[Terminé] bien plus qu'une proie

O_o

Suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Y'a de l'action ^^ Suite

Arf... c'est quoi ce suspens??!!
Je veux la suiite!!!!! xD

Qu'est-ce qu'il va se passer?
Le vampire va la mordre? Il va la tuer, la transformer? Tom va-t-il intervenir??? (vous le saurez dans le prochain épisode... )
Ou est-ce que Bill va arriver in extremis pour sauver Molly?

Ou alors peut-être que le fantôme de Bloody va arriver, crier un grand "BOUH!" et les vampires vont déguerpir? (bizarrement, ça me paraît assez improbable xD)

ptdr elle est bonne ta remarque avec bloody j'étais mdr

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Tom : oui, mais non ! Laissez-là !
... : mais où est donc passé...
Tom : pour le moment il est en stand by !
... ridicule. Allez on y va les gars.

Il me lâche et je suis à la limite de tomber par-terre mais tom me sauve de justesse, ce qui m'évite de nouvelles égratignures. Les autres s'en vont. Ça me rassure. Il me caresse la joue en voyant mon visage devenu blanc.

Tom : je suis désolé pour cette intervention.
Moi : je pense que tu auras des choses à m'expliquer !
Tom : quand le moment sera venu ! Mais n'en parle à personne s'il te plait.
Moi : pourquoi ?
Tom : parce que... parce que c'est trop long à expliquer !
Moi : euh ok !

Il me redresse, le chien s'est calmé enfin. Il me donne un bisou sur le front et on se met en route pour rentrer. Le chemin nous a permit de nous calmer. Tom était un peu plus relaxe. Je le regardais afin d'essayer de comprendre cette histoire.

Tom : si tu essaie de deviner les raisons de cette interpellation ça ne marchera pas !
Moi : au moins j'aurais tenté.

Il m'embrasse sur la joue et passe un bras sur mes épaules. Nous arrivons enfin à destination. Bill n'est plus à la fenêtre. Je ne veux même pas savoir où il est. J'espère juste ne pas le croiser tout de suite. On entre, les parents sont toujours dans le salon avec David et saki. Son frère n'est pas là non plus. Il libère leur chien et le laisse gambader comme bon lui semble dans la maison. On accroche nos manteaux. Je soupire de bien être désormais.

Tom : on monte ?
Moi : c'est à dire ?
Tom : viens dans ma chambre jusqu'au diner.
Moi : si ça te fais plaisir !
Tom : oui ça me ferait plaisir.

Il m'entraine avec lui dans sa chambre main dans la main. J'ai le malheur de croiser bill cette fois et il secoue négativement la tête. Je sais que ça ne lui plait pas. Je fais comme si je ne l'avais pas vu.

Tom : si tu nous cherches on est dans ma chambre.
Bill : c'est ça amuse-toi bien ?
Il s'en va en claquant la porte de sa chambre ce qui me fait sursauter.Musique d'ambiance,Je suis Tom dans sa chambre et m'installe en soupirant. Tom pressentait bien que cette histoire ne me plaisait pas. Mais il s'imaginait que d'ici peur j'oublierais tout. Mais je ne suis pas dupe. Il s'assit à mes côtés.

Moi : S'était qui ces gars ?
Tom : Des anciens amis qui n'ont pas supporté notre célébrité et ils ont décidé de faire bande à part.
Moi : Oh je vois. Et tu es si... enfin si... garce avec les filles ?
Tom : Non, c'est une image que veule les gens. En réalité je ne suis pas comme ça. J'ai du avoir que 3 vrais copines.
Moi : C'est bien ce que je me disais !
Tom : Comment ça ?
Moi : Je savais que tu n'étais pas un garçon qui court après les filles.
Tom : Si tu ne crois pas tout ce qu'on te dit c'est bien alors !

Je suis donc enchantée d'entendre qu'il n'est pas un coureur de jupon ce qui confirme ma thèse sur lui depuis le début bien qu'il est toujours été proche des filles. Peut-être qu'il a juste un contact facile avec elles mais rien de plus. Je lui souris et il me le rend.

Tom : Désolé si tu as tous ces trucs qui t'arrivent.
Moi : Je me dis que c'est normal ! Vu que je travaille pour vous !
Tom : C'est vrai.
Moi : Ça fait partit des aléas de la vie. Parfois c'est brutale mais on s'y fait.
Tom : Je m'en doute bien !

