[ T ] Oser pour mieux aimer.

Merci beaucoup. (:
Ce n'est pas grave le principal c'est qu'elle soit à nouveau en ligne.

Du coup je vous poste une suite demain. (:

Cool =D

suite stp

Et voilà la suite Smile

Bill eut envi de lui sauter à la gorge, peut être même d’aller jusqu’à le tuer. Il ne représentait rien pour lui excepté une menace. Il lui volait sa vedette qui petit à petit s’envolait. Le grand Bill Kaulitz sombrait… Bientôt il serait un has been, surement l’était-il déjà. Le bel oiseau noir, cette espèce si rare qu’il était, perdait ses plumes. Une plume pour sa carrière, une plume pour ses fans, une plume pour son groupe, une plume pour son jumeau, une plume pour son amour… Chanel sortait donc avec lui. Comment ne pas le choisir lui ? Le gentil, le digne représentant du beau, de la magnificence, de la perfection ? Comment lutter contre ce corps, ce visage, cette voix ? Bill en voulait à cet homme, il était l’élément déclencheur de sa perte.

En effet quelques mois plus tôt, tout allait parfaitement bien pour le groupe. Ils enchainaient les concerts, les interviews, les émissions télévisées, les photos shoots … Ils étaient vraiment fatigués mais continuaient dans ce à quoi ils avaient été formatés. De véritables petits robots, une machine à fric pure. Ils amassaient les euros, les dollars, les yens, les francs suisses et autres monnaies… Ils étaient riches mais épuisés. Et puis arriva ce qui était prédit. Ashter est arrivé dans le monde du show-business avec sa paire de ray ban et sa guitare mais surtout avec sa voix rauque. Il a emprisonné les cœurs des milliers de jeunes filles. Il a volé les fans des Tokio Hotel les laissant seuls avec leur groupuscule de fans fidèles. Il les a détrônés au niveau européen puis outre atlantique atteignant l’Amérique bien facilement. Et puis il s’est attaqué à l’Asie, l’Océanie, envahissant le monde de ses tubes aux sonorités pop-rock. Il a envoyé les quatre allemands valdinguer aux oubliettes.
Alors Tom n’a pas supporter de ne plus se faire respecter comme avant, de passer presque inaperçu, de ne plus avoir sa photo en première page de magasine, de se faire rire au nez… Il a rejeté la faute sur Georg lui disant que c’était de sa faute n’étant soit disant pas assez attrayant, puis sur Gustav trop réservé, mais avec eux il a été gentil comparé à ses propos envers son frère.

- De toutes façons, avait-il dit, c’est de ta faute à toi en réalité. Comment pouvons-nous ne pas t’en vouloir, toi la grande diva, le leadeur du groupe, le chef comme tu aimais te faire représenter. Tu nous a mené jusqu’en haut pour nous faire redescendre et trainer dans la poussière. Pourquoi c’était toujours de toi que l’on parlait ? Ils ne voulaient que toi, tous n’avaient d’yeux que pour Bill. Et donc il y avait un effet d’engouement pour moi ton frère, ouais ton jumeau. Un rôle que tu n’as pas su remplir non plus. Tu m’as laissé tomber comme t’as laissé Gus et Georg… On n’était plus que trois, on faisait simplement les choristes pour Madonna. Les articles de presse parlaient d’eux-mêmes. Bill Kaulitz par ci, Bill Kaulitz par là. Sur les photos jamais on n’a vu Gus ou Georg au centre, pourquoi ? Ils avaient eux aussi droit à leur part de célébrité, ils y étaient tout autant que nous, mis à part que toi t’étais surmédiatisé jusqu’à la moelle Bill. Mais on a fait avec, pensant que ça nous était favorable. C’est là qu’on s’est foutu le doigt dans l’œil. Tu n’as pensé qu’à toi, voulant toujours plus, chanter dans ces grandes salles que l’on n’a même pas remplies à moitié. Pour finalement plus nous ridiculiser qu’autre chose. Voulant quitter notre Europe pour des destinations où l’on s’est foutu de nous … T’as tout gagné Bill, nous sommes les meilleurs. Personne n’a été aussi haut pour redescendre aussi bas. Alors tu sais quoi ? Moi je m’en vais. Je quitte tout, le groupe, la scène, peut être même la musique – j’en ai perdu le goût à force – je te quitte toi. De toutes manières tu n’as besoin de personne qu’autre que toi même non ? Je vais aller en France, non je serais reconnu là bas, peut être au Mexique ou alors l’Australie, là où je serai en paix. Je m’en fiche de devenir sans abris au moins je serai reconnu à ma juste valeur. Alors Bill regarde moi bien, car c’est la dernière fois que tu me verras…C’est bon t’as bien mémorisé chaque parcelle de mon visage ? Et bien à Dieu !

Wahou Tom il a était mechant là.
Je veux la suite Harmony ♥.

