[T] « Elle mentait très souvent. »

haaaaaaaaan je veux la suit

Je suis dégoutée pour elle quand même... La pauv' fille... J'espère que ça ne marchera pas entre eux pour la peine et qu'il va amèrement regretter ! !

SUIITE !

Chapitre22 : Un nouveau départ.. Le silence est le bruit des cœurs sourds.

« Avance, encore ! » criais-je.

Il m’obéit et avança d’un pas.

« Tourne-toi un peu vers la gauche, la lumière fait de l’ombre sur ton visage. » criais-je à nouveau.

Une fois de plus il m’obéit.

« Stop ! Arrête-toi, c’est parfait. »j’enclencha le retardateur de l’appareil photo et courus vers lui avant de poster face à Bill. « Tu es sûr ? » lui demandais-je.
« Oui, oui. C’est juste un simple baiser de photographe après tout. »


Je lui fis signe de se taire pourtant il continua à parler :

« C’est moi… ou tu as grandis depuis la première fois qu’on s’est rencontré ? »
« Tu ne t’en rends compte que maintenant ? Je t’avais pourtant bien dis que je prenais des médicaments pour ma croissance. » marmonnais-je.


Le paysage sembla se figer, ou peut-être étais-ce tout simplement parce-que toute mon attention était portée vers lui. Je ne sais pas vraiment, j’attendais simplement qu’il se rapproche de moi. Il ne parlait pas, il ne faisait que me regarder et moi , en jeune fille courageuse, ce fut moi qui fit la premier pas. Tous les clichés du fameux baiser de photographe furent brisés alors que mes lèvres se rapprochèrent des siennes. À contrejour de la faible lumière du soleil, son profil se dessinait très clairement et pendant un instant j’aurais juré voir ses yeux briller. Son baiser était délicieux et me faisait chavirer. Le flash de l’appareil nous aveugla une seconde, et pourtant il continua. Ses deux mains se posèrent sur mes joues et après un nouvel échange il interrompit le baiser avant de me sourire.

« J’espère que tu gagneras le concoure avec cette photo. » murmura-t-il.
« Oui… Dis, il n‘y avais finalement pas eu un petit d‘amour dans ce baiser ? » demandais-je, anxieuse.


Bill se figea. Encore une fois. Gêné ? Je ne sais pas. Alors je dus précisé précipitamment :

« Je plaisantais, Bill. »


C’était bizarre. J’avais eu un baiser, mais ce n’était pas… comme je me l’avais imaginé. Il me manquait réellement quelque chose.

« Tu devrais retourner voir ton groupe. »
« Ouai, ils doivent m’attendre pour répéter. On ferait mieux de retourner à l’hôtel. »
« Vas-y, toi. Je te rejoindrais un peu plus tard. »
« Très bien. A ce soir. » fit-il.







La répétition s’était bien passée. Tom semblait de bonne humeur, ce qui était rare ces temps-ci. Le soir même, il sortit tôt accompagné d’une jolie brune. Alors que pour ma part, j’étais resté une fois de plus cloitré. C’est en poussant un soupire que je pris une poignée de chips, quand je me rendis compte que quelque chose clochait.




Mon cœur rata un battement. Elle ne pouvait pas être partie aussi soudainement. Elle ne pouvait pas disparaître du jour au lendemain. Elle ne pouvait pas…
Pourtant, je dus me rendre compte qu’à l’évidence, Céleste était apparue soudainement dans ma vie alors peut-être étais-ce normal qu’elle s’en aille tout aussi soudainement ? Non ! Non, ce n’était pas normal. Une amie ne peut pas faire ça ! La seule personne qui connait tous d’elle, c’est Léna. Elle devait sûrement savoir où était partie Céleste.

