Chapitre 6 : J’ai entendu ta voix.
L’androgyne au regarde chocolat au visage laiteux se réveille brusquement … la respiration saccader … des goutes de sueur dévalent maladroitement les délicat plie de son visage … les cheveux en batailles … les yeux traversant la pièce mainte et mainte fois … et ces draps blanc froisser sous ces doigts replier, renfermant le drap.
Ces yeux se pose sur la silhouette … dans l’ombre du rideau tiré … sur une chaise de bois aux coussins bordeaux … une main se referme sur l’accoudoir de droite … laissant un faible filet de lumière éclairer se geste léger et rapide.
Le front de l’androgyne se plisse … essayant de voir qui se cache dans cette ombre … mais rien ne fait … les doigts restent la seule parcelle qu’il peut voire.
La silhouette se lève doucement … se dirige vers une petite coupelle remplit d’eau claire … prend la petite serviette blanche et l’humidifie délicatement.
… : Bill, allonge toi … tu es encore fragile.
L’androgyne fait un faible sourire … reconnaissant la voix métallique de l’humanoïde. Le chanteur s’allonge délicatement dans ces draps blancs … recouvrant son corps remplit de douleur.
Bill : Qu’est-ce qui c’est passé hier soir … sur le toit ?
Lu crispe ces doigts autour du linge blanc … laissant glisser les goutes d’eau de trop entre ces doigts. Elle se retourne pour faire face au chanteur.
Lu : Avant que tu arrive … je ne sais pas se qui c’est passé … c’est comme si on ma laisser une grande brique noir dans le cœur … j’ai réalisé que tu étais là seulement quand j’ai entendu ta voix … puis surtout le refrain de ma chanson préféré.
Lu s’approche doucement de lui … dépose le linge blanc sur le front en sueur de l’androgyne … doucement ça main gauche se dénude de peau … et avec délicatesse la dépose sur la joue gauche de l’homme en face d’elle.
Lu : Ça va te rafraichir un peut.
Bill : Que c’est-il passé quand … quand j’étais à terre ?
Elle dénude un peut plus son corps et commence à s’allonger au côté de l’androgyne … laissant la fraicheur du métal envahir doucement le corps du chanteur.
Lu : Tu n’es pas tombé sur le sol … je t’ai protégé dans un bulbe … et j’ai tout fais pour que l’homme ne revienne pas.
Bill : Lu … qu’as-tu fait ?
Lu : Bill repose toi … tu en as besoin.
Elle prend délicatement l’androgyne dans ces bras … l’entourant de fraicheur pour faire descendre la température … tout en fessant attention au baisure infliger sans le vouloir pendant ça chute.
Bien sur elle sans veut d’avoir tué de ces propres mains ...
[Flash Back]
L’humanoïde se précipite littéralement sur l’homme de fer … la rage se lit dans les yeux de la femme de fer … oubliant presque la douleur qui sort de la bouche de l’androgyne. De ces doigts de fer … l’humanoïde féminine entour maladroitement le cœur rouge battant de l’homme sous son corps.
… : Tu ne me tueras pas.
Lu : Tu ne feras plus parti de se monde dans quelque minute.
Lu empoigne plus fermement le cœur brulent de l’homme dans sa main droite … et doucement … avec lenteurs … sous les cries métalliques de l’homme.
Le cœur n’est plus connecter … la barre représentant les yeux s’était progressivement éteint … les courants électriques s’arrêtent de se propager dans son corps … le cœur ne bat plus entre les doigts de fer … le sang rouge vif dégouline entre ces doigts.
[Fin du Flash Back]
Elle sans veut de l’avoir tué … il n’y a pas de doute … elle a même silencieusement pleuré dans l’ombre du rideau. Elle avait longuement lavé ces membres de fer sous l’eau bien chaude après avoir allonger le chanteur dans le lit … tout en l’aillant délicatement rafraichit par un souffle froid.
Bill : Si je t’aime … je peux te le dire ?
L’humanoïde sert un peut plus l’androgyne contre elle … mais ne donne en rien une réponse positif ou négatif à la question. Les lèvres de l’androgyne s’ouvrent peux … laissant ça douce voix en sortir.
Bill : Je t’aime.
Doucement les yeux de l’androgyne se ferment doucement … sous la douceur des gestes de fraicheur de l’humanoïde.
Une des mains de l’androgyne se dépose doucement sur le membre battant de la femme de fer … collant son torse contre le buste de fer … déposant le visage d’ange contre l’épaule de fer … sans oublier la douceur de l’oreiller.
La nuit est largement fini … le jour est levé depuis que le soleil à daigné se montré … l’humanoïde est toujours allonger … oubliant de faire des gestes pour ne pas réveiller l’ange qui est allonger sur elle.
Doucement le corps de l’androgyne bouge … mais reste inlassablement contre le corps de fer … le rafraichissant un peut plus.
Avis ???
Je veux tout savoir.