Haaaaaaaaaan il a été cash' le Tom Ôo
Mais quelque part, j'aurais été encore + méchante à sa place What a Face

Suite !

suite stp

J'ai la forte impression d'avoir perdu des lectrices en cours de route :/
C'est pas graaaaaaaaaaaaaaave .. Suite dans la jounée !

MOI JE SUIS LA !!

Tom le méchant !
J'aime, il se gave. Haha.
Suite Harmony ♥

J'aime pas cette suite et m'excuse de cette nulité... :/

______________________________

- Je … peux avoir une chambre alors Chanel ? L’interrogea t’il accompagné d’un regard suppliant.

Elle ne sut trop quoi dire, ça aurait été le moment propice à une vengeance, mais Bill lui faisait de la peine. Son bon cœur la perdrait.
Elle saisit une clé, un peu au hasard et la lui tendit.

- Voilà Monsieur.
Il lui sourit sincèrement, aimablement. Il ne s’était jamais vraiment rendu compte de sa gentillesse. Pourtant Chanel était une des personnes les plus gentilles de ce monde, à chaque fois cela ne lui apportait que des problèmes mais elle persistait croyant qu’un jour le monde entier réaliserait que le plus important ce n’est pas l’argent, la puissance mais le bonheur, l’amour de l’autre, l’amour de soi. Elle avait fait l’erreur de croire une fois que l’argent l’aiderait à se sortir de l’ombre, mais grâce à Bill elle avait bien saisit que l’argent ne faisait pas le bonheur, bien au contraire. Enchainer misère sur misère, ramper dans la poussière, s’agenouiller devant les autres, mais elle était encore là.
Le chanteur parti sous le regard provocateur d’Ashter tandis que la jeune femme le regardait se demandant ce qu’il pouvait bien ressentir au fond de lui-même. Elle n’avait jamais essayé de le comprendre, elle l’avait tout de suite jugé et classé dans le rang des hommes orgueilleux et salopards. C’était peut être l’image qu’il se donnait, mais l’était-il réellement ? Elle s’en voulait de l’avoir jugé aussi rapidement, de ne pas vraiment lui avoir donné sa chance, se renfermant sur elle-même. Elle avait eu peur de lui, peur du mal qu’il aurait pu lui faire, alors elle s’est logiquement protégée. Lui s’est servi d’elle, assouvissant ses besoins, ses manques, mais au fond pourquoi l’avait-il gardé à ses côtés cette fille banale et pleine de problèmes ?

Ashter tourna son regard vers elle et lui sourit. Il la vu perturbée par le chanteur, alors il se posta devant elle. Bill Kaulitz ne s’interférerait pas entre eux, oh non !
Il posa ses lèvres sur les siennes. Elle ne s’y attendait pas et sursauta avant de se décaler. Leur nuit de folie lui revint en mémoire alors elle oublia tout et cella ses lèvres d’un baiser. Il se détacha, passa derrière le comptoir et lui saisit la main et la tira vers lui, puis avança, l’éloignant de son devoir.

- Je … je dois travailler, bafouilla t’elle visiblement génée de sa basse situation sociale.
- Tu n’en as plus besoin, je suis là.

Elle se stoppa net, ça recommençait. Encore et toujours on pensait que l’argent était la clé de tout, la clé de son cœur. Elle avait beau se donner l’image de fille facile, elle ne l’était pas. Une seule fois elle avait dit ‘’ je t’aime ‘’, à cet être unique, Ethan. Plus jamais elle n’a dit ces trois jolis mots, jamais elle ne les redirait surement.
Elle le regarda froidement. Encore un qui la prenait de haut.

- Comment peux-tu dire ça, tu ne me connais pas ?
- Et alors en a-t-on besoin ? Je me suis senti bien avec toi, tu es la seule qui ne m’ait pas sauté dessus pour ma renommée.
- Ce n’est pas une raison. Je ne suis pas une prostituée, on ne m’achète pas.
- Je n’ai pas voulu t’acheter, simplement te faciliter la vie.
- Je sais m’entretenir seule, je n’ai besoin de personne, pas même d’une star.
- Ecoute, je n’ai pas voulu être blessant, je pensais que ça pourrait t’aider.
- Eh bien non.
- Tu sais quoi ? On oublie, je passe te chercher ce soir et on va à la soirée, ensemble.
- Ce genre d’endroit n’est pas pour moi.
- Je t’emmènerai autre part alors, un endroit que tu adoreras à coup sûr, ne t’en fais pas.

Alors il a commencé à partir, se retournant une fois vers elle lui souriant de toutes ses dents. Il lui souffla un ‘’ à ce soir ‘’ et s’enfuit rapidement. Elle, elle restait là, bouche bée de cette prise d’initiative soudaine. Ce soir donc, elle sortait …

J'aime cette suite (:
La suite What a Face

!!

