[T] « Elle mentait très souvent. »

Oh làlà !

Vite une suite
J'veux savoir

Chapitre 19 : Le sillage d’une larme. Jaugeant la ville du haut de cette immense tour de fer, elle pria pour ses amis de la nuit, et sauta.

«  Marie. » murmurais-je.
« Et pourquoi cette valise ? » demanda-t-il, alors.
«  Je vais dormir quelques temps à l’hôtel et j’improviserais par la suite. » expliquais-je en me relevant.
« Tu peux dormir dans ma chambre, il y a assez de place pour deux personnes. » proposa-t-il soudainement.

j'acquiesça et on marcha tous les deux jusqu’à son hôtel.
Pendant ces quatre mois, Bill était partit durant quelques semaines pour continuer ses concerts à travers le monde. Léna, pour sa part, avait modéré ses remarques envers lui et semblait même capable de se montrer de bonne humeur en sa présence. Tout, pendant ces quatre mois, s’étaient transformé en une agréable routine. Je me complaisais dans les visites nocturnes de Bill et les journées en compagnie de Léna. J’aimais tout simplement ma vie, si bien, que je n’avais pas fais attention à celle de ma sœur.

« Tu veux manger quelque chose ? » demanda Bill en ouvrant la porte de sa chambre.

Je lui répondis d’un signe de tête négatif.
Je me revoyais immobile, les regards pesants de mes parent sur moi. La sirène retentissant au loin et les lumières se reflétant par à-coups sur les murs. J’avais été comme hypnotisée, incapable de dire le moindre mot, de faire le moindre geste et de verser la moindre larme.

« Que s’est-il passé ? » demanda-t-il, enfin.
« Ma sœur était malade. Ces derniers temps elle s’est beaucoup affaiblie, mais j’ai tellement été égoïste. Je ne lui accordais presque jamais de mon temps, alors que j’étais au courant. Je savais qu’un jour… » je laissa ma phrase en suspend pour prendre une grande aspiration.

« Quel était le nom de sa malade ? »
« Les gens qui ont cette maladie en meurent quand ils tombent amoureux. » déclarais-je.

Il resta silencieux. Face a sa soudaine gêne je m’empressais de rajouter :

« Je plaisantais. C’est une maladie génétique, ma mère en est morte lorsque j’étais très jeune. Je n’ai pas vraiment de souvenir d’elle, si bien qu’aussi loin que je ne m’en souvienne, j’ai toujours appelé la deuxième femme de mon père « maman » » racontais-je en évitant son regard.

J’attendis quelques secondes, le temps qu’il encaisse toutes les informations que je lui avais céder.

« Mon père et moi sommes les seuls survivants. Et tu sais ce que cela veut dire ? Ca signifie que j’ai hérité des gènes de mon père, c’est la raison pour laquelle je ne suis pas comme Léna. Mes cheveux ressemblent à de la paille, je n’ai pas de poitrine, ni de hanche. Je suis devenue cette fille si peu féminine, à cause de ça. » continuais-je.

Je me suis alors mise à sourire :

« Mais bientôt tu verras, je grandirais et je deviendrais bien plus féminine. Je serais même plus jolie que Léna, tu verras. Et un jour tu te diras, « Qu’est-ce qu’elle est jolie, j’aurais dus l’embrasser lorsque j’en avais l’occasion » . Oui, c’est ça. Lorsque tu partiras loin de Berlin, un jour, on se recroisera et ce jour-là je porterais une jolie robe rouge sang courte et révélatrice, rien que pour toi. Et… et ce même jour tu … non, rien. »


Lentement, je mis ma tête sur son épaule avant de soupirer.

« Tu aimes Léna, n’est-ce pas ? » demandais-je dans un souffle.

_________________


Alalala, mes amies, si vous saviez ce qu'il s'est passé pendant ces quatre mois... Aaah, mais vous allez savoir, bientôt ! : D
Vous êtes arrivés à la moitié de ma fiction , tout va bientôt se dénouer ; __ ;

OUHLALA Elle a pas peur Céleste !
Punaise viiiite une suite <3

Oh ! Trop bien !
J'adore comme elle est Cash ^^

Suuuuite =D

Chapitre 20 : Ma sincérité artistique. L’arme a craché ses poumons brûlés, par la guerre sa vie s’en est allée.