« Je suis désolée, je ne sais pas. »
« Je ne te crois pas, Léna ! Si tu ne savais vraiment pas où elle se trouve, tu ne serais pas aussi calme ! C’est ton amie, après tout… »
« Oui, c’est mon amie. Mais je ne sais pas où elle est partie. La seule chose dont je suis sûre, c’est qu’elle reviendra me voir, un jour. Tu sais, c’est vraiment pas malin la manière dont tu agis. Maintenant qu’elle a décidé de tout quitter, c’est là que tu te rends compte de sa valeur. »



Elle avait raison. Mais pourtant, je m’entêtais à ne pas vouloir la croire.

« Ah, au faite. J’ai eu mon diplôme, ça a été difficile, mais je l’ai obtenu avec mention. Je pars dans trois semaines direction Tokyo, je chercherais un emploie sur place. » s’exclama-t-elle avec un grand sourire.




__________________________

J'ai dus précipité un peu la fin, parce-que je déménage à la fin de la semaine, et j'aimerais termine la fic avant. Parce-qu'après je ne sais pas dans combien de temps j'aurais internet de nouveau. : O

Bref, vous vous demandiez avec laquelle Bill finira... Et s'il perdait les deux ?

Haaaaaaaaaan j'aime, je veux savoir !
Suite x)

Wooh pourquoi elle est parti Celeste ?!

NON il perd pas les deux ;_; Enfin la en fait, jsuis sure qu'il perdra Lena ,Céleste, je sais pas T.T Suite <3

suite suite suite ?

Oh non, non, il peut pas perdr eles deux, c'est pas possible ><
Suiite !!

HeatherxHoggan a écrit:

suite suite suite ?

Oui, oui, oui x) La voilà

Chapitre 23 : L'immensité du vide. Pourquoi devrais-je marcher seule ?

Trois années entières se sont écoulées. Sans nouvelle, sans une lettre, sans un coup de téléphone. Pour être honnête après à partir de la deuxième année d’absence de Céleste, le vide qu’elle avait laissé commençait à se combler. Les concerts, les émissions de télévision, les séances photos, toutes ces activités ne me laissaient pas le temps de la regretter. Bien sûr, quelques fois il m’arrivait de penser à elle. De temps en temps, j’espérais la voir parmi les foules de personnes lors de nos concerts.

« Eh, Bill. J’ai besoin de ton aide, tu peux me signer un autographe sur cette feuille ? » demanda Gustav en jetant un coup d’œil à Tom comme pour s’assurer qu’il ne l’entende pas.
« T’es devenu fan de moi ? » plaisantais-je en m’emparant du stylo pour exécuter une jolie signature.
« Non ! Et crois-moi, je pense que depuis le jour où je t’ai vus la tête dans le cul le matin, l’idée de devenir fan de toi est… comment dire, devenu ridicule. » répliqua-t-il, en souriant.
« Très drôle. » soupirais-je.  «  Bref, c’est pour qui ? » demandais-je.
« Une fille que j’ai rencontré dans l’hôtel. » raconta-t-il.
« Heum… et elle veut mon autographe ? »
« Pas seulement le tient, elle demande aussi celui de Georg et de moi. » murmura-t-il.
« Et pourquoi tu murmures comme ça ? » dis - je en m’efforçant de parler fortement.
« Parce-qu’elle ne m’a pas demandé d’autographe de Tom. Et s’il est au courant de ça, son égo en prendra un coup et je suis sûr qu’il ne pourra pas s’empêcher d’aller lui par…

Je l’interrompis sans ménagement pour crier le plus distinctement possible :

« Ah Bon ? Une fille a demander un autographe de toi, Georg et moi, et même pas de Tom ?! »

Le principal intéressé, leva la tête en plissant les yeux. En une demi-seconde, Tom nous avais rejoins, essayant de prendre une respiration calme et lente.

