[T] Quel est la limite d'un rêve ?

Desoler a cause de petit soucis familaile je n'ai pas ecrit la suite

Encore desoler

Ce n'est pas grave ; )
Mais on veut bien comprendre tout çà au plus vite , alors je dis :suite !

T'inquiètes pas !! y a pas de soucis Very Happy

On attends la prochaine suite avec impatience !!

La suite normalement aujourd'hui bisous

C'est difficile à croire, elle va penser que je suis fou, encore. C'est difficile a croire, elle va penser que je suis fou, encore. Je voudrais que jamais, elle ne le sache et le temps s'arrête même si elle est à l'infinie. Je m'allonge à côté d'elle, je la tiens dans mes bras.
Elle bouge énormément. Je me demande si elle le sait dans ses rêves. Je pense qu'elle doit plus ou moins le savoir. C'est comme un puzzle, elle a réussir à faire le bord du puzzle mais elle ne comprend pas où se place les pièces du milieu, elle n'arrive pas à emboiter les bords contre bords, les formes ne sont pas les même. Bizarre la métaphore.

Val : ton bras, respiré, en essayant de parler

Je remarque que sans le faire exprès, j'écraser involontairement son thora. Je retire aussitôt mon bras. Je m'assoie plus loin pour mieux la voir. Elle me regarde avec de grands yeux.

Val : mon dieu, en me tenant la poitrine
Moi : je suis désolé, je ne pensais pas que je te faisais mal
Val : je voudrais rester seul enfin pour dormir. Enfin non, je veux rester sans toi
Moi : pourquoi ?
Val : tu veux une claque et tu préfère attendre ? Tu viens me faire...et tu pars. Tu me fuis puis tu reviens

Elle regarde autour, cherchant quelque chose. Elle me regarde et me demande s'il y avait toujours eu un seul lit. C'est vrai que pendant qu'elle dormait. Je me suis énervé et j'ai tapé. Au point que les lattes du lit en bois, ne craque et finit par se casser. J'ai du donc changer de lit. Le seul qui était disponible, était un lit d'une place. Il y a un grand changement, maintenant on est l'un au-dessus de l'autre. Personnellement, cela ne me dérange aucunement mais maintenant cela la dérangerait.

Moi : heu on l'a changé hier, tu ne te rappelle pas. Tu m'as même aidé
Val : non. Quelle mémoire j'ai, en riant
Moi : on doit parler tous les deux
Val : de quoi ? De ce qu'on vient de faire ? Tu veux vraiment qu'on en parle ?

Je me prépare. Quels mots, je peux utiliser ? Comment faire penser la tension entre moi et elle ? Comment lui faire comprendre ? Comment lui montrer que mes dires est vrai. Je vais laisser l'instinct, j'espère seulement que se sera bon. Je commence par parler de la maison, son histoire.
Il a construit, il y a plus de 300 ans, par un homme ayant beaucoup d'argent. Cependant il était malheureux quoi qu'il fasse. Il a eu des enfants dont le plus grand hérita de cette maison et les personnes qui vivaient dans son territoire. Cette maison a été transmise de père en fils, un coussin ou neveux depuis des années. Donc c'est pour cela cette maison est en si bonne état de conservation. Toutes les générations ont fait attention à ces murs comme à leurs prunelles de leurs yeux.

Val : donc c'est ton arrière, arrière, arrière-grand père ?
Moi : on peut dire comme ça, oui, en riant

Le changement de conversation tout en gardant le même objectif. L'histoire de la fête du village. Son histoire, sans qu'elle soit modifiée. Le seigneur a voulu conquérir une fille mais cette fête était une mascarade, un prétexte. Il voulait juste que tout le monde les vois ensemble. Ils arrivaient séparément or ils restaient ensemble tout le long de la soirée et rentraient dans la même voiture ( charrette tiré par le cheveux ).

Puis il a voulu continuer de fêter chaque année, pour plusieurs raisons. Un, les villageois sont heureux de mettre leurs beaux habilles du dimanche, deux, les parents peuvent essayer de casser leurs enfants, trois, le seigneur peut partager un moment avec les personnes de bas rang.

Val : bizarre, j'ai l'impression d'avoir...non rien, je dis n'importe quoi
Moi : se seigneur était obsédé par elle
Val : c'est-à-dire ?

