[T]Vertrau mir

Voici ma première fan fiction, j'ai deja écrit beaucoup de One shot, et je me lance dans une fan fic^^

Présentation personnages principale:

Lucie, 18 ans. Elle à de longs cheveux noirs légèrement ondulés. Des yeux verts perçants, souvent soulignés d'un fin trait noir. Sa bouche était rouge comme le sang, et son teint très pâle.
Sa vie n'est pas très passionnante, ses parent n'ont rien a faire d'elle, la néglige constamment.
Le peu de gens qu'elle voyait ne l'aimait pas. A vrai dire, elle n'a aucun amis depuis que son dernièr meilleur ami est partit loin d'elle, elle ne sort que très rarement, et prend des cours par correspondance, elle ne supporte pas qu'on la touche, la foule, une vrai maladie sûrement du a celui qui lui a fait tant de mal. Elle n'avait plus confiance en personne, elle ne comptait que sur elle même, et si un jour vous réussissez à la faire sourire, se sera un vrai miracle. Bien qu’habitant en France, elle a vécu durant 12 ans en Allemagne

et pis bah les TH, pas la peine de vous les présenter je crois.

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Je descendais les marches de l'escalier et rentra dans la cuisine. Ma mère et mon père étaient assi à la table entrain de lire le journal. Aucun des deux ne leva les yeux a mon arivé, c'est pas grave, depuis 17 ans je suis habitué maintenant. Non, même pas, 18 ans!A force que tout le monde l'oublie, moi même j'avais finit par l'oublier. Même pas la peine d'imaginer aussi-tôt des parents chaleureux, acceuillant leur fille avec les bras remplis de cadeaux, et un bon gâteau au chocolat sortant du four posé sur la table...

Mes parents ne s'en souvenaient certainement pas. Je décida de voir quand même si ils allaient réagir et je lança alors "Bonjours!On est le 6 mars aujourd'hui..."
Ma mère dédaigna enfin de sortir de sa lecture et me dit d'un ton desesperé "Ques que sa peut nous faire Lucie?" Ouais ok, tentaive raté, pas la peine d'insister...Je partis donc le coeur gros dans ma chambre sans rien dans le ventre.Pourquoi font-ils cela avec moi?Je n'avais pourtant rien fait, c'est si injuste....Pris de violent sanglots, je finis par me rendormir pour me réveillé seuelemnt le soir.

Du bruit venant de l'extérieure m'on retiré des bras de morphé. Normale, j'habite juste à côté d'une salle de concert, et se soir, il doit y avoir surement un groupe de rock ou de métal pour que sa fasse autant de bruit. intrigué quand même, je decide d'aller voir se qui se passe de plsu près, après tout, tous le monde devait etre a l'intérieure, je ne croiserai surement personnes.

Comme j'étais déjà habillé, il me suffit donc juste d'enfiler une paire de chaussure. Mes parents ne doivent surtout pas s'en rendre compte, je fais donc donc le moin de bruit possible et ouvre la fênetre de ma chambre et sauta pour m'engoufré dans le froid de la nuit.
Je me rend en direction de la salle.le parking était jonché de détrituts, couvertures de survie et des barières a perte de vue. Le bruit que font les fans à l'intérieure me laisser deviner que se groupe devait très connu, et surement aprécier

Je tend l'oreille, et malgré les hurlement provenant de la salle, j'entend ces quelques paroles
"Ich will da nicht allein sein, lass uns gemein sein in die Nacht"
Une larme roula le long de ma joue, cette voix, cette musique, m'envoûtait sans que je le sache.
Et puis, ces paroles, j'aurais tellement pouvoir lui chanter a lui*, mais il est resté en Allemagne, et moi je suis partie en France... C'était décidé, a partir de ce matin, j'avais 18 ans, j'était libre de mes moindres gestes, c'était le moment ou jamais, j'allais quitter la maison, laissant mon douloureux passé derrière moi, ces gens qui m'on fait si mal derrière moi. Et j'allais partir pour l'Allemagne, le pays ou je suis née, recommencer une nouvelle vie...

Rappel: j'avais 18 ans, j'étais libre de mes moindres gestes, c'était le moment ou jamais, j'allais quitter la maison, laissant mon douloureux passé derrière moi, ces gens qui m'avaient fait si mal derrière moi. Et j'allais partir pour l'Allemagne, le pays ou je suis née, recommencer une nouvelle vie...

[g]Une fois la chanson terminée, je couru chez moi avant que les gens ne sortent, poussa la fenêtre que j'avais bloqué pour que je puisse rentrer à l'intérieur.
Comme j'avais vraiment décidé de partir le plus loin possible d'ici, je pris un sac à dos, et mis dedans tous se dont j'avais besoin. Une fois finit, je poussa le lit délicatement pour ne pas alerté mes parents, et je me met a genoux. Je relève une latte du parquet pour y prendre une enveloppe soigneusement cachée dessous. Elle contenait de l'argent, en tout cas sûrement assez voir même plus pour mon "excursion" en Allemagne... Au fond, je le savais depuis toujours que la nuit de mes 18 ans, j'allais m'en servir pour m'enfuir, loin d'eux, loin de lui, pour peut être retrouver mon ami d'enfance, le seul à qui j'avais fait confiance [ Nan mais ta vu la rime (H) bon ok maggle xD]

La liberté, enfin je l'avais, die Freiheit,ich bin frei endlich

Je pris soin de remettre mon désormais ancien lit en place, pour y poser ensuite une lettre disant que je partais, qu'ils n'essayent jamais de me retrouver... De toute manière, je n'avais pas vraiment de souci a me faire de ce côté la, ils ne l’aurait sûrement pas fait, mais bon, qui sait?

