[ OS ] Ce bout de passé.

Cet OS vient d'être écrit.
J'le mets, en sachant qu'Elles* ne le liront pas.
J'le mets pour m'soulager.
J'le mets pour tenter de me débarrasser d'un bout de passé.

Cet OS ce dédie de lui même à Elles*

Pour ceux qui veulent, voila la chanson qui m'a accompagnée : Ici.

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Margaux, Morgane.

Si vous lisez ces lignes, c’est que quelque chose vous pousse à venir ici. C’est impossible. Si vous lisez ces lignes, c’est que Morgane a compris comment marchait cet endroit, et que Margaux aura accepté d’y remettre les pieds. C’est impossible. Mais, si tout de même, vous lisez ces lignes, c’est que je suis là, à écrire. C’est que mon cœur vomit ses souvenirs trop noirs. C’est, pourtant, que je suis toujours en vie, puis que je suis trop lâche pour partir. Si vous lisez ces lignes, alors, accrochez vous bien, mes Chéries.

Il y a longtemps que je voulais dire ça. Raconter mon histoire pour m’en débarrassé une bonne fois pour toute. Retracer ma réalité du moment où je les hais découverts. Te souviens-tu, Margaux ? C’est toi qui m’as fait écouter cette voix étrange et ces notes magnifiques. C’est toi qui as posé un nom sur cette chanson qui m’a brisée le cœur. Pourrais-tu encore le prononcé ce mot, Chou ? Peut être, qu’en sais-je au fond…

Je me souviens de ce jour où j’ai eu les chansons. Où je les ai écoutés. Vous savez, mes Belles, je souffrais en ce temps là. Idiote que je suis, j’ai cru que je trouverais mon réconfort dedans. Dans le fond, ce n’était pas vraiment faux… J’ai commencée à remarcher comme une grande. Vous hantiez déjà ma vie et pourtant je souffrais. Mais, vous souvenez vous d’avant nous* ? Moi oui… Je cherchais cette amitié fidèle. Je l’ai trouvée avec vous. En vous.

Je crois que le premier couteau, fut la nouvelle, Margaux. Tu laissais tomber, tu acceptais d’haïr. Tu sais, ils t’ont fait du mal aussi, ces salauds, et aujourd’hui encore, je me rappelle tes mots. Si tu les croisais, tu te permettrais de leur foutre une gifle. Ca aurait été drôle, dans le fond. Pourtant, je crois que partout ici, ce sont tes fictions qui ont bousillé mon cœur. Comme un coquelicot couleur de sang, mon cœur s’est mis a saigné sur tes mots, mais ca faisait un bien fou.

Ensuite, je crois que ca a été la décadence. Tout a sombré et moi je me suis raccroché à leur musique pour ne pas être un poids mort pour vous. Vous savez, mes Anges, dès fois je me demande si je n’aurais pas du me reposer plus sur vous. Puisque tout allait mal, puisque j’ai choisis de trouver une excuse à ma douleur, j’ai élu cette période de ma vie. Ils étaient dedans. Je les hais, certes, mais dans le fond, ont-ils fait quelque chose ?

Aujourd’hui encore, j’arrive à être ici. Comment ? Par quel miracle ? Non, je ne sais pas. Je suis, je souffre, je reste. Mes mots ne sont plus les mêmes. Ma souffrance non plus. Pourtant aujourd’hui, avec ce beau temps qui devrait me rendre heureuse, j’ai le cœur trop serré. J’ai mal… Pourquoi, vous demanderez vous, mes Etoiles. Je me souviens ce jour où j’ai atteints le fond. Combien de temps déjà ? 2 ans, hein ? Je me souviens de ce jour où j’ai compris qu’au plus profond je les haïssais. Je l’ai manqué de peu, l’hôpital, ce jour là. Et pourtant, mon bras garde toujours cette marque de tristesse… Toujours.

Mais, arrêtons là. Si vous avez lus ces lignes, vous devez vous demander pourquoi je les ai écries. Pas très dur. Allez, cherchez. Ah, je vous vois bien, les filles. Toi Margaux, soupirant de ne pas trouvé et inventant des excuses idiotes. Toi Morgane, riant des mots de Chou. Vous finirez peut être pas vous moquer de moi, et ca me fait rire rien que d’y penser. Non, ces mots, ils sont là pour dire stop. Ce morceau de passé, je m’en décharge. Je ne veux plus que mon regard soit hanté de cette souffrance, lorsque je vous regarde.

Je tiens à vous dire une dernière chose, mes Amours. Je vous aime. Vous êtes, au jour d’aujourd’hui, le plus beau cadeau qu’on m’ait offert. Même les larmes sur mes jours à ces mots, je ne peux m’empêcher de le répéter encore et encore. Même loin de toi physiquement, Chou, mon cœur et enserrer de ta présence comme si je t’enlaçais. Même après cet épisode d’il y a quelques semaines, Morgane, mon cœur t’aime comme un aveugle.

Il se fait tard, maintenant. Je vous embrasse mes Chéries.

Votre Ma'.

Bouleversant.
On sent une telle sincérité dans tes mots, que s'en ait à te retourner l'estomac.
T'as un talent énorme.
Surtout ne t'arrete jamais d'écrire.
Non, ne t'arrete pas.

Merci... Pour ce moment de ta vie partagé, pour cet instant d'émotion.

Merci d'avoir lu, Marjo. Merci de ta présence, de tes com's. Merci parce qu'avec ce com's du dénoue un peu mon coeur trop serré ce soir. C'est incroyable comme tu viens de me mettre les larmes aux yeux.

(L)

Merci à toi pour toutes les sensations que me procurent tes mots. Grace à eux,je m'envole un court instant et laisse de cote la réalité.

Jsuis désolée pour toi. La vie, c'est pas toujours facile...
Courage miss.
Jsuis sure que tu vas t'en sortir.

c'est magnifique , plein de sincerité , tellement touchant ...

C'est bouleversant...
tellement bouleversant , tellement beau , magique , sincère...
<3

Jamais je n'oserai t'avouer ce qui coule en ce moment le long de mes joues ...

Merci...

Cest vos mots qui sont magiques.
♥

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