[T] Ich suche nach meinem Regenbogen

Moi je m'en lasse pas!!je l'adore vraiment

Arf =(
Oui C'est En Partie A Cause Des Jumeaux Que Tom N'est Plus Là...
Haan Faut Pas Qu'il Se Remette A Boire >_<'
Je Sais Pas Pourquoi Mais J'ai L'impression Qu'il Va Quand Même Aller Voir Les Enfants oo xD
Enfin Bref, Suite =D

Erf

Mince, il est retombé dans l'alcool...

Pendant la lecture des lettres, j'ai eu l'impression qu'il avait vu un tout petit peu de bon en Alina...

Mais la naissance des ces enfants à tout gâchés...

La fin de l'histoire est proche, je deviens anxieuse :/
J'espère qu'il va pas nous faire une belle connerie. Qu'il restera sage...

Mets nous ce chapitre"inutile" pour voir

Même les chapitres de transitions ont leur importance, ils nous apporte certain éléments quand même.

Le chapitre inutile etait là. Mais ca y est, j'ai la fin de l'histoire. Je pense qu'il y aura peut-être encore 5 chapires et puis l'épilogue...

J'espère que ça finira bien :/

Okay... 5 Chapitres + L'épilogue... Waaw Ca Fait Court oo
Mais Je Veux Savoir La Fin Alors x)
Suite Quand Tu Peux :gd-sourir:

Je l'écrirai sur la plage cette après-midi (a)
J'ai commencé le chapitre suivant

Dernière édition par Olakolai le Dim 19 Sep 2010 - 0:46, édité 1 fois

Kapitel 12

- Okay, on arrête pour aujourd’hui, les mecs, j’en peux plus.
- Bah alors Gustav? Qu’est-ce qui t’arrive? demandé-je en riant.
- Ca fait trois heures que je tape comme un malade sur ma batterie, et il fait trop chaud. Stop, là!

Il s’essuie le front sur son bras et boit les dernières gouttes d’eau chaude qu’il reste dans la troisième bouteille vide. C’est vrai que jouer de la batterie pendant toute une après midi un 10 Juillet relève de l’exploit. D’ailleurs, c’est bien dommage qu’on soit chez Gustav et pas chez Andreas, parce que je meure d’envie de me jeter dans une piscine. Les deux autres rangent leur instrument , et moi je débranche mon micro et pose mon texte. Les répétitions avec Andreas sont tellement différentes de celles avec Tom… En dehors de tout ce qui semble évident, de tout ce qui fait que Tom est irremplaçable, ces répétitions sont comme un compromis flou de celles d’avant. On travaille bien ensemble, on a même fait quelques chansons. Mais il n’y a pas la petite étincelle dans le regard quand l’un de nous quatre trouve quelque chose qui colle bien. Il n’y a pas de pression, il n’y a rien. C’est que du vent. Mais ce vent, c’est ma bouffée d’air frais quotidienne, et j’en ai besoin, aussi.

Il est 18heures, et j’ai juste envie d’une bonne douche. Georg me raccompagne en voiture. Devant chez moi, il y a encore ces deux gardes du corps, fondant sous leurs costards noirs. Je ne sais pas qui s'occupe de gérer ce qui reste de Tokio Hotel. En tous cas, quelqu'un a décidé de garder deux personnes devant chez moi qui surveillent qui entre et sort de chez moi, et qui font partir les squatteuses entre 19h00 et 10h00 du matin. Alors que je sors de la voiture, je vois trois filles assises sur un banc improvisé se lever d'un bond et courir vers moi. Les deux armoires à glace - Friedrich et Sam, je crois - me font signe de me dépêcher et font barrière avec leur bras. Je leur indique que c'est bon, que je gère, et demande un stylo à l'une d'entre elles. Pendant qu'elles me font écrire sur toute surface suffisamment plane (feuille, main, t-shirt...), je remarque qu'une quatrième fille qui me dévore des yeux se tient en retrait. Nos regards se croisent et elle me fait un sourire timide de sa bouche rosée. Contrairement aux trois autres filles vêtues de noir et outrageusement maquillées, elle est habillée d'une tenue plus adaptée à l'étouffante chaleur. Elle ne porte qu'une robe beige et des chaussures en toile bleue. Lorsque j'aperçois rapidement ses yeux avant qu'elle ne détourne la tête, ils me paraissent assez petits de loin; pas de khôl noir, donc. Je rends le stylo, on me remercie avec un accent que je reconnais immédiatement, puis j'entre chez moi en m'interdisant de me retourner. Sinon, elles ne me lâcheront plus.

