[T] Condamnée au bûcher

Je m'appelle Mildred Crampbell. Je suis née à Londres. Actuellement j'ai 20 ans & je fais des études de journalisme. J'ai mon petit bureau pour faire tranquillement mon stage avec mon une étiquette dessus où est inscrit mon prénom & mon nom. Je suis bien évidemment comme toutes ces filles que vous croisez partout dans la rue. Mais ce que vous ne savez pas. C'est que j'ai un terrible secret. Un secret difficile à garder. Seule ma famille le connait. Même mes amis & mes collègues ne le savent pas. Si jamais quelqu'un vient à le découvrir & le répéter au monde entier et du moins à mon pays. Ça peut me créer d'énormes problèmes. Bref ! Au moment même où je vous parle, je me dirige vers le bureau du directeur. Oui, parce que MONSIEUR a décidé de me convoquer, même si je n'ai rien fais qui pourrait compromettre ma vie & mes études. Lorsque je suis arrivée ce matin-là, j'avais une convocation sur mon bureau me disant de le retrouver à 10h devant le sien. Apparemment, tout le monde était déjà au courant. Tous me regardaient à chaque fois que j'avais le malheur de me retrouver en face ou à côté de quelqu'un. Même des gens qui discutaient entre eux s'arrêtaient pour me dévisager. Mais je n'y faisais pas attention.

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Voilà une nouvelle fanfic
J'ai aussi pas mal d'idée pour celle-là
Je n'abandonne pas les autres non plus
Juste que j'aime bien les fics dites magiques en fait mdr
Bonne lecture pour la suite aux nouvelles lectrices que j'aurais -ou pas- xD

J'suis la premièreeeuuuhhh. Nananère... Enfin bref passons.
J'aime bien le (petit) début.
Je veux donc une suite.
Please.

Deuxième c'est un exploit, d'hab je découvre toujours après les autres

J'aime bien le début!!

Suite stp

Je suis devant la porte de son bureau. Légèrement nerveuse mais sereine. Je n'ai rien à me reprocher. J'ai juste peur que mon patron me dise qu'il a découvert mon secret.

Directeur : Entrez !

Je respire un bon coup et j'entre avec sa permission. Il me demande de fermer la porte & de m'assoir, ce que je fais. Il a l'air pressé. Je tente de garder un visage neutre. Je n'ai pas envie qu'il voit ma nervosité. Je dois faire face à tout dans ce genre de métier. Même aux remarques les plus désobligeantes. Alors que je me pose des questions, il sort mon dossier plus un autre. Il regarde mon parcourt en silence. Il décide enfin de poser son attention sur moi.

Directeur : Je suppose que vous vous demandez pourquoi je vous ai fais convoquer ?

Je hoche la tête pour confirmer sa remarque. Il se redresse sur son fauteuil et me regarde d'un air sérieux. Ça veut dire quoi ça ? Que j'ai fais un truc qui ne fallait pas pendant mes rédactions d'articles ou dans les missions que j'ai faite ? Ou alors il sait mon secret. Oh putain ça ne peut être que ça. Je commence à sentir la chaleur monter. Je me force de rester zen et de ne pas commencer à me tortiller dans tous les sens sur la chaise.

Directeur : Vous semblez inquiète ?
Moi : Un peu.
Directeur : Vous ne devriez pas !
Moi : Vous m'avez l'air tellement sérieux.
Directeur : Je me dois d'être comme ça. Mais rassurez-vous. Si je vous ai fais venir ici ce matin c'est parce que j'ai plusieurs choses ou disons bonnes nouvelles à vous annoncer.

Je suis légèrement rassurée. Mais ça me dit pas ce qu'il me cache. Je suis pressée de savoir les "bonnes nouvelles". Espérant qu'il n'y est pas des mauvaises dans le lot.

Moi : Je vous écoute.
Directeur : Bien ! Ça fait maintenant un an que vous travaillez en stage chez nous. Dieux c'est qu'il vous reste encore deux ans à faire dans notre entreprise et pour vos cours de journalisme également.
Moi : Si vous essayez de me démoraliser c'est mort !
Directeur : Je ne suis pas là pour ça. Au contraire, certains employés me tuerais de vous léguer cette mission que j'ai sous les yeux.