* L'histoire du seigneur Tom *

Comme tous les jours, les servants viennent ouvrir les rideaux. Ils m'importent un récipient d'eau, je me lave le visage. Je m'habille comme il se doit. Il fait si ensoleillé aujourd'hui. Je suis bien contente. Je viens d'apprendre qu'une jument vient de mettre bat un jeune poulain. Je décide d'aller le voir, je veux voir ce qu'il faut. Je prends mon cheval et fait un tour. Je prends un grand détour comme ça, je peux voir ce paysage qui est le mien.
Alors que je regardais les signes d'un lac, j'aperçois une fille qui prend de l'eau. Certes, c'est une paysanne mais ont ne devrait pas lui laisser faire se genre de travail à une fille. Porter des seaux, est le travaille d'un homme. Elle ne semble pas se plaindre de la situation. Alors que j'arrive aux écuries, je pense encore à cette mademoiselle. Je reprends le même chemin pour revenir chez moi. Je la vois un peu plus loin que le lac. Dans une maison très délabrer. Je demande à Gérard, une personne que je considére comme un ami. Je lui demande de ce renseigne sur cette fille.

Gérard : je ne sais pas si je pourrais avoir beaucoup de chose à te dire.
Tom : fait de ton mieux, s'il te plait

Les semaines qui arrivent. J'envoie une personne pour faire le sale boulot. J'ai préparée un plan avec différents étapes. Je demande à une couturière qui s'occupe notamment des mes propres vêtements, de faire habilles pour une femme. Je lui donne carte libre pour les toilettes, je veux les plus beaux et surtout beaucoup. Bien sur avec les accessoires qui vont avec.
Le servants vont les travaux necessaire pour sa venue. J'ai chargée une personne de confiance pour mettre le feu à sa maison et la recolte, bien sur, tout ça sans que personne ne soit dedans. Comme prévus sa mère revient me voir pour me supplier.

Tom : pourquoi vous êtes venus, j'espère que c'est pour de bonne raison

Je fais celui que je ne sais rien, l'innocent. Je m'assoie sur une chaise haute, elle reste de débout. Elle me supplier me proposant tout et n'importe quoi. Comme une mère indigne, elle propose sa propre fille. En disant que sa fille s'est tout faire à manger, le ménage, elle fera une bonne à tout faire et qu'elle est encore vierge.

Tom : tu veux quoi en échange ?
Elle : de quoi vivre et m'acheter une nouvelle maison
Tom : dès que tu aurais de l'argent, tu ne pourras plus jamais la voir, jamais. Si tu la vois dans une route, tu feras demi-tour, si elle se trouve dans la même salle, tu abaisseras ta tête. Jamais, tu lui parleras, ni touchera, ni la regardera. Sinon je te ferais payer au centuple ton geste

Elle me remercie mille fois. Je lui donne un paquet où ce trouve un robe. Je vais qu'elle soit décente quand je vais la voir. J'attends une seule journée pour la voir. Une bourse d'argent contre une fille.

j'ai rattraper mon retard et j'aime toujours autant voir même plus ^^
La suite please et j'ai pas eut le deuxième lemon Smile

j'adore ma diablesse
la suite stplai
küss

J'adore

Une autre suite please ^^

Desoler je n'ai pas su ecrire je viens de passer plus de 3 heures au veto pour mon chien donc je ne n'ai rien ecrit

La suite demain si tout va bien

tkt pas ma diablesse
on peut attendre
j'espère que ton chien va bien
et j'espère que toi aussi tu va bien
bisous bisous

Pas grave!! vivement la suite

Bah mon chien s'est fait operer en urgence a cause d'une masse certainement. Une tumeur avec un mélange de pus

J'attends que les veterinaires appellent

Donc la suite demain

d'accord ma diablesse
bisous bisous

Enfin de compte se n'est pas une tumeur mais son uterus que fait normalement le taille de d'un doigt est passe de la taille de 30 cm de large sur 5 cm de hauteur qui etait remplie de puz donc il a retirer la totalite de son appareil reproducteur.

Il faut encore attendre 48 heures pour savoir si elle suporte l'operation et si tout va bien

J'espère que ton chien tiendra le choc!!!

J'espère que ça va s'arranger pour ton chien Smile

la suite des que tu pourra ^^

C'est bien la première fois que je paye autant pour une personne et même pas un esclave. Les semaines passent, elle a beaucoup de mal à s'habituer à sa nouvelle vie. J'ai passé une nuit avec elle ensuite plus rien. Je suis satisfait pour au moins deux mois. Ce n'est pas parce qu'on aime, qu'on en veut toujours plus. C'est plutôt le contraire. Pus on aime, moins on en veut. Je ne comprends pas. Il y a quelque chose qui cloche.
La fête du village va commencer dès se soir. Je vais parvenir d'un autre pays, où je sais qu'une personne à du talent pour les vêtements, je veux qu'elle soit la plus belle, je veux que tout le monde m'envie. Lorsque je la vois descendre d'un pas gracieux, je la désire comme un fou. Je veux pour la prendre par la taille et lui volé un baisser mais à la place je reçois la patte du chien sur mes lèvres.

