[T] Hard Romance.

Oh la petite coquine ! Vilaine va !
De quel droit peut-elle lire le journal de Bill.
Mais va t-elle vraiment le faire ou Bill va t-il venir à temps ?
(Genre les questions que je me pose à moi même T.T)

J'espère que c'est pas grave pour l'hospice

Suite (:

Owi le journal, le journal, le journal
Grave j'aurais fait la même, et après Bill va la voir et il va la détester encore plus *_*

"Quand je veux m'assoier elle s'en va c'te connasse" NON DE DIEU !
Cette phrase m'a juste tué parce que j'ai trop revu un pote en train de dire ça x)

Ra j'aime encore plus. A chaque suite ça s'amégliore.
D'ailleurs j'en ai parlé et un ami veut la lire :p

Non rien de grave pour l'Hôpital, petite opération .
Un jour je sortirais cette fiction en film avec les TH dedans tiens, jsuis sure que jouer par eux, ce serait encore plus drôle
Bon aller une petite suite !


» Samedi 25 Mars . 21h30 . Bill's room.

J'avais pris soin de bien refermer la porte et de ne pas m'être fait voir en entrant. Tout était ranger dans sa chambre. Dans ma ligne de mir se trouvait son it, sans perdre une minute, je passais ma main entre le sommier et le matelas ; Un préservatif emballé ( Désespérant...) , Une revue cochonne ( surprennant ! ) , "Comment plaire aux femme" de Steven Andrew ( pathétique.) et enfin, son journal intime. Il y avait écrit "Ne pas lire si tu n'es pas moi. Bill, toi tu peux vu que tu es moi ." sur le dessus. Hésitante, j'ouvris le petit cahier et me mis à la recherche d'informations croustillantes. Je ne trouvais rien sur moi, il y avait surtout des paroles de chansons écrite de sa main... De très jolies textes je dois dire. Et puisje vis mon prénom écrit au verso d'un dessin. " J'ai rencontré une fille qui s'appelle Morgane. Je la déteste." , au fil des pages il parlait de nos aventures mais sans jamais trop donner d'impressions. C'était difficile de savoir ce qu'il pensait vraiment de moi. & puis l'avant dernière page me laissa sans voix.


" Je crois que nous avons beaucoup joué elle et moi . Mais j'aimerais arrêter maintenant et apprendre à mieux la connaître. J'ai eu tort de la détester, je sais qu'au fond c'est une fille géniale bien...Mais elle ne veut pas me le montrer. Elle préfère continuer de me traumatiser et je ne peux que faire pareil... J'ai bien essayé d'être gentil avec elle mais elle est devnue agressive. Alors j'ai recommencé à jouer avec elle. {...} Je n'étais pas sur de vouloir l'embrasser en fait. J'avais peur qu'elle me repousse et c'est ce qu'elle a fait ! Je ne peux pas dire que je l'aime...Mais je dois avouer qu'elle me plait. Et même si elle refuse de l'admettre, je sais qu'elle est dingue de moi".

Je failli m'étouffer de rire à sa dernière phrase ;" Je sais qu'elle est dingue de moi". Ce type est un comique né. Sérieusement, ce petit paragraphe me laissait perplexe. Je savaiis maintenant ou il en était ; au même point que moi. J'avais le choix d'avancer, ou de reculer. Ma peur inconditionnelle de l'amour faisaitt qu'il m'était impossible de faire un pas vers lui. Pourtant...quelque fois, j'aurais bien besoin de savoir qu'il y a quelqu'un pour moi. Mais depuis que j'ai Tom comme ami, il comble mon manque d'affection ,dirons-nous.

- Qu'est-ce que tu fais là ? dit une voix d'un ton sec.

Oh Dieu de Dieu, chapeau melon et botte de cuir, voilà Bill. Il paraissait très très énervé et me fixait droit dans les yeux, ce qui m'obligea à baisser le regard. Je tenais son journal derrière mon dos et priais pour qu'il n'est rien vu.
Il s'approcha si près de moi que son souffle de taureau en charge faisait virevolter mes cheveux.

