[O.S] A travers se qu'il ressent....

Un cri strident déchira le silence de la nuit,
Un cri de douleur....
Un cri d'homme.
Un cri qui te fait glacer le sang,
un cri dont s'inspire la mal...
Comme un coup de poignard,
Il tomba a terre...
Il souffrait.
Cette blessure si profonde qu'il éprouvait...
Malgres la douleur....
Contre sa souffrance,
Il s'élanca dans la nuit sans lune.
Des cris se fesaient repeter....
Des ricanements s'élevaient...
Il avait peur,
Peur de se qu'il allait découvrir.
Les rues sombres et froides défilaient sous ses yeux.
Sa souffrance se fesait terrible,
Il paniquait.
Enfin cette rue,
Ce lieu qui n'inspirait aucune confiance,
Où l'odeur de la mort se fesait dense...
ces ombres qu'il voyait,
Si grandes...
Si robustes...
Et ce corps si frêle...
Si maigre...
Si fragile...
Son ombre se refletait sur son coeur.
sa vision procurait haine et rancoeur,
Contres ces agresseurs.
Il s'approcha lentement...
Pas apres pas sa souffrance se fesait plus intense.
Sa peur de la découvrir l'envahissait,
son cops parcourut de frisson...
Il couru.
Il y arriva soudain...
L'ombres des maisons sans vie le camouflant.
Se qu'il vit le déchira...
Se qu'il vit le brisa....
Se qu'il vit le tua...
Mais se qu'il vit le fit s'élancer sur ces agresseurs.
Il ne pouvait y faire seul,
Mais la vue de son petit frere....
Poignard dans la jambe....
Cheveux arrachés....
Totalement désabillé....
Visage maculé de sang....
Corps couvert de marques....
Des marques de torture...
Des marques d'attouchements....sexuels...
Et cette odeur d'urine qui emplissait l'air...
Cela le rendait dingue....
Il pleurait...
Il étaient quatre de l'autre côté,
Mais peu lui importait...
car il savait qur son frere avait besoin de lui,
Et que sa force l'accompagnais.
Et si celle ci, ne brulait plus de puissance pour le sauver...
Il périrait avec son frere.
Cette nuit là, ils furent umiliés...
Cette nuit là, ils furent bléssés....
Cette nuit là, ils furent torturés...
Cette nuit là, ils furent lancés....
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Ce matin là, ils furent retrouvés noyés....