╔╝Chapitre 32 : Tokio Hotel ╔╝
… : Maman … je pars … tu t’occupe de Weiß ?
… : Oui … bonne journée ma chérie.
Ça fait presque un mois qu’elle est arrivé dans Paris … elle a retrouvé le Français … mais n’a en aucun cas perdu l’allemand qu’elle utilise souvent dans son travaille … son patron étant allemand et comprenant très peut le français, qu’il trouve compliquer.
Marine … est là depuis que l’appartement est acheter … elle a bien entendu inviter les stars … mais ils ne sont pas venu … prétendant toute sorte de chose … Engel ne leurs en veut pas … après tout c’est elle qui est parti. Marine s’occupe de Weiß … va le chercher le chercher chez la nourrisse quand il doit y aller … et les week-ends, elle va travailler dans un bar … le seul emploi qu’elle est trouver après ces quelque mois de prison … son patron est au courant pour la prison … mais il ne sera pas pourquoi elle y été.
Engel marche doucement dans la rue … la capuche noir protégeant toujours et encore son visage laiteux de la pluie … elle est habiller d’un robe, un peut courte à son gout, noir … d’un pantalon tout aussi sombre … de chaussures à talon affinant un peut plus ça silhouette déjà bien fine … le maquillage est toujours présent sur son visage … des bracelets en tout genre on prit possession de ces poignés … cachant les traces de brulure … un verni noir termine ces fins doigts. Son patron ne voulait pas qu’elle perde son style pour travailler … alors il lui a demandé de venir habiller de sont style tout les jours.
La porte du magasin se dessine doucement devant elle … les autres magasins s’ouvre presque en même temps … invitant déjà des clients à rentré … elle n’est pas en retard … elle est même en avance.
Elle rentre dans le magasin … le cliquetis de la clochette au-dessus de la porte annonce ça présence … son patron lève la tête de l’ordinateur … et d’un français de bas niveau lui souhaite la bienvenu en lui disant un «
Bonjour ».
Engel : Bonjour Maxum.
Elle tape des pieds sur le sol … laissant tomber quelque goute d’eau sur le grand tapie de l’entré … elle se précipite dans l’arrière boutique … enlevant ça veste … gardant encore quelque seconde le pull et la capuche qu’elle n’aime pas trop quitter. Elle enlève la capuche … laissant échapper une chevelure mi-longue mécher de blanc avec une tresse qui descend le long de son dos … se terminant presque au niveau de ces reins.
La clochette l’appelle déjà à l’ordre … le bonjour peut français de son patron retenti … elle sort de l’arrière boutique … salut le client dans un français bien plus correcte que son patron … et demande s’il cherche quelque chose de particulier.
Client : Je cherche un magasin Allemand pour ma fille … si j’ai compris, elle veut qu’il y est les « Tokio Hotel » dedans.
Engel : Avez-vous le nom du magasine ?
Client : Je suis désoler mais non.
Engel : Je vais vous en chercher plusieurs alors.
Client : Merci beaucoup jeune fille. Elle quitte le comptoir … laissant le client patienter quelque minute pendant le temps où elle court dans les rayons que font la librairie.
Elle prend plusieurs magasine allemand … en profitant pour regarder les titres qui se propose à elle.
« Gustav nous présente ça copine. »
« Tom toujours célibataire. Qui attend-t-il ? »
« Le chanteur de Tokio Hotel vie le parfait amour. »
« Tokio Hotel … plus en Allemagne ? »
« Georg reste discret sur le prénom de ça copine. »
« Le déménagement des jumeaux. »
Elle s’arrête sur le dernier titre que présente le dernier magasine … une photo de Bill et Tom montant dans un avion … Gustav et Georg restant en dehors de l’avion. Elle lâche les autres magasine … ouvre précipitamment le magasine … cherche l’article les concernant.
« Le déménagement des jumeaux. »
« Bill, le chanteur de Tokio Hotel, et Tom, le guitariste de Tokio Hotel, les jumeaux les plus célèbres d’Allemagne, sont belle et bien parti de Hambourg pour retrouver leurs nouveau logement à L A. »
« La copine de Bill ne vient pas avec eux. Bill restera-t-il longtemps à L.A. ? »
Une larme tombe maladroitement sur le magazine. Les genoux de la jeune fille tombent silencieusement sur le carrelage gris/blanc. Elle se lève à toute vitesse … ramasse les magazines avec la même rapidité … court une nouvelle fois entre les rayons sans oublier de faire attention à ne pas tomber … elle dépose maladroitement les magazines sur le comptoir.
Engel : Patron, j’ai trouvé les magazines … je dois rentrer à la maison … une urgence.
Le patron regarde les magazines ouvert au-dessus de la pile … il a comprit … le titre … les larmes. Il est au courant pour son histoire … c’est pour ça qu’il lui donne l’autorisation de partir d’un hochement de tête … elle n’attend pas plus longtemps … et sort de la grande librairie … courant aussi vite que ces talon lui permette.
Elle court encore et encore … essayant d’effacer les larmes qui coulent le long de ces joues … accompagner des larmes du ciel.
«
Pourquoi tu es parti ? » … «
Tu m’avais promis, non ? » … «
Gustav, pourquoi tu ne me la pas dit ? » … «
Dit Tom … tu seras là à mon retours en Allemagne ? » … toutes ces questions se pousse dans ça tête …des mots allemand prennent place des mots français.
Elle rentre précipitamment dans l’immeuble qu’elle occupe avec ça mère … bouscule un des voisin … oubliant de s’excuser … monte les 5 étages qui la sépare de son téléphone portable qu’elle ne prend pas la journée … essaye d’ouvrir la porte fermer par ces soins quelque temps plus tôt … mais rien ne va … la porte reste fermer.
Elle tape violement dessus … la porte s’ouvre brusquement sous la voix de ça mère.
Marine : Qu’est ce qui …
Engel rentre précipitamment dans l’appartement … prend son téléphone … et dans toute ça précipitation compose le numéro pour entendre la voix de son cousin.
Oui je sais on est pas le soir ... mais j'avais envie d'avancer le temps et de vous la postez maintenant ... à vous de voir si vous aimez ou pas
Avis ???
bisous bisous