Un blanc s'installe entre nous. Je joue nerveusement avec mes doigts. Je stresse légèrement. Il me tient les mains trouvant ça peut-être gênant pour lui. J'arrête. Bien que cette envie me manque déjà. Je le fusille gentiment du regard. Je veux tout oublier, tout recommencer pour mieux repartir sur de bonnes bases. Je retire mes mains. Et j'ouvre mes bras. Tom m'interroge du regard. Je prends la décision de me mettre sur ces genoux ce qui le trouve, ce que je découvre sur son visage. Mais il me laisse faire. L'ambiance est étrange. Mais peut-être que j'ai finis par la vouloir ainsi. Je n'ai plus rien à perdre. Je prends les bras de Tom et les mets autour de ma taille. Il reste sans réaction. Je plante mes yeux dans les siens. Il me répond. J'approche mon visage. Nos respirations s'accélèrent et deviennent plus bruyantes. Il sait ce qu'il va se passer. Il sait que ce n'est pas bien. De plus il ne l'aime pas. Il joue avec elle. Mais maintenant qu'elle répond d'avantage, il n'aurait peut-être pas du. Non pas qu'il est des sentiments envers elle, il ne ressent rien. Juste que ce n'est pas bon signe, enfin d'après ce qu'il peut ressentir. Mais il est tout de même comme attirer par elle. Elle dégage une telle force. Il comprend maintenant pourquoi Bill en est amoureux. Jamais il n'avait sentit ça envers une autre fille. Il ferme les yeux. Il respire l'odeur que j'émane. Ça l'enivre. Il fait pour se contrôler. Je ne l'aide pas. Et je n'aide pas mon cas. Si Bill nous trouve comme ça, il va me maudire à vie. Mais tant pis. Il l'aura mérité. Même si je sais que ce n'est pas bien, j'en ai une folle envie.

Moi : Embrasse-moi...

Il ouvre les yeux stupéfait par ce que je lui propose. Mais sans attendre d'avantage ni sans réfléchir, il attaqua violemment mes lèvres. Ce fut en un baiser fougueux que notre premier bisou se fit entre le guitariste et moi. Nous le prolongeons. Il me mord le bord de la lèvre. Nos langues s'entremêlent. Seulement, soudainement les lumières se mettent à clignoter. Comme si elles disjonctaient et ne marchaient presque plus alors qu'il y a quelques secondes elles fonctionnaient parfaitement bien. Ça ne nous empêche pas de continuer. Cette les murs tremblent. En fait, c'est dans toute la maison que ça arrive. Intrigué par ce mouvement étrange, tous sortirent dans le salon sauf nous. Ils saisirent alors en ne nous voyant pas arriver. Bill en a mal au coeur à l'idée qu'il est pu se passer quelque chose entre son jumeau et moi. Son visage devint rouge de colère. Quand il a un jumeau, la chose qu'il déteste s'est de capter tout de suite ce qu'il se passe. Et là s'était le cas même s'il ne savait pas exactement ce qu'il se tramait entre Tom et moi. Surtout que quand il nous avait vu nous embrasser, rien ne s'était passer. Alors pourquoi ça arrivait maintenant ?

Tom va la bouffer
Non?!

Suite please!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ah donc s'il gagnent pas j'aurai pas droit c'est ça XD
Sinon j'espère vraiment qu'ils gagnent!!!!^^

Ils avaient l'air de vraiment faire peur les 3 inconnus ! brrr
Roh lala ca a l'air d'être mauvais signe les lumières qui clignotent =S
une suite pleeeease =)

Mme Kaulitz : Que se passe-t-il ?
Bill : Je pense que Tom a fait une bêtise !
Mr Kaulitz : Comment ça ?
Bill : Je ne sais pas. Mais il se passe quelque chose de bizarre.

Ils ne se doutent de rien. Du moins pour le moment. Tom passe ces mains en dessous de mon t-shirt. J'en frissonne. Ça me fait un bien fou. Il caresse du bout des doigts le bas de mon dos. Je me tortille mais garde toujours ces lèvres collées aux miennes. C'est alors que la maison entière se met à trembler encore plus fort que la première fois. Nous stoppons nos démarches. Tout se calme. Le guitariste réalise ce qu'il vient de faire. Me laisser l'embrasser et continuer tout en y prenant goûts. Il me serre dans ces bras. Il soupire.