Elle : c'est bien, en riant
Tom : si il recommencer, il sera puni comme il se faut
Elle : ce n'est qu'un petit chien, en riant. Il faut bien qu'il s'amuser un peu
Tom : je ne tolère pas ce genre de comportement dans ma maison, est-ce bien compris ? En s'énervant
Elle : et si moi, je refuse de faire quelque chose...
Tom : tu le feras de force ou non !

Elle me regarde avec des yeux de tueurs. Tout le long du trajet. Elle ne me regarde pas et encore moins de me toucher. À la soirée, je veux pour commencer se bal en dansant avec elle, hors, elle manque à l'appel. Je demande qu'on la cherche.

Tom : elle n'a pas pu disparaitre comme ça !
... : Elle ne doit pas être pas loin. On va la chercher encore, en s'agenouillant une personne
Tom : petite idiote, en tapant contre un meuble

Cette odeur si familière et envoutante. Je me sens comme hypnotisé, je me dirige vers cette odeur. Je me dirige vers une petite salle. Dans le noir, je me cogne par contre quelque chose. Je prends une bougie et éclaire la pièce. Je vois un corps. J'aurais aimé que mon sens de l'odorat se trompe pour une fois. J'aperçois son corps aux vêtements déchirés, du sang coulant de sa peau nue. Je me mets par terre, sa tête sur mes cuisses. J'essaye de prendre son pouls. Il est fort bas. Elle se meure doucement.

Tom : qui a seulement osé faire ça ? En parlant a moi-même

Mon frère arrive très vite. Je demande que me laisser seule, même mon propre frère reste à l'écart. Il surveille et empêchera quiconque de rentrer. Il reste en dehors de la pièce, me laissant un peu d'intimité avec elle. Je coupe ma peau avec les incisives. Le sang coule dans la bouche. Elle a si peu de force qu'elle ne sait même pas déglutir. Après avoir bu, une quantité suffisante, elle ouvre les yeux.

Elle : tu es un monstre

Elle retombe dans le noir. C'est bien la première dois que cette phrase me blesse en fond de moi, d'habitude, elle ne fait que glisser sur mon corps. Arrivant chez moi, je la mets dans mon lit. Je la surveillance du mieux que je peux. Je reste toute la nuit dans un fauteuil et regarde les verres de vin disparaitrait se remplir. Elle se réveille en pleurant, se tenant sa poitrine. Je n'ose pas toucher, de peur qu'elle me rejette comme un mal propre.

Elle : ma mère, ce monstre
Tom : quoi ? En s'asseyant à côté de moi
Elle : ma mère m'a frappé avec une lame en plein ventre

j'aime , que dis je j'adore ^^
la suite des que tu peut Smile

La suite !!!!!!!!!!!!

Elle regarde aussitôt son ventre. Sans pudeur, je dois dire. Je peux voir tout, surtout ce qu'elle ne porte pas. Elle me dit que c'est totalement impossible, elle devrait être morte en se moment. Elle se jette dans les bras, elle a peur.

Tom : ça va aller, en me caressant les cheveux
Elle : comme quoi les monstres ne sont toujours pas ceux qu'on croit être
Tom : tu veux dire quoi par ça ?

Elle me regarde dans les yeux. Avec sa main, elle va dans la bouche et touche les incisives. Elle le sait que je ne pourrais jamais lui faire du mal enfin jamais qu'auparavant. Je suis obligée d'assouvir mes désirs même si je le regrette énormément de lui faire du mal.

Tom : tu veux que je fasse quoi de ta mère ?
Elle : je n'en ai plus, en tournant la tête vers la fenêtre
Tom : je ferais en sorte qu'il soit vrai

Je pense que jamais je n'aurais pas imaginé cela. Je pensais qu'elle aimait cette vie maintenant. Elle me souriant si souvent. Alors qu'une nuit, j'ai voulu la retrouver. Je n'ai retrouvé qu'un corps sans vie. Les larmes encore fraiches coulait de ses yeux verts. Je sens son verre, il y a une odeur spécifique à un poison. Elle a préfère mourir que de rester avec moi. Pendant longtemps, j'ai voyagé sans pitié pour les personnes que j'ai pu rencontrer. Jamais cette soif ne sera assoiffée, jamais.

* Fin de l'histoire du seigneur *

Val : c'est triste. Bizarre qu'elle veut mourir, elle n'a pas pensé à ce que pourrait arriver à son chien ?
Moi : il s'est laisser mourir, il ne voulait plus manger et encore mieux bouger du lit de cette fille
Val : je dois dire que tu es un très bon orateur
Moi : merci
Val : on dirait que tu l'as vécu, en riant
Moi : pour répondre à ta question. J'ai cherché pendant longtemps une personne qui ressemble juste un peu physiquement ou psychologiquement mais rien. Mais au final, j'ai trouvé quelqu'un de totalement différent, en riant

Je peux apercevoir ce regarde si familier, qui signifie qu'elle est triste mais aussi plein de question se pose en elle. Elle me demande tout simplement qui je suis ? Une simple question mais une réponse si longue.