Quoi ? Une mission ? Pourquoi ils le tueraient ? Elle est si importante que ça ? Je sens mon cœur se remplir de joie. De toute façon, à chaque mission je suis contente. J'aime toujours ce qu'on me propose et je fais en sorte de les mener à bien.

Directeur : Est-ce que vous aimez voyager ?
Moi : Plus que tout ! J'aime découvrir de nouvelles horizons et de nouvelles cultures.
Directeur : Vous aimez photographier ?
Moi : Vous avez déjà vu mon book. Donc vous savez de quoi je suis capable en photographie.
Directeur : Très bien ! C'est les réponses que j'attendais. Je sais également que vous parlez Allemand ? Étant donné que c'est la troisième langue que vous avez choisis ici.
Moi : Oui je parle très bien Allemand. Du moins je fais ce que je peux.
Directeur : Vous allez pouvoir vous exercer alors.

Je suis disons étonnée de ce qu'il me dit. Comment ça je vais pouvoir exercer l'Allemand ? J'en ai marre de ce patron qui n'est pas explicite dès le début et qui me fait devenir impatiente.

Moi : Hum ?
Directeur : Vous allez partir en mission pendant un an et demi. En Allemagne.

Je suis à la limite de l'arrêt cardiaque. Je suis sur qu'il ne m'a pas encore tout dit. Non pas que c'est mon rêve, mais quand on t'offre ce genre de carrière tu dis oui sans hésiter et tu es content. J'en viens presque à sauter comme une puce sur ma chaise mais je me contente de faire un large sourire.

Directeur : Vous partez cet après-midi. En Avion. Le vol est pris en charge par l'entreprise et votre école est au courant. Vous avez une entière autonomie tant que vous nous apportez des scoop et que vous nous faites un rapport de stage complet sur chaque journée que vous avez passer là-bas.
Moi : Je vous ferais ça. Quel genre de scoop voulez-vous ?
Directeur : C'est des scoop générale. Vous allez pour ça suivre un groupe qui est un groupe internationalement connu ou presque. C'est les Tokio Hotel. 4 jeunes de 20 à 23 ans. Ils sont adulés par une génération entre 10 & 25 ans. Leur dernier album est Humanoid.
Moi : Ca me dit rien, je ne connais pas les groupes musicaux Allemand.
Directeur : Vous apprendrez à les découvrir. Vous allez rester avec eux tout le temps. Quand ils seront en studio, en tournée, en promo....
Moi : Mais dans ce genre de choses, ils ne le font pas que dans leur pays.
Directeur : J'ai devancé ce problème. David Jost leur manager est d'accord pour vous emmener partout où ils iront. Ne perdez donc pas votre pass journaliste & celui-là.

Il sort un pass que je n'ai jamais vu du dossier & me le tend. Je le prend et le met autour de mon cou. Je l'examine quelques secondes. C'est impression d'avoir ce genre de pass. Généralement ça n'arrive qu'aux autres.

Moi : J'en ferais bonne usage.
Directeur : Tous les déplacements que vous ferez, seront rembourser par l'école & par l'entreprise. Sauf ce qui touche à l'achat personnel. Je vous donne la photocopie de votre contrat et des papiers que vous devez garder tout le temps sur vous.
Moi : Je capte maintenant pourquoi tout le monde me regardait de travers depuis que je suis arrivée.
Directeur : C'est très plausible. En attendant, rentrez chez vous préparer vos affaires. Appelez-nous quand vous serez arriver.
Moi : Comment se passe l'entretient entre se David & moi ?
Directeur : Il vous contactera ce soir.
Moi : Très bien ! Merci !
Directeur : Vous pouvez disposer.

Je me lève, fière de ce qu'on vient de me proposer comme mission. Je ne pense même pas à demander pourquoi ils m'ont choisit spécialement. De toute façon je ne veux même pas savoir. Je remercie une dernière fois le directeur et sort de son bureau. M'empêchant de sauter partout jusqu'à mon bureau. Déjà que mes collègues continuent de fatiguer leurs yeux en me fixant rageusement. Désormais, dès que je croise un regard, je lui fais un large sourire et il le dévie immédiatement.