Tom : Je n'aurais pas du continuer.
Moi : Je sais moi non plus !
Tom : Même si je t'ai avoué mes sentiments ce qu'on a fait n'est pas correcte.

Je suis entièrement d'accord avec lui. Nous n'aurions jamais du faire ça. On l'assume mais c'est mal. Je retire ces mains mais il les remets. Je lève un sourcil. Il me fait un sourire coquin. Je rigole. Il veut jouer ? D'accord mais plus tard. Chaque choses en son temps. Mais doucement. Je me défais de ces bras, il en grogne maintenant. Mais je ne cède pas. Je me lève et m'assoit de nouveau à ces côtés.

Moi : Tu embrasses très bien tu sais ?
Tom : Je sais, je sais...

Il bombe le torse et fait son fier devant le compliment que je viens de lui faire. Il me remet une mèche de cheveux en place et je fais comme la pub l'oréale parce que je le vaux bien et il s'en marre. J'ai juste fais ça pour détendre l'atmosphère.

Moi : Au fait, tu n'as pas sentit un tremblement de terre et tu n'as pas vu les lumières devenir folle quand on s'est embrassé ?
Tom : Non, parfois nous avons des tremblement de terre et c'est normal que ça provoque ça.
Moi : C'est marrant mais je n'ai jamais entendu ou ressentit ce genre de catastrophe naturelle près de chez moi.
Tom : Peut-être qu'elle est conçue pour ne pas en avoir !
Moi : Peut-être.

Je hausse les épaules et ne cherche pas à comprendre plus loin ma pensée. Pendant que nous papotions, le reste de la famille ainsi que celui du staff restaient en bas en attendant d'en savoir plus. Ils avaient hâte.

Bill : Je ne sais pas quelle couille a fait mon jumeau mais si c'est ce que je pense il va m'entendre.
Mr Kaulitz : Tu penses qu'il a fait quoi ?
Bill : Je ne sais pas exactement et je ne veux pas me prononcer sur ça tant que je n'ai pas la preuve de sa part.
Mr Kaulitz : Tu ne peux pas nous en toucher deux mots ?
Bill : Non !
Mr Kaulitz : Comme tu voudras.
Bill : Mais sachez que ça ne se fait pas !
Mr Kaulitz : Si tu le penses.
Il écoute et répond à son père mais s'en contre fiche à vrai dire de ce dont il lui parle même si ça concerne se dont il pense. Heureusement qu'entre vampires ils ne peuvent pas foyer dans les pensées des leurres. Sinon ça serait trop facile. Il le maudissait déjà. Il allait trop loin. Certes, il veut qu'il soit comme lui mais parfois il faut savoir arrêter. À moins qu'il l'aime aussi mais c'est peu probable. Elle n'est pas de son genre du tout.

Bill : Je n'en peux plus je vais le chercher.
David : Laisse-le venir de lui-même !
Bill : NON.

Il monte alors les escaliers a une vitesse affolante, limite on a même pas le temps de le remarquer. Il arrive en quelques secondes devant la porte de Tom. Il frappe plusieurs fois sur la porte ce qui nous a fait flipper sur le coup. On se lance un regard inquisiteur et Tom se lève pour ouvrir. C'est bien sûr Bill. Il n'est pas content.

Bill : Faut qu'on parle.
Tom : Pourquoi ?
Bill : Tu le sais très bien et les parents veulent savoir !
Tom : Je n'ai rien à expliquer.
Bill : Si !! si tu n'as rien à te reprocher descend.
Tom : FFF OK j'arrive ! Et calme-toi s'il te plait !
Bill : Je n'ai aucune raison de me calmer.