- Je t'ai demandé ce que tu faisais là, réponds ! ordona-t-il sévèrement.
- J'avais sommeil. J'ai trouvé ton lit...confortable alors je me suis dit que j'allais dormir ici, répondis-je soucieuse de sa réactrion. Ca ne te dérrange pas j'espère ?

Il ne répondit rien et examina tout la pièce de son regard de braise. J'en profitais pour reculer et remettre discrètement son journal en place mais au moment ou je soulevais le matelas, il tourna la tête dans ma direction et se mit à hurler de rage.

- RENDS LE MOI ! Comment t'a osé fouiller dans mes affaires ! s'exclama-t-il.

Je crois que je n'avais plus rien à perdre et je m'ennuyais un peu de cette situation. Alors j'ai idécidé de pimenter un peu la scène en embarquant son jounal sous mon t-shirt et en montant sur son lit ,en tentant tant bien que mal d'éviter ses coups de coussins. J'ai fais quatre fois le tour de la chambre en courrant et esquivant le monstre assoifé de sang ( du mien en l'occurence.), avant de me prendre les pieds dans une corde à sauter, et de m'étaler de tout mon long sur la moquette .Son pied se posa sur mon dos, m'empêchant ainsi de me relever.

- Tu l'a lu ? me demanda-t-il d'un ton anxieux.
- AU SECOUUUUUUURS, hurlais-je dans un élan d'espoir.

Son pied se retira et il partit s'asseoir sur son lit complètement défait ( Morgane Ou la Tornade qui dévastait les lits. ) Il enfouit son visage entre ses mains et me reposa sa question à laquelle je ne répondis toujours pas. Je me relevais et vint le rejoindre en boitillant ( la moquette avait brûlé mes genoux, c'était douloureux ).

- Ca te dérrangerait de répondre ? s'indigna-t-il d'un air ahuri en levant les mains au ciel.
- Bah... Non, je n'ai rien lu, quand tu m'a vu j'étais entrain de le sortir de sous ton matelas.

Il soupira, visiblement soulagé. Pourquoi avais-je menti ? Tout simplement parce que si j'avais dit la vérité, le jeu s'arrêtait. Il aurait su que je savais et j'aurais du m'expliquer, chose que je refusais pour le moment. Je m'amuse tellement avec lui, pourquoi ne pas continuer ? J'aurais le temps d'être aimable plus tard...

Haaa quelle suite j'adore!!!
j'ai encore bien ri!!
suite stp

Menteuse & sadique MDR.

Suite (:

Pour commencer trop de phrases m'ont tué dans cette suite alors je vais te les citer x)

- "Ne pas lire si tu n'es pas moi. Bill, toi tu peux vu que tu es moi ." Mais comment tu peux inventer des trucs aussi débils? Mdr. Franchement je vois trop Bill comme ça maintenant. Tous les memebres d'ailleurs ça va me perturber à Lyon xD

- Oh Dieu de Dieu, chapeau melon et botte de cuir, voilà Bill Alors celle là elle est juste mythique quoi mdr

Voilà c'est vraiment les 2 qui m'ont marqué lol Sinon franchement j'adore ta suite. En plus 2 en une journée c'est trooop gentille =D
Puis on sent qu'il va quand même au final se passer un truc entre les deux mais que pour l'instant il préfère se faire la guerre et ça c'est juste trop bon x)

Moi aussi, j'ai adoré la séquence du journal, et de tous les objets qu'elle a trouvés sous le matelas :3
Suite !

ouh la j'avais du retard!!!!
mais j'ai tout bien rattraper comme une fille très sage!!!
et je dois dire que j'adore cette fic de plus en plus
j'adore la tournure que ca prend
et tes expressions sont juste mémorable!!!!

enfin bref SUITE!!!

Oh non !!!! Tu ne peux pas t'arreter la !!!!!!!!!!!
J'ai tout lu d'un coup SEC !!!
J'ai eu le meilleur ORGASME LITTERAIRE DE L'ANNEE !!!!!
J'ai joui / jubilée / mouillé dans ma culotte tout ce que tu veux mais je VEUX SAVOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRRRRRRR !!!
Pitiééééé poste une suiteuuuuuuuuxxxx !!!