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Bienvenues à mes habituées xD

Vite, vite la suite!!!!
Elle promet c'te fic XD

Suite!!!!!!!!!!!!!!!!!

J'aime bien ce début, ça s'annonce intéressant. Je me demande bien qu'est-ce que ça peut être son secret !

Une suite ?!

Bienvenue à toi Harmony, la suite d'ici 1h

Une heure... Je compte hein lol

J'ai dis d'ICI 1h donc c'est pas 1h PILE lol

Pour moi ça revient au même XD
Du moment qu'il y en aura au moins une avant minuit pétante, ça me va.
(après je serais au lit avec Bill donc... laissez-moi rêver!!!!!!)

a mon bureau, je remballe mes affaires. J'en laisse en souvenirs à certains dessus histoire de les faire rager encore plus quand je serais en Allemagne. Mon bureau rangé, je fais un large au revoir à tous.

Moi : Arrivederci.

Personne ne me répond mais ça m'est égal. C'est là qu'on voit qui est ami avec toi quand tu as ce genre de mission. J'en rigole.

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Au parking, je dépose mon petit carton dans le coffre et me place côté passager. Je m'admire dans le rétroviseur et replace une mèche de cheveux avec grâce. Mes mains sur le volants. Le moteur en marche. Mes lèvres ne faisant que sourire.

Moi : A nous deux Tokio Hotel. J'espère que vous avez de sacré scoop.

Puis sans attendre elle se met en marche.

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Chez moi, je balance mon carton sur le canapé de mon 3 pièces et me dépêche de sortir du placard une énorme valise à roulette. Ce qui est bien avec cette marque, c'est qu'elle peut rouler dans tous les sens. Je l'ouvre et file dans ma chambre pour fouiller dans ma penderie.

Moi : Qu'est-ce qu'on emmène ? Un survêtement. Des tenues de soirées. Maquillage. Nécessaire à.....

J'eus presque l'impression d'emmener toute ma maison. Je vide un maximum le frigo & le réfrigérateur. Tout ce que je ne peux plus conserver. Je le jette. C'est de l'argent gâché c'est dommage. Ce que je peux emmener avec moi je le mets dans un sac à dos. Mais la plus part ce sont des pommes, clémentines, des paquets de gâteaux, des boissons. Non pas que je vais mourir de faim sur place mais on ne sait jamais. Des fois qu'ils ne voudraient pas me laisser manger.

Moi : Qu'est-ce qu'il me manque encore ? Ah oui, les papiers.

Je prend une sacoche pour ça. Je la mets autour de mon coup sans oublier le moindre papier important. Je regarde si j'ai bien mes billets d'avions dans la paperasse que mon patron m'a donné il y a deux heures. Je les ai. Bizarrement, je n'ai que l'aller.

Moi : Il y a un problème-là !

Je prends mon portable et appelle le directeur. J'ai envie de revenir chez moi, moi. Et il m'a bien dit que ça, c'est eux qui me le payaient. Il décroche.

Directeur : allô ?
Moi : C'est Mildred.
Directeur : Que se passe-t-il ?
Moi : Pour les billets. Je n'ai que l'aller.
Directeur : C'est normal, nous vous enverrons le retour seulement qu'un mois avant que vous finissez votre mission.
Moi : Ah ! Ok ! Désolée du dérangement.
Directeur : Il n'y a pas de quoi. Bon voyage Mlle Crampbell.

Il me raccroche presque au nez. Sûrement occupé par le travail. Bon, ça m'enlève déjà un point. Genre, peut-être qu'ils pensent que je vais rester à vie là-bas. Mais ils se font des films, ils auront intérêts à me le donner ce billet de retour à la fin de mon contrat.

Moi : alors c'est bon ? A quelle heure je pars ?

Je zieute vite-fait l'horaire. 14h30. La vache, j'ai le temps en fait. Tant pis, ça me laissera le temps de revérifier ma valise parce que j'ai l'impression d'oublier un truc. J'ai mon PC portable. Mon appareil-photo. Je compte combien j'ai de bagage.

Moi : 1...2...3...4...5 ? Oublie pas que tu pars pour un an & demi hein.