Dans mon salon cependant, je ne peux m'empêcher de regarder par la fenêtre. Ce ne sont pas les trois hystériques que je veux voir, mais elles sont tellement exubérantes qu'elles me cachent toute la vue. Après s'etre calmées un peu, elles vont rejoindre la quatrième et je lis sur leur visages qu'elles la prennent pour une folle d'avoir raté une occasion pareille. "Attends, il a pris mon stylo! Il m'a effleuré la main!". Cool, hein? Wow, c'est tellement extraordinaire. Si seulement il y en avait eu plus comme elle... J'allume la télévision sans pouvoir me concentrer réellement. Je n'arrête pas de jeter des coups d'oeil au-dehors. Il y a eu un accident de voiture à Berlin. Elles sont toujours là, elles se sont rassises. En fait c'est un tram qui est rentré dans une voiture. La fille regarde ma porte. Il va y avoir un film que j'ai déjà vu. Je sursaute . Les filles se sont levées et s'apprètent à partir. Ma préférée est la plus près de la porte et se mord la lèvre, hésitante. Elle tient dans ses mains - fines, blanches - une petite enveloppe. Une de ses amies lui crie quelque chose, et elle se décide enfin à parler à Friedrich - ou à Sam, peut-etre. Je le vois hocher la tete de gauche à droite, et elle faire demi-tour. Non, je n'ai pas envie. J'entr'ouvre ma porte d'entrée, attends que les filles se calment, puis m'adresse à elle en la regardant droit dans les yeux.

- Tu peux entrer s'il te plait?

La fille, surprise, me regarde indécises puis se tourne vers les autres qui n'ont sans doute pas remarqué qu'elles s'étaient figées sur place. Voyant qu'elles ne lui seraient d'aucune aide dans son choix et qu'elle-même semblait incapable de le faire seule- ou en tous cas de l'exprimer-, je lève le sourcil, inquisiteur. Cet infime mouvement de ma part suffit à les sortir toutes de leur torpeur, et la timide finit par monter les marches sous les chuchotements sévères des groupies. Je ne sais pas si elle se doute que les autres ne le lui pardonneront probablement jamais, mais elle se glisse à l'intérieur de chez moi et les laisse là, avec leur jalousie et leur haine.
Elle prend quelques instants pour découvrir mon salon, et moi pour l'examiner. Elle est de taille moyenne - 1m 65, je dirais - et ses cheveux chatains sont relevés en un chignon légèrement défait. Quelques boucles aux reflets auburn tombent sur ses pommettes. Elle a le menton étroit et un nez fin. Je remarque qu'elle a fini son inspection et que ses yeux bleu saphir se sont posés sur ma silhouette. Je me demande ce qu'elle pense de moi, tranpirant et filiforme, démaquillé et mal coiffé. Je dois faire peur à voir, si on y fait plus attention. Il y avait longtemps qu'une inconnue ne m'avait pas vu d'aussi près.

- Tu veux boire quelque chose? proposé-je au hasard.
- Heu... Oui, je veux bien.
- Du coca, ca va? ajouté-je depuis la cuisine.
- Oui oui!
Je reviens avec la boisson et deux verres. J'ai vraiment besoin d'une douche. Je n'aurais pas du l'inviter. J'ouvre une cannette et lui sers à boire, puis prends une grande gorgée de soda. Elle s'en sort adroitement entre le verre et l'enveloppe qui l'encombre toujours, puis pose le gobelet sur la table basse et essaie de comprendre.

- Tu t'appelles comment?
- Stéphane.
- Tu as quel âge?
- Vingt-trois ans.
Elle parle d'une voix timide et légère dans laquelle je décèle le même accent que chez l'une des groupies de tout à l'heure.

- Tu es française, non　?
- Heu… oui, répond-elle timidement.
- Qu'est-ce que tu faisais devant chez moi?

Ce n’était pas un reproche. Elle m’intrigue, en fait.

- Je suis en vacances avec ma cousine. C’est la première fois que je viens en Allemagne, et je n’étais pas au courant qu’on passerait ici. C’est assez gênant en fait, même si ça me fait très plaisir de te voir.
- C’est pour moi　? demandé-je en montrant la lettre du doigt.
- Ah… fait-elle, de plus en plus gênée. Oui. Je l’ai écrite dans la journée parce qu’on n’avait pas grand chose à faire mais heu… c’est rien, c’est pas grave.
- Si, vas-y, donne, dis-je gentiment.