Haaaan j'aime. J'adore j'adore ♥.
Pauvre Bill, me fait pitié un peu là mais bon x).
Hâte de voir la suite =)

Ca va pas plaire DU TOUT à Monsieur le Coq tout ça, vite une suite ! What a Face

Héhé mais moi ca me plait ca !
J'aime.
Suite !

suite stp

SUITE

Bon je suis en période de bac blanc, du coup c'est révisions à fond... ou pas. Mais je suis trop crevée pour écrire quelque chose de potable.
Je vous mettrai une suite demain, ça sera fini, enfin Smile

Fais comme moi : écris la suite en cours de français What a Face

J'ai pas d'cours c'est que des épreuves de bac blanc c'est horrible ! :/

Je connais, je l'ai passé aussi What a Face

Tu verras, c'est pas si terrible. C'est le vrai, qui est à chier x'D

Oh si c'est terrible, jpasse toutes les épreuves MEME CELLE DE L'ANNEE PROCHAINE ! C'du n'importe quoi ! :s ^^

MDR C'est quoi ta prison ? What a Face

MDR C'est chouette hein clown

Apres 8h d'épreuves, j'en peux plus mais je vous ai écris cette petite suite Smile

10 Mars 2012. 20h54.

Elle l’attendait, assise sur un fauteuil. Voilà quelques minutes qu’elle avait quitté son poste. Il n’était pas en retard, non, elle était en avance. Il lui avait fait parvenir un billet lui indiquant qu’il passerait la chercher sur les coups de 21 heures. Elle réfléchissait à l’endroit où ils allaient passer la soirée. Elle pensa à tout, du petit restaurant romantique à celui de luxe, du fast-food à chez lui, chinois, mexicain, italien, français… Puis il est arrivé vêtu d’un beau costume. Elle s’est sentit bien ridicule dans son vulgaire jean délavé et son tee-shirt démodé. Il n’y prêta pas attention, se perdant dans ses yeux. Il l’embrassa furtivement avant de la tirer et de la faire courir.

- Pourquoi cours-tu ?
- Je ne veux pas être en retard.
- En retard pour quoi ?
- L’amour, avoua t-il la fixant amoureusement.

Quelques secondes elle trouve cela ridicule. Ils ne se connaissaient pas. A peine connaissait-il son prénom qu’il lui déclarait sa flamme. Et puis cette phrase digne de la série télévisé la plus ennuyante. Mais elle se sentit fondre. Jamais on ne lui avait une chose si belle, comment pouvait-elle résister ? Ca avait beau l’air stupide, mais ils étaient bien ensemble.
Alors qu’elle s’apprêtait à ouvrir la portière de la voiture, il la tira délicatement vers l’arrière. Elle le fixa surprise.

- Ce soir, nous allons marcher un peu.

Elle acquiesça en signe d’accord et lui prit la main. Il fut bien content de cette belle initiative qui lui enroba le cœur. Ils marchèrent, en silence, écoutant simplement le bruit des voitures, les passants parler, et leurs cœurs se dévoiler l’un à l’autre. Elle ne prêtait pas tellement attention à la route, elle était trop occupée à essayer de calmer les boums boums qui battaient contre sa poitrine.

- Nous y voilà, a-t-il déclaré.

Elle a relevé la tête et ouvrit grand la bouche. Incroyable ! C’était somptueux, magnifique, splendide, spectaculaire, beau, génial, romantique, excellent, adorable, mignon… Elle le regarda stupéfaite et lui sauta au cou. Jamais, au grand jamais on avait fait cela pour elle. Il ria de satisfaction, elle avait l’air heureuse. Parfait ! C’était tout ce qui comptait.
Ils embarquèrent à bord d’un beau bateau, décoré d’un nombre faramineux de lanternes. Il y avait de la musique, des bougies parfumées, des pétales de rose au sol… Beaucoup trop pour un premier rendez-vous. Elle ne savait pas quoi dire. Comment trouver les mots face à un tel spectacle ? Elle l’embrassa alors, cela valait tous les mercis du monde.
Puis il la prit par la taille lui désignant une petite table, ils avancèrent l’un contre l’autre. Il lui tira la chaise tel un beau gentleman pour qu’elle puisse s’asseoir. Il se positionna en face d’elle et la regarda attentivement. Qu’elle était belle Chanel ! Il en avait de la chance …

Mais enfin de la chance il aurait pu en avoir encore plus. En effet il sentit une goutte lui tomber dessus, puis deux, puis une averse. Ils se sont mis à rire, fort, très fort. Il était heureux nos deux amants. Elle s’est levé lui a tendu la main, il n’a pas hésité et l’a saisit. Il s’est levé et a collé son corps musclé contre le sien. Ils se sont embrassés, encore, et ont commencé à tourner sur eux même, lentement, amoureusement. Ils ont glissé et sont tombés au sol violemment, amoureusement. Leurs bouches se sont rencontrées, sauvagement, amoureusement…

Super !

Haaan j'aime trop ♥.

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