╔╝
Chapitre 24 : Bill, tu m’écoute ?╔╝
Les tenus défile … fessant disparaitre un peut plus la peur … elle prend un peut plus d’assurance … gardant tout de même cette peur dans les yeux.
Habiller d’une robe noir
et de bottes noir
montant jusqu’aux genoux … elle sort doucement de la cabine d’essayage … regardant le regard du guitariste détaille chaque mouvement du vêtement qu’elle porte … au fur est à mesure elle s’y habitus … aillant tout de même peur qu’il n’aime pas.
Tom : Tu as comment elle est belle ta maman.
En disant ça à Weiß il avait pris une voix d’enfant trop mignonne.
Mais l’androgyne ne se gêne pas pour montré qu’elle est parfaite … mais malheureusement les bottes ne vont pas avec la tenu … il se faufile de nouveau dans les rayon … regardant chaque chaussure … chaque bottes … entrainant avec lui la jeune fille qui regarder le guitariste qui a Weiß dans les bras.
Des kilomètres plus loin … dépassant une frontière un homme se démène jours et nuit depuis trois jours … les poches sous les yeux montrant sa fatigue … la motivation ne s’arrêtant pas de grandir en lui … il avait enfin trouvé l’adresse de l’avocat … et par chance il n’est pas encore trop tard pour aller lui rentre visite.
Il rentre violement dans le bureau … essoufflé d’avoir monter les marches à toute vitesse. L’avocat sursaute en voyant l’homme rentré dans son bureau … se séparant se ça secrétaire déjà bien déshabiller … la robe noir remonter assez haute montrant qu’elle ne résistera plus très longtemps à son patron.
Gustav : Désoler.
Il referme doucement la porte en sortant de la pièce … mais une voix l’arrête.
… : Rentrez, vous ne dérangez pas.
Monsieur Las ne parle pas que le français … il a plusieurs langue vivante à son actif … dont l’allemand. L’avocat se recoiffe maladroitement sa chevelure blonde mal entretenu … la secrétaire réajustant ces vêtements et sa délicate chevelure noir.
Monsieur Las : installez-vous.
D’un geste de main il montre la chaise noir juste devant le bureau. Le batteur s’avance doucement et s’installe.
Monsieur Las : A propos de quoi puis-je vous aidez monsieur ?
Gustav : Je ne suis pas seul.
L’avocat montre son incompréhension dans son regard … il retourne précipitamment son visage dans la direction de la porte qui s’ouvre doucement. Un agent de police rentre … sortant sa carte … la montrant à l’avocat … un deuxième avocat fait éruption dans la pièce.
Gustav : Je suis ici pour la réouverture d’un dossier.
Monsieur Las : Oui bien entendu.
Gustav : Le dossier « Schwarzer»
La peur se lit dans les yeux de l’avocat … pourquoi veut-on tellement rouvrir se fichue dossier.
Monsieur Las : Comme je l’ai déjà dit à ça fille … le dossier à été perdu.
Dans ça voix on comprend que le mensonge est bien présent … les tremblements montrent un peut plus se qu’il cache.
L’agent de police s’avance vers l’avocat.
L’agent de police : Monsieur Las, nous allons faire une perquisition.
Le policier montre une feuille gribouiller de noir imprimer à l’avocat … se dernier lissant attentivement chaque mots … puis il y a cette phrase «
Chaque dossiers, écrit ou informatique, seront emmener au commissariat. ». Il n’a plus le temps … plus le temps de tout effacé … pourquoi il ne l’a pas fait avant.
Il n’est pas loin de 23h00 … et pourtant la soirée ne fait que commencer … six tenus trônent dans les sacs de différent magasin … que le guitariste à choisi de porter, ou peut-être pas. Ils arrivent dans un autre magasin … une jeune demoiselle au style peut-être pas assortie au magasin … et derrière la caisse.
… : Bonsoir et bienvenu.
L’androgyne s’arrête dans sa recherche de vêtement en entendant cette voix qu’il qualifierait lui-même d’angélique. Il se retourne vers la demoiselle est sans vraiment attendre de la voir qu’il commence déjà à la détailler.
Une chevelure noir … puis il regarde se visage … un maquillage fin, détaillant son regard vert émeraude … puis il y a se petit nez, qui pourrait faire craquer n’importe quel garçon. Puis ces lèvres … ni trop pulpeuse, ni trop petite … peut-être trop parfaite.
Le chanteur ne peut plus quitter cette personne des yeux … elle est tellement parfaite. Et son jumeau qui lui parle depuis qu’ils sont rentré dans le magasin … et la jeune fille aux yeux bleu qui regarde timidement les rayons de vêtement entreposé joliment dans le magasin.
Tom : Bill, tu m’écoute ?
Il avait donné de la force dans cette phrase … et pourtant le regard de son jumeau est toujours entrain de détailler la silhouette parfaite de la caissière plus que jolie à son gout.
Le coup de foudre existe-t-il vraiment dans le monde ? L’androgyne ne sait pas se qu’il ressent en lui … mais se qu’il c’est, c’est qu’il n’a jamais … mais vraiment jamais … vue une fille de cette façon … surtout pas une fille qu’il n’a jamais vue au paravent.
Le guitariste abandonne … il laisse l’androgyne regarder la jeune caissière … et avec la jeune mère … il regarde les vêtements … essayant en même temps de faire rire Engel … se qu’il arrive à faire … en mettant des chapeaux de clown … ou encore en fessant des grimasse toute aussi bizarre les unes des autres.
ma petite demande maintenant ... alors ...
je veux un long commentaire ... sans demande de suite directe dite
Je ne veux pas de "suite stplai" ... et je veux toute les critiques positif ou négatif que vous ressenter quand vous lisez ma fiction
à vous de jouez
bisous bisous
Mistig