Elle se résout à me tendre l’enveloppe et baisse les yeux. Dessus, il y a simplement écrit "Für Bill". Les lettres sont rondes et fines à la fois, assez allongées. Par respect pour elle, je ne l’ouvre pas tout de suite et lui offre un siège. Je suis tout moite, tout dégoulinant. Je dois vraiment me doucher.

- Je peux te laisser seule un moment　? Il faut vraiment que le me lave.
- Oh… Oui bien sûr. Je dois appeler ma cousine de toute manière.
- Ok. Hum… reste dans le salon s’il te plait.

Pathétique. Par "reste dans le salon" je voulais dire à la fois "ne vas pas dans sa chambre" et "ne pars pas". Mais cette phrase qui devait résumer les deux ne ressemble à rien. Ca sonne faux. En montant à l’étage, je remarque qu’elle m’observe à travers les barreaux de la rampe. Je souris. J’espère qu’elle a bien compris la partie "ne pars pas".

Mdr J'aime xD
Je Pensais Pas Que Bill Ferait Rentrer La Fille Chez Lui xD Il Est Légèrement Suicidaire xD
Enfin Bref, J'adore =)
Suite :gd-sourir:

Tout à fait d'accord avec Trash...

Mais bon un conctat humain autre que ces proches lui fera du bien

Une fille en plus

Qui sait, elle va peut être avoir un grand rôle à jouer XD

Seule la suite nous le dira XD

Mmmh c'est vrai que Bill ne serait pas trop du genre à faire ça, mais il est intrigué par elle, et puis il y a toujours les gardes du corps devant chez lui Wink

Sondage : aimez-vous la tournure que prend la fic?

Quel changement de la part de Bill, faire entrée une inconnu chez lui, il est un peu suicidaire!!

Mais j'aime la tournure que prend la fic, j'espère que cette fille va jouer un rôle important pour Bill, pour qu'il s'en sorte

Suite stp

Je suis à 100% d'accord avec Ondine

Voilà peut être la petite lueur d'espoir qui nous manqué !!

Et puis cette fille n'a pas l'air bien méchante. Les chapitres de transition ont vraiment leur utilité XD

Génial

Et j'ai oublié de rajouter

On dirai qu'elle lui a vraiment taper dans l'oeil. Sinon, il l'aurai laissé partir. C'est trop mignon XD

Pour les éloges, tu les mérites Wink

Tu es pour moi, la meilleur "écrivain" du forum Wink

Exotik a écrit:: Pour les éloges, tu les mérites Tu es pour moi, la meilleur "écrivain" du forum

[T] Ich suche nach meinem Regenbogen - Page 8 Affraid

...
Voilà, je ne sais plus quoi dire maintenant o_o
Merci?

De rien

Bonjour tout le monde !
Bon, je passe en vitesse pour m'excuser un peu, la suite traîne, je sais.
Je vais essayer de poster ça dans la semaine, quand même !
Tchouu

Okayy, Vivement La Suite =)

J'ai hâte de lire la suite!!

suiiiiiteeeeeeeee

Coucou Kuss

Cela fait un moment que tu n'as pas laissé de nouveau chapitre.
Alors que ton histoire commencer à s'illuminer...Ras le bol des ténèbres Very Happy

Je voulais juste savoir si tu avais l'intention de la continuer ou si tu la stoppais :/
Je l'apprécie énormément, je souhaiterai que tu la poursuives

S'il te plait

Wink

Ah non, ah non, je continue !
Je voulais la finir avant l'Espagne, c'est à dire Samedi, mais ça va pas être possible.
Tous le sjours je veux en écrire, et puis j'ai les valises, les trads etc et ça avance pas.
Je me suis encore promis d'en écrire ce soir, j'espère pouvoir le faire.
Mai snon non non, je ne stoppe pas !!!

Kapitel 13

Quand je redescends les escaliers une heure plus tard – je ne suis toujours pas ponctuel, apparemment -, Stéphane est en train d’écrire un message sur son portable. Je n’avais pas remarqué qu’elle avait aussi un petit sac, bien que ça me paraisse maintenant évident. Elle m’entend poser mon pied sur le sol et se retourne pour me sourire à nouveau. Sur son visage, je remarque cependant qu’elle est mal à l’aise. Elle a du trouver le temps long, la pauvre. Mais je suis quand même mieux comme ça, les cheveux bien droits sur ma tête, maquillé et habillé décemment. Il est presque vingt heures.