Il me regarde. J'espère qu'il ne se passe rien de grave pour qu'ils en discutent en famille. Je l'incite à y aller en faisant un signe positif de la tête. Il vient me donner un tendre bisou sur la joue et me promet de revenir rapidement. Je lui dis de ne pas s'inquiéter pour moi et que je l'attendrais. Bill me jette un regard noir et je le lui rend. Il ne l'apprécie pas. Tom sort et le leader du groupe claque la porte ce qui me fait une nouvelle fois sursauter. Ça devient une habitude pour lui de faire peur comme ça. Il prend alors son jumeau par le bras et le fait descendre de force. Celui-ci beugle à son jumeau qu'il lui abime son vêtement à le tenir ainsi. Il a l'air réellement fâché. Je me demande pourquoi. Et lorsque je n'entends plus rien j'imagine qu'ils doivent être en bas dorénavant. Et c'était le cas. Ils arrivent dans le salon et tous les dévisagent un par un sans exceptions. Tom à l'impression qu'il va être jugé coupable de quelque chose. Certes, il a fait une chose impardonnable, enfin s'était pas si méchant de m'embrasser. Il aurait pu faire pire mais non donc il est tout de même intelligent. Il balance son frère au milieu de tout le monde. Mr Kaulitz croise les bras.

Bill : Assit-toi !
Tom : Et si je n'en ai pas envie ?
Bill : FAIT-LE QUAND MÊME !
Tom : Eh doucement.

Il s'assoit voyant l'état que prend son frère s'il ne lui obéit pas bien que la plus part du temps c'est le contraire. Il était impatient lui aussi de savoir pourquoi on l'avait convoqué aussi brutalement.

Bill : C'est finis le temps où je me laissais faire. Je me laisse plus berner par toi.
Tom : Euh ok ! Mais tu es obligé de le dire devant tout le monde ?
Bill : OUI ! Puisque tu as la fâcheuse manie de me descendre devant les autres.
Tom : Bon je t'écoute. Qu'as-tu de si important à me dire ?
Bill : Qu'est-ce qu'il s'est passé avec Molly ?

Ah s'était donc ça ce qui le tracassait autant ? Pensa-t-il heureux de voir que ça le dérange tant que ça. Ça voulait donc dire que son plan marchait à merveille et qu'il allait devoir à tout prix l'expliquer à ces parents après pour éviter qu'il ne s'en prenne plein la tête même si ça commencer d'ici peu pour lui mais il ne tiendra pas compte de leurs propos étant donné qu'ils ne sont pas au courant de ces petites manigances. Mais il est fier de lui.

Bill commence à s'énerver... Trop excitant hum (faut que j'me calme)
Tom a failli la violer mais l'a pas fait d'où il a failli. (mon rhume me monte au cerveau faut pas m'en vouloir XD)

Sinon je veux savoir si Tom sera encore fier pendant longtemps.

Suite!!!!!!!!!!!!!

Pas de suite pour cette fic avant mercredi
Je dors chez ma mère et tout est sur le PC et je veux que la fic se continue sur mon fichier world

Ok pas de soucis

MDR Bill s'est fâché tout rouge xD
J'espère que le plan de Tom va foirer ! haha ^^
hâte d'être à mercredi pour avoir la suite =)

Suite stp.

Bill qui fait son rebelle!! Trop bien!! ^^
Moi j'aimerais bien savoir quand Molly va enfin se rendre compte que ses idoles sont des vampires!?
Non, c'est vrai, il y a des moments, elle m'énerve vraiment à être si naïve u_u
Et aussi est-ce que Tom va dire la vérité à ses parents? (sûrement, ne serait-ce que pour faire enrager Bill ^^)

Enfin bref, vivement la suite ^^

Tom : Rien d'intéressant !
Mme Kaulitz : Ne m'en pas Tom !
Tom : On s'est en fait juste embrasser.
Bill : ET TU AS VU CE QUE CA A FAIT COMME DEGATS ?
Tom : La maison ne s'est pas écroulée à ce que je sache.
Bill : Ce n'est pas une raison !
Mme Kaulitz : Bill a raison mon chéri.
Mr Kaulitz : Peut-être que Tom a eu une bonne raison lui aussi de faire ça. N'est-ce pas ?

Celui-ci regarde alors son père, ravie de voir qu'enfin quelqu'un à peut-être réalisé la raison pour laquelle il avait fait cette chose. Mr Kaulitz demande au chanteur de se retirer et il le fait en marmonnant dans sa barbe et trainant des pieds. Il sortit en fumer une. Heureusement pour eux qu'ils avaient bu leur « potion magique » le matin même.