« QUI est cette fille qui ne veut pas de MON autographe ? » demanda-t-il en tapant du pied, agacé.
« Bill plaisantait, il voulait juste te mettre de mauvaise humeur… » grogna Gustav.
« Non, je ne plaisanterais jamais avec la susceptibilité de mon jumeau. » répliquais-je en feignant d’être blessé par un tel propos. « Tom, regarde les autographes que Gustav à en main. » précisais-je d’un ton tout à fait innocent.
« Gustav, montre-moi cette fille. » ordonna-t-il.
« C’est pas une fille, c’est un garçon. Je suis gay.» mentit Gustav.
«  Tu me prends réellement pour un con, Gustav ? »
« Oui. » répondit ce dernier du tac-o-tac, pendant que je m’en allais tranquillement de mon côté.

J’entendais leurs éclats de voix s’éloigner, jusqu’à ce qu’une porte claqua. J’en conclus finalement que Gustav avait cédé au caprice de Tom pour avoir la paix.

Je jeta un coup d’œil à ma montre avant de soupirer. Il était à peine 14 heures, j’avais pris mon déjeuné, ma douche, regarder la télé et embêté Gustav. Il ne me restait donc plus rien à accomplir aujourd’hui. J’aurais donc pus me coucher, mais bizarrement je n’avais pas sommeil. Et c’est dans ces moments là que Céleste me manquait. Les moments de calme à parler de tout et de rien me manquait. Même si les derniers jours avant sa soudaine disparition, elle m’avait semblait préoccupée par d’autres choses. Peut-être même que je m’étais sentie jaloux de ne plus être son centre d’attention. D’une certaine façon, j’avais sus avant qu’elle ne me le dise, ses sentiments pour moi. Et pourtant, je n’avais rien fais. A présent je me rendais compte, que mon silence avait été égoïste. J’avais préféré la garder près de moi, oubliant que de son côté elle souffrait pour m’apporter des moments de calme de de répit.

Rooh, je veux savoir si il va la revoir ! suiite

Suite ♥

♥ La suite, j'aime, j'aime ! : D

Niiiia Gus c'est un boss, il a la classe x')
Mouahahaha Tom rejetté des fans, j'aime l'idée <3
Suite !

Chapitre 24 : La lettre C. J’aime recevoir des lettres. J’ai presque l’impression que les gens m’aiment quand j’en reçois, étrange non ?

« Bill, bouge de là. J’arrive pas à voir la télévision. » grogna Tom.
« t’as oublier de dire le mot magique. » ricanais-je en restant planté devant lui.
« Bouge de là, ou je ne te donne pas ton courrier. » finit-il par soupirer avant de me montrer un tas de publicité et d’enveloppe sur lequel il était assit.
« Merde, Tom. T’aurais pas pus pousser ce petit taille de papier AVANT de t’assoir ? »
« Non. Trop fatiguant. Et puis… le coussin était trop loin, et un tas de papier c’est presque aussi agréable. Tu devrais essayer » finit-il par me conseiller.
« Non, ça ira. Merci. » grognais-je.

Et je partie sans regret.
En m’étalant sur mon lit, je m’aperçus très vite que quelque chose n’allait pas. Sur la table de nuit, un objet manquait. Mais pas n’importe lequel…

« TOM ! C’est toi qui a prit l’appareil photo qui était sur ma table de nuit ? » m’énervais-je en retournant auprès de lui.
« Non, qu’est-ce que je ferais d’un appareil photo ? J’ai déjà assez de photo de moi dans ma chambre. »
« Alors c’est Georg ? Ou Gustav ? » le questionnais-je tandis qu’il augmenta le volume de la télévision. « baisse le son ! » ordonnais-je en essayant de lui prendre la télécommande des mains.
« Je préfère entendre la télévision que le son de ta voix ! » répondit Tom en s’asseyant sur la télécommande. Un sourire de victoire éclaira son visage pendant quelques instants. Des instants très bref, car au bout d’une seconde de réflexion, une idée de génie me traversa l’esprit. C’est alors que sans un mot, je débrancha la télévision sous les flots d’exaspération de Tom.
« Bon, quoi ? J’sais pas qui l’a prit ton appareil. Tu l’as peut-être mal rangé. »
« Non, c’est impossible. Je le met toujours sur les tables de chevet des chambres d’hôtel dans lesquelles on dort. »
« Rachètes-en un autre, alors. » soupira-t-il en se levant du canapé pour se servir à manger de le mini-bar.

