[T.] J'ai perdu.

33. 22 avril 2010, 23h30, petits souvenirs entre amies 3

Je ferma donc les yeux quelques secondes cherchant, le début mais ne c’était pas facile parce nous deux c’était un peu je t’aime moi non plus. Mais je me souviens de la rentrée, on rentrait en 9ème classe. Tom, Bill et moi on se retrouva dans la même classe, autant dire que j’allais me le coltiner toute l’année. Pire le professeur de mathématique nous mis à côté.

Gabrielle : géniale vraiment
Tom : plaisir réciproque, j’aurais préféré être à côté d’Emma.
Gabrielle : moi aussi.

Faut pas croire on était pas toujours en froid, on s’aimait bien mais pas souvent c’est tout. On avait passé tout l’été ensemble sa c’était plutôt bien passer mais le soucis à commencé vers la mi- août je m’étais mis en couple avec baptiste et lui avec Emma. Et comme je détestais Emma et lui baptiste et bien on ne s’aimait plus trop. Plus tard je me trouvais dans le couloir avec mon copain de l’époque, on se disputait.

Baptiste : tu vas faire quoi samedi ?
Gabrielle : je te l’ai dis, je vais à la fête du nouvel an des Kaulitz.
Baptiste : sans moi ?
Gabrielle : de toute façon je ne pense pas rester longtemps.
Baptiste : je n’ai pas envie que tu y ailles !
Gabrielle : ce n’est pas à toi de décider. Aie, arrête, tu me fais mal, arrête.

Il me serrait le poignet c’était affreux, j’avais mal et il n’arrêtait pas du moins avant qu’il arrive. Je commençais à avoir peur le couloir était vide du moins je croyais.

Tom : hey, tu arrêtes ça tout de suite !
Baptiste : occupe toi de tes affaires !
Gabrielle : lâche moi !

Tom plaqua violement baptiste contre le mur le tenant par le col. Il était énervé, baptiste le repoussa vite mais ne fit rien d’autre. La pression redescendait, depuis que je l’avais entendu, je savais qu’il réagirait. Qu’il me sauverait.

Tom : je t’ai dis de la lâcher.

Puis le grand blond, partit, pendant que je pris Tom, dans les bras qui un peu surpris les ferma un peu de temps après.

Tom : quitte cet idiot, des garçons il y en plein surtout pour une jolie fille comme toi.

Je fermais les yeux, parce que les siens étaient, déjà, trop inquisiteurs. Il approchait son visage du mien, je le sentais. Mais au moment où il allait m’embrasser la sonnerie ce fit entendre et puis gênés on partit tout les deux d’un côté.
Je l’évitais toute la semaine, jusqu’à sa fête. J’avais pardonné à baptiste pour sa crise de folie et il avait tenu à m’accompagner. La soirée était cool, j’évitais Tom toujours. La lumière était tamisée. La musique était un peu là leur à certain moment mais sinon c’était les tubes du moments. Les Kaulitz avaient déjà de l’alcool malgré notre jeune âge. Et je dois avouer que cela n’était pas passé inaperçu à baptiste. D’ailleurs il commençait à être lourd, il me collait, il m’embrassait sans cesse. Je le stoppais parce qu’il puait l’alcool il allait finir par m’énervais sérieusement.

Gabrielle : c’est bon là, tu sais quoi tu devrais rentrer chez toi, tu as vraiment trop bu.
Baptiste : j’ai d’autres projets.

Et il m’embrassa encore une fois de force, il me poussa contre le mur, me faisant mal au passage. Et mis sa main sur ma cuisse. Je le repoussai mais rien n’a fait alors que je commençais à avoir vraiment peur. Il intervint une autre fois mon sauveur dreadeux.

Tom : tu comprends rien, ou quoi ? Tu la lâches !

Dit-il en le plaquant contre le mur.

Tom : tu me tapes vraiment sur les nerfs.
Baptiste : toi aussi, lâches moi !

Les amis de Tom l’aida à le mettre dehors et il me fit montais dans la salle de bain. Mon maquillage avait coulé à cause des larmes. Je fis couler de l’eau, il m’ouvrit le placard à droite de la glace qui reflétait une image que je ne voulais pas voir.