« Pourquoi tu souries ? »
« parce-que je pense à mon avenir. J’envisage pour la première fois une vie future. » répondis-je.
« Ah… elle ressemblerait à quoi ta vie future ? » demanda Bill, cherchant au passage dans son armoire une tenue à se mettre.
« Je me vois photographe. Je voyagerais à travers le monde pour prendre des clichés de milliers de visages. » répondis-je d’un air rêveur.
« Et… je serai là ? Enfin je veux dire, tu crois qu’il y’aurait un peu place pour moi dans ta vie future ? » demanda-t-il en s’emparant distraitement d’un blouson en cuir noir.
« Bien sûr. » répondis-je aussitôt.

Une pensée me vint aussitôt et je m’empara d’une enveloppe posée dans ma valise.

« tiens. » dis-je en la lui tendant.
« Oh, merci. »

Il l’ouvrit sans attendre et observa les photos en format A5 une par une. Pendant une seconde, aucune émotion ne vint éclairer son visage alors je devinais qu’il critiquait mentalement son travail.

« C’est très beau, Bill. » déclarais-je.
« Pas plus beau que tes clichés. » soupira-t-il.
« Je pense que si. J’ai perdu « ma sincérité artistique », depuis que je me suis imaginée faire ce métier. Tu comprends ? Maintenant, je pense à ce que veulent voir les autres, et j’oublis ce que moi je veux voir. C’est-à dire que ce que je prends en photo n’est pas mon reflet, il n’y a plus rien de moi dans ce que reflète mes photos. Elles sont si vides et fades que je n’ose même plus les regarder. »
« Tu ne penses pas plutôt que c’est toi qui ne veut pas que tes photos te reflètent ? »
« Ou peut-être que j’aime tout simplement montrer aux gens ce qu’il veulent voir au détriment de ma sincérité. » répondis-je.

« Je sais que tu me mens. » . C’est-ce que j’avais envie de lui dire, de lui crier même. Mais ce n’était pas ce qui m’agaçait le plus, la question qui me hantait était tout simplement « pourquoi ? ». Pourquoi me mentaient-ils ? Et puis, comment être sincère avec une personne qui vous mens ? J’avais compris depuis le soir où il n’avait pas répondu à ma question. Il aimait Léna. Mais pourquoi me mentir ? Pourquoi faire semblant de ne rien éprouver ?

« Je vais m’inscrire à un concoure de photographie. J’ai besoin de mettre à l’épreuve mon talent, tu veux y participer aussi ? » demandais-je.
« Je ne sais pas si j’ai le temps… » hésita-t-il.
« On n'y consacrera qu’une journée. » l’encourageais-je.
« Très bien, si tu y participes, je veux bien. C’est anonyme ? »
« Bien sûr, la photo gagnante sera simplement mise en ligne sur leur site et l’auteur recevra un nouvel appareil photo. Le prix n’a pas d’importance, c’est simplement pour voir si on peut gagner. » expliquais-je en me levant du fauteuil pour le suivre dans la salle de bain où il commença à se coiffer.
« D’accord. Et si on partait en dehors de Berlin ? On choisira un thème ensemble. »
« C’est une bonne idée. Je suis libre dimanche, ça te va ? » demandais-je.
« J’ai une émission de télévision à laquelle je dois participer. Que dis-tu de mercredi, plutôt ? »
« D’accord. »

« Pourquoi tu me mens ? ». Cette question me brûlait les lèvres et embrouillait mon esprit. Pourtant, j’affichas un semblant de sourire et acquiesça, le plus affligeant était qu’il ne semblait même pas se rendre compte de ma fausse sincérité.

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Fafounette -> CHUUUUUUTTTTTT ! xD

Bon, je viens de calculé à peu près il y aura environs 30/40 chapitres. Vous tiendrez le coup ? xD

Ça fait environs encore 20 à 30 pages world, bientôt la fin donc. Le dénouement finale ; ___ ; . Mais je ne l'ai pas encore écrit ! Tout est dans ma petite tête , donc je peux changer d'avis du jour au lendemain : p

Excellent !

J'veux une suuite Miss japan

20 à 30 pages Word, c'est tout ? =O
J'en écris en moyenne 25 par jour entier devant mon PC, des pages Word, je suis sûre que tu peux faire un effort x'D

fafounette a écrit:

Mais il sort déjà avec Lena !
J'en suis sûre !
Suite !

Idem!

Change d'avis, fais plutôt 200 chapitres, va
Allez la suite <3

Une souiite ! Une souiite !
Ta fic' est trop addictive x)

Encore en tête de page x)

Et moi, je dis 483 chapitres x)

Excusez-moi pour l'attente, mais j'ai modifié des petites choses dans les suites qui viendront pour justement rendre la fic plus longue ! : D

Je met la suite demain, je vais me couché là, je suis creeevée. :/

Cooool tu l'a rallongée
Bon bah Bonne nuit et vivement la suite alors <3

J'ai rattrapé tout mon retard !