J’en profita pour regarder le courrier et faire le tri. La plupart des lettres venaient de quelques fans qui avait réussit à convaincre le service de l’hôtel de nous les faire parvenir. Puis des pubs et des brochures des différents monuments à visiter. Mais une enveloppe violette retint pour attention, un cachet de cirre en forme d’étoile la maintenait fermée et avant même d’avoir lus le nom de l’expéditeur je sus qui c’était : Céleste. Ce qui me sauta aux yeux était le lieu d’expédition… Paris. C’était donc dans cette ville que Céleste se cachait ?
Elle se souvenait donc de moi. Mais pourquoi au bout de 3 longues années se décide-t-elle soudainement à m’écrire ? C’était incompréhensible. Pourquoi reprenait-elle à nouveau contacte, maintenant ? Alors que le vide qu’elle avait laissé avait mit si longtemps à trouver d’autres choses pour se combler.
Après de longues minutes de réflexion et d’hésitations, je posa la lettre sur la table basse du salon. Sans l’avoir ouvert.

« Tom, attend-moi. Je viens avec toi. »
« Je croyais que voulais être seul pour chercher ton stupide appareill. » s’étonna-t-il.
« J’ai changé d’avis. On a qu’à manger au restaurant de l’hôtel. » m’enthousiasmais-je.
« Ouai, c’est une bonne idée. »

Aaaaah tu peux pas couper là >< !
Vite la suite <3

Daisuki__* a écrit:

Bon, je viens de calculé à peu près il y aura environs 30/40 chapitres. Vous tiendrez le coup ? xD

Ahaha, j'ai le droit de me citer si je veux.

Bref, j'annonce une nouvelle qui me brise le coeur. J'ai finis d'écrire ma fiction, elle s'arrête à ... 30 chapitres + encore un 1 pour l'épilogue.
Je l'avais rallonger, mais ce que j'avais mis ne collait plus à l'idée de la fin que je m'étais mise en tête lorsque j'ai débuté « Elle mentait très souvent » . Alors j'ai réécris, et... voilà. Donc, oui : C'est belle et bien la fin bientôt. ; ___ ;


Vos suppositions ? Vous pensez qu'elle va finir comment ? x)

Tu me brise le coeur le jour de mon anniversaire ! PENDU ! XD
Aaaaah dommage T.T J'ai aucune idée de comment tout ça va se finir, jsuis paumée, je m'attend a tout ;_;

Ah merde >< en plus hier j'avais regardé les anniversaires et je m'étais dis : "ah tient, faut pas que j'oublie de lui souhaiter -- "

Bon, il est toujours temps hein...

Suuuuuuite

Suite? (:

Chapitre 25 : Au détour d'une rue. Il espérait aviser aux montagnes célestes qui s’étendaient devant lui un abris pour l’éternité où expier son regret.

Il faisait nuit noire. Et par ce sinistre mois de novembre, le vent soufflait sans discontinuer depuis des heures. D’un regard suspicieux, j’examinais l’ondulation des branches d’arbre aux murmures du vent. J’avais l’impression qu’il faisait bien plus froid qu’à Berlin. Et puis, ça devait faire 10 minutes que j’attendais dans le froid, adossé contre un mur, le visage rivé vers le sol.

« Désolée de t’avoir fait attendre. »

Je releva aussitôt la tête, et reconnu aussitôt la personne qui se tenait face à moi : Léna. Trois années s’étaient écoulées depuis notre dernière rencontre et elle avait énormément changé. Pourtant, elle avait conservé son air « supérierué qui m’avait autrefois intimidé.
Ses cheveux autrefois longs et bouclés étaient à présent noirs et lisses. Elle semblait plus mature, plus joviale qu’avant. Elle resplendissait de vie, en faite.

