[T]Je reviendrais, je te le promets.

OOOOOOh c'est bien ça

Merci x)

Suite.

la suite please

Okayy =D

Chapitre 21 : Loin de la musique. (Faut sortir les mouchoirs )


Bill a réfléchit tout la nuit, sur cette marche où il c’est assit, ou Mistig la laisser réfléchir. La chaleur de la lune la réchauffer toute la nuit, le laissant alors s’endormir doucement.

Tom c’est réveiller dans la nuit, une inquiétude, des frissons n’appartenant pas à son corps, des images qu’il pensait ne jamais voir. Il c’est alors précipiter dans la chambre de son frère, personne ne former des plis dans le lit, il n’y avait aucune forme humaine dans cette pièce. Il a donc fait toute la maison, allumant et éteignant toute les lumières, ne trouvant toujours pas son frère. Il sort par la porte de derrière pour atteindre le jardin, découvrant alors le corps de son frère allonger, endormi sur une marche surement peut confortable.

Bill : Je ne ferais pas la tournée Américaine.

Il avait dit cette phrase dans un murmure pratiquement sourd, mais laissant tout de même son frère entendre ces mots. Mais Tom ne veut pas y croire, si Bill veut annuler une tournée, c’est qu’il y a un soucie, et s’il y en avait un, il serait venu le voir, lui dire, ou même passé ces nerf sur lui.

Il prend donc le corps fragile de Bill (je ne sais pas pourquoi, mais quand je vois son corps, j’ai l’impression, qu’on peut le casser, donc je le trouve fragile, après c’est se que je pense) dans ces bras, comme une princesse, et l’emmène dans sa chambre.


Il allonge son frère dans se lit, sous cette couette ne demandant qu’à le réchauffer. Pendant le court trajet, il n’avait pas dit un mot, il ne c’était pas réveiller, il avait juste entouré ces bras autours du coup de son frère tout en déposant son visage dans le creux de son coup.


La nuit c’est doucement évaporer pour laisser place à un soleil radieux. Bill bouge doucement en sentant la chaleur du soleil se propager sur son visage. Il ouvre par la suite doucement les yeux, puis les referment pour cause … le soleil qui l’éblouie.


Je m’étire doucement tout en me sortant de mon lit, laissant la fraicheur de la pièce se propager sur tout mon corps, laissant des frissons me parcourir.

Je remercie, encore une fois mon frère, de m’avoir porté jusqu’à ma chambre. Je le remercie aussi d’avoir vécu se rêve avec moi.

Je sors vivement une valise, se trouvant sous mon lit depuis, seulement quelque jour. Je la remplis de vêtements, maquillage, deux paires de chaussure … et toute sorte d’autre affaire que je n’ai pas mie depuis quelque temps, je me demande si elles m’iront toujours.


Je longe le couloir, touchant du bout des doigts les murs, les portes. Je m’arrête devant la porte de mon frère, chuchote un vague « Désoler » et descends les quelque marche qui me mène au salon.

Un papier, un crayon, mon écriture, mon pardon, ma confession, j’écris une lettre pour eux, une chacun, pour elle ou cette promesse sera vraiment tenu, ou je lui souhaite bon courage pour se qui est du divorce se ces parents. Dans celle de mon frère, je lui demande de me pardonner, d’accompagner Mistig jusqu’au bout, de rester mon frère pour toujours, et je fais avec le cœur lourd, la promesse, cette promesse « Je reviendrais, je te le promets ». Pour celle de nos deux autres conjoint, je les laisse un peut dans le vague, leurs demandant tout de même le pardon.

Je plis les quatre lettres chacune de leurs côté, écris délicatement le prénom pour qui elle sera, en disant à chacun d’eux la promesse de revenir.

Je dépose mon portable au centre de la table, l’entourant des lettres. Puis en quelque résonnement de talon de mes chaussures, je me trouve sur les marches me fessant sortir de chez moi, de mon jardin … je passe devant certaine fan qui ne me reconnaisse pas, par chance, d’un côté, on ne peut pas vraiment me reconnaitre comment je suis camoufler sous un pull XXL, empreinte à mon frère lors l’une de nos tournée, et qu’il m’avait donné au bout d’un moment. Puis un pantalon que je n’ai jamais mie devant les fans, je me suis dit que ça pourrais toujours m’aidée à un moment ou à un autre.

… Pendant un certain temps, où même plus, je vais devoir vivre cacher, vivre loin de ma popularité, loin de la musique.

HAAN O_O
MAIS C'EST PAS POSSIBLE O_O
Je Veux La Suite U.u'

la suite please

Oh non !!!!

