[T] Ma vie ordinaire ne l'est plus

Sans que je demande quoi que se soit, il part dans la salle de bain. Je me prépare pour partir vu que lui n'est plus là. Je tourne la poignet quand une main défait les boutons de ma chemise, ses lèvres parcourent mon coup. Je me retourne avec mes mains sur son torse. Il arrive à se défaire, pour me prendre dans ses bras. Il me fait encore boire un verre puis deux. Je sens que ma tête tourne de plus en plus. Bill me parle cependant je ne comprends pas tout ce qu'il dit.


Je finis par sceller par un baiser, ses lèvres sont si douce, ses lèvres contre les miennes. Ses mains qui caressent ma peau sous les vêtements donc pas grand chose à toucher vu que je suis habillée serrer, trop difficile. Il retire cette chemise qui me colle à la peau. On se glisse sous les draps. Je me retrouve en califourchon en train d'embrasser son torse de haut en bas.

Pas de temps de répliquer quoi que se soit, il nous fait basculer, il se retrouve sur moi avec les yeux bruns dans les miens. Ses mains qui retirent son pantalon tout en me regardant. Je ne peux rien dire, en même temps, sa me dérange pas du tout, j'aime bien cette vue. Certes il est mince mais musclé, ce qu'on ne sait pas forcement. Je caresse son bassin jusqu'à sa tête. Il me retire le bas de mes vêtements. Par contre pour ma culotte vient d'être tuer, il arrache complément ma culotte d'un geste brutal.


Je ne dis rien parce qu'il a très envie c'est pour ça qu'il est brusque avec ses bouts de tissus. Il passe un coup de langue sur cette partie de mon corps. Il remonte et libère ma poitrine compresser dans se soutient-gorge. Il passe sa langue et suce cet endroit. Il commence et recommence. Je m'assoie en le bougeant un peu. Il vient m'embrasser mon coup, je reste paralyser, mon point faible. Il se passe encore en dessus de moi, il m'écarte les cuisses. Après avoir explorer avec mon doigt, il rentre en moi avec sa virilité. Je pousse un crie de plaisir et je ne suis pas la seule. Bill fait des vas et viens en s'arrêtant pas une seule fois.

Il me donne encore des coups encore plus fort, plus vite. Les baisers sont échangés. Les corps en sueur bougent encore. Des caresses parcourent les corps. Des regardes expriment le désir de chacun. Un dernier coup de rein, des cris beaucoup qui déclarent le plaisir, et un peu de bonheur. Je reste dans cette position, j'ai presque plus de force et Bill non plus. Il prend le peu de force qu'il lui reste pour faire quelque mouvements de bassin. Il m'embrasse encore alors qu'il part de mon être, il s'allonge à côté de moi. Je suis dans ses bras, je ne peux plus bouger et en même temps je ne veux pas bouger. Je sens son souffle dans mon cou et quelque baiser de temps en temps. Je m'endors petit à petit dans se paradis limité.