Je veux qu'ils baisent ! Je veux du sexe et de la trahison !!
Allé allé !!!

J'ADORE, j'ADORE : O
Olah, comme je suis accro à ta fiche xD
Dès que j'ai vus que mon ordi marchait et que je suis venue sur la P.O j'suis allée voir tes suites xD

Pour fêter la réparation de mon ordi, je dis... Une suite !

allé allé une suiteuuuuuuuuuuuuuuuuxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx!!!

J'adoooore
suite <3

Voilà une suite pas très passionante, je suis assez crevé et dans le colta comme c'était à prévoir donc pardonnez mon manque d'humour sur cette suite. Bonne lecture quand même

» Jeudi 31 Mars . 11h15 . L'endroit des livres .

Je suis entré pour la première fois de ma vie dans la bibliothèque du Lycée. Je n'ai pas vraiment eu le choix à vrai dire. Hier soir, le néhandertal m'a sérieusement remonté les bretelles et m'a menacé de m'envoyer en Ukraine me prostituer si je ne réussissais pas mon examen de fin d'année. J'ai donc décidé de venir travailler avec Jessica et Lily mais pas à cause de l'Ukraine, j'estimais juste qu'a 19 ans, il était temps pour moi d'enfin sortir de ce goulag . Nous n'avons pas vraiment travaillé pour être franche. On est aller au rayon Anatomie humaine et on a juste bien ri. J'ai même tellement ri que je n'avais pas senti mon portable vibrer dans ma poche. 5 appels en abscence de Bill. Que me veux-t-il celui-là ? & après il ose dire que c'est moi qui est dingue de lui. Laissez moi-rire ! Je sorti de la bibliothèque et rapella le principal intéressé.

Lui ; Enfin !
Moi ; Oui que me voulez-vous ? Nous avions rendez-vous ?
Lui ; Tu m'a piqué mon préservatif...
Moi ; Tu as mis 6 jours à t'en rendre compte.& puis, Arrête moi si je me trompe mais je ne crois pas qu'il te soit très utile ,tu vois.
Lui ; & tes soutient-gorges tu peux me dire à quoi ils te servent ?

Il a quand même était vérifier...Ca devait être un objet de culte pour lui, sans doutes. Pauvre garçon. La sonneire annonçant la pause déjeuner retentit. Je récupéra mes affaires et parti m'acheter un sandwich quelques rues plus loin., comme d'habitude.

» Lundi 4 Mars. 15h50. Il pleut, il vente, c'est la fête à la reinette.

Le vent souffle si fort que je ne peux même pas ouvrir mon parapluie. J'avais enfin fini ma journée de cours mais je devais maintenant aller à L'Hopital pour un certificat médical pour l'examen de sport, vu que mon médecin était parti en vacances aux caraïbes. ( Pendant que moi je pateaugeais entre les flaques.) . Arrivé devant le bâtiment, je m'informa du lieu ou je devais me rendre et me dirrigea vers l'ascenseur. J'ai appuyé une vingtaine de fois pour que cette foutue machine daigne ouvrir ses portes, et quand elle s'exécuta enfin, c'est avec Bill que je me retrouvais né à né. Il fut aussi surpris que moi. Cependant, je ne laissais rien paraitre de mon étonnement et et entrais dans l'appreil.

- Quel étage ? me demanda-t-il.
- Le Treizième.

Voyant qu'il n'appuyait pas sur le bon bouton mais sur celui du dix-septième, je le dévisagea un instant histoire de le faire réagir mais il se contentait de sourire dans le vide tandis que l'appareil montait tranquilement.

- J'ai dis le treizième, t'es sourd ? m'indignais-je .

Comme il ne réagissait toujours pas, je le poussa contre la mur et appuya frénétiquement sur le bouton du treizième étage. Mais il rapliqua aussitôt en faisant de même sur le bouton du dix-septième. La guerre des boutons commença alors, jusqu'à ce que l'appareil s'arrête brusquement et nous laisse dans le noir. Je m'aggripa aussitôt à son bras et ferma le plus fort possible mes yeux pendant que lui, se tenait fermement contre la petite rembarde accrochée au mur de l'appareil.

