1000 Meere
Voilà trois ans qu’il n’avait pas put se reposer comme cela … Il huma l’air frais d’un parc . Où était-il, il le savait parfaitement. Il avait oublié pour une heure peut être son statut de chanteur, de leader, d’homme adulé … Son sourire avait fondu sur son visage parfait, ses yeux s’étaient fermés, des larmes coulées le long de son visage aux contours si beaux, si bien dessinés … Des trainés de noirs semblait avoir créer des sillons dans sa peau blanche là où elles étaient passées, la tristesse trop forte, la colère bouillonant en lui, il avait envie d’hurler.
La vie avait été si belle pour lui, une succession de rêves indefinissable. Il avait vécu tant de choses, tant de choses qui le tenait éveillé chaque jour que Dieu faisait. Il ne croyait pas en Dieu, mais voilà il croyait en l’être humain, il croyait en l’avenir, il croyait en lui plus que jamais.
Cela faisait maintenant trois années que tout avait changer. Plus personne ne l’avait depuis regarder comme une bête curieuse . Plus personne ne l’avait alors detesté . Il n’était plus ce garçon qui occulté les autre par sa personnalité. Jamais il n’avait supporté la vue de ce corps trop jeune trop petit qui renfermé un cœur si gros, une personnalité si débordante, un caractère si étonnant, une âme si compliqué si adulte. Cet adulte qui avait sommeillé en lui plus tôt que les autres avait du se plier à être abriter par un corps encore obliger de se soumettre à l’autorité suppreme. La liberté vint alors le cueillir plus tôt, à l’âge tendre de 15 ans.
La liberté, il en avait rêver plus que jamais . Il avait esperer se débarassé des autres qui l’empechait d’avancer. Il respirer à nouveau, il voyait la vie d’un autre sens, d’un autre côté.
Sa voix le porté sur la voix du succès . Il pouvait exprimer sa haine envers la société pour qui il était devenu une menace , comme si , tous ces gens sots croyait qu’il allait du jour au lendemain leur piqué leur soleil, les plonger dans la nuit et les privé de joie, de bonheur , de vie.
Toute cette haine avait forgé son caractère d’éternel rêveur, le privant d’une jeunesse « normale » ,il n’avait que ce mot « infini » dans la bouche, il ne se séparait jamais de ses émotions, de ses superstitions , les emmenant comme des bagages dont on ne pouvait se séparer .
Le jeune garçon de toute sa hauteur scruita l’horizon tachés de mauves et de noir qui annoncé la nuit.
Qui viendrait le chercher, lui , qui viendrait lui offrir ce dont il rêvé , c’est à dire de l’amour, de la passion, un être contre qui il pourrait pleurer , un être qui le comprendrai, qui passerai sa main dans ses cheveux quand le monde semblait peser de tout son poids contre sa personnalité.
Il marché à contre sens, il le savait, il était contre nature, il avançait à la manière d’un fantôme qui se serait trompé d’univers.
Il avait chanté l’amour, la haine, l’éffroi, le remords, sans jamais n’avoir rien épprouver de semblables.
Tout ces cris l’avaient encouragé à poursuivre sa route qu’il dessiné jour après jour, nuit après nuit. Mais pour combien de temps serait-il capable d’agir sans une main bien veillante qui sécherai ses larmes , qui lui inspirerai une nouvelle forme de beauté, un nouveau monde à créer …
Il s’assit sur un banc, plonga sa tête dans ses mains aux ongles parfaits, cette fois ci sans vernis. Son corps fut parcourut de spasme, la tristesse était-elle qu’l aurait voulu être loin ce soir, loin de ce parc situé en plein cœur d’une ville qui l’avait vu naître. Il était revenu à ses débuts, là ou une bonne fée était venu lui offrir son soutient. Mais aujourd’hui rien n’était plus. Il recroquevilla tout son corps sur un minuscule banc, les genoux au menton, son corps toujours secoué de tremblements.
