[Terminé] bien plus qu'une proie

C'était de l'ironie Emilie.
Elle est beaucoup trop naïve pour ne toujours pas comprendre que c'est du sang qu'elle a vu sur le sol.

Molly encore bête pour comprendre .

Bon Dieu mais qu'est-ce qu'elle est co... stupide!!!
Non, mais quand est-ce qu'elle va ouvrir les yeux???
(Même un rocher voit mieux qu'elle... xD)
En fait, plus le temps passe, plus j'ai envie qu'elle meure

Suite!!

Lioness a écrit:

(Même un rocher voit mieux qu'elle... xD)

Mdrrrrr.
Ohhh la pauvre .

Il y un silence mortel dans la voiture ce qui me fait piquer du nez. Je demande à tom d'ouvrir un peu la fenêtre histoire que je reste éveillée mais il me dit non. Je proteste et finalement il cède et entrouvre légèrement la fenêtre. Laissant le vent décoiffer un peu le dessus des cheveux de Georg et de Bill. Sur les nerfs à force de remettre ces mèches en ordre, il la referme peu de temps après.

Moi : mais j'ai chaud.
Bill : t'as cas enlever ta veste !

Je fulmine dans mon coin. Les autres restent discrets. Le chanteur se contente de dresser un bref regard furtif dans le rétro. Je dévie son regard et me soutien mutuellement pour lutter contre Morphée qui se risque à me lancer le sortilège d'endormissement. Puis je me souviens soudain.

Moi : tu étais passé où tout le reste de la soirée ?

Cette question le fait resserrer son étreinte sur le volant et la maudit déjà. Ais elle à l'air tout de même d'intéresser ces trois copains. Eux-mêmes se le demandait et fallait bien que quelqu'un se jette à l'eau. Seulement c'est moi qui est mit les pieds dans le plat. Tant pis. Au moins ça fera passer le temps.

Bill : ça ne regarde personne.
Tom : ça nous regarde justement !
Bill : non !
Moi : à moins que tu es quelque chose à te reprocher ?
Bill : je peux te retourner les mêmes questions si je veux.
Moi : j'étais dehors et ?
Bill : avec qui ?
Moi : personne !
Georg : je crois que ce n'est pas le moment de parler de ça.

Nos discussions entre lui et moi virent toujours à l'affrontement. On ne peut plus se parler normalement. Ça me gave. J'aimerais bien que pour une fois ça change. Là c'est lui qui me provoque et en rajoute une couche.

Tom : je peux savoir quand même.
Bill : j'étais également dehors, en charmante compagnie !
Tom : molly ?
Moi : ce n'était certainement pas avec moi.
Gustav : je confirme.
Moi : merci Gustav !
Bill : tu l'as vu ?
Gustav : je l'ai vu s'en aller avec un homme.
Moi : qu'est-ce que ça peut te faire ? T'es jaloux ?

Eh boum. Il n'arrive pas à rétorquer quelque chose à ça. Il se concentre soudainement sur la route.

Bill : non !

Il est pire que moi quand il ment. Son frère ne manquait pas une miette de la conversation. Pour lui ça devenait très attrayant tout cela. Mais encore une fois, j'avais ce que je voulais. J'avais bien vu qu'il était jaloux que je me retrouve encerclé par cet imbécile qui a failli m'agresser. La tranquillité revient. Laissant place donc à des soupires de fatigues et des bâillements. Je pose ma tête, sous la vigilance constante de son jumeau. J'établis un jeux de regard entre lui et moi. Il est tout de même parfois obliger de contrôler la route pour éviter tout accident. Son regard me captive. Bien que je lui en fais voir de toutes les couleurs. Il garde toujours un visage proche de la perfection.

Put*in mais Molly arrête ton petit jeu là. Ca me saoûle.
Bill souffre et tout ce qu'elle veut c'est se venger et encore je trouve que c'est exagéré ce qu'elle fait.

Suite!!!!!!!!

Elle est d*geulaseeeeeeeeee Molly.
Pauvre Bill.
Suite stp.

