[OS] Let me dream of you, Tom.

C'est fou, comme je peux avoir trop d'inspiration en ce moment, rien qu'en pensant à toi. Mes sentiments ne changent pas, depuis 4 ans. De me dire qu'à chaque fois que j'entends les premiers accord de de ta putain d'guitare, les larmes coulent toutes seules sans que je puisse les retenir. Ca fais mal. Merde. J'ai la gorge noué, à l'instant où j'écris chaque mot de se texte, qui viennent de mon coeur ou de je ne sais où d'ailleurs, rien qu'en y pensant. Aux accords, au rythme, aux paroles. Je te jure, qu'a la fin de se texte, je craquerai tellement ca me fais mal d'y pensé. Je veux être honnete se soir, et sa ne m'arrive pas tous les jours d'être honnêtre. Je veux mettre les points sur les I, carte sur table, ou autres expressions aussi nul que les autres pour te dire à quel point je vide mon coeur se soir. Depuis toi, vraiment, j'ai jamais été aussi.. Accrochée à quelqu'un. Et je ne pensais pas que sa arriverai un jour, et surtout aussi vite. Tu ne me connais pas. Et je pense.. Que c'est mieux comme ça. Juste pour ne pas pouvoir affronter ton regard à chaque coin de rue, de peur que tu vois comme je t'aime. J'enchaine les mots, sans vraiment savoir si tout à un sens. Sans toi, je n'avance pas. J'écris vraiment des textes à l'eau de rose ces temps-ci, et je n'aime pas vraiment ça. Je ne veux pas devenir comme toutes ses filles amoureuses, qui sont gaga et qui pleurent pour un rien et qui, en plus, regarde Titanic rien que pour pouvoir pleurer. Un regard, un sourire, une parole. Et nous voilà réunit dans un cercle infernal. Tu sais, tu me manque. C'est dur de passer une journée sans pensé à toi, tu sais. Trop dur pour moi, et pour mon coeur que tu as pris entre tes mains. Une heure. Un jour. Une semaine. Un mois. Et le manque, jour après jour, se faisait ressentir. Tout chutais. Tu es parti, sans pensé au mal que tu me faisais quand tu passais derrière se rideau noir, et derrière le sourire que tu affichais.