Oh, oui, allonge, allonge, allonge et allonge encore ta fic.
J'adore x)

Et je pense aussi que Léna et Bill sont ensemble. : O

ChapitrePartie 1, 21 : Le jour d'une naissance. Quelques sons oubliés avaient recommencé à grésiller dans son crâne, comme le vibrement d’un diapason déformé, qui prélude à une musique de fin de monde.

« C’est l’anniversaire à Léna, aujourd'hui‘hui. » déclarais-je de façon tout à fait détachée.

Ce matin là, j’avais passé la plus grande partie de mon temps à nourrir mes pensées. J’avais dus essuyer d’un revers de main quelques tentatives ratées de photographies, supporter le poids du regard suspicieux de Tom durant de longues heures et oubliées les déceptions réitérées de ne pouvoir obtenir un simple sourire amical de Georg. J’avais donc passé une matinée difficile et désagréable. Comment aurais-je pus la qualifiée sinon ? Une perte de temps totale à être restée pendant leurs interviews, mais c’est qu’il est parfois difficile de mettre des mots sur ses attentes. Alors que pouvais-je espérer d’autres de la part de Bill ? Une présence quasi-totale ? Ce n’était pas possible. Obligation professionnelle, bien sûr.

« Tien, je suppose que tu ne le savais pas. » continuais-je en lui tendant un paquet enroulé d’un ruban rouge. « C’est une robe. » précisais-je.
« Je… je suis complètement honteux, je ne savais pas que c’était aujourd’hui. Tu me sauves la vie, Céleste. » dit-il en contemplant le cadeau. « Mais toi, tu en as un autre pour toi ? » demanda-t-il soudainement.
«  Oui, j’ai acheté un livre et ses macarons préférés. » répondis-je.

Comme prévue, dans l’après-midi, le service de l’hôtel accueillit Léna et elle toqua à la chambre. Tandis que Bill était occupé à retoucher son maquillage j’ouvris la porte pour accueillir mon amie. Aussitôt, elle me fit un grand sourire et entra sans attendre.

« Joyeux anniversaire, Léna. » chantonna Bill en nous rejoignant.
« Tu as pensé mon anniversaire ? » s’étonna-t-elle.
« Il t’a même acheté un cadeau. » enchainais-je pour éviter à Bill de répondre à cette question.

Bill tendit le cadeau à Léna tandis que j’en fis de même avec le mien. Pendant ces quatre mois, Léna avait quelque peu changé, elle avait coupé ses cheveux aux niveaux des épaules et s’était fait une frange droite qui accentuait élégamment son regard.

« Oh ! Merci, Céleste. Je cherchais ce livre depuis des mois, tu as vraiment dus te casser la tête pour le trouver. » s’exclama-t-elle en me serrant dans ses bras.

Ces derniers temps, elle semblait d’humeur plus joviale. Je la surprenais même de temps en temps à aider d’autres personnes qu’elle. Ce que Léna n’avait jamais vraiment fait de bon cœur auparavant. Non pas qu’elle soit réellement méchante, mais la gentillesse gratuite n’était vraiment pas pour elle, d’habitude. Comme elle le disait souvent «  Quoi de plus ennuyeux que des personnes gentilles ? C’est vrai, quoi. On ne peut jamais rien leur reprocher, c’est tellement ennuyeux de n’avoir rien à dire de méchant sans éprouver de regrets. ». Avait-elle soudainement décidé de devenir l’une de ces personnes « ennuyeuses » ?

« Oh… je… Bill, c’est le plus beau cadeau qu’on m’ait offert. » murmura-t-elle, en hésitant sur l’attitude qu’elle devait avoir. Léna hésita un instant, et puis finalement se décida à prendre Bill dans ses bras.




