[T]Je reviendrais, je te le promets.

sniff la suite stp

Cette suite est trop triste !!

c'est très bien comme ça continue !!
je ne veux pas voir la fin !!
fais la durer le plus longtemps

fait durer le plaisir ^^

Haan Mais T'avais Pas Le Droit De Couper Là O_O
C'est Inadmissible O_O
La Suite Nan Mais Oh ! x)

**Mistig** a écrit:

**Mistig** a écrit:

Je voudrais vous demandez quelque chose:
Trouvez-vous que ma fic soit trop longue ?
je précise que j'ai déjà écrit 28 chapitres (le 28ème est en cours d'écriture) et je voulais savoir si vous vouliez que je continu à écrire comme je le fais ou si vous voulez que je passe des moments qui ne sont pas d'une très grande importance, ou voulez-vous que je continu comme je fais, et que des moments que vous califiez de guimauve, ou les moments hinutilent de la fiction. A vous de choisir.
kis
Mistig

oublier pas de repondre à mon message
Suite ... peut-être se soir !!!

j'ai répondu moi !

d'accord ^^
désoler mais je suis blonde

**Mistig** a écrit:

**Mistig** a écrit:

Je voudrais vous demandez quelque chose:
Trouvez-vous que ma fic soit trop longue ?
je précise que j'ai déjà écrit 28 chapitres (le 28ème est en cours d'écriture) et je voulais savoir si vous vouliez que je continu à écrire comme je le fais ou si vous voulez que je passe des moments qui ne sont pas d'une très grande importance, ou voulez-vous que je continu comme je fais, et que des moments que vous califiez de guimauve, ou les moments hinutilent de la fiction. A vous de choisir.
kis
Mistig

oublier pas de repondre à mon message
Suite ... peut-être se soir !!!

j'ai repondu aussi

Désolé J'avais Pas Vu Le Message ^^
Ba J'aime Bien Comme Ca Moi, Après Tu Fais Comme Tu Veux ^^

oui oui

Chapitre 23 : C’est …


Ça fait un mois que je suis parti, que je ne les vois plus, que je n’ai plus leurs voix m’entourant. En un mois j’ai fait beaucoup de chose.

Je me suis trouver un petit appartement … petit mes très beau … il est près de la tour Eiffel, juste au dessus d’une librairie Franco-allemande, ou je travaille, ou je passe la plus part de mon temps, lisant des livres français, ou même Allemand, mais quelque fois je lis des livres Anglais. Le propriétaire de la librairie c’est que je suis Bill Kaulitz, que je suis une star, mais il a bien voulu me prendre, comprenant peut-être la distance que j’ai besoin de prendre avec le monde de mon rêve. J’ai même fait un deuxième compte qui ne doit pas apparaitre sur les factures que mon frère reçoit encore à mon nom. Aussi, je n’ai plus les yeux marron, j’ai les yeux verts grâce à des lentilles trouvé dans un magasin non loin de la librairie. … et je porte aussi des lunettes, que je porte dés que je sors de chez moi. Je n’ai pas fait d’autre couleur au niveau de mes cheveux, j’ai voulu les garder noir, mais une gentille coiffeuse, que j’ai du payer un peut plus chère pour ne pas dire que j’étais passé dans sa boutique, ma poser des rajouts noir, mais je les attache tout les matins une queue de cheval, à l’arrière de mon crane, le maquillage, depuis quelque temps, j’oublie, même si quelque fois mon patron me demande de me maquiller … je refuse … oui vous lisez bien, je refuse de me maquiller.

Là je suis derrière le comptoir, entrain de faire les comptes, heureusement c’est informatisé, sinon … la catastrophe.

Quand je suis dans la librairie, je m’occupe des clients, Allemand ou français … je ne parle pas encore très bien français, mais tout les soirs, mon patron me donne des cours de français … je range quand une livraison arrive ou quand il n’y a pas de client. Et puis quand j’ai besoin d’une petite pause, je vais dehors, à l’arrière de la librairie, fumer une cigarette.

Normalement, à 16h00, nous devons fermer boutique, mais depuis que je suis arrivé, les horaires ne sont plus respecter, quelque fois on n’ouvre qu’à 9h00 des fois plus tard, mais la plus part du temps, c’est tout de même 7h30, pour se qui est de la fermeture, c’est souvent 20h00 voir quelque fois 22h00.

Une cliente rentre dans la librairie, une cliente Allemande de part son accent que j’ai entendu quand elle a dit « Bonjours. », je lève le regard vers cette personne et remarque que c’est ma mère. Je ne dis rien, je ne bouge pas. Elle se dirige vers les rayons de livres Allemand, me laissant regarder sa silhouette que je n’ai pas vue depuis tellement longtemps.

Je me lève et me précipite dans la réserve et demande à mon patron d’aller prendre la cliente.


Ma mère est partie, n’aillant surement pas compris que derrière mes yeux vert et mes lunettes, il se trouvait une personne de sa famille. Aurélien, mon patron, revient dans la réserve, me demandant pourquoi il devait prendre cette cliente.

