[T]H€art Heavy to lift

de rien^^
aller suite dan laprem et dan la suiré
=D

kissouilles jtm

xD ispice de michante lool

Elle est trop bien ta swytheu =D en plus j'aime bien la musique =)

Je suis autant a cette fic' qu'a l'autre donc c'est bien parti ^^

swytheu stp!!

Suiite pleasouille!! =)

suite ma juliette please

skipi08 a écrit:

suite

soit dans la matinée

ou dans l'aprem

gros bsx les filles

X3

P'tain, t'es motivée en ce moment .

Et évidemment, je réclame la suite x')!

suite !!!

me revoilou miss juliette!!
j'aime bien le début de ta nouvelle fic et la description que tu as fait des personnages!!
et comme je suis une chieuse, je vais te harceler pour avoir la suite^^
la suite!la suite!la suite!la suite!lol

coucou juliette !!
ça va? bref c'est ou brieve? xD
suiiite stp =)

Après une vingtaine de « merde, c’est pas assez rapide » et une trentaine de « vite j’ai un train à prendre », je commence à enlever mon uniforme et à me poser sur une chaise qui m’attend au loin, au fond de la pièce loin de tout ces sarcasmes et autres compères. Je m’essuie avec l’aide de revers droit de ma manche pour m’essuyer le front. Mes jambes ainsi que mes mains tremblent de tout leur long. J’ai chaud, froid, puis des nausées se font sentir. Ma collègue Julie, voit mon état et d’un bond, accourt vers moi.


Julie : Ju’, ça va ?

Moi : Heu…..oué, oué t’en fait pas. C’est juste un coup d’fatigue j’pense.

Julie : Bon…..au fait, le patron veut nous convoquer après le service. Apparement, c’est assez important.

Moi : O.K. J’y s’rai alors.

Le patron…..a celui-ci….qu’est-ce que je peux le mépriser. Perfide, pervers, menteur, malhonnête, fourbe, mesquin….tous ces adjectifs le qualifient. Cet homme la, c’est l’un de ceux que je redoute de voir chaque matin. En effet, à chacune de mes apparitions, je peux être sûr que j’aurai droit sans cesse à des « Bon Juliette, après le service, tu viens chez moi O.K ? » « Tiens, nouvelle jupe aujourd’hui non ? ».
Ce type me fait peur au plus haut point. Son regard sa façon de faire avec les personnes féminines qui l’entourent en particulier moi, me fait perdre tous mes moyens.

A chaque tête à tête avec ce personnage, mon cœur s’emballe, et commence une cavalcade des plus efreinée qu’il soit.
Mon amie Julie, tourne les talons et reviens derrière son poste. C’est à ce moment la que je regarde par la fenêtre et peux contempler la pluie qui s’écoule au dehors. Les nuages s’amoncèlent et le tonner ainsi que son épouse la foudre se font entendrent. Les arbres agitent leurs feuilles dans tous les sens, tandis qu’aux volets, eux, claquent contre les murs. A travers ce temps des plus néfastes qu’il soit, j’arrive à présager une chose….je peux sentir un évènement se déverser sur ma petite vie tranquille tôt ou tard. Savoir s’il est négatif ou positif, ça, dieu seul le sait……

je ne sais comment expliquer cette pensée, mais la chose dont je suis sûr, c’est que mes ressentiments, ne m’ont jamais fait défauts….
Une heure plus tard, je peux entendre le « patron » nous crier que l’on doit se rassembler et venir le rejoindre afin d’écouter ce qu’il a à nous annoncer. Tous, droit comme des i, les bras balants, d’autres le long du corps, regardent l’orateur dans les yeux sans bouger un cil. Moi, épuisée, j’arrive toutefois à me grandir parmi ces géants, en m’aidant de la pointe de mes pieds.
Lui, toujours aussi froid, grossier par ses paroles, fourbe, nous observe de son air méprisant, quiconque oserait le défier.

Patron : Bon, comme vous le savez tous, nous sommes assez proches de Paris malgré le fait que nous nous localisons dans un trou pommé.