« Je me suis perdue dans Paris, ça ne fait que trois mois que je suis arrivée ici. Prenons un taxi, je sens que tu es frigorifié. »

Sa voix était douce et son ton aimable. J’étais étonné. Etonné de voir qu’elle n’avait pas changé que physiquement, mais à l’évidence, aussi mentalement. Au bout de 10 minutes, et en échange de quelques billets du plus au chauffeur, on arriva chez elle. C’était un petit appartement au cœur de Paris. Simple mais confortable.

«  Tu veux boire quelque chose ? Du thé ? » me proposa-t-elle en enlevant ses chaussures pour enfiler ses chaussons.

Je déclina son offre d’un signe de tête négatif.

« Alors qu’est-ce que… commençais-je avant qu’elle ne m’interrompe poliement.

« Attend, je vais tout t’expliquer. »
« Où est Céleste ? » demandais-je.
« Ca doit faire 6 mois… je l’ai croisé à Paris, par hasard, alors que je venais faire mes repérages pour mon futur appartement. J’ai vécu deux années à Tokyo, tu sais. Je gagnais bien ma vie, mais j’ai décidé de m’installer en France parce-que je ne voulais pas retourner en Allemagne mais je ne voulais quand même pas être trop loin de mon pays natal. Enfin, bon… Céleste a beaucoup changé. Elle est devenue si belle ! Elle ne ressemble plus du tout à une fillette.  D’ailleurs, c’est elle qui m’a reconnu. Quoi qu’il en soit, on a beaucoup discuté. Et l’idée d’une colocation entre elle et moi a germer dans nos deux têtes… ça fait deux moi qu’on habite ensemble. » raconta-t-elle.
« Deux mois ? Tu aurais dus me le dire plus tôt…. Céleste ne m’a envoyé une lettre il y a seulement trois semaines » soufflais-je.
« Je sais… »
« Où est Céleste ? » redemandais-je, alors.
«  Je suis vraiment désolée… je… Elle est dut s’absenter pour son travail. Elle attendait avec impatience de te revoir, mais elle a eu une séance de photos imprévue. C’est pour cela que tu ne peux pas la voir aujourd’hui. Je suis désolée. » finit-elle par lâchée.
« Tu n’as pas à être désolée… si c’est pour sont travail, je comprends parfaitement. Au moins, je sais où elle se trouve à présent. Et la prochaine fois que je reviendrais à Paris pour un concert, je reviendrais. »
« Attend. Comment… comment as-tu trouver mon numéro de téléphone ? » demanda-t-elle soudainement.
« Il était dans la lettre de Céleste. J’ai mis du temps à me décider à la lire… »
«  Je comprends… Il est tard, tu n’as qu’à utiliser la chambre de Céleste pour cette nuit. C’est elle qui m’a dit de te le proposer. »
« Très bien. » acceptais-je.
« Et demain, je te conduirais à son exposition de photographies. » dit-elle en souriant.
« Merci. Elle a donc réussit son rêve ? »
«  Oui. Elle est très heureuse, et puis quand elle reviendra tu pourras aussi le remarquer. Je… je vais me coucher, bonne nuit. »

Léna s’inclina face à moi. Ce qui me surprit légèrement alors elle m’expliqua en souriant :

« J’ai gardé quelques habitudes de Tokyo, excuse-moi. »

J’aurais voulus lui dire une fois de plus qu’elle n’avait pas besoin de s’excuser mais elle partie dans sa chambre d’un pas lent et fatigué. Je resta quelques minutes à contemplé le petit salon, et les quelques photos accrochés aux murs. J’envoya un sms à Tom pour le prévenir que je ne rentrerais pas à l’hôtel ce soir, et alla enfin me coucher. Cette nuit, j’eus de mal à trouver le sommeil. Dormir dans le lit de Céleste était vraiment étrange...

Rooooh c'est chou, & je veux une suite !!!