Enfin la voiture garée devant leur maison, les deux G nous saluent avant de se résigner à monter dans leurs véhicules à eux. On leur fait un signe de la main lorsqu'ils nous quittent pour de bons. Bill prend son sac à main et sa veste pour les mettre autour d'un bras et ferme la voiture. Je traine des pieds. Encore un effort me dis-je quand je vois que Tom met tout son temps pour ouvrir une porte.

Moi : accélère !
Tom : minute ! Tu n'es pas la seule à être nase.

Une joie m'enivre quand la porte s'ouvre devant moi. Je fonce alors à toute vitesse dans le couloir pour y accrocher ma veste au porte-manteau, mettre mes chaussures sur le côté du meuble où ceux des parents y étaient. Les garçons mettent seulement un pied dans le couloir, qu'elle leur donne une bise sur la joue avant de monter dans sa chambre.

Tom : je crois que je vais en profiter pour faire pareille.
Bill : moi aussi ! Bonne nuit tom !
Tom : bonne nuit.

Ils se quittent et montent chacun de leur côté. Je n'ai même pas mis 15mn pour me changer et me mettre au lit tellement toute mon énergie c'est envoler durant cette soirée éprouvante. Je n'ai même pas envie de regarder un peu la télévision. Ce n'est qu'à 6h30 du matin que tout le monde est en train de dormir paisiblement. Le lendemain matin, je me réveille qu'aux alentours de 13h, j'avais bien mérité ces quelques heures de repos. Quoique je n'aurais pas été contre de dormir au moins jusqu'à 17h. Par respect je préfère me lever tôt. J'enfile ma robe de chambre, mes chaussons et descend dans la cuisine. Rien qu'en descendant une marche, je sens une bonne odeur sortir de la cuisine. Je me laisse guider par celle-ci et mes yeux sont surpris de constater que bill fait la cuisine. Non seulement d'être chanteur il est aussi cuisinier. Il m'en apprend tous les jours. J'ai même mon assiette et mes couverts de près. Joliment préparer. Je lui lance un faible bonjour et il me le dit également sans me prêter plus d'attention.

Bill : même si je ne savais pas à quelle heure tu te lèverais, j'ai fais quand même une double portion.

Cette délicate attention me touche. Personne ne lui en avait donné l'ordre et il m'a quand même préparer quelque chose à me mettre sous la dent. Il me fait culpabiliser. Ce n'est pas gentil de sa part. Après tout, il mérite quand même un peu plus de gratitude de ma part. J'ai été cruelle avec lui hier soir. Il veut sûrement se racheter me dis-je en m'installant à la place où tout était encore vide. Lui s'était déjà versé un verre d'une substance à la couleur bizarre.

Moi : il ne fallait pas te donner tout ce mal pour moi !
Bill : ça ne fait rien. Et puis je n'avais rien à faire.

Il était posé, son ton était doux. C'est la première fois que je le vois comme ça depuis que nous nous disputons. Il me sert des oeufs sur le plat, du bacon et sort un autre paquet de jambon. Il se pose près de moi et m'annonce qu'il n'a pas mit de poivre et de sel parce qu'il ne sait pas la dose exact. Je lui dis que ça ne fait rien étant donné que je préfère que mes aliments soient salés.

Moi : merci pour ce repas.
Bill : de rien !

On déjeune ensemble, sans se chicaner enfin. C'est drôle, peut-être que la nuit lui a porté conseille. Dans la maison il n'y a aucun bruit mis à part nos fourchettes sur nos assiettes. Les autres ne sont pas encore lever ? Ça me surprend de la part de ces parents. Généralement c'est les premiers à se lever de bonne heure.

Oh une rapas de Bill et Molly tête à tête.
La c'est bien ils pas de crie.
Suite stp.

Bah voilà. C'est comme ça que ça devrait se passer entre eux. J'espère que ça va continuer dans cette voie^^

Suite please!!!!!!!!!

je viens de rattraper mes deux suites.
j'aime évidemment ca va de sois.
l'épisodes de la boucherie dans la boîte de nuit... j'hallucine sur molly, j'ai même l'impression qu'elle le dait exprés

Suite?