Maintenant je me parle à moi-même. Il est vraiment temps que j'arrive à destination et que je commence. Je serais sûrement moins folle demain. Mon ventre cri famine. Arg. Je file vers le frigo pour me préparer un déjeuner copieux. De toute façon je dois tuer les heures qu'il me reste. Surtout que en taxi l'aéroport n'est pas très loin.

Suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Une autre suite stp

Ahah elle me fait rire à se parler toute seule ^^
Suite please !

Enfin l'heure pour moi de partir. J'ai vérifié à trois fois avant de voir que je n'oublie rien. Je regarde mon studio avant de fermer la porte derrière-moi. Ca fait toujours un pincement au coeur quand tu pars comme ça. Je laisse un mot à la concierge pour lui dire de ramasser mon courrier si jamais j'en ai pendant mon absence en lui expliquant vite-fait les raisons de ma non-présence chez moi.

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Dehors, un taxi passe à côté de moi. J'ai juste le temps de voir qu'il n'y a personne. Je l''appelle d'un signe de main. Il s'arrête. Heureusement. Ca me saoulerait de gaspiller du crédit pour ça.

Taxi : Où allez-vous ?
Moi : A l'aéroport svp !
Taxi : Très bien, mettez votre ceinture.

Pas besoin de me le dire, je ne suis pas une enfant. Il m'emmène donc en direction de l'aéroport. Je suis toute excitée. Alors qu'est-ce que ça sera quand je serais arrivée en Allemagne ? Je vais m'évanouir ?

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Même en quinze minutes de trajets j'ai le temps de m'imaginer tout pleins de choses qui pourraient m'arriver de biens. Quand même, un peu de gaité dans ce monde de psychopathe. Il se stoppe devant l''endroit que j'ai demandé.

Taxi : 25e svp !
Moi : Pardon ?
Taxi : 25e vous avez très bien entendu !
Moi : Vous vous faites pas chier vous.
Taxi : Faut bien que je gagne ma vie !
Moi : Moi aussi je vous signale.
Taxi : La prochaine fois allez-y en rampant si ça ne vous plait pas.

Je le fusille du regard depuis son rétroviseur et elle sort. J me dépêche de rentrer et de faire enregistrer mes bagages. Je perds déjà 30 bonnes minutes pour ça. Je peste contre moi-même. Les bagages finis, j'embarque avec moi mon appareil-photo & mon Pc Portable. L'oreillette du téléphone également. C'est vrai que je dois passer la douane. Je dois pratiquement me déshabiller tellement je suis chargée. Je passe mon passeport & je passe à travers le détecteur. Il sonne.

Douanier : Retirez vos chaussures & votre ceinture !
Moi : Vous voulez pas que je me mette toute nue pendant que vous y êtes ?
Douanier : Soit c'est les chaussures, soit vous enlevez tout !
Moi : Et votre détecteur manuel dans la main il sert à faire joli ?
Douanier : C'est un faux.
Moi : Je n'ai pas de temps à perdre avec ces enfantillages.

Voyant que je perds patiente, il s'active pour me faire passer. Je n'ai plus qu'à attendre mon avion & me rhabiller. Quand je suis enfin vêtu, je m'engage à rester assise le temps qu'on annonce mon vol.

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J'attends un moment encore avant qu'on ne me l'annonce. Pour le vol 52145 merci de vouloir vous présenter à la porte B nous annonce la voix off. On se dirige tous en bloc à la porte. L'hôtesse vérifie bien nos billets & nos passeports. C'est tout bon. Ils nous ouvrent. Il nous faut dix minutes au moins pour y accéder à l'avion. A la porte de celui-ci. Une hôtesse (oui encore une fille) nous salue de son sourire colgate que j'envie comme d'habitude. On prend place. Je vois quelqu'un qui s'assoit à mon siège. Je deviens rouge écarlate.

Moi : Excusez-moi mais vous êtes à ma place !
Voyageur : Je ne crois pas. C'est écrit siège 17.

Je regarde son billet. Je tape du pied.

Moi : Achetez-vous des lunettes. C'est écrit siège 71 !
Voyageur : Désolé MADEMOISELLE !