- Désolé d’avoir été si long. T’as appelé ta cousine　?

- Oui, répond-elle, elle est à l’hôtel d’à côté.

- Elle t’en veut　?

- Non. Elle est contente pour moi, en fait, avoue-t-elle, gênée, même si elle aurait bien aimé être à ma place.

Je vais m’asseoir sur le bras du fauteuil d’à côté. Elle m’observe de ses magnifiques yeux inquisiteurs. Evidemment, elle attend que je lui explique. Evidemment. Je lui ai proposé de venir chez moi, et tout ce que j’ai fait pour l’instant, c’est me doucher. Est-ce que ça lui paraît aussi bizarre et stupide qu’à moi　? Pourtant, je n’ose pas engager de vrai conversation. Une question, une réponse, ça me va. J’ai peur qu’elle ne soit pas la fille que j’ai aperçu en elle devant chez moi. Mais que dire　? Je décide de lui laisser le choix du sujet. J’attends.

- Alors… que fais-tu de tes journées　? demande-t-elle enfin.

Je vois dans son attitude qu’elle trouve sa question un peu idiote. Elle se mord le coin des lèvres, tortille ses jolies mains. So süß.

- Je vois Georg et Gustav, et puis Andreas aussi. Enfin, ça c’est quand ça va. Sinon je reste chez moi. Tu n’as pas entendu à quel point Bill Kaulitz est déprimé, Bill Kaulitz se laisse mourir, tout ça　? demandé-je, sombrement.

- Si, avoue-t-elle, mais j’essayais de ne pas y croire. Je préférerais te savoir heureux. Enfin en tous cas… pas aussi malheureux.

Elle a dit tout cela d’une voix assez basse, elle n’ose pas me regarder. J’attends qu’elle relève la tête pour plonger mon regard dans le sien. Je n’ai jamais vu de bleu comme ça. Sur toute autre personne qu’elle, je n’aurais certainement pas trouvé cela joli – si foncés, si perturbant… Mais sur Stéphane, c’était posé comme deux bijoux sur un oreiller, comme deux gouttes d’océan sur une plage de sable blanc déserte, reculée. Intacte. Wow. Qu’est-ce qui m’arrive　? On dirait de la poésie ridicule, c’est pas moi, ça. Il faut que je me reprenne.

- Je ne sors pas vraiment dans la journée, dis-je, mais le soir, ça m’arrive. La nuit, en fait. Je… Je vais voir Tom.

Pourquoi lui dis-je tout cela　? Je me dévoile devant elle, je me montre sous mon aspect le plus sensible. Et après　? Depuis combien de temps n’ai-je pas été comme cela　?… je ne sais pas. C’est loin, trop loin.

- Je voulais y aller aussi, répond-t-elle timidement, mais… Je me suis dit que ce n’est pas ma place, là-bas. Déjà être venue devant chez toi c’est quand même très exagéré, ajoute-t-elle, riant un peu. Alors bon…

Je crois que cette seule phrase suffit à me convaincre. Je ne pourrais pas supporter qu’elle parte ce soir. Je veux qu’elle reste.

Pendant des heures et des heures, nous discutons de tout et de rien. Elle ne se répand pas en compliments, en admiration, et ça me fait du bien. Ses hésitations en allemand me rappellent qu’il existe un monde au-dehors, un monde qui autrefois me célébrait. Plein de pays que j’ai visités, automatiquement, machinalement… mais que je n’ai en fait jamais vraiment pu connaître. On a dîné quelques pâtes que j’ai réussi à faire cuire, et puis on est retournés s’asseoir, et on a rediscuté. Vers une heure du matin, lorsque nous nous nous taisons quelques secondes, je n’entends rien au dehors. Peut-être sommes nous vraiment seuls au monde, finalement. Rien que pour une nuit. Stéphane est assise en diagonale sur le fauteuil, une de ses jambes négligemment posée sur l’accoudoir. Elle à l’air songeuse. Peut-être se sent-elle coupable d’avoir abandonné sa cousine. Mais moi, je n’aurais pas supporté d’être laissé seul.　Elle ne doit pas partir.

- Tu cours vite　? demandé-je brusquement.

- Heu… Je ne sais pas, répond-elle, prise au dépourvu.

- Suis-moi. Prends tes affaires.