En fait, c'est un rêve qu'elle fait, non?
Elle va se réveiller, et Bill va toujours avoir la même attitude envers elle ^^
N'empêche qu'elle mérite que Bill soit pas sympa avec elle, vu tout ce qu'elle lui a fait enduré. Remarque, Bill a aussi essayé de lui couper la main xD
Moi je veux savoir si c'est la réalité ce qui se passe, ou si c'est un rêve ^^
Suite!!!! =D

x'D oui remarque c'est vrai il a faillit lui couper la main!

nan mais si ca se trouve, ce n'est pas un reve, et il et gentil avec elle pour pouvoir + l'approcher, et + vite la tuer=D

hier j'ai perdu toute ma fic soit plus de 118 pages parce que mon ordi à planté au moment où je sauvegardais le tout
heureusement que je me souvenais d'à peu près comment elles étaient
quand je suis partie me couchée vers 4h, j'étais tellement énervée que finalement je ne pouvais pas attendre le lendemain pour les réécrire donc je l'ai fais jusqu'à 5h30, j'y avais déjà passé 1h dessus

------------------------------------------------------------------------------------------------

Moi : où sont passé vos parents ?
Bill : ils sont partis avec tom acheter son cadeau d'anniversaire !
Moi : et tu n'y as pas été ?
Bill : non !
Moi : pourquoi ? D'habitude tu veux toujours quelque chose.
Bill : mais là je ne veux rien. J'ai déjà ce que je veux.
Moi : ah bon ? Quoi donc ?
Bill : quelque chose !
Moi : et ça t'a coûté cher ?
Bill : tout à un prix.
Moi : allez dit-moi combien ?
Bill : je l'ai eu gratuit.
Moi : ça va tranquille la vie.

Il me le confirme. S'en est réjouissant de ne pas s'embrouiller. C'est si rare. Et ça faisait vraiment longtemps ça ne nous était pas arrivés. J'en ai presque pris l'habitude de me prendre la tête avec lui. Nos assiettes vides, j'aide bill à débarrasser. Je me précipite ensuite dans la salle de bain pour me doucher avant qu'il ne me pique la place étant donné qu'il est plus long que moi. Ma serviette n'est pas partie à la machine. Je n'ai donc pas à aller en chercher une. Elle est presque comme neuve.

Moi : ça fait bizarre de le voir comme ça.

L'eau chaude fait rougir ma peau. J'arrête quelques minutes plus tard le robinet. Disposée, je déverrouille la porte. Laissant entrouverte la porte. Mon peignoir sur moi, un pied posé sur le bord de la baignoire, je me sèche les cheveux, celle-ci se met à grincer cinq minutes plus tard. Intriguée, je pose mes yeux sur le destinataire. C'est bill. Il s'appuie contre le mur de la salle de bain et croiser les bras.

Bill : pourrais-je te demander quelque chose ?

Tiens. Que peut-il bien vouloir me demander ? Si c'est de le pardonner, c'est faisable. S'il me laisse le temps d'y réfléchir.

Moi : je suis à toi. Qu'as-tu à me demander ?
Bill : est-ce que tu as pris ton pied hier soir ?

Alors là, je suis sur le cul. J'aurais souhaité qu'il me demande pardon et au lieu de ça il ose me colle. Au début, peut-être, c'est possible que j'ai pris mon pied, mais quand ça a tourné mal avec cet abrutit, j'ai beaucoup moins fait la fière sur le coup. Et je ne veux même pas imaginer ce qui se serait passer si les deux G ne m'avaient pas secourus. Ça aurait été pire que ce que les fans m'avaient fait subir auparavant. Voyant que je ne vois pas d'objection à ce qu'il me demande, il le prend pour un oui et quitte la salle de bain pour claquer la porte de sa chambre deux minutes plus tard. Je laisse tomber ma serviette sur le sol, je lui cri dessus en lui courant après. On se met à faire du porte à porte.