Il se dégage et me laisse la place. Je m'assois sans plus tarder et ne bouge plus. Je n'ai pas envie qu'on la vole à nouveau par erreur. J'en profite pour me débarrasser de mes affaires. je mets mes sacs en haut & sous mes pieds même si on a pas le droit. Je me calme jusqu'à ce que je vois un gamin de 13 ans en train de mâcher son chewing-gum s'assoir à mes côtés. Ce voyage promettait d'être désagréable.

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On décolle enfin après qu'elles aient expliqué les règles en cas de problèmes euuuh dites techniques (oui parce qu'on sait tous que généralement c'est parce que le pilote a besoin de son manuel de formation et qu'il n'y connait rien xD). Je m'agrippe au siège quand je sens les secousses. J'ai pas peur. C'est juste que j'aime pas hein vous imaginez pas que je suis une trouillarde. L'avion stabilisé dans les airs, je reprends un peu de ma confiance et je sors mon Pc Portable. Le garçonnet sort sa pocket toy. Ca game boy quoi en plus c'est la première version, la toute grise. Il a pas évoluer, le pauvre petit.

Moi : Tu veux de l'argent ?
Le garçon : Pour ?
Moi : Pour t'acheter une nouvelle game boy ?
Le garçon : Non merci, elle me convient très bien !

Il l'allume. Le bruit me saoule déjà. En plus, je suis sur que ça gêne d'autres gens. Il commence à jouer. Il met le son encore plus fort histoire de m'embêter. Je fronce les sourcils. Mais ça ne va pas se passer comme ça. Je te retiens petit morveux va. C'est pas un garçon de 13 piges qui va me faire la loi. Je reste connectée sur mon portable. Guettant les moindres faits & gestes de ce perturbateur.

Mdr la suite, elle est vraiment sur les nerfs!!!
Une autre stp

MDR cette suite.
Comment elle s'énerve pour un rien.
Et le pauvre mec qui s'est gourré de place. J'aurai pas voulu être à sa place XD (oh tiens un jeu de mots.... bref)

Suite please^^

Nouvelle Lectrice !

Excellent, j'adore, ça promets !
Suite 'Milie & plus vite que ça x)

Bienvenue Caam
La suite d'ici 2h

Ouuuais ! Trop Pressée

Suite^^

Alors que je suis tranquille dans mon coin à pianoter sur le clavier de mon pc portable pour enfin commencer ce fichu rapport de stage et sans déranger mes voisins, le petit gamin à mes côtés augmente le son de sa stupide console de jeu. Je regarde autour de moi les voyageur de l'avion et personne ne le réprimande. Je ne trouve pas ça très cool. D'habitude, ils râlent tout le temps. Mais je ne compte pas me laisser faire. Je tourne les yeux vers lui et m'empresse de lui piquer des mains cette machine bien plus qu'agaçante. Il tend les bras vers moi pour tenter de le reprendre. Mais il rêve un peu là.

Garçon : Rendez-le moi !
Moi : Tu crois trop encore au père noël toi.
Garçon : Espèce de grosse ****** va !
Moi : Je te demande pardon ?
Garçon : T'a très bien compris espèce de folle.
Moi : Continue, tu ne la récupèreras jamais !

Il me lance un regard si glacial. Seulement il me fait pas peur. Il me fait encore plus rire intérieurement. Mais soudain il pique une grosse crise de colère comme lorsqu'un gamin n'a pas pu avoir son jouet au supermarché. Il pleure, il cri, il tape sur le siège du voisin d'en face avec ces pieds. Je sais qu'il continuera jusqu'à ce que je ne le lui rends pas son jouet. Des voisins pas très loin de nous commencent à se plaindre.

Voyager : RENDEZ-LUI SON JOUET ! Il arrêtera.
Moi : Vous rigolez. Il emmerde tout le monde avec ça !
Voyager : Il n'embête personne à part vous. Vous êtes timbrée. Allez rendez-lui ça !
Moi : Ca c'est la meilleur !

Je me fais incendier moi qui les sauve de ce gamin insolant, je me fais insulté par lui également et voilà comment on me remercie. Pitoyable. Je serre les dents et lui rend son truc à contre cœur. Il se calme direct et met à fond le son. Le voyageur se calme aussi. Il a de la chance que je n'ai pas eu le temps de voir sa tête.

