╔╝Chapitre 11 : Engel … c’est pour toi.╔╝
La soirée a bien commencé … Engel ne peut s’empêcher de regarder ça tante et son ongle … cette nuit … seulement cette nuit … Gustav et Engel dormiront chez eux … elle la demandait quelque heure plus tôt.
L’album photo est sorti … Engel est installer … les jambes contre son buste … les bras entourent ces fines jambes. La mère du batteur installé juste à côté d’elle … tournant des pages remplient de photos … tournant les souvenir … tournant également le passé heureux de la jeune fille.
La mère de Gustav : Regarde là … c’était le jour où tu t’es déguiser en pirate … tu te rappelle ?
Un vague petit «
oui » sort de la bouche de la jeune fille.
La mère de Gustav : Et regarde là … tu avais choisi le déguisement de Peter Pan pour Gustav.
Un délicat rire sort de la gorge de la mère du batteur … la star se retourne vers sa mère … et d’une voix d’énervement … mélanger au rire se souvenant du passé.
Gustav : Maman … arrête avec ça … tu sais très bien que je n’aime pas quand tu fais ça.
La mère de Gustav : Mon chéri … c’est ta cousine quand même … puis regarde comment vous êtes mignon tout les deux.
Une heure vient de passé … une heure de souvenir de bonheur … une heure où sourire et rire se mélange sans gêne … une heure où Engel n’a pas eu peur.
Mère de Gustav : On a eu ta mère au téléphone il n’y a pas longtemps … elle demande de tes nouvelles … on pourra lui dire que tu es avec Gustav en se moment … enfin si tu le veux ?
Engel : Maman … maintenant … téléphoner ?
Mère de Gustav : Tu veux lui téléphoner … Je vais voir se que je peux faire.
La mère de Gustav rejoint son mari dans la cuisine … cuisinant un bon petit plat comme il les a apprit à son fils … les bras de la femme s’entour autours de la taille de l’homme … et doucement la voix de la femme s’élève dans la cuisine.
Mère de Gustav : Engel veut appeler Marine … tu pourrais appeler ton supérieure pour avoir l’appelle.
L’homme se retourne vers ça femme … le sourire aux lèvres. Depuis tellement d’année il a toujours voulu être utile … il a commencé par la cuisine de la prison … toutes ces femmes ne sont pas méchante, loin de là … puis il a commencer à faire les sorties dans la cours … parlant et rigolant avec ces femmes en manquent de compagnie … mais n’allait jamais plus loin … quand il a su que ça sœur est rentré dans cette prison … il n’a pas vraiment sourie … mais il a comprit se qui c’était passé … et il c’est dit qu’il pourra lui redonner le sourire … et peut-être un jour lui donner la possibilité d’entendre de nouveau la voix de sa fille … et ça il l’a toujours voulu … donc c’est pour ça … depuis plus de 7 mois … il a donc déjà le numéro de son supérieure dans le répertoire de son téléphone … et à même déjà demander à avoir cette appelle n’importe quand … à n’importe qu’elle heure – c'est-à-dire maintenant.
Le père de Gustav : Je l’appelle maintenant.
La mère de Gustav : Merci mon chéri.
Elle embrasse plus que furtivement son mari … puis se retourne … mais l’homme n’en reste pas là … il met délicatement la main au fesse de sa femme … tout les deux le sourire aux lèvres.
Gustav n’arrête pas de chatouiller la jeune fille … une nouvelle fois elle sourie … de nouveau elle rigole … des larmes de joie glissent doucement le long de ces joues. Elle est heureuse, il n’y a pas de doute là dessus … dire que la tristesse est parti, ça serrait s’avancer un peut trop.
La mère de Gustav rentre dans le salon … le sourire aux lèvres … regarde ces deux enfants qu’elle trouve désormais grand … mais elle les aime quand même comme avant.
Une voix d’homme raisonne de la cuisine ... la silhouette du même homme, dans le salon, ne se fait pas attendre.
Père de Gustav : Engel … c’est pour toi.
De ça grande main droite … il tant le portable à la jeune fille … Gustav regarde alternativement le portable puis ça cousine … la peur se lit délicatement dans son regard … il ne sait pas qui est au bout du fil … mais pourtant il laisse Engel prendre le petit téléphone … le poser contre son oreille et d’une voix douce comme la musique d’un ange dire «
Bonjour »
Une voix purement féminine raisonne dans l’appareil électronique.
… : Ma chérie ?
Engel : Maman ?
Les larmes de joie coulent le long des joues de la jeune fille … elle entend de nouveau la voix de sa mère qui lui a tellement manqué.
Marine : Ma chérie … tu me manque beaucoup tu sais … comment vas-tu ? Tu connais mieux l’allemand maintenant ? Comment va Gustav ? Qu’as-tu fais depuis ton départ ? Raconte moi tout ma chérie … je veux tout savoir.
Engel : Manquer toi aussi à moi … Allemand compliquer … Moi vivre Gustav …
Marine : Tu vis avec Gustav ?
Engel : Oui … dans … Euh … sa maison. Moi avoir garder enfant … mais … euh … toujours grande maison.
Marine : Tu as voulu le garder ?
Engel : Non … peur regard.
Marine : Tu sais, il est mort … il ne te fera plus rien maintenant.
Engel : Maman ?
Marine : Oui ma chérie.
Engel : Merci.
Marine : Tu sais … il n’avait pas le droit de te faire ça.
Une main se pose sur l’épaule de la mère … elle regarde vaguement la gardienne juste derrière elle … et elle comprend qu’elle doit raccrocher.
Marine : Ma chérie, je dois te laisser … je dois retourner dans ma cellule … je te rappelle demain … ton ongle me donnera le numéro de Gustav.
Engel : Manquer à moi.
Marine : Moi aussi tu me manque. Je t’aime très fort.
Engel : Moi aimer toi.
Engel écoute les «
bips » qui raisonne dans le petit téléphone … elle aimerait tellement voir sa mère … la prendre dans ces bras … mais tout ça est impossible pour le moment.
Elle lâche le téléphone et tombe en larme dans les bras de son cousin … serrant le T-shirt encore froissé des précédentes prisent en main de la jeune fille.