- T'a cassé l'ascenseur , pleurnichais-je. On va crever ici !
- La ferme, laisse-moi réfélchir , dit-il paniqué.
- Réfléchir à quoi ?! ON VA MOURIR, AU SECOURS, AIDEZ-NOUS !

Je me mis à taper de toutes mes forces contre la porte en espérant que quelqu'un nous entende mais je ne fis qu'aggraver la situation ; L'asecensuer fit un bruit sourd et se mit à chuter sans plus s'arrêter ce qui nous fit tomber à la renverse sur le sol. Heureusement, aujourd'hui ne semblait pas être le jour de ma mort ; L'asecensuer s'arrêta par chance au sous-sol, évitant ainsi une mort iminente en nous écrabouillant.

- Génial Morgane, on est au sous-sol, maintenant on peut toujours attendre pour que quelqu'un nous sorte de là, dit-Bill en donnant un coup dans le mur.
- Non, arrête de taper je t'en prie, le suppliais-je les larmes aux yeux.
- On peux pas tomber plus bas de toute façon ! On est à l'étage des cadavres imbécile.

Je me rassis par terre et serra mes genoux contre ma poitrine. Il faut que je vous avoue quelque chose. D'une, je suis clostrophobe, de deux, j'ai peur des morts. Ma respiration se faisait de plus en plus haletante et mes yeux brouillés de larmes m'empêchaient de distinguer la fine silhouette de Bill. C'est bête, mais je pus m'empêcher de pleurer, j'étais paniquée , et je ne supportais pas de montrer une faiblesse devant mon adversaire.

- Tu vas pas te mettre à pleurer en plus ? dit Bill exaspéré. Oh, Morgane ? Tu pleure vraiment ?
- Bah oui, tu crois que j'ai l'air de rire là ? répondis-je en suffoquant.
- Ah... Tu veux...un bonbon ? Dit-il d'un ton plus doux.

Un bonbon ? Il m'a pris pour une gamine de 5 ans, ou quoi ? De plus je parie qu'il l'a léché avant de me le tendre. J'ai donc bien évidement refusé son cadeau empoisoné. Je pris une grande inspiration et sécha mes larmes. Bill me regardait, il semblait inquiet.

- Bon, je vais m'asseoir à côté de toi et on va...attendre que quelqu'un vienne nous ouvrir. D'accord ? Me demanda-t-il d'un air embêté
- Ai-je vraiment le choix ? N'empêche, si tu avais appuyé sur le bon bouton, on en serait pas là...
- Morgane, si tu n'était pas aussi pâle qu'un cul, je t'aurais probablement étripé, alors tais-toi tu veux ? s'indigna-t-il, ce qui me fit pleurer de plus belle .

Oui je SAIS , parfois je pleure inutilement mais vous savez, ce n'est vraiment pas drôle d'être coincé avec une personne à qui on n'a rien à dire. J'étais vraiment mal à l'aise et j'avais une faim atroce. Il était maintenant 17h00, cela faisait une heure que nous étions bloquer et j'avais loupé mon goûter. Quelle poisse ! Bill semblait déconnecté du monde réel depuis un bon quart d'heure, pendant que je me rongeais les ongles jusqu'au sang.

- Arrête, c'est insuportable ! s'exclama-t-il en relevant brusquement la tête vers moi.
- De quoi ? demandais-je innoncement.
- De te ronger les ongles, j'ai horreur de ça, tu peux pas savoir à quel point. C'est malin, en plus tu saignes maintenant, dit-il en se passant un main sur le front en signe d'exaspèrement.
- J'ai l'habitude... & puis si t'es pas content ,trouve moi une autre occupation parce que je m'ennuie comme un rat mort là !
- Ok, tu as mon préservatif ?
- Hein ? Oui pourquoi ? demandais-je méfiante.
- Tu veux une occupation ? Dit-il en souriant. Eh ben on va baiser, enlève tes fringues, ordonna-t-il.

J'ai cru que ma tête aller exploser tellement mes joues s'étaient emflamées. C'est comme si j'avais eu la tête pleine de sauce tomate en ebullition. Il s'approchait lentement de moi, tout en souriant perversement, tel un tigre s'appretant a bondir sur sa proie...