Mr Kaulitz : Nous t'écoutons mon fiston.
Tom : Merci père. Si j'ai fais cette horrible chose ce n'est pas parce que j'aime cette fille. Au contraire, je l'ai fais dans l'intérêt de la famille et de Bill. Il n'a rien capté et tant mieux. L'effet que ça a fait sur lui c'est ce que je désirais. Il devait s'énerver et normalement d'ici quelques jours ils devraient normalement tuer Molly.
Mr Kaulitz : Tu vois ma chère, je savais que notre fils bien aimé était le plus intelligent.
Mme Kaulitz : Possible mais en attendant n'en tombe pas amoureux Tom.
Tom : Ça n'arrivera pas ! Je préfère plutôt mourir que de faire honte à la famille et à notre race qui est déjà en voie de disparition !
Mr Kaulitz : Je te reconnais bien là.

Musique d'ambiance

Il fait un geste tendre à son fils, le guitariste en est fier au fond. Mme Kaulitz reste peu convaincu. Il se doute bien qu'elle attend des preuves concrètes. Elle en aura promit-t-il à sa mère mais qu'il faut juste du temps pour que la machine se mette en place. Saki alla chercher le jumeau de Tom. Il tentait de se défouler sur sa cigarette. Après tout, ça ne lui faisait plus de mal puisqu'il était déjà à moitié mort et la seule qui pouvait lui briser le coeur c'est les sentiments qu'il éprouve pour moi.

Saki : tu peux revenir.
Bill : Non c'est bon, je n'ai plus rien à dire !
Saki : Comme tu voudras.

Il s'en va et le laisse tranquille. Je décide de sortir de la chambre de Tom pour prendre l'air à mon tour. Lorsque je passe devant le salon, la conversation a cessé apparemment même si je n''entendais que des raisonnements. Je mets une veste sur moi et je sors. Trouvant Bill assit sur le palier de la porte. Crapotant sa clope nerveusement. J'allais me retirer. Pensant qu'il ne se trouvait pas là mais il me demande alors de rester. J'hésite un instant et je m'appuie sur le mur de la porte d'entrée tout en croisant les bras.

Moi : Vous vous êtes disputés à cause de moi ?
Bill : Pourquoi tu me demandes ça ?
Moi : Parce que votre discussion avait si je peux dire ça comme ça, mouvementée.
Bill : En effet elle était mouvementée !
Moi : Alors pourquoi ? Surtout que tu avais l'air en colère contre quelqu'un ou quelque chose.

Au fur et à mesure que je parlais, Bill se demandait vraiment si je n'avais rien entendu de ce qu'ils se disaient en bas. Vu comment il hurlait, pour lui j'avais probablement eu vent de quelques mots. Il se lève et écrase sa clope férocement. Il pose alors ces mains entre ma tête et sur le mur. Je suis prise entre ces deux bras. Si jamais ça tournait mal je ne pouvais pas m'échapper. Il me foudroie du regard. Je le regarde dans les yeux mais j'ai peur. Peur de le voir s'énerver contre moi à cause de ce qui s'est passé avec Tom. Puis il me dit d'une voix lugubre et froide :

Bill : Est-ce que tu as entendu notre conversation ?

Je secoue négativement la tête pour lui répondre. Il me faisait peur comme ça. S'était la première fois qu'il réagissait aussi négativement envers moi. Je déglutie difficilement quand ces expressions s'assombrirent. Je sens qu'il ne me croit pas.

Bill : Tu mens. Je suis sur que tu as tout entendu !
Moi : Je te promets que non.
Bill : En es-tu sur ?
Moi : Oui, ça raisonnait rien de plus. Je te le jure. J'en mettrais ma main à couper.
Bill : Tu la mettrais à couper si tu ne mentais pas ?
Moi : Oui !

Son visage pris une expression que je n'avais jamais vu auparavant, Elle était tellement effrayante. Il me prit par le poignet ouvrit brusquement la porte. Il la referma et elle claqua. Je ne pigeais rien à ce qui se passait. Je le suppliais de me lâcher et lui jurais de ne rien avoir entendu puisque s'était le cas. Saki qui revenait au près des autres, se fit bousculer par Bill au passage. Il se redressa et rejoignit les autres. On passe de toute vitesse devant le salon où tout le monde s'y trouvait. Je le retiens un maximum en arrière mais il est plus fort. Je suis à la limite de le supplier à genoux. Mais on arrive dans la cuisine. Il me jette contre le bord de la cuisinière et me plaque le bras contre celle-ci. Il tourne vers moi et brandit alors un énorme couteau de cuisine qui doit servir à couper la viande comme le poulet, le rosbif par exemple pensais-je. Il le leva et me fusilla des yeux. Il était devenu fou. Je ne le reconnaissais plus.