Tom : tiens il y a tout les affaires de maquillage de Bill, sert toi.
Gabrielle : merci.

Essayait d’enlever tout mais rien ne marchait, j’en avais marre. J’étais exténuée. Il prit alors les cotons, les imbiba de produit. Il se mit face à moi passa délicatement le coton sous mes yeux. Ces yeux furent si beaux, la distance était entre nous si petite qu’il me fit baisser la tête. Et de sa main il la releva.

Tom : tu es si belle.

Il colla son front au mien puis posa ces lèvres sur les miennes si doucement que je ne les sentis presque pas, il fallut que je mette ma main, sur sa joue. Pour qu’il m’embrasse vraiment.
C’est les cris d’en bas qui nous dit stoppâmes, « bonne année » retentissait dans toute la maison.

Tom : bonne année Gabrielle

Me dit-il en caressant ma joue.

Gabrielle : bonne année Tom.

Puis on descendit en bas rejoindre les autres, qui s’embrassaient, Georg, Gustav et Bill bien sur. Louisa et lui finirent la nuit ensemble. Et moi je partis dormir avec Tom, puisque il ne restait pas d’autre chambre. Il était derrière son ordinateur, pendant que je me glissais dans son lit.

Tom : je ne t’ai pas entendu venir.
Gabrielle : un guitariste qui n’a pas d’oreilles c’est curieux.

Il s’approcha de moi en caleçon, torse nu pour dormir. Il était incroyablement attirant. Il rentra dans le lit. Il me chatouilla le ventre.

Gabrielle : arrête, je n’aime vraiment pas ça.
Tom : tu sais ce que je veux en contre partie ?

Dit-il au dessus de moi.

Gabrielle : quoi ?
Tom : tes lèvres.

Alors je l’embrassais à mon tour. On s’endormit très vite, alors que le soleil venait de pointer son nez. Je partis de chez lui avant qu’il ne se réveille. Le jour même, chez moi vers 20 heures, baptiste se trouvai devant chez moi. Il me supplia de le reprendre, pleura même. Il était convainquant voir trop. Et je décidai de lui laisser une dernière chance. Tom et Bill étaient partis en vacances chez leur père. Donc j’attendrais la rentrée pour parler à Tom. Malheureusement tout ne se passa pas comme prévu. J’étais devant le panneau d’affichage quand il apparut à mes côtés.

Tom : salut, alors ces vacances ?
Gabrielle : bof, rien de particulier et toi ?
Tom : pareil, j’ai pensé que tu m’appellerais mais tu ne l’as pas fait alors j’ai attendu de te voir ce matin.
Gabrielle : justement, je voulais te voir pour te parler et …

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un désastre de plus mdr.
allez plus que deux !

34. 22 avril 2010, 23h 39, petits souvenirs entre amies 4

urprise, la haine, l’incompréhension, la tristesse, le dégoût.
Baptiste : salut Tom, dit-il en lui serrant la main sous le regard médusé de Tom. Je voulais m’excuser pour la fête, j’ai un peu trop bu, mais maintenant sa va ? Tu ne m’en veux pas ?

Tom : non, non pas du tout, tu m’excuses je dois y aller. Et là c’est moi qui regardais, il était déçu beaucoup même, je ne voulais pas que sa se passe comme sa.

La matinée de cours fut très désagréable, Tom ne me regarda même pas pour me passer les feuilles. Je l’attrapa par la manche pour qu’il reste dans la salle, je voulais lui parler m’excuser. Tant pis pour le professeur d’allemand.

Gabrielle : attends, faut que je te parle.
Tom : tu veux dire quoi ?
Gabrielle : désolé, j’avais pas prévu qu’il reviendrait.
Tom : écoute tu fais ce que tu veux c’est ta vie après tout si tu veux être avec un mec complètement taré qui frappe les nanas.
Gabrielle : il est pas comme ça.
Tom : ben voyons, écoute je suis content pour toi, félicitation à vous, deux, j’espère que tu as bien choisis le bon garçon vu que tu l’aimes.
Gabrielle : d’accord tu m’en veux, mais tu peux quand même me pardonner.
Tom : non, je te souhaite plein de bonheur !