- Morgaaaane, tu as peuuur ? Dit-il d'une voix sensuelle.

J'avais envie de lui dire ; " Vas-y saute-moi dessus, arrache moi mes vêtemenst et prend moi sauvagement ! ". Mais je me suis contenté d'hurler.Parois mon cerveau n'est pas complètement connecté avec le reste de mon corps. Dommage.

Ouais va y Bill saute lui essus et arrache lui ses vêtements xD
P'tetre qe lui aussi il a un rayon de 10 (a)

N'empêcche j'aurais jamais pensé que tu ferais dire un truc comme ça à Bill, je kiiiiiff.

Même dans le coltard tu écris des bonne suite :p

Merci d'avoir fait cet effort en tout cas, et hate de savoir la suite de l'asdcenceur, j'espère que ça durera longtemps comme ça ils auront le temps de se découvrir (dans les 2 sens du terme mdr)

moi j'espere qu'il fera durer encore le suspense !!! Comme ca il pourra lui sauter dessus une prochaine fois mais de facon plus agressive !! Et aussi avec un zeste de gros sentimental qui couche pour la 1 foiiiiis
Suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ^^

elle aurait du dire oui roooh qu'elle idiote
allez suite please

Ça fait pas gogole hein le fait d' hurler à la gueule d'un mec que tu trouves vachement sexy et qui te chauffe xD
J'attends la suite x)

bah ouiiii une suite quoiiiii <3

Allez voilà une petite suite pour vous. n.n


» 19h20 . Oh Régis, pourquoi es-tu Régis. ?

Tandis que le lion en rute se rapprochait dangereusement de moi, je remarquais ses yeux excessivement rouge. Je réalisais tout à coup que quelque chose clochait, il n'était pas dans son état normal.

- Bill, qu'est-ce que t'es venu faire à l'hopital ? Lui demandais-je en reculant légèrement.

Il se raidit et soupira tout en se frottant les yeux puis se mit à me fixer d'une drôle de façon.

- Pour mes allergies au Pollen, je viens de tester un nouveau traitement, dit-il en souriant bêtement.

C'était donc ça. Tout s'éclaire Albert ! Il était simplement défoncé à la cortisone... Même si je savais que je ne le laissais pas indiférrent, ce n'était pas du tout son genre de sauter sur une fille dans un ascenseur en panne...Bien que ce soit très excitant quand on y réfléchit et que mon cerveau ne cessait clamer " Oui oui oui vas-y Francky ! ". Finalement, le dégénéré sexuel finit par s'endormir sur mon épaule. Je vous jure, il était si mignon. J'ai sorti mon portable et l'ai pris en photo. Un petit filet de bave coulait le long de sa joue, c'était si mignoooon ! Il me faisait fondre . Son air innocent, faible, impuissant m'attendrissait plus que je n'aurais pu le croire. Je commençais moi-même à m'endormir lorsqu'une voix me sortit de ma rêverie.

- Il y a quelqu'un ? Je m'apelle Régis, je vais vous sortir de là, ne paniquez pas ! dit une voix très masculine ( une voix de Régis quoi.Vous voyez le genre ? )

Je réveilla Bill qui semblait encore affaibli. Je l'aidais à se relever et à sortir de l'ascenseur tandis que notre Régis National tentait de rentrer son bidon plein de bière à ma vue. Désolée Régis, je ne suis pas intéréessé, tu peux relâcher maintenant, tu vas finir par faire un malaise. Je ne pouvais décément pas laisser cette pauvre petite chose innofensive rentrer seule chez elle ( Pas Régis, Bill ,hein. ) . Ce n'est qu'à 20h00 que nous sommes arrivés. Tom nous ouvrit la porte d'un air surpris.

- Tu lui a lobotomisé le peu de cerveau qui lui restait ou quoi ? Demanda Tom avec de gros yeux ,en observant son frère complètement raide.
- Non, on s'est croisé à l'hopital alors qu'il venait de tester un nouveau traitement contre son allergie au Pollen ,on est resté coincé dans l'asecenseur deux bonnes heures et il a finit par vouloir me violer mais Régis est arrivé et nous a délivré, maintenant je meurs de faim alors je vais aller jeter un coup d'oeil dans ton frigo si ça ne te dérange pas, dis-je d'un trait.