Je me relève, attrape mon propre sac noir, y glisse discrètement la lettre de Stéphane que j’avais posée sur le meuble de l’entrée et ouvre la porte. J’attends qu’elle me rejoigne au portail. Le lampadaire au coin de la rue éclaire son visage.

- Suis moi. Je te préviens, je coure. Si tu me perds, reviens ici, et rentre dans la maison.

Sans lui laisser le temps de répondre, je me lance dans la nuit. Quand je cours – quand je cours vers Tom -, je ne pense plus à rien d’autre qu’à lui, et à moi, un peu. Stéphane　? Qui est-ce, déjà　? La fille qui me suit, peut-être. Je crois que mon instinct de survie espère qu’elle se perdra, et que je ne la reverrai plus. Je préfère qu’elle disparaisse dans cette course où je ne suis pas vraiment conscient plutôt que de m’attacher à elle, et de souffrir de la voir partir. Parce que oui, elle finira par me quitter. Comme toutes les personnes auxquelles j’ai pu tenir. Comme Tom.

Le cimetière est aussi désert que d’habitude. Avant de sillonner les allées, je laisse une chance à mon inconnue de ne pas perdre ma trace. Et voilà. Elle passe la porte. Stéphane n’est même pas essoufflée. Elle s’arrête et regarde autour d’elle, puis pose ses yeux sur moi, sans rien pouvoir dire. Je rejoins alors la tombe de Tom et m’assois, comme d’habitude. Stéphane, elle, reste debout, les yeux rivés sur la pierre.

Je m’adosse contre la stèle et regarde cette jeune française.

- Tu es la première personne que j’amène ici, avoué-je.

- Pourquoi　?

- Pourquoi n’avais-je jamais amené personne, ou pourquoi toi　?

Stéphane contourne la pierre et vient s’agenouiller par terre, face à moi.

- Pourquoi moi　? chuchote-t-elle.

Je sens son haleine chaude contre ma joue. Je devrais fermer les yeux en penchant ma tête vers elle, mais je ne peux me résoudre à éteindre ce bleu éclairé par les étoiles. Je sens presque sa bouche contre la mienne. Mais non, elle détourne la tête. Elle recule.

- Bill… murmure-t-elle. Je suis là. Je ne vais pas partir si tu as besoin de moi. Je sais que tu ne cherches pas des aventures d'un soir. Je ne suis pas là pour ça. Ne te sens pas obligé…

Je souris. Ce n’est que ça alors　? Je caresse sa joue délicatement et approche à nouveau ma tête de la sienne. Puisque tu m’as promis de rester, je peux bien fermer les yeux un instant…

Lol

Je suis rassuré de savoir que tu l'a continue I love you

Citation :: - Tu cours vite　? demandé-je brusquement.

Je me suis demandais pourquoi aussi XD

Citation :: La fille qui me suit, peut-être. Je crois que mon instinct de survie espère qu’elle se perdra, et que je ne la reverrai plus. Je préfère qu’elle disparaisse dans cette course où je ne suis pas vraiment conscient plutôt que de m’attacher à elle, et de souffrir de la voir partir

J'ai souhaité qu'elle arrive à le suivre, et s'est arrivé, tant mieux.

Citation :: - Bill… murmure-t-elle. Je suis là. Je ne vais pas partir si tu as besoin de moi. Je sais que tu ne cherches pas des aventures d'un soir. Je ne suis pas là pour ça. Ne te sens pas obligé…

C'est mignon, j'espère seulement qu'elle est sincère, que ce n'est pas juste de la "fancianation" Sad

Citation :: Puisque tu m’as promis de rester, je peux bien fermer les yeux un instant…

Un truc me perturbe quand même...Il a le coups de foudre pour elle ? Dès qu'il l'a fait rentrer chez lui. Il ne veux plus la laisser partir...

En tout cas, j'ai bien aimé ce chapitre

Va-t-il lire sa lettre ?

J'ai rattrapé mon retard, et j'aime le tournure que l'histoire prend, et je me suis déjà attachée a Stéphane. Je pense que la lettre, il va la lire devant Tom non?
Enfin, bon voyage en Espagne et suite Smile

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» 19.03.10 - Regenbogen Awards à Karlsruhe (Allemagne)
» Exclusiv - Radio Regenbogen Awards 2006
» Tokio Hotel 19.03.10 @ Radio Regenbogen Awards 2010
» [T]=> Nach dir kommt nichts <=
» [Divers] Verrückt nach dir' Bill et Tom