Je veux savoir la suite !!! please ^^

ayaaaa c'est pas possible

la suite stp

Haan Plus Que Une Demi Heure O_O
J'ai Le Droit De Mettre Plusieurs Commentaires Pour Arriver A La Page 24 Plus Vite ? xD

On Va Dire Que Oui

Au Pire Si J'ai Pas Le Droit Ba... Tant Pis ? xD
Bon J'm'arrête Là =)
Je Continue Que Si Ya Personne Qui Poste Après Moi Avant 19h00 x)

C'est parti alors

c'est interdit mais pour avoir une suite tant pis

je le fais quand même

puis après tout on le faisait bien avant

par contre je ne sais plus combien il y a de message par page

ben voilà xD la suite !! c'est 18h42

Yeaah Trop Bien x)
J'ai Compté, C'est 15 Messages Par Page xD
Mais Jvoulais Pas En Mettre 6 Ou Je Sais Pas Combien A Moi Toute Seule xD
La Suite Maintenant =D

Chapitre 22 : Bill.


Je descends l’escalier, d’un pas endormit, comme si je n’avais pas assez dormi de la nuit. J’arrive très doucement dans le salon, remarque qu’il n’y a personne, je fais demi-tour et me dirige d’un même pas lent vers la cuisine ou déjà des voix se fond entendre, des rires, une délicieuse odeur de lasagne arrive jusqu’à mon nez … Il est quel heure ?

Je rentre dans la cuisine, voyant les visages de mes amis, il en manque un, surement entrain de dormir.

Gustav : Mes lasagnes ton réveiller ?
Mistig : C’est bien possible.

A la fin de cette phrase, mon ventre devient grognon tout en quémandant de la nourriture. Tom et Georg rigolent de bon cœur.

Mistig : Ok, J’avoue, j’ai faim, et je n’ai pas sus tout de suite que tu préparer des lasagnes.

Gustav me tire la langue, et me tourne le dos tout en continuant de cuisiner.


Nous rentrons tout les quatre dans le salon, aillant entendu au paravent, la sonnerie du portable de Bill.

Nous sommes justes devant la table basse, regardant d’un regard vide la présence du portable de Bill et de quatre lettres, elles contiennent nos prénoms. Je prends celle qui mes destiner, celle qui me tant la main.

Je la déplie du bout des doigts, découvrant peut à peut l’écriture maladroite de Bill.

« Mistig

Je te demande pardon, pour commencer, je n’arrive plus à suivre mon rêve, je sais que je devrais dire ça à mon frère, mais … tout est tellement dur.

Je suis parti de la maison, tôt se matin, sans vous réveillez … je ne voulais pas vous dire en revoir, je ne voulais pas pleurer devant mes amis, je voulais être fort … comme toi … oui toi … tu as vécu en croyant en ma promesse … alors je tiendrais en me disant que tu me pardonne.

Va rejoindre ta mère, elle aura besoin de toi, pour être soutenu … même si elle ne te le dit pas … elle a et aura toujours besoin de toi.

Je vais faire, une deuxième fois … cette promesse, mais cette fois si, je ne la fais pas qu’une fois, je la fait quatre fois.

Je reviendrais, je te le promets.

Je t’aime

« Tom, grand frère

Je suis désoler … je ne peux pas continuer … pas pour le moment … tout ça c’est trop … Les fans ne sont plus aussi nombreux qu’avant … notre gloire se termine doucement … et je ne veux pas vivre tout ça.

Je sais que mon départ est précipiter, sans réflexion, mais j’en ai besoin, j’ai besoin de vivre autre chose que notre célébrité, autre chose que le passé.

Je ne veux pas te demander de ne pas changer, de rester comme tu es pendant mon absence, vu que je sais que je te retrouverais différent … mais je te demande de me pardonner … de rester mon frère pour toujours.

Prends soin de toi et de tout ceux qui t’entours en se moment.

Je t’aime grand frère.

Tom : Petit frère.

Un murmure ...


« Gustav

Je demande avant tout … Pardon … à vrai dire, je ne sais pas trop quoi te dire, mais sache que si tu ne me pardonne pas, je ne t’en voudrais pas, je comprendrais pourquoi.

Je ne sais pas combien de temps je vais partir, mais je reviendrais, et se jour là, je vous demanderais pardon avant de dire autre chose.

Prend soin de toi et de tout ceux qui t’entours, trouve toi quelqu’un, parce que tu mérite d’être heureux.

Je reviendrais, je te le promets.

Bill »

« Georg

Pardon, Pardon, Pardon et encore Pardon … je sais que ça ne sert à rien de demander Pardon sur une feuille, mais je le fais tout de même.

Je reviendrais en temps voulu, et si tu ne ma pas pardonner, alors je ferais tout pour que tu me pardonne, parce que tu resteras toujours mon Yéti … même si tu n’aime pas quand on t’appelle comme ça, maintenant c’est rester …

Je reviendrais, je te le promets.

Des confessions, une promesse … tout était écrit sur ces feuilles de papier, tout était imprimer dans le passer … tout était entre leurs mains.

Je veux la suiiiiiiiiiiiiiiiiiite !!!