Et il claqua la porte. Mauvais comédien celui là. L’enseignant me dit :

« Quelqu’un vous as fait du mal ? »

Enervé, je lui dis qu’il devait se mêler de ses affaires et sortit moi aussi en claquant la porte. Il m’ignora complètement pendant deux longues semaines. Sans un « salut », sans un regard, j’étais invisible mais cela m’agacée plus que je ne le voulais. Je regrettais sincèrement, la vérité c’est qu’il me manquait. Bill heureusement était toujours là du début à la fin il serait toujours là. Et il avait aussi très vite choisis son camp. J’étais au parc avec lui devant les pigeons.

Bill : quitte le, Gaby, vraiment, il est idiot ce type, tu as vu ta main ?

Je regarda mon poignée, violacées que avec des traces de doigt c’était assez gros et pour justifier ça à mes parents sa n’avait vraiment pas était facile.

Gabrielle : oui, je sais, je vais le faire.
Bill : vraiment ?
Gabrielle : oui, c’est bon j’ai compris, je le ferais dans la semaine.
Bill : ne fait pas ça n’importe comment, tu vas dans une milieu public bondée de monde, avec moi et Tom, puis on ramènera quelques potes. Histoire qu’il n’envisage pas de te touchée, puis de lui faire un peu payer ce qu’il t’a fait.
Gabrielle : non, non pas question, tu sais il m’aime, il est juste un peu perdu.
Bill : Tom aussi est amoureux de toi mais lui tu ne le ménages pas.
Gabrielle : mais non, Tom a envie d’autre chose qu’une relation sérieuse.
Bill : que tu crois.
Gabrielle : mais tu rigoles ou quoi ? Il le crie à qui veux entendre, qu’il veut une fille juste pour quelques nuits par semaines.
Bill : non mais il dit sa parce qu’il veut pas paraître faible, il est dingue de toi le pauvre. Si sa continue dans l’album il n’y aura que des chansons mélancoliques. Toute la nuit sans arrêt il joue, à la guitare, il me saoule d’ailleurs à force.
Gabrielle : tu exagères toujours, il y a qu’à voir la dose de maquillage sur ton visage pour le savoir.

Il rigola après m’avoir chatouillé les côtes. On marcha dans le parc. Le weekend suivant je débarquais chez les jumeaux pour voir Bill officiellement et donc Tom officieusement. Je comptais passer la soirée et la nuit chez eux. J’étais dans la chambre de l’androgyne.

Bill : enfin, je retrouve ma Gabrielle, content que tu l’es enfin largué.
Gabrielle : c’est plutôt mon frère qui s’en est occupé.
Bill : il a bien du souffrir.
Gabrielle : j’avoue
Bill : tu vas pouvoir aller voir mon frère alors.

Me dit-il avec un lever de sourcil qui voulait tout dire.

Gabrielle : écoute si déjà il me reparle se sera un miracle. Bon tu me les fais lire tes nouvelles chansons ?
Bill : oui tient.

Je lis les magnifiques paroles, elles étaient vraiment superbes.

Bill : laquelle tu préfères ?
Gabrielle : « Ich Bin Nich' Ich » elle juste parfaite
Bill : celle de Tom, c’est un signe.

Je levais les yeux au ciel. Quand j’entendis frapper à la porte.

Bill : entrez !!!
Tom : tu sais où sont mes écouteurs ?!

Dit-il en regardant Bill, visiblement énervé.

Gabrielle : salut
Tom : Bill !!
Bill : euh là, sur la table,
Tom : la prochaine fois tu me demandes avant de me prendre mes affaires.

Puis il claqua la porte, Bill le suivait, sa cria dans le couloir au point que c’est le beau père des garçons qui leur dit de se taire et retournait chacun dans leur chambre. Bill entra donc énervée.

Bill : franchement, c’est un idiot, tu sais quoi ? Il croit que je te drague ? Tu le crois ?
Gabrielle : je vais le voir.
Bill : si tu veux, non mais qu’elle tête de mule.

Je franchis donc la porte la ferma doucement pour ne pas réveiller une nouvelle fois le couple Kaulitz. Au fond du couloir se trouvait sa porte, je frappa une fois, deux fois, trois fois et à la quatrième, il ouvrit enfin excédé. Il se mit à crier.