Bill : Tu as dis que tu en mettrais ta main à couper si tu me disais la vérité.
Moi : S'était ce que j'avais dis mais ça ne te donne pas le droit de le faire !
Bill : Donc tu as entendu notre discussion ?
Moi : JE T'AI DIS QUE NON !
Bill : MENTEUSE !!!

Pitié que quelqu'un m'aide. Je ne pensais pas qu'il prendrait tout à la lettre ce que je disais. Lorsqu'il dirige alors la lame tranchante et bien taillé du couteau d'une manière précise vers mon bras je me mets à hurler et me cache les yeux pour ne rien voir ni entendre. C'est alors que je me retrouve en moins de deux à terre. Ayant vite-fait entendu quelqu'un appeler Bill et plus rien. Je laissais mon bras sur mes yeux, ne voulant plus le retirer pour voir les dégâts que je pouvais avoir.

Oh gott!!

Suite please!!!!!!!

Suite stp.

Quelqu'un dégage mon bras et c'est Mr Kaulitz. Je le dévisage, complètement affolée. Je vois derrière lui que Bill se fait ruer de coups par son jumeau et qui réussit à lui faire lâcher prise l'objet dangereux qu'il tenait dans sa main et s'en échappe dans un fracas assourdissant sur le sol de la cuisine.

Tom : Est-ce que je peux te lâcher ?

Mais son double ne lui répond rien. Il repose la question, au cas ou la deuxième fois ça marcherait.

Tom : Je peux te lâcher ?

Il tourne la tête vers moi et fait un signe positif de la tête. Son jumeau le lâche et il réajuste ces vêtements. Reprenant une expression plus sereine sans pour autant me lâcher des yeux ce qui m'effraie. Tom reste près de lui au cas où son frère déciderait de recommencer.

Mr Kaulitz : Est-ce que ça va aller, Mlle Molly ?

Je suis trop choquée pour répondre. Des larmes se mettent à couler le long de mes joues. Le père des jumeaux m'aide à me relever. Il met un de mes bras autour de son cou et m'oblige à avancer. Je n'ose même plus regarder Bill quand nous passons devant lui. Mr Kaulitz me ramène dans ma chambre en compagnie de sa femme. Tom, Saki, David et Bill sont restés dans la cuisine. Le guitariste pousse son frère contre le bord de la cuisinière quand il essaie de s'en aller. Il est furieux contre lui.

Tom : Pourquoi tu lui as fais ?
Bill : En quoi ça te regarde ?
Tom : Tu as failli la tuer !
Bill : Ce n'est pas ce que tu voulais depuis longtemps ?
Tom : Si, mais pas de cette manière ! Qu'est-ce qui t'es passé par la tête ?
Bill : Rien ! Laisse tomber.
Tom : Ok ! Mais la prochaine ne le tente pas de la tuer ainsi. Fait-là comme nous avons l'habitude de faire.
Bill : Dans tous les cas ce couteau nous sert bien à couper de la viande humaine non ?
Tom : Oui ! Mais seulement une fois qu'ils sont morts par nos propres mains.
Bill : Je m'en souviendrais alors !
Tom : Maintenant, il va falloir qu'on trouve une excuse pour rattraper ta grosse connerie.

Bill soupire. Il en prenait pour son grade. Certes, il l'avait bien cherché. Mais il désirait savoir si de la haut la conversation qu'ils ont eu, aurait pu aller jusqu'à mes oreilles. Et ce, même si je le jurais devant lui, il ne me croyait pas. Ce retournement de situation déstabilisait le plan de Tom. Le guitariste s'en alla rejoindre les parents Kaulitz.