Moi : COMMENT OSES-TU ME DEMANDER UNE TELLE CHOSE ?
Bill : j'ai le droit de savoir !
Moi : certainement pas ! Tu n'as donc aucun respect et amour propre ?
Bill : parce que tu en as toi ?
Moi : j'en ai un minimum mais pas toi apparemment. Tu devrais te remettre en question !
Bill : je ne crois pas non. Je me suis déjà assez remis en question depuis que tu as débarqué chez nous !
Moi : alors continue. Ce n'est pas suffisant !
Bill : et toi ? Ça ne te suffit pas d'avoir chauffer mon frère et cet idiot de Ritzer ? Devant moi en plus !
Moi : je peux te poser la même question. J'espère qu'elle embrasse bien la blondinette ! Et que tu lui as demander son numéro de téléphone.
Bill : non dans pour les deux.

Ritzer ? S'était donc comme ça qui se nommait. Au moins elle sait comment l'appeler maintenant ce mystérieux ennemi des kaulitz.

J'étais morte de rire quand Bill lui a demandé si elle avait pris son pied.

Suite!!!!!!!!!!!

Ohhhh lala c'est re partie qui ce crie dessus -_-'.
Suite stp.

Bah là c'est Bill qu'a commencé je suis témoin
XD

SUITE!!!!!!!!!

Je n'y suis pas allée avec douceur. Bien que je n'avais pas de raisons valables de continuer de la sorte. Un silence s'installe entre nous deux. Puis j'entends des sanglots. Je l'ai blessé.

Bill : tu n'as donc pas compris ?
Moi : compris quoi ? Si à chaque fois qu'on se parle on s'engueule !

Je pousse un long soupire avant de me laisser tomber le long de la porte. Fatiguée de rester debout par tant d'émotion à ingurgiter d'un coup. J'imagine qu'il doit être à la même hauteur que moi de l'autre côté.

Bill : tu te souviens tout à l'heure quand je disais que je ne voulais pas de cadeau ?
Moi : oui ! Et ?
Bill : et que j'avais ce que je voulais ?
Moi : ...
Bill : eh bien mon cadeau s'était toi !

Ces mots me font tomber comme un château de carte qui s'écroule sous une brise. Je ravale ma saliver. Je me sens coupable de le mettre dans un tel état. Je me recroqueville et pose mon menton sur mes genoux. Je me balance légèrement de façon à ne pas cogner ma tête contre cette barrière qui me sépare de lui. J'ai agi comme une délurée. J'ai vraiment tout gâcher. Je niais en bloc pratiquement tout ce qu'il pouvait ressentir pour moi alors que j'avais toutes mes chances. Et je les ai perdu. Des larmes s'échappent de mes yeux et s'écoulent le long de mes joues. Je sais désormais qu'il ne me pardonnera plus.

Bill : tu es le cadeau que je désirais depuis des années Molly !

Mon coeur se meurt à cette révélation. J'ai été touchée de pleins fouets au coeur. Je me mutile intérieurement. Je sais en plus que je ne peux rattraper mes erreurs et qu'il est trop tard. Je m'effondre en larmes.

Moi : je sais que mon pardon ne servira à rien !
Bill : pourquoi ?
Moi : parce que ce mot est trop faible par rapport à tout ce que je t'ai fais subir.
Bill : ...
Moi : j'ai comme tu le disais, vraiment été une trainée. Je t'ai pourri la vie. Et voilà ce que dieu me donne en échange.
Bill : on me punirait pour t'avoir dit ça !