Tom : sérieux, Bill tu vas trop loin.

Il se stoppa net, comprenant que c’était moi. Et me dis d’un ton glacial.

35. 22 avril 2010, 23h46, petits souvenirs entre amies 5

Tom : tu veux quoi ?
Gabrielle : rentré j’ai froid.

Il souffla et me laissa passer.

Tom : voilà tu veux quoi ?
Gabrielle : mais tu vas arrêter de crier ?
Tom : je fais ce que je veux, je suis chez moi.
Gabrielle : et alors ? J’entends quand tu me parles normalement, je suis pas sourde.

Je rentra dans la pièce, au mur bleu clair, attrapa la première veste bien trop grande déjà à l’époque et la mit. Je releva les manches pour pas qu’elle me gêne. Alors il fixa mon poignet.

Tom : c’est quoi cette horreur ?

Il me prit le bras pour examiner ma blessure violette, vraiment pas belle. Il fit de petits ronds avec ces pousses, donnant la chair de poule à tout mon bras.

Gabrielle : c’est rien sa va guérir.
Tom : si tu l’aimais pas je crois que je l’aurais tuer depuis longtemps.
Gabrielle : je l’ai quitté tu sais ?
Tom : tu dis sa pour que je le tue ?
Gabrielle : non, mon frère s’en est chargé.
Tom : tu écoutes au moins quelqu’un.

Il me fixa un bon moment et je fis de même. Une envie irrésistible me prit je caressais son visage. Il ferma les yeux, j’en profitais pour coller mes lèvres aux siennes.

Tom : arrête, s’il te plait
Gabrielle : pourquoi ?
Tom : parce que toi tu m’aimes bien, et moi je t’aime tout court, alors toi ça te fait rien mais moi ce que tu me fais sa me fais mal vraiment.

Je recommençais à l’embrasser, j’étais sur la pointe de pieds, et malgré tout il se laissa faire.

Tom : si tu m’aimes un tout petit peu alors s’il te plait arrête.

Et je recommença, il avait les yeux fermaient depuis le début. Et ces lèvres étaient la chose la plus douce. Un vrai délice. Il ouvrit les yeux.

Tom : pourquoi tu continues ?
Gabrielle : parce que je t’aime beaucoup, alors je continue.
Tom : beaucoup ce n’est pas suffisant.
Gabrielle : je t’aime tout court alors ?
Tom : vraiment ?
Gabrielle : vraiment.
Tom : pourquoi tu ne l’as pas quitté pour moi alors ?
Gabrielle : je n’étais pas sure que tu voulais de moi, puis j’étais quand même un peu attaché à lui.
Tom : tu l’es toujours ?
Gabrielle : non, il m’a fait trop de mal.
Tom : enfin tu l’as compris. Et sache que je te veux.
Gabrielle : pour combien de temps ?
Tom : très longtemps, du moins jusqu’à ce que tu ne veuille plus de moi.

On s’embrassa et on décida un peu plus tard de ce mettre officiellement ensemble le 5 février 2004.

Alice : c’est trop mignon.
Gabrielle : oui c’est vrai.

J’avais presque oublié cette histoire, et me la rappeler, me faisait du bien, j’étais heureusement d’avoir trouver un homme comme lui. A cet instant précis il me manquait énormément. J’avais besoin de lui. C’est pour sa que je m’éclipsa dans la nuit pour l’appeler. Juste entendre sa voix.

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Retour en 2010, une suite plus potable euh demain soir ?
bizoo

36. 23 avril 2010, 5H34, Ta voix fait vibrer mon cœur plus fort que les cordes de ta guitare.

Je me suis levée, j’arrivais pas à me rendormir, j’avais envie de l’entendre, seul lui réussirait à me calmer. J’étais anxieuse et je ne savais même pas pourquoi. Et mon seul et unique remède je le connaissais depuis longtemps, lui. Je me levais et me trouvai à la cuisine après m’être perdue. La cuisine était silencieuse et la lumière commençait à passer à travers les volets. Après avoir pris un verre d’eau. Je pris mon portable et d’un doigt je l’appelai mais je comptais tomber sur sa messagerie que l’on avait faite à deux comme la mienne. Je voulais entendre sa voix sans le déranger. Je savais que ça lui ferais plaisir puis qu’il me rappellerait dès qu’il pourrait. Sauf qu’au bout de deux sonneries, je l’entendis parler, un peu surprise je mis du temps à trouver quoi dire.

