[T] Chaos im System {2ème partie}

j'adoooooooooooore!!! suite!!

hellOw ! Moi je suiis dans une école privée qui se situe dans le trou du cul du monde (ma phrase elle pas de sens mais bon on s'en branle) Donc moi ils font jamais greve et parfois sa me dérangerait pas si ils faisaien greve sinon la suite était trop biien je m'attendais pas du tout à sa ! Je veux pas que Bill parte à Altlanta xD

Suite !!!

Ouai plus qu'a attendre...
Sa me fait pensé au truc qui passe à la radio avec plein de fois le mots attendre à un moment sa fait un truc du genre "oui mais en attendant on a toujours l'air d'attendre" Bref c'est ma life

Bisous !!!!!!!!!!!!!!!

suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ma bibi !!

=)
Suite!
Bordel de connasse d'amour de mon coeur que j'aime T.T
Fait chier que t'as ps internet TTTTTTTT.TTTTTTTT
J'va mourir, en plus, j'ai pas reçu mon dossier d'inscription ><

l'est mourue bibi ???

elle est là !!
sur msn la coquine
avait plus de co internet.
mais c'est réparé maintenant ...

ouf !

Ouiii je suis là ='D
Avec une suite!
x'D
J'suis trop longue à poster j'ferais mieux de sauter par la fenêtre >.<
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Bill ouvrit difficilement les yeux.
Ses pensées étaient troubles, il ne savait plus très bien où il était.
Il se redressa et ses yeux tombèrent sur les barreaux de sa cellule.
Un soupir s'échappa de sa bouche et il tira ses bras devant lui pour les désengourdir.
Dormir par terre ne lui aurait pas fait plus mal au dos.
Quelques minutes s'écoulèrent et Florine ouvrit la porte.

_C'est l'heure, Bill, lui dit-elle en lui faisant signe de la suivre. Et si tu pouvais éviter de répondre aux journalistes...

Il lui lança un regard noir avant de passer devant elle.
Elle avait refusé que ses hommes lui passent les menottes, elle espérait qu'il ne tuerait personne pendant qu'il parcourrait les quelques mètres entre l'entrée du commissariat et le fourgon qui devait l'emmener.
Des tonnes de journalistes le mitraillèrent de photos et lui posèrent des tas de questions.

_ Alors monsieur Kaulitz, ça fait quoi d'être punit par la loi comme tout les gens normaux? demanda une journaliste surexcitée.
_ Va te faire mettre, pétasse, dit-il tout simplement avec un sourire méchant.
_ Alors ce qu'on dit était vrai, vous êtes devenu un vrai rebelle! C'est pour mieux plaire aux adolescentes boutonneuses? renchérit un homme en tendant son micro.

Il était jeune et plutôt charismatique.
Son visage fin soulignait ses grands yeux noisettes, et sa bouche était fendue en un immense sourire.
Bill s'arrêta et le fixa dans les yeux.
Il l'avait déjà vu quelque part, il n'y avait pas longtemps, mais il n'arrivait pas a savoir où.
En tout cas, il l'énervait déjà, on l'avait assez fait chier lorsqu'il avait 18 ans parce que la moyenne d'âge de leurs fans était de quatorze ans.
Le garçon soutenait son regard froid, bien que le micro glissait de ses mains tellement elles étaient moites.
Chaleur, peur, excitation, appréhension?

_ Ta mère t'a jamais dit qu'il fallait pas faire chier un assassin? demanda Bill d'une voix rauque en se rapprochant dangereusement de lui.

Le journaliste recula légèrement et se prit les pieds dans les fils de la caméra avant de tomber sur le cul.
Bill éclata de rire et tourna le dos à l'homme pour monter dans le fourgon.

_ Au fait Bill, c'était un super coup ta copine! lança le journaliste.

Bill se stoppa net, et le journaliste regretta immédiatement ses paroles, mais il ne laissa rien paraître.

_ Pardon? demanda Bill en faisant face à l'homme.
_ Je disait juste qu'Abbie était un super coup, t'en as de la chance de l'avoir, continua-t-il. Dommage que tout le monde soit déjà passé dessus!

Bill se jeta sur le garçon et le roua de violents coups.

_ Fils de pute! cria-t-il.

Florine se précipita vers eux pour les séparer mais c'était peine perdue.
Les autres reporters étaient agglutinés autour d'eux, empêchant les autres policiers d'intervenir.

