Même si l'église ne se trouve pas près de chez moi, je les entend encore et encore, à n'en plus finir, ces 12 coups de minuit, comme si il n'y avait que moi qui puisse les entendres, comme si ils étaientt là pour me le rappeler personellement. C'était officielement Noel. Quelle joie. Mes parents firent genre de ne pas avoir vue ces larmes couler le long de mes joues, mais je le sais très bien, qu'il le savent à quel point c'est douloureux pour moi tout ces moments où normalement je devrais être un minimum heureuse. Mais ça ne l'est plus pour moi, plus depuis que tu est partit mon ange. Je me lève subitement, pretextant un mal de tête pour rejoindre ma chambre. Je leur faussé compagnie, pour ne pas changer. Si vous saviez comment ça ma fait mal lorsque j'ai vue le regard de ma mère, elle qui fait tout pour essayé de me rendre la vie meilleure. Excuse moi maman, je n'ai pas envie de me transformer en fontaîne vivante devant tous le monde, je n'ai pas non plus l'envie de sourire pour faire croire que je vais très bien, alors que j'ai l'impression que mes organes pourrissent à l'intérieure de moi.
Je referme délicatement la porte derière moi, me voila seule, enfin.
J'essaye de toutes mes forces de me reprendre, de ne pas y penser mais ce maudit miroire devant moi me renvoit la réalité.
Je me sens tellement ridicule dans cette robe beaucoup trop sérrante rouge. Mes cheveux retombent délicatement dans mon dos lorsque j'enlève ma pince. Mon maquillage est déjà partit depuis longtemps lui. Pouvez-vous me dire à quoi sa sert d'essayer de se faire belle si ce n'est plus pour celui qui vous aime? Je n'ai pas envie de plaire aux autres, je voulais seulement plaire à toi, mon ange. POURQUOI PUTAIN.
Ma main fermer sur elle-même s'abat violament sur la glace, la brisant en mille éclat. Un mince filet de sang coule jusqu'a tomber par terre. Splash. Je me hais. Splash. Je veux mourire. Splash.
Je n'ai plus le courage d'aller me faire un pensement. Ma main me fait horriblement mal, un bout de verre c'est coincé entre mon pouce et ma paume. Je l'arrache et sursaute sous la douleur. Pourtant cette douleur là n'est rien par rapport à celle que je supporte constament depuis que tu n'est plus là.
J'ai besoin d'air, je me sens mal. J'ouvre ma fenêtre et m'assoie sur le rebort.Je regarde les étoiles, qui me parraisent fades sans ta présence.
J'aimerais tant te rejoindre, mon ange. Je me surprend a pensé se qu'aurait pue être ce soir de Noel, si tu était toujours là. Je me secoue là tête, je ne fait que me faire encore plus mal. Mon ange, mon ange, mon ange, pardonne-moi de n'être pas aussi forte, mon ange, je t'aime plus que tout, plus que la vie. Des flash me viennent, lui&moi ensemble, son sourire éclatant, son rire, nos main emmêler. J'aimerais les arrêter, mais rien n'y fait. J'ai mal, j'ai trop mal mon ange, ne le voit tu pas? Une grande douleur, plus d'espoir, des larmes de diaments. Que me reste t'il mon ange? A part le souvenir d'avoir un jour été heureuse dans tes bras.
Promis, le soir du 31 je me ferais belle, belle comme tu ne m'a jamais vue. Je mettrais se collier que tu m'a offert pour mon anniversaire, je mettrais cette robe que tu aime tant. Je ne ferrais pas sa pour faire plaisir aux autres, seulement pour toi. J'irais ensuite dans cette forêt où on aimer beaucoup se ballader, dans "notre" coin où il y a ce grand arbe, avec marqué nos initiale et un coeur. Et alors à ce moment là, je te rejoindrais mon ange. Les étoiles ne brilleront jamais autant que ce soir quant nous nous reverront. Excuse moi maman, excuse moi papa, excusez moi mes amies, je n'ai plus la force de faire semblant. A la vie à la mort, mon ange.