Le punir ? Pourquoi ? C'est si mal ou interdit d'aimer quelqu'un et de l'être en retour ? Pourtant il n'y a rien de plus beau au monde qu'un amour réciproque. À cette pensée. Ce fut le choc pour moi. Cette phrase venant d'un film que j'affectionnais me collait parfaitement à la peau. Mais je ne l'ai compris que trop tard. Comme pour christian et satine.
Moi : pourquoi on te punirait ? Ce n'est pas un crime.
Bill : je n'en ai pas le droit.
Moi : parce que je suis une fan ou que je suis dans le staff ?
Bill : non ! Parce que ma vie est bien plus compliqué que je laisse paraître aux fans.
Moi : explique-moi !
Bill : je ne peux pas.
Moi : tu ne m'aides pas !
Bill : parce que je ne veux pas que tu es des ennuies.
Moi : pourquoi ne m'as-tu jamais rien dis pour tes sentiments envers moi ?
Bill : j'ai essayé plusieurs fois. Mais tu n'en faisais qu'à ta tête.

Je n'en fais qu'à ma tête c'est sûr. Pas la peine de me le dire. Je le sais déjà assez. Énervée par ce que j'ai fais. Je me cogne la tête contre la porte un grand coup et pousse un aïe. La serrure de la porte de sa chambre retentit derrière-moi et sans m'y attendre, je tombe à la renverse. Il venait de l'ouvrir. Ces pieds me font mal. Ils ont amortis ma chute. Je le regarde plus bas que terre. Mon peignoir légèrement tombé, laisse apparaître mes jambes. Ce que le chanteur remarque. Mais il avait l'air inquiet.

Non mais m*rde quoi!!! Il a fallut que Bill chiale pour qu'elle le sache.
Elle ne le mérite plus après ce qu'elle lui a fait.


Suite please!!!!!!!!!!!!

O_O
ouah
Bill est dans la merde!



O_O
Molly aussi!
il est vraiment con de lui avoir dit!


Suite?

Suite stp.

Oula, j'espère pour elle qu'elle a pas taper trop fort sur la porte, elle était déjà pas très fute-fute xD
ENFIN!!! Oui, enfin, elle comprend que Bill est amoureux d'elle!! C'est pas trop tôt!! x)

A mon avis, ça va mal se terminer, cette scène, il va être pris de "folie" en voyant ses jambes (nan, mais des jambes, quoi, c'est exceptionnel!! xD et il va se jeter sur elle

Mais bon, ce n'est que mon na'vi (désolée, mais j'étais obligée ^^'), pour savoir la vraie version, il nous faut la suite!!!! =D

Bill : tu t'es fais mal ?
Moi : juste sur le coup ! Mais ça va.

Il me soulève sans que je le lui demande. Je me retrouve face à lui. Il me contemple alors de haut en bas. Ces yeux sont brillants. J'ai envie de le prendre dans mes bras. Mais j'ai peur qu'il me refuse et me gueule dessus. Musique d'ambiance

Moi : ne me regarde pas comme ça !
Bill : pourquoi ?

Parce que ça me gêne sombre idiot. Je baisse les yeux et lui tourne le dos. Je suis prête à partir pour aller me changer dans ma chambre mais il m'attrape le poignet et me force à lui faire face une deuxième fois.

Bill : arrête de me torturer.
Moi : tu crois que je le fais exprès ?
Bill : oui !
Moi : je te rappelle que tu as voulu me couper le bras. Juste parce que tu as pensé que j'avais entendu votre conversation. Hors ce n'était pas le cas.
Bill : j'ai été brutal c'est vrai.
Moi : et tu m'as dénigré.
Bill : aussi ! Mais tu le méritais.
Moi : pas plus que toi !
Bill : je t'en conjure,arrête de me briser le coeur.

Je vais arrêter c'est sûr. De toute façon j'en ai assez fais. Dans un élan d'envie insupportable, je mords ces lèvres. Il en est offusqué.

Moi : je n'aurais jamais du faire ça.

J'engage un départ précipité pour aller dans ma chambre. Il se braque devant moi pour m'empêcher d'y aller. Il m'empoigne avec force. Quand c'est lui ça ne me dérange pas finalement. Parce que ce n'est pas intentionnel. Son regard me perce presque le coeur. Je lui demande tout de même d'y aller moins fort. Mais au contraire, ça me fait serrer encore plus.