_ Merde Bill t'as assez de problèmes comme ça! cria Florine en espérant qu'il l'entendrait. Tu vas pas la laisser toute seule encore plus longtemps à cause d'un pauvre gars!

Et là, Bill se stoppa immédiatement, et il regarda le garçon en sang qui se tenait sous lui.
Il se leva et lui donna un dernier coup de pied rageur avant de monter dans le fourgon.
Les autres journalistes s'étaient enfin écartés pour laisser place à la police, mais Bill était déjà confortablement installé dans la voiture, à peine amoché, alors que l'autre homme peinait à respirer.
Florine ferma les portes d'un coup sec et énervé, sans accorder un seul regard à Bill.
La camionnette démarra, le bruit du moteur couvrit le bruit épouvantable des journalistes.
Les heures s'écoulaient lentement, et il se sentait seul dans ce fourgon.
Puis, il se souvint qu'on ne lui avait pas prit son portable.
Il n'y avait même pas pensé lui même.
Il tapa le numéro de son frère de tête.

_ Allo? dit une voix qui n'était assurément pas celle de Tom.
_ Ji... dit Bill en manquant de s'étouffer. Jimmy?
_ Oui, répondit-il. Bill? T'appelle d'où? T'es arrivé à Atlanta?
_ Où est Tom? demanda Bill en ignorant ses questions.
_ Il dort, répondit Jimmy.
_ Il dort... Près de toi?
_ Oui il est à coté de moi, tu veux que je le réveille? demanda Jimmy.
_ Putain mais pourquoi mon frère est à coté de toi à sept heures du mat' tu m'explique?? cria presque Bill, complètement paniqué.
_ Eh! le calma Jimmy. Détends toi j'me l'suis pas tapé ton frérot! J'venais juste voir si il était réveillé et t'as appellé à ce moment là, alors j'ai décroché. C'est Abbie qui m'a dit de veiller sur lui.
_ Abbie? répéta Bill. Elle va m'entendre...
_ J'te signale que c'est pas moi le criminel, rappela Jimmy. Je vais pas le violer ton frère! Et puis j'ai essayé, il m'a dit clairement que j'étais pas son type. Et il a ajouté que si je l'effleurais seulement il risquait de te rejoindre en prison pour le même crime...

Bill éclata de rire et se sentit rassuré.
Il demanda à Jimmy où était Abbie, et où ils étaient lui et Tom, et il répondit qu'il n'avait aucune idée de où était Abbie, et que Tom et lui étaient à l'hôtel.
La voiture s'arrêta et Bill rangea rapidement son portable dans sa poche.
La porte s'ouvrit et cinq hommes ultra baraqués et armés jusqu'au dents l'escortèrent jusqu'à l'entrée du pénitencier.
Bill lâcha un rire nerveux en imaginant la tête de sa mère si elle savait ça.
Hilarant en effet.
Il se demandait où pouvait bien être Abbie.
Puis, il dût se déshabiller entièrement, pour que les gardes vérifient s'il ne cachait aucune arme sur lui.
Il refusa catégoriquement de retirer son boxer pour avoir droit à un toucher rectal.

_ Le premier qui fout ses doigts dans mon cul j'le bute c'est clair?? gueula-t-il en levant son poing d'un air menaçant.
_ C'est une obligation monsieur Kaulitz, dit calmement une homme obèse.
_ Nan mais vous avez vu la taille de mes fesses?? s'égosilla Bill. J'vais pas avoir caché un tank pour m'échapper!!

Il attrapa ses vêtements et les plaqua contre lui, en secouant la tête négativement.

_ Pas touche, pas touche, répétait-il d'un air dément.

L'obèse finit par hausser les épaules et sortit de la pièce, avant de revenir quelques minutes plus tard.

_ C'est bon, dit-il d'un ton blasé. Enfile ça et donne moi tes vêtements.

Bill enfila une espèce de combinaison et s'apprêta à sortir de la salle mais l'homme le rappela.

_ Piercings.

Il se retourna et fit face à l'homme imposant.

_ Piercings, dans la bassine, répéta-t-il en lui tendant une bassine bleu.
_ Ta bassine, tu peux te la coller où je pense, gros lard, dit Bill avant de sortir de la pièce.

Si il commençait comme ça avec les gardiens, son séjour en prison risquait de paraître long, très long...

trop rebelle le petiot !!!

suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

je suis là!!!!!!!!!!! et je ve une suite!!!!!!!!!!!