Moi : je suis un homme meurtrie dans son âme pour avoir seulement éraflé ce qu'on appeler l'amour. Un homme différent des autres par son père. Un homme sans âge, sans vie. Mais qu'est-ce que la vie ?
Val : tu es qui ? En reculant
Moi : un monstre qui a osé poser ses yeux sur une femme inaccessible et qui pour survenir ose trouer se corps vivant pour boire son essence
Val : c'est quelle femme qui cet homme regarde ?

Il y a un blanc. Elle me regarde dans les yeux. Elle ne semble pas effrayer. Elle touche son cou, retire le pansement. Elle glisse ses doigts le long de sa nuque, un peu de sang s'y coule et frôle ensuite mes lèvres. Inconsciemment, je glisse ses doigts dans ma bouche, pour éviter de ne perde une seule goutte. Je lèche cette blessure doucement. Je le cache de mes yeux, de mon envie.

Moi : je préfère mourir que te mordre
Val : pourtant...

La suite si il y a des demandes

La suite !!!!

Je commence enfin à comprendre certaines choses, je veux des confirmations !!!

Moi : ce n'est pas moi, en me coupant la parole. Je ne sais pas qui a osé mais il le payera de sa vie
Val : tu as quel âge ?
Moi : beaucoup plus que tu peux l'imaginer. Et toi ?
Val : beaucoup moi que toi, en riant
Moi : pourquoi tu n'as pas peur ? Tu devrais partir en courant ou essayer de me frapper
Val : j'ai déjà vu cette marque dans mes rêves, en touchant le bas de son corps. Je fais des rêves depuis que je suis petite. Un château, une chambre rouge, un champ de blé, une robe couverte de sang, une nuit...physique, en me mordant les lèvres
Moi : je découvre une partie de toi dont je n'avais pas connaissance, en riant

Je lui vole en baiser, en riant. Je m'allonge à côté d'elle. Val n'explique tous ces rêves, dans les moindre. Il y a bien des similitudes entre ses rêves er ma vie. Je me suis posée plusieurs fois la question. Est-ce qu'on n'a qu'un seul amour dans la vie ? C'est une bonne question. Lorsque je suis arrivée dans ma maison, dès que je suis sortie pour prendre l'air et voir le quartier. J'ai aperçus le visage d'une fille, j'ai sentie ce coeur cogner dans ma poitrine depuis très, très longtemps
Je veux pour lui dire réellement que je suis pourtant elle m'embrasse en me disant de laisser un peu de mystère. Elle me demande de partir et de la laisser seule. Je descends rapidement, je vois Bill venir près de moi.

Moi : je lui ai dit, tout dit
Bill : je fais pareilles avec Mistig
Moi : Valérie, elle l'a bien pris, elle n'a pas hurlé. Elle l'a trop bien pris
Bill : sans faire express, j'ai assommé Mistig. Elle, c'est jetée sur moi pour me refaire, sans doute, le portrait. Je me suis défendu maintenant elle dort
Moi : tu as osé faire ça, en riant. Dès qu'elle va se réveiller il y a des scénarios possible. Doit elle essaye de te tuer, soit elle va parler à Val. Je pense qu'elle va essayer de te tuer

Je prends un bon verre de cognac, un grand verre. Je m'installe sur le canapé. Je prends un grand souffle.

Bill : tu es fatigué ?
Moi : plutôt exténuer de le faire vivre cela
Bill : il le fallait sinon elles seraient mortes. Je paris que Mistig viendra me hanter quand elle sera morte
Moi : oui, j'imagine bien, en riant. Mais au moins si elle te hante, tu pourrais la voir. Je pense que je pourrais supporter cette peur pour un plaisir
Bill : tu pense à Maria ?
Moi : Valérie !

Je regarde dehors, je veux me changer les idées. Je bois mon verre d'un coup sec et jette le verre contre le mur. Les servants arrivent aussitôt pour faire le ménage. Je vois Valérie arrive avec mes vêtements. Elle a changé de fringue, pourquoi ?

Val : j'avais du sang sur mes vêtements alors...
Moi : je comprends...attend...

Je cours près d'elle. Je la prends dans mes bras, qu'elle éviter de marcher à pied nu, elle pourrait se blesser. Elle me donne une bise sur la joue, un frisson transverse mon corps. Je manque de la faire tomber. Heureusement j'ai de bon reflexe. Elle me demande ce qu'il se passe. Je lui réponds que rien.

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