Mr Kaulitz : On peut vous laisser ?
Moi : Vous voulez réellement me laisser seule ?
Mme Kaulitz : Il faut vous y faire pourtant. Vous n'allez pas vivre dans cette peur toute votre vie.
Moi : Attendez ! Votre fils a essayé de me tuer ! Vous ne vous en rendez pas compte ?
Mme Kaulitz : Si ! Il a juste eu un excès de colère par votre faute.
Moi : Comment ça ? Par MA FAUTE ?
Mme Kaulitz : Notre fils est amoureux de vous !
Moi : Et alors ? Ça ne lui donne pas le droit de réagir ainsi avec moi.
Mme Kaulitz : L'amour rend aveugle non ?
Moi : Peut-être ! Mais sachez que dorénavant, je vais lui rendre la vue de ce côté-là. Et qu'il ne s'en prenne pas à Tom.
Mr Kaulitz : C'est à dire ?
Moi : Qu'après ce qu'il a fait, il va devoir arrêter de m'aimer d'une manière où d'une autre.
Mr Kaulitz : Vous avez l'air bien décidé.
Moi : en effet ! Alors, si ça ne vous dérange pas ! J'aimerais bien rester seule s'il vous plait.
Mme Kaulitz : Nous allions partir de toute façon ! N'est-ce pas mon chéri ?
Mr Kaulitz : Qu'allez-vous faire à Bill pour vous venger ?
Mme Kaulitz : MR KAULITZ EST DEMANDE EN BAS PAR SA FEMME ! Alors oust ! Du balais. Veuillez ne pas prendre en compte les remarques de mon mari, celui-ci est parfois trop curieux.

Je les regarde d'un air suspect. Elle tire son mari par la manche de sa veste et le bouscule dehors. J'aperçois Tom quand elle ouvre la porte. Il allait frapper. Il redescend son bras. La porte de la chambre se ferme en un claquement qui raisonne dans toute la pièce. Tom est curieux de savoir ce qui a pu se dire derrière cette porte. Bien qu'il en est entendu l'essentiel. Il en sourit d'ailleurs.

Tom : Alors ?
Mr Kaulitz : Il n'y a pas de raison de se faire pour nous.

Il se met à murmurer pour pas que je n'entendre.

Tom : Elle ne sait donc pas pour nous ?
Mr Kaulitz : Non ! Je pense même qu'elle va t'aider !
Tom : Euh... comment ça ?
Mr Kaulitz : T'aider dans le sens.... enfin que Bill ne soit plus amoureux d'elle.
Tom : Sérieux ?
Mr Kaulitz : Oui !
Tom : Ça c'est une bonne nouvelle. Voilà qui va donc me faciliter la tâche !
Mr Kaulitz : C'est sur ! Mais ta mère m'a retiré de la chambre quand je voulais savoir comment elle désirait se venger.
Mme Kaulitz : Parce que ça ne nous regardes pas.
Mr Kaulitz : tu ne pourrais pas essayer de lui demander ? Peut-être qu'à toi elle te le dira !
Mme Kaulitz : Mr Kaulitz voyons !!!
Tom : Je ne pense pas qu'elle soit de ce genre-là. Je pense qu'elle est plus du style à le montrer.
Mr Kaulitz : C'est possible ! J'ouvrirais l'oeil alors. Et le bon !
Mme Kaulitz : Bon, descendons.
Tom : Allez-y, je vais la voir !
Mme Kaulitz : Pas trop de bêtises quand même Thomas.
Tom : Ne t'en fais pas !

Il s'incline devant eux et ils le laissent seul derrière la porte de ma chambre. Il sourit quand il se rappela la façon dont sa mère venait de le surnommer. S'était il y a très longtemps qu'elle le prénommait ainsi. À cette pensée, il frappe à ma porte. Je ne réponds pas sur le coup. Il retente. Je réponds. Il propose d'entrer. Je lui demande s'il est encore avec Bill. Il me rassure en me disant qu'il est tout seul. J'accepte. Il entre et prend le temps de venir s'installer à mon chevet. La couverture replier sur moi pour me tenir chaud. Les rideaux fermés. La lumière tamisée. S'était une ambiance reposante. Et j'en avais besoin. Il pose ces mains sur mes jambes et les croise.

Beurk "Thomas" c'est un horrible prénom .
Suite stp.

Mme Kaulitz : MR KAULITZ EST DEMANDE EN BAS PAR SA FEMME ! Alors oust ! Du balais.
J'étais morte de rire.

Bill faut vraiment qu'il découvre ce que manigance son frère sinon je sens que Molly ne va pas survivre assez longtemps

Suite!!!!!!!!!!!!!!!!!

lol j'ai voulu mettre une touche d'humour xD
la suite ce soir après le taff

OK.

Au faite tu travailles bien à Disneyland?!