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1h déjà que je suis dans cet avion qui me porte la poisse. Je suis gentille, calme, mais y a des choses qui m'insupporte comme tous ces passagers. Je n'ai qu'une hâte, c'est d'arriver dans mon hôtel. J'ai stoppé un peu mon rapport de stage, de toute façon, ça ne sert à rien que j'y aille plus loin, je n'ai encore rien commencé. J'ai fais quoi ? Une présentation rapide de la nouvelle qu'on m'a annoncé et c'est tout. Maintenant je fouille un peu sur internet pour chercher des informations sur ce fameux groupe dont on parle apparemment beaucoup. En même temps, je me mets à l'aise. Je retire ma veste et pose mon passe de ce long séjour à côté de mon pc. Et à l'abri des mains voleuses. Malheureusement, l'image du groupe est encore trop voyante. Le gamin met sur pause sa console et me tire sur la manche. Je me retiens de ne pas lui en coller une.

Garçon : Vous êtes fans des Tokio Hotel ?
Moi : Non ! Pourquoi tu me dis ça ?
Garçon : Votre passe ! C'est pour les rencontrer non ? Parce que y a que des groupies qui vont les voir généralement avant les concerts. Et en plus vous recherchez des choses sur eux.

Je l'observe. Il a l'air d'en savoir beaucoup sur ce groupe que je ne connais que de nom. Même s'il a osé regardé discrètement l'écran de mon pc sans que je ne le sache. Finalement, peut-être qu'il peut devenir mon allier pour quelques minutes. Juste de savoir son point de vue sur ce groupe en direct. Que je rajouterais dans mon rapport.

Moi : Dit-moi tu les connais bien ?
Garçon : Et pas qu'un peu. Toutes les filles de mon collège sont presque folles d'eux.
Moi : Tu pourrais m'en dire plus ?

Il est sidéré que je lui pose cette question. Il y a quelques minutes on se chicanait à cause du son de sa console. Et là, on se parlait aussi calmement. Comme si rien ne s'était passé.

Garçon : Vous me donnez quoi en échange ?
Moi : Pourquoi dois-je te donner quelque chose ?
Garçon : Vous avez été odieuse avec moi !
Moi : Toi aussi je te signale !
Garçon : La proposition d'argent tiens toujours ?
Moi : Je ne suis pas non plus une machine à sous.
Garçon : Pourtant vous étiez près à m'en donner pour acheter une nouvelle console.
Moi : S'était du second degré mon petit.
Garçon : Alors vous ne saurez rien !

Je délibère dans un coin de ma tête. Puis sort mon portefeuille. Maintenant voilà que je faisais troquer un gamin de 13 ans pour sous-titré des infos sur le groupe et pour savoir son point de vue face à eux. C'est donc un commencement qui vire dans le mauvais sens. Il est ravi de mon choix. Ce qui ne m'étonne pas.

Moi : Combien tu veux ?
Garçon : 30e !
Moi : 15e !
Garçon : 30e et c'est mon dernier mot !
Moi : 15e sinon je te donne rien.

A son tour il réfléchie à ma proposition quelques secondes et finalement accepte en tenant la main. Je les lui donne. Ça me fait mal au cœur. Surtout que mon rapport ne sera jamais publié. Ces petits de nos jours sont dur en affaire. Je soupire et ouvre une nouvelle page world. Je mettrais donc dedans toutes les interviews que j'aurais eu.

Je ne sais pas pourquoi mais je sens que le "petit" s'est foutu d'elle et qu'il ne va rien lui sortir lol

Suite please!!!!!!!!!!

J'ai bien aimé ces suites, elles m'ont fait rire.
J'a hâte de voir la rencontre !
Suite !

On passe donc la fin du trajet à se parler, je note toutes les informations capitales tout en gardant l'anonymat sur les personnes qu'il me cite. Parfois il me parle carrément des fantasmes que ces amies collégiennes ont. J'en suis un peu étonnée de voir tout ce qu'il a entendu ou ce qu'on lui a dit sur eux. Il me dit également que les jumeaux sont très populaire dans son école. Mais que les fans n'oublient pas Gustav & Georg, le batteur & le bassiste du groupe. J'éteins enfin mon ordinateur et le remercie pour tous ces renseignements.