Moi : tu me fais mal là.

S'en rendant compte, il baisse le niveau de sa force mais me tient toujours. Puis ces yeux se baissent sur mes épaules. De sa main libre, il met à nue une de mes épaules. Je suis partagée. Je veux partir, mais je suis un peu comme hypnotiser par ces yeux. Une brise se pose sur mon épaule ce qui me fait frissonner. Aucuns mots ne sortent de nos bouches. Il me tire vers lui. Mettant une main derrière mon dos pour pas que je m'en aille. Une autre sur ma joue pour commencer à la caresser.

Bill : molly...

Je ne réponds rien. Il m'embrasse avec ardeur. Je me laisse complètement aller. Un désir vient en moi. Ces gestes deviennent plus imposants. Il m'embarque jusque dans sa chambre pour m'assoir sur son lit tout en continuant de m'embrasser. Il m'allonge, la maison tremble à ce moment là. On ne sent rien. Nous sommes en mouvements. Me faisant des bisous dans le cou. À chaque frisson, je suis presque en train de le griffer bien qu'il porte un t-shirt. Il défait le nœud de mon peignoir. Mais quand ça main descend le long de mon corps et qu'il la pose sur ma cuisse, se rapprochant de ma partie intime. Un flash me revient. Celui d'hier soir, quand ce Ritzer avait tenté d'aller plus loin. De la même façon que bill. Affolé, une larme coule le long de ma joue à se souvenir qui est tout ressent, me fait redescendre sur terre.

Moi : bill NOOOOOON...

Il insiste. Je me débats. Je n'y arrive pas. Il se presse contre moi, comme le faisait Ritzer. Je mets toutes mes forces de mon côté et parviens à le pousser sur le côté. Il a failli tomber sur le sol, il se rattrape. Il est fou de rage. Je peux le comprendre. J'en avais envie. Mais ce souvenir me fait peur. Je me lève d'un coup du lit et recule. Il se dresse et s'approche de moi. Mais je recule encore.

Bill : pourquoi tu me refuses ?
Moi : ...
Bill : tu as autant envie que moi !
Moi : ...

Il perd patiente. Il me gifle. Sous le choc, je me frotte la joue et j'en pleure. Il vient m'attraper par les bras et me secoue comme un malade. Il pète les plombs. Il faut tout de même qu'il me comprenne. Que je ne peux pas. Pas pour l'instant.

Bill : REPOND-MOI AU MOINS !

Mon silence lui fait perdre tous ces moyens et il m'en redonne une autre. Je ne le pensais pas aussi violent.

Bill : TU M'EXASPERES ! SORT DE MA CHAMBRE !

Puis il m'en sort violemment. On se retrouve comme au point de départ. Cette porte nous séparait une nouvelle fois. Je cours dans ma chambre en larmes. Je le désirais aussi. Mais cette chose me retenait. Et j'ai promis à Georg et Gustav de ne rien lui dire. Je ne pensais pas que cette mésaventure me troublerais autant. Je m'enferme dans ma chambre et me jette sur mon lit. Je l'entends injurier et hurler de rage. Je mets mes mains sur mes oreilles pour ne pas l'entendre. Ça me fait encore plus mal.

O_o Punaise. Comment ça a failli dégénérer... Bill vient me violer si tu veux Je t'accueillerai les bras ouverts... hum faut que je me calme aussi moi

Suite please!!!!!!!!!!!!

Billie483-10 a écrit:

O_o Punaise. Comment ça a failli dégénérer... Bill vient me violer si tu veux Je t'accueillerai les bras ouverts... hum faut que je me calme aussi moi

Suite please!!!!!!!!!!!!

Ca serait plus un viol!

Sinon, effectivement, il réagit assez.... violemment!! xD
J'ai hâte de savoir s'il va se calmer (c'est pas gagné...) et si Molly va lui dire la vérité ou si elle va plutôt vouloir honorer la promesse qu'elle a faite aux G's.
Elle a le don pour se mettre dans des situations pas possibles!!!