! On rentre ?
- Oui...
- J’vais vous laisser. Bonne nuit les jeunes. Vous couchez pas trop tard, vous avez cours demain. » plaisanta Gustav en leur adressant un clin d’œil avant de continuer sa route.
Abby retira sa main pour l’enfoncer dans la poche de son jean. À ce moment, le portable de Tom sonna.
« Ouais ? ... Oh, David ! »
Il s’éloigna. Abby s’assit sur un muret à l’entrée du parc, tremblante de la tête aux pieds. Elle se jura de prendre la veste la plus chaude qu’elle avait la prochaine fois qu’elle sortirait.
Elle regardait Tom faire des gestes en parlant, faisant les cent pas. Elle n’entendait pas ce qu’il disait - il était trop loin pour ça - mais apparemment David lui annonçait une bonne nouvelle, vu le sourire qu’il affichait.
« Abbygaëlle ? »
La concernée sursauta et se retourna brusquement.
« Mon... monsieur Keller... ?
- Oh, tu peux m’appeler Kristof maintenant, je ne suis plus ton professeur, sourit-il.
- Qu’est-ce que... vous faites là ?
- Je me promenais. Et toi ?
- Je rentre du cinéma, avec Tom. »
L’homme lui adressa un sourire tendre. Ce genre de sourire qui lui rappelait la période où elle se serait jetée dans ses bras en le voyant arriver, la période où elle avait totalement confiance en lui. Maintenant, il l’effrayait.
« Je suis vraiment content que tu te sois finalement intégrée dans le lycée et que tu te sois fait des amis parmi les élèves. Et... les professeurs, ajouta-t-il en apercevant Tom au loin.
- Oui. »
Elle remonta le col de sa veste, sentant un nouveau frisson lui parcourir le dos.
« Alors tu sors avec monsieur Kaulitz ?
- Ou-oui, bégaya-t-elle.
- La règle suivant laquelle les élèves ne peuvent plus approcher les professeurs en dehors des cours a donc été supprimée ?
- Non, non... Mais on est pas dans le lycée, ici. »
La froideur de sa voix la surprit elle-même. Et le regard que son ancien professeur lui adressa la fit frémir.
« Dans ce cas, ça me ferait plaisir qu’on puisse redevenir de bons amis, comme avant, murmura-t-il en appuyant sur le mot « amis ».
- Et bien... J’ai pas vraiment l’temps pour ça... Vous savez, le bac, les cours, les fêtes qui approchent...
- Tu trouveras bien un moment, non ? Ça me ferait tellement plaisir ! En plus, nous habitons dans le même immeuble, à ce que j’ai cru comprendre.
- Oui... En fait... Tom vit avec moi. »
Le visage de Kristof Keller se décomposa. Il regarda Tom ; ses pupilles se contractèrent brusquement. Il détourna son regard haineux et lorsqu’il le reposa sur Abby il était redevenu bienveillant. Abby eut la chair de poule de voir à quel point il se maitrisait. Il n’avait pas changé, il était toujours autant maître de lui-même, à son grand désespoir. Il lui serait donc toujours impossible de savoir exactement ce qu’il pensait.
« Je vais te laisser, dans ce cas. Au plaisir. »
Il esquissa un sourire. Abby le regarda partir et, soudainement, deux mains sur posèrent sur ses cuisses. Elle sursauta et tourna vivement la tête. Tom lui souriait tendrement.
« Désolé, j’voulais pas t’faire peur.
- C’est rien. On rentre ? J’vais mourir congelée sinon.
- Oui. »
Il la prit dans ses bras et la frictionna adroitement afin de la réchauffer un peu.
« C’était qui ? demanda-t-il.
- Qui ça ?
- Le type qui est venu te parler.
- Oh... Un ancien prof’ que j’avais en seconde. »
Tom eut un sourire. Il ne savait pas qu’Abby attachait autant d’importance à ses professeurs. Elle semblait garder de bons contacts avec eux. Plus qu’avec ses camarades de classe, en tout cas.
Ils arrivèrent à l’appartement, gelés jusqu’aux os. Abby prit rapidement une douche bien chaude et alla directement se coucher. Tom, lui, traîna devant la télévision, Tyson couché à ses pieds.





Je sais que j'avais promis une longue suite, mais j'ai un petit détail à rectifier avant. ^^ Je posterai plus tard.
Sinon, vos impressions ?

Suite s'il te plait.
J'aime.