[T]oui ou non ?

A se moment là, je pense que si ce calcaire commence plutôt donc finit aussi plutôt. Mais comment je vais faire pour la robe ? Il ne reste que deux jours, je vais devoir faire tout ça en deux nuits et jours. J'espère qu'il ne va rien avoir d'autre, sinon je pète un câble. En plus, je dois aussi aider Mistig vu qu'elle m'aide. Il y a Clochette, le chat de la famille qui vient sur mes genoux et demande des caresses.

Je vous en supplie, une bonne nouveau ou même une mauvaise, ça je m'en fous, t'en que je ne suis pas dedans. Elle m'explique qu'elle a devoir trouver un moyen pour le manque de place. Où va mettre les 3 inconnues ? Pas dans ma chambre, ça c'est sur. Aussi que je dois être gentille sinon elle va me priver d'internet. Je vais devoir faire la fille tranquille et puis quoi encore. Pas envie de faire le faux cul. Je ne suis pas de cette catégorie là.

Je dis souvent ce mot parce que ma mère n'est pas la répétition. Donc j'essaye de mieux que je peux de le dire aussi souvent selon le contexte d'une phrase. En plus, j'aime beaucoup le dire « éventuellement » c'est bien que dire « peut-être » ou « je vais voir ça plus tard ».

Nous descendons en vitesse et en tout discrétion. Merde j'ai oublier le colorent chimique. Je cours prudemment, en me cogne naturellement et je cris silencieusement. Je descend en brandissant le baquet comme si c'était un trophée. Mistig me regarde genre, elle fait encore sa folle, elle met la machine en route. On remonte et on se quitte pour aller chacune dans notre chambre respective.
Je difficile à dormir. Pourquoi j'ai tellement envie de dormir pourtant mon esprit ne veut pas ? Je me lève et regarde un peu la télévision, je tombe sur une chaine de musique, les tokio hotel. Je regarde leur clip, le nouveau, j'aime bien car c'est simple et en même temps compliquer. Je veux dire qu'il y a de beaux effets spéciaux. Sans me rendre véritablement compte, je m'endors paisiblement.
Le lendemain, cela fait deux jours que je suis en courant de la venue des jeunes hommes, je remarque que la télévision est toujours allumée. Je me suis endormie si vite que ça, que j'ai oublie de mettre le minuteur ?
Il est 6 heures de matin, je n'arrive plus à me rendormir, alors je profite du temps pour reprendre les coutures de la robe. Je ne pique plusieurs fois le même doigt, je n'aime pas forcement la couture à la main, c'est parfois délicate. Le temps passe si vite que maintenant il est 9 heures.

Elle me le donne, c'est la boite qui contient mes lunettes, oui je porte des lunettes et avec je ressemble à une intellectuelle avec. Mistig va dans sa chambre pour une raison qu'elle ne veut pas me dire, enfin elle fait comme chez elle. Elle me rejoint pour la deuxième fois du début de la journée, elle revient avec une sac de la bijouterie d'hier. Elle me demande d'offrir, je regarde à l'intérieur et je vois un collier, un bracelet et des boucles d'oreille ( , et ). Je saute dans les bas de ma sadique et l'embrasse aussi fort sur la joue. Mais après j'ai voulu la frapper parce qu'elle m'a dit que je lui fessait trop pitié, c'est pour ça qu'elle m'a offert ses bijoux. Je me la pété légèrement en les mettant.
Les deux passent à une vitesse incroyable, enfin quand on travaille, le temps passe plus vite. Au moins, j'ai m'aurais blessé le doigt en moins quatre milles fois. Le jour J, Mistig a déjà mis sa robe, elle fait plusieurs gestes, ca va la robe tient le coup enfin pour l'instant. À mon tour, je croise les doigts des mains et même les orteils s'il le faut. Je fais le test, rien non plus, les coutures résistent. Ma robe finis donne ça (). Nous tapons nos mains d'un signe de victoire. Nous allons en même temps dans la salle de bain, je lisse les cheveux de Mistig et inversement. Par contre, pour le maquillage, c'est chacun pour soie. C'est magnifique ou horrible de voir deux filles se maquiller les yeux, on ouvre la bouche automatiquement. C'est bizarre quand même.

Je repars près de Mistig, et lui dit qu'on descend dans 5 minutes. Ils vaut bien les faire languir un peu. Nous sommes aussi sadique l'une que l'autre. Nous finissons par descendre. Pour ma part, je ne regarde pas les personnes mais plutôt mes pieds avec la paire de chaussure, j'ai un peu peur de me planter dans les escaliers et je ne suis pas la seule. Celle derrière moi à aussi mais plus la trouille que moi. Je pense que j'aurais dû rester en haut quand je vois ce que je vois. Les jumeaux de la boite d'avant d'hier, c'était Bill et Tom Kaulitz, le chanteur et le guitariste de tokio hotel. Je m'approche d'eux d'un pas hésitant, mes jambes trembles comme une feuille.

Je pars dans la cuisine montrer la robe à mon père, je tourne sur moi même. Il la trouve bien ce qui déplait à ma maman. Je reviens près de Mistig avec un grand sourire. Maman 0, Valérie 1, Valérie gagne. Donner moi mon trophée. J'informe aux garçons, excusez moi, aux stars de s'assoir. C'est la qu'entame la conversation entre Bill et Mistig.