Tom : Gaby ?

Sa voix était stressée, il devait penser qu’il l’était arrivé quelque chose pour que je l’appelle à cette
heure.

Tom : ça va ?
Gabrielle : oui, oui ne t’inquiète pas, je ne m’attendais pas à toi
Tom : tu t’es trompée ? Tu voulais appeler qui ?
Gabrielle : toi, mais je pensais que je tomberais sur ta messagerie, que tu dormirais.
Tom : ah d’accord, mais je préfère t’avoir vraiment que sur messagerie.
Gabrielle : je sais, mais bon, comment ça se fait que tu ne dormes pas ?
Tom : je sais pas, quel heure il est ?
Gabrielle : six heures moins le quart.
Tom : oui, dans une petite heure je pense que j’arriverais à dormir.
Gabrielle : c’est tard, tu vas te lever à quelle heure encore 16 heures ?
Tom : non vers 10 heures.
Gabrielle : mais c’est trop peu tu vas t’épuiser à ce rythme là, dors plus.
Tom : je n’arrive pas à dormir.
Gabrielle : mais pourquoi ?
Tom : toi, je suis trop habitué à ta présence, le lit vide c’est pas facile, j’ai plus de repère.

Je ne répondis rien, laissant la culpabilité noyer mon cœur.

Tom : je ne t’en veux pas, Gaby, puis je vais te revoir bientôt.

Comment faisait-il pour lire en moi, pour me comprendre comme ça. Quand notre amour avait franchi la barrière de la parole pour se retrouver dans le jardin de mes pensées ?

Gabrielle : je m’en veux moi, Tom, tu me manques, moi aussi j’ai du mal à dormir, j’ai froid.
Tom : alors viens, rejoins-moi comme avant, toi et moi.
Gabrielle : ce n’est pas si simple.
Tom : tu m’énerves.
Gabrielle : je sais.

Je laissais passer un petit moment avant de répondre. Etre avec lui de nouveau, j’en avais envie, mais cela me faisait peur.

Gabrielle : tu sais ce que j’ai fais tout à l’heure ?
Tom : non, dis-moi.
Gabrielle : j’ai raconté comment on s’était rencontrer à Alice, et tout.
Tom : pas très romantique.
Gabrielle : si quand même bon j’avoue que la première fois que je t’ai vu dans les toilettes du collège il y a mieux mais bon.
Tom : je t’avais repéré avant moi.
Gabrielle : tu m’as vu où ?

J’aurais du m’en douter, meilleur en tout, un génie et pas que musical.

Tom : à la cantine avec Louisa et Anna. Tu ne peux pas venir deux ou trois jours avec moi ?
Gabrielle : tu es où ?
Tom : à Berlin.
Gabrielle : c’est loin, mon cœur, on se revoit pour les comets ?
Tom : minimum
Gabrielle : oui, je ne veux pas attendre plus.
Tom : je vais dormir un peu hein, tu ne m’en veux pas ?
Gabrielle : non, je suis contente de t’avoir eu au téléphone.
Tom : je t’appelle ce soir, je t’aime ma chérie.
Gabrielle : à ce soir mon amour, par contre appel moi tôt parce que l’on sort ce soir, en boîte, le temps que je me prépare et tout.
Tom : tu vas où ?
Gabrielle : celle vers le centre commercial d’Hambourg.
Tom : okay, bisous, je t’aime
Gabrielle : je t’aime aussi mon amour.

Il raccrocha, il me manque trop. Je voulais le revoir, mais la routine les souvenirs me faisaient peur.

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Non, elle n'est pas folle avec c'est "oui mais" il y aura une explication pour son hésitation, je vous rassure c'est fait exprès
voilà une suite qui ne sert à rien, ou presque,
alors vous aimez ??
bizoo