Plus tard dans la soirée, après avoir mangé son gâteau d’anniversaire, Georg intégra la mini-fête organisé pour Léna. Une fois n’est pas coutume, Georg m’adressa un sourire. Il semblait détendu, même. Peut-être finirait-il par avoir confiance en moi.
Ce fut vers les deux heures du matin, que la fête dut s’interrompre car le service de l’hôtel toqua à la porte en nous demandant de couper la musique. Les aux revoir ne se firent pas attendre, et peu de temps après alors que je m’étais approprié le canapé, j’entendis Bill me demander :

« Quelle était la signification de cette robe, pour qu’elle soit aussi heureuse ? »
« C’est la toute première robe qu’elle a conçut, elle l’a créer peu après notre première rencontre. Elle voulait travailler dans la mode, et tout semblait bien se dérouler puisqu’elle réussit à vendre quelques unes de ses créations sur le net. Aujourd’hui, elle couds encore, mais semble ne plus éprouver autant de plaisir qu’avant et ses créations actuels ne valent pas ses toutes premières. J’ai retrouvé sa robe totalement par hasard dans une petite boutique et j’ai décidé de l’acheter. » racontais-je, tandis que je fixais le plafond, allongée sur le canapé.
« Et pourquoi ne lui as-tu pas offerts toi-même ? »
« Parce-que je savais que c’était un cadeau d’une valeur sentimentale inégalable pour elle. Et puis…

Je laissa ma phrase en suspend quelques secondes.

Et puis je sais que l’aimes. » terminais-je d’une voix grave.

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Oh, mon Dieu, j'ai oublié de vous mettre une suite, hier ! OO
Désolée pour l'attente... Humm, bon, j'en met deux d'un coup pour me faire pardonner : D

Chapitre Partie 2, 21 : Le jour d'une naissance. Quelques sons oubliés avaient recommencé à grésiller dans son crâne, comme le vibrement d’un diapason déformé, qui prélude à une musique de fin de monde.

« C’est quand ton anniversaire ? »

La question était tombée de manière inattendue, alors que je nettoyais les objectifs de mes appareils photos. Tom nous surveillant du coin de l’œil tout en continuant à jouer de la gratte. A vrai dire, j’appréciais la mélodie qu’il jouait depuis 10 minutes mais à force ça en devenait lassant et je me demandais même s’il ne le faisait pas exprès.

« Ne t’inquiète pas pour ça. Tu devrais seulement penser à Léna. » répliquais-je gentiment.
« Tu sais, avoir une relation n’est pas le seul moyen d’être amoureux. » répondit-il.
« Hein ? »
« Un amour à sens unique est de sa propre façon un amour complet…. Et puis de toute façon, Léna partira à l’étranger après avoir obtenu son diplôme, c’est-à dire dans quelques mois. » soupira-t-il.

Depuis notre conversation d’hier soir, tous les mystères s’étaient éclaircies, et toutes les confessions avaient été faites. Oui, il aimait Léna. Mes doutes avaient été confirmés. Pourtant, ils n’étaient pas ensemble. Le malaise qui s’était installé entre eux était dus à une remarque de Léna faite à Bill lorsque je n’étais pas là. Une simple petite remarque qui l’avait fait douter des sentiments qui l’éprouvait pour elle. « Tu ne sais pas qui je suis réellement, ni ce que je pense. Je ne suis peut-être pas celle que tu crois. » m’avait répété Bill en imitant la voix de Léna.
Quant-à moi dans l’histoire ? Je lui avais fais comprendre que je n’éprouvais pas seulement de l’amitié pour lui.

« C’est le raisonnement d’un lâche. » soufflais-je.
« Non. C’est juste que nous ne sommes pas obligés de mettre un terme à notre amitié, pour une relation dont je ne suis même pas sûr. »
«  Alors offre-moi un cadeau. » souriais-je.
« Quoi ? »
«  Un cadeau d’anniversaire » précisais-je.
« Bien sûr, tu veux quoi ? » me questionna-t-il.
« Un baiser. »
« Tu ne veux pas autre chose ? »
« Non. » répondis-je, d’une voix assurée. « J’ai pensé au thème « des amoureux » pour ma photo, je voudrais que tu sois mon autoportrait avec moi. »
« Pour le concoure ? » demanda-t-il.
« Oui. »
« Comme un modèle pour un photographe, donc ? »
« Oui. » répétais-je.
« C’est d’accord. C’est quand ton anniversaire ? »
« Je le fête, après-demain. » souriais-je tandis qu’il fit de gros yeux étonnés.



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Vous savez quoi, je vais vous confier un truc... Quand ça devient sentimental je m'arrange toujours pour qu'il y'ait un événement qui change tout ça... haha.

NOON Jveux que Bill reste avec Léna ;_;
( Bah quoi ? -o- ). Mais bon, j'aime, j'aime, j'aime <3

J'adooore <3
Mais qui finira avec qui ? * Suspens *
Suite ! ^^

suuuuuuuuuuuuuite !! ♥