Il était seul mais si soutenu … Seul et si abandonné. Ce n’était pas du malheur qui s’abattait sur sa frêle carrure. Il ne se retrouvait plus lui même, ne faisait plus la différence entre bonheur et malheur, entre necessité et capacité, entre liberté et rêve …
Il assimilé ses actes à de la puérilité, réagissé comme un enfant privé d’un jouet. Il avait peur d’un lendemain peu glorieux … Tout reposé sur ses frêles épaules d’homme ayant tout juste dix huit ans partageant un esprit déjà assez étroit avec un jumeau si sure de lui , si impétueux, si fougueux.
Son esprit lui semblait si complexe, que lui même ne se comprenait pas. Il se levait le matin sans but précis, il aimer écrire, mais il le faisait pour lui , communier avec ses sens et donner le meilleure de lui même.
Le temps était venu pour lui de voir autre chose, d’aller plus loin que personne n’était aller avant lui. Ses bras se rapprochèrent de ses yeux, ses mains serrées en point ne laissait apercevoir qu’une mèche blanches recouvrant ses yeux d’un marron embué de larmes.
« Ne pleure pas, ne pleure pas » lui soufflait sa voix intérieur.
Il espérait alors que quelqu’un surgirai l’aider … Mais voilà il en était convaincu tout ce qu’il pensait dans cet état de choc était puéril sans importance. On lui avait déjà donner assez, pourquoi quelqu’un voudrait encore lui faire ce plaisir de l’aider à allez mieux.
La froid lui piquait chaque parcelle de sa peau nu . Il ferma les yeux. Quelques minutes, quelques heure peut être plus tard, il senti un souffle chaud lui parcourir le corps, s’engouffrait dans son coup … Il ne se releva pas, n’ouvrit pas les yeux. Une main lui caressa les cheveux. Tout allait bien , il était libre, il se sentait bien, ne sentait plus que cette main bien veillante …
Un baiser sur la joue lui redonna du courage, sans ouvrir les yeux, il se releva, sans décroisé ses jambes. Il chercha à taton des mains, il les trouva, les serra fort les plaquant contre son cœur .
Il ouvrit les yeux, face à lui, un visage rose aux joues humidifiées, de cheveux caramel ébourifés autour de ses contours de poupée, ses grands yeux gris plongés dans son propre regard étincelant. Il caressa son doux visage, ne dit aucun mot, il serra d’avantage ses mains contre lui, rapprocha ses lèvres de celles de la jeune fille qui se trouvait face à lui. Un baiser d’une extreme douceur le transporta au delà de 1000 mers déchainées, l’emportant loin d’un tumulte , d’un tourbillon d’incertitude. Le vent s’engouffra entre eux, rien ne les dérangeai, tout pouvait se déchainer autour d’eux, que rien ne les sépareré …
Quand il réouvrit les yeux, elle était toujours là, elle n’était pas un rêve, elle souriait comme sourirait un enfant, son visage s’illuminait de milles étoiles dans son regard qui exprimait une sauvagerie melé à la douceur, de la différence mélé à l’incomprehension d’un monde qui semblait ne pas lui offrir assez de satisfaction .
Ce soir là personne ne comprit, il partit quelque jours avec elle … Ce « Elle » qui lui fallait, il l’annonça , cela ne provoqua pas sa fin, il avait trouvé une épaule sur laquel pleuré, une épaule sur laquelle refaire le monde …
Elle était venu d’un endroit inconnu à ce jour, elle était venu de son plein grès, suivant son cœur sans but précis … Elle avait conquit ce qui reste aujourd’hui encore un mystère .
Flash Blanc.
Le corps du même jeune homme aux cheveux noir strié de blanc remua dans un gigantesque lit, dans une chambre d’hôtel somptueuse. IL ouvrit les yeux, son regard figé, il enfila un pantalon, un tee-shirt, et demanda qu’on le mène dans un parc … Si cela était un rêve, il voulait s’assurer d’abord que ce n’était pas une prémonition … Instint le guidé et quand la nuit venu, il était dans ce parc à respirer à grandes bouffées un amour naissant, se rapprochant de ce qu’il était : Le mystérieux Bill Kaulitz , indéfinissable , indomptable être rêveur …