Moi : En fait, mon pass me sert juste pour mon rapport de stage. Je fais des études dans le journalisme et mon patron m'a chargé de les suivre pendant un an et demi.
Garçon : La chance. Enfin si je peux dire. Juste que vous allez voir des gens célèbres. Mais faites gaffe à Tom. Il aime les jolies filles.
Moi : Je crois pas que ça soit lui qui faut plaindre =) !
Garçon : Si tu le dis.

Le pilote nous dis enfin que nous arrivons. On se prépare. Je cache mon pass en dessous de mon t-shirt, celui ou celle qui voudra le prendre devra me passer sur le corps héhé.

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On est maintenant devant le tapis roulant où les bagages passent devant nous un par un. Je reste avec le gamin jusqu'à ce qu'il retrouve sa famille. Je me disais bien qu'il ne pouvait pas rentrer chez lui tout seul s'il habite ici. Il me fait un signe de la main en guise d'au revoir et moi j'incline seulement la tête puis je m'en vais prendre encore un deuxième taxi. Dedans, on se dirige vers mon hôtel. Lorsque je m'y trouve devant, je suis un peu abasourdie.

Moi : Vous vous êtes pas trompé d'hôtel ?
Taxi : Non, vous êtes à la bonne adresse.
Moi : Ils se font pas chier à mon entreprise !
Taxi : Vous l'avez dis ! Ca vous fera 20e.
Moi : Ouh comment perdre 65e en une journée !

Je lui donne. On sort pour que je prenne mes valises et là un bagagiste viens me harceler pour m'aider à porter mes bagages. Enfin les mettre sur un chariot et les pousser à ma place. J'en profite pour faire quelques photos pour mon rapport.

Bagagiste : Et les droits d'auteurs ?
Moi : Tu as de la tune à me donner pour que je puisse les avoir ?
Bagagiste : Non !

Je lui lance un sourire mauvais. s'il voulait me faire une blague, s'était mal barré, On entre, on va vers le réceptionniste. Il est pas mal du tout. Il me fait un grand sourire.

Moi : Vous êtes sur que je suis ici ?
Réceptionniste : Oui ! C'est quoi votre nom ?

Je le lui dis, il cherche, il me trouve la clef et prend mon passeport pour en faire une photocopie. Je la récupère après.

Réceptionniste : Vous êtes dans la suite junior N°23.
Moi : Paye ta suite ! C'est une blague ! Vous êtes sur que je ne dois rien à mon patron là ?
Réceptionniste : Non, il a bien été claire ! C'est lui qui paie !

Je pose mon code contre le bureau de la réception. Qu'est-ce qu'il est craquant.

Moi : Ca vous dis qu'après on se voit à la fin de votre service ? C'est pas tous les jours qu'on m'offre une suite.
Réceptionniste : Moi ça me convient.

Je rigole. Il a vraiment cru que j'allais le faire. J'aime draguer, rigoler avec ça, mais je suis pas si conne que ça non plus.

Moi : Autant plus tôt aller boire un verre ensemble c'est mieux non ?
Réceptionniste : Comme vous voulez. Rdv à quelle heure ?
Moi : Je ne sais pas vous finissez à quelle heure ?
Réceptionniste : A 20h.
Moi : Eh bien on dine et on va boire un coup avant ! Ca vous va ?
Réceptionniste : Ca me va. Je vous appellerais une fois que j'ai finis mon service.
Moi : Cool. Une petite question !
Réceptionniste : Oui ?
Moi : Je peux prendre une photo de vous avec moi ?
Réceptionniste : Bien sur !

Je donne mon appareille photo au bagagiste qui n'est pas content. Lui se fait gueuler dessus par moi alors que son collègue se fait "draguer". Je le supplie de prendre une belle photo sinon je me plaindrais. Le réceptionniste & moi on se colle devant son comptoir. On sourit et up, le flash apparait. Je ne remercie même pas le bagagiste. Je veux voir s'il a prit une belle photo. Bon, c'est pas du grand art, mais ça va, il a de la chance qu'elle soit nickel. Je la montre au réceptionniste et il est content. C'est parfait.

Moi : Allez ! A ce soir ! Merci !
Réceptionniste : De rien !

Je me dirige vers l'ascenseur. Le bagagiste me suit jusqu'à l'étage de ma chambre.