Bill : C’est …

J’hésite à lui dire, à lui dévoiler que même mes parents ne savent pas ou je suis.

Aurélien : Alors ?
Bill : C’est … c’est … ma … ma mère.

J’avais répondu avec le souffle cours, les doigts se triturent dans tout les sens.

Aurélien : Tu ne lui as pas dit ?

D’un mouvement de tête, je réponds par la négation.

Je retourne dans le magasin, et remarque que plusieurs clients sont rentrés pendant mon absence.

J'aime, j'aime, j'aime ! la suite stp

j'ai l'impression qu'on connait c'est différente personne

Haan J'aime =D
La Suite ! =D

la suite please

Hoo , suite !

Aller la suite stp

la suite stp

On est demain donc si tu as le temps

à partir de maintenant ... les chapitre devienne de plus en plus long, enfin ... je trouve

Chapitre 24 : Alors, nous serons que des amis.


Un deuxième mois de passé, un deuxième mois, sans nouvelle de Bill pour son frère et ces amis. Les fans, eux, devienne de plus en plus rare, depuis la disparition de Bill, les médias ne parlent plus d’eux, et encore moins de Bill. Ils se sont l’acer de parler de tout se qui entours Les Tokio Hotel, ils peuvent vivre au grand jours, ou presque … il reste tout de même des fans devant chez eux … mais pas plus de cinq, voir six.

Mistig : Tu crois qu’il va revenir ?

Elle est installée sur le canapé de chez elle en compagnie de Tom. Gustav et Goerg sont restés à Hambourg, l’un pour sa copine, l’autre pour sa famille.

Depuis deux mois Tom avait perdu beaucoup de poids, s’inquiétant, à chaque seconde pour son petit frère. Il mangé … ou plutôt picorer dans son assiette à chaque repas. La question de Mistig, résonne mainte et mainte fois dans la tête de Tom, se demandant s’il devait y répondre sans connaitre la réponse.

Mistig : Je suis sur qu’il pense beaucoup à toi.

La phrase de Mistig rassure que peut Tom. Mistig se rapproche de Tom, déposant son visage dans le coup du tressé. La main de Tom se dépose sur la fine cuisse de Mistig, recouverte d’un simple slim.

Tom : Tu reste toi ?
Mistig : Oui … mais entend qu’amie.
Tom : Tu l’as toujours su n’est-ce pas ?

La réponse se fit attendre, mais Tom connait déjà la réponse … une réponse qui lui a toujours fait mal, même s’il ne la jamais entendu.

Mistig : Oui … mais j’ai toujours eu que de l’amitié pour toi, rien de plus.
Tom : Tu as toujours choisi mon frère … Pour lui, se n’est pas que de l’amitié ?
Mistig : Oui.

La réponse était claire, elle n’éprouve rien pour Tom, mais tout pour Bill. Le silence prend place dans le salon, laissant juste le bruit de la télévision briser se silence.

La main de Tom c’est doucement enlever de la cuisse de Mistig. A se moment là, il avait dit tout simplement : « Alors, nous serons que des amis. ». Mistig le prend dans ces bras pensant ne rien faire de mal, pourtant les gestes de Tom se sont fait plus … comment pourrait-on dire ? … Amoureux ? Les lèvres de Tom se dépose dans le coup de Mistig, détachant de ces mains le collier qui cacher la douce peau. Le collier trouve vite refuge sur le canapé, entre deux coussins. L’épaule de Mistig se fait dénuder par le passage des doigts de Tom, se fessant recouvrir des lèvres de cette homme, continuant sont son chemin.

Tom : Si tu ne me repousse pas, je continue.

La réponse fut sourde, les bras de Mistig poussent Tom de toutes leurs forces, mais il était bien trop fort, mais en même temps, bien trop doux. Les jambes de Mistig avaient, un peut plutôt, trouver leurs places pliées sur les coussins, entourant les jambes de Tom. Tom l’empêchant de bouger par sa main qui est dans le dos de cette fille.

Les colliers de Mistig, avait vite trouvé refuge sur le sol.

Mistig : Stop.

Elle avait crié ce dernier mot, fessant réagir Tom … Il relâche chaque muscle de son corps … ces mains se sont détacher de Mistig, ces lèvres se sont rétracter, demandant un semblant de « Pardon ». Mistig descend des genoux de Tom, regardant le sol, se trouvant presque trop faible de ne pas avoir dit « Stop » avant. Elle ne dit rien, elle ramasse seulement le collier que Bill lui avait offert il n’y a pas si longtemps, il comporte une clef.

Mistig : Je suis désolé de ne pas ressentir la même chose que pour ton frère.

Tom n’avait pas répondu, que pouvait-il vraiment répondre à cette phrase ? Se qu’il fit, il sortit du salon, puis de la maison, se dirigeant d’un pas rageur, vers la boîte de nuit qui se trouve non loin de chez Mistig.