Pendant que j'examinais le réfrigirateur blindé des Kaulitz, Tom tentait tant bien que mal d'installer son frère sur le canapé. Je les entendais depuis la cuisine se prendre le choux. Tout en savourant mon yaourt , je contemplais la scène. Tom avait une jambe sur l'épaule de Bill qui se débattait en mençant Tom de lui éternuer dessus. Pathétique, comme d'habitude.

- Bill, tu me les casse là. Si tu reste pas assis, je t'assome, tu piges ? s'énerva Tom.
- Enlève ta jambe, tu pue de la jambe sans déconner, s'exclama Bill.

Je vins les rejoindre au salon et m'installa sur le canapé, à côté de Bill qui s'endormait peu à peu sur mon genoux. De nouveau il bavait. Mais cette fois-ci ce n'était pas du tout "mignon" car en plus de ça, il commençait à ronfler. Tom alluma proposa de faire du café, ce qui ne fus pas de refus. Ce n'est qu'un quart d'heure plus tard qu'il revint.

- T'a été le chercher en Colombie ton café ou quoi ? m'exclamais-je.
- Nan j'ai été couler un bronze. Parle pas trop fort, tu vas réveiller petit Billou. Il est pas mignon comme ça ? Plaisanta Tom.
- C'est pas sur ta jambe qu'il bave ,alors il est tout sauf mignon là, tu vois.
- C'est clair qu'il ne peut pas être aussi mignon que moi mais bon, il est quand même trognon ce petit chaton !

j''écarquillais les yeux. Ils se défonce à quoi lui ? Opium ? "Petit chaton". Bah attendez je vais vous laisser faire vos cochonneries entre frangins, moi j'ai cours demain. Une vision m'apparue soudain ; Tom et Bill dans un même lit entrain de s'apeller 'Mon chatounet' tout en se carassant les poils du dos. Quelle horreur.

- Tu m'aide à le monter dans sa piaule ? me demanda Tom.
- Ouaips, dis-je en me dégageant de la petite marmotte.

» 20h56 . Mission accomplie.

J'ai l'impression d'avoir déménagé un canapé. Vous n'imaginez pas ce que c'est de transporter un chatounet dans des escaliers. De plus j'ai un sérieux problème avec ma droite et ma gauche alors quand Tom me donnait des indications sur la façon dont tourner la bestiole endormie , j'ai eu quelques soucis. Mais nous sommes finalement arrivés à déposer chatounet dans son petit panier douillet. ( Son lit ,quoi.)

- Je vais lui chercher son pyj', je reviens, sifflota Tom en se dirrigeant vers la salle de bain.

J'observais la belle au bois dormant ronflante. Il n'arrêtait pas de pousser des petits gémissement, ce qui me faisait sourire. Je m'assis près de lui et le contempla pendant que Tom se battait contre le panier à linge dans la salle de bain en maugréant ; "Si je le trouve pas,Il dormira à poil et puis voilà ! ".

- Morgane ? M'apella Bill d'une petite voie toute endormie.
- Heu, oui ?
- Tu veux bien rester avec moi ? J'ai la gerbe.
- Charmant. Non je peux pas je dois rentrer chez moi. Mon vieux va me défoncer.
- Allez steuplait ,me supplia-t-il en me fixant avec ses petits yeux rouges.
- Je crois que là ,tu es encore sous l'emprise de ton médicament et que si je reste, demain matin en te réveillant, tu risque de faire une crise d'epilepsie en me trouvant dans ta piaule alors je vais t'éviter ça comme je suis de bonne humeur ce soir et je vais sagement rentrer chez moi.
- Morgane, dit-il en se redressant légèrement, c'est Bill qui te parle là, je suis moi et je te demande de rester.

Après une petite minute de réflexiion intense ( ok, intense n'est pas le mot mais... merde. ) je compris que Bill était enfin sorti de son vieux délire et qu'il était absolument sérieux dans ce qu'il disait. Il me demandait de rester.