Excelent tact pour un meneur de troupe =___=

Patron : Et, ce matin, j’ai reçu un coup de fil d’un producteur, ou manageur, bref je sais plus, et celui-ci m’informe ou plutôt m’a demandé si c’est pas ordonner, que je dois, ou plutôt que vous devriez expulser toutes les personnes qui se pointeront demain à partir de 18h30.

Un brouhaha commence à se former, puis les têtes à tourner en tous sens afin de capter chacunes des paroles qui peuvent se disperser en tout sens au coin du magasin.

Moi, comprenant autant que les autres, ne cherche pas à en savoir plus. Je me prend la chaise qui m’avait servi il n’y a pas plus tôt de reposoir, puis contemple la scène sous mes yeux.
Le fait de voir ces personnes se défriser pour si peu, donne une image des plus pathétiques qu’il soit à ces individus.
Soudain, la voix du patron entre en compétition avec le tonnerre de dehors et réussi à couvrir celui-ci.
Tous, y compris moi, sont attentifs et écoutent d’une oreille bien aiguisée ce que va nous annoncer notre redresseur de torts.

Patron : J E F I N I ma phrase bande de crétin !

Qu'est-ce que je disais =____=". Où se trouve le respect de nos jours ! Il va sérieusement falloir qu'il accorde les violons : LE respect va dans les deux sens que je sache !

Soudain, un silence de plomb se perçoit. Les regards fusent en tous sens quand aux fonds sonores, eux, s’éclipsent.

Patron : Demain matin, vous accueillerez les personnes comme d’habitude, cependant à partir de 18H30, un groupe de musique, viendra faire son entrée en voulant rester discret. Leur maison de disque a versé une certaine somme au magasin, pour nous dédommager du risque de pertes que l’on aura puisque nous renvoyons les gens chez eux !

Pfffff menteur, fourbe ! Je suis sûr que cette certaine somme comme il dit, il se l’ai gardé pour lui, et lui seul.
De toute façon…..ce n’est pas grave…Moi, Juliette, je me suis bien débrouillée seule jusqu’à présent, et je tiens à continuer ainsi même si c’est dur.
Une fois le « discours » finit, que nous nous jetons pratiquement tous sur l’emploi du temps des employés.
Soudain mon amie Julie vient à moi.

Julie : Ju’, Ju’ ! C’est toi qui est de service demain soir avec Le patron !

=___=« , mon dieu il ne manque plus que ça….des peoples pétés de tunne et un emmerdeur possédant un ancéphale à l'envers. Voila qu’il allait contrôler ma prestence et mes attitudes à réagir devant des personnes célèbres. Ca j’avoue, j’en suis sûr qu’il a fait exprés de me brancher sur ce créneau la.
Oh et puis tampi, dans la vie on ne choisit pas les personnes avec qui on doit travailler. On fait avec et puis c’est tout.

Moi : Ah cool *d’un ton presque ironique* Mais, dit moi, tu sais de quel groupe il peut s’agir ?

Julie : Ah non je n’en ai pas la moindre idée. T’as qu’à aller demander au patron ! Puis t'sais d'façon...c'est bien tous les même !
Ce n'est juste que leur tête qui vaut du fric...le reste...on n'en tient pas compte.

Je lui acquiesse d’un signe de tête « oui », mais n’en pense pas moins. Comme si j’allais trouver l’autre obsédé alors que je tentais de l’éviter.
Et puis bon, les stars, les étoiles montantes, bref tous ces énergumènes…..pff on verra bien ça demain, ce sera la surprise. Je prends mes affaires, mes clefs, mon manteau, et dit au revoir à tout le monde. C’est une fois dehors que je respire l’air à plein poumons et vais en direction du bus de nuit. Avant d’entrer à l’intérieur, je regarde le magasin comme si c’était une dernière fois et me dit :

Il faut une infinie patience pour attendre toujours ce qui n’arrivera jamais.
H€art Heavy to lift......oui, ceci est un sacré lapsus...

Cette suiite et aussi belle
que les autres, certs moins tragique
mais toute aussi magnifique!
Ah les gens prennent tellement facilement
la grosse tête un peu de pouvoir et il se croivent
tout permis!! (Qu'est-ce que sa peut me souler sa)
Bon voila alors je te demande une suiite
et peut te dire que je trouve que tu as enormement
de talent!!