J'ouvris a nouveau la fenêtre et regarda une dernière fois le lieu qui m'avait servit de refuge pendant 18 ans, une larme ne pu s'empêcher de s'écraser sur le sol. Mais c'était finit maintenant tout ça, toutes ces souffrances, j’allais vers de nouveaux horizons, nouvelles rencontres, vers une nouvelle vie?
Je ferma les yeux, me retourna enfin, et partis de cette maison.

"Ouvrir les yeux pour les fermer enfin"

Je n'avais même pas vu le temps passer, dans environ 2 heures, le jour se lèvera, mais de toute manière le temps que j'aille a la gare j'avais le temps.
Je marche donc dans les rues de Remiremont, passant à certains endroits marquant de ma vie, pour finalement partir en direction de la gare, le soleil était déjà là, et quelques gens courageux marchaient dans la rue, sûrement pour rejoindre leur travail.

J'arriva dans la gare, mauvaise nouvelle, il y avait déjà du monde, je ne supportais pas qu'un inconnu me touche, même me frôle. Cette véritable maladie de la peur du toucher, je l'avait depuis 2 ans. Depuis qu'il* avait oser me frapper alors que je n'avait que 16 ans.

Je respira un bon coup et rentra dans la gare. Je trembla sans pouvoir m'en empêché, la phobie était la, et ne partira pas.

Quand mon tour arriva, je dis d’une voix tremblante que je voulais un billet pour Loitsch.
Heureusement, je n'avais qu’un changement de train à faire.

Mon ticket composté, j'entra dans le train et me calla direct dans le fond, là ou personne ne viendra...

[ellipse]

Ahhh, ça y est j’étais enfin dans mon village natale, celui ou j'ai grandis, celui ou je l'ai rencontré.
Lui c'est Bill, mon ami d'enfance. Ila a était le seul à m'écouter sans me juger.
C'était tout simplement mon meilleur ami. Puis un jour, mes parents m'annoncèrent qu'on partait d'ici pour aller en France. Qu'elle coup de déprime, j'ai eu beau pleurer rien a faire, leur décision était inchangeable, je devais les suivre. Je lui ai écrit une paire de lettre, aucune réponse, je pense que mes parents y étaient pour quelque chose...

Plus aucune nouvelle de lui pendant 6 ans, il ne savait pas ou j’étais, et moi je ne savais même pas ce qu'il était devenu, j'espérais seulement qu'il habitait encore ici.

Fatiguée de mon voyage, je décida d'aller à un hôtel me reposer pour la journée, je n'avais pas réussi a dormir dans le train. J'arriva donc dans un hôtel certes pas très luxueux, mais au moins le prix me permettait de prendre une chambre pour presque un mois, et avec un peu de chance, d'ici la, j'aurais trouvé un petit job.

Je rentra dans la minuscule chambre, ne pris même pas la peine de regarder de plus près, et m'endormis comme une masse sur le lit.

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Les personnages parleront en Allemand maintenant, mais je marquerais en français


Suite?

suite

oh enfin une lectrice xD

J'attend encore un peu

lol t'inquiétes c'est bien écrit, il va y en avoir des lectwices.

Moi j'adore.
Ma fic:(enfin mes)
Tokio hotel:amour??amitié??
Y'a pas quelqu'un qui pleure dans ce bahut??

et je sais plus le nom des deux autres xd!!Si tu veux aller voir.

Personne t'obliges!!!

Jespere (Yn)

j'essayerai d'aller jeter un coup d'oeil sur ta fic dès que je peux

Rappel: Je rentra dans la minuscule chambre, ne pris même pas la peine de regarder de plus près, et m'endormis comme une masse sur le lit.

J'émergeai de mon sommeil difficilement que vers 3 heures de l'après-midi, je devais vraiment beaucoup manquer de sommeil ! J'enfilai une tenue tout vite, pris ma douche et sortis de l'hôtel.

La faim commença à me ronger, mais tant pis, ça pouvait attendre ce soir, autant garder mes sous.
Je ne savais pas vraiment ou aller, j'étais un peu comme a la rue. Je décida d'aller dans la rue de mon ancienne maison, celle de Bill est son frère également [de rue hin ^^]. Le regard mélancolique, je repensais tout en marchant à ma destination, à tous ces bon moment passés ici.
Je sortis enfin de mes pensées quand j'arrivai devant mon ancienne maison. Je n'osai pas frapper à la porte, pour dire quoi ? "Bonjour j'habitais avant ici, je peux regarder une dernière fois là ou j'ai passé une partie de ma vie?", on m'aurait déjà claqué la porte au nez sans hésitation. Je me résigna donc a m'asseoir sur le trottoir d'en face.

Depuis la maison, je m'aperçus qu'on écoutait de la musique, ça me manquait terriblement, la dernière chanson que j'avais entendu, c'était eux qui la chantaient, et je ne savais ni leur nom, ni qui ils étaient.
Des rires se firent entendre et je vis par la fenêtre de mon ancienne chambre des gamins qui s'amusaient à se courir l'un après l'autre. J'aurais tellement voulu moi aussi pouvoir rire à en mourir, et jouer avec une personne, mais j'ai été mise trop vite dans le monde dur de la réalité, même pas eu le temps de profiter de ma jeunesse, a cause de ce déménagement.

Je m'aperçu seulement a qu'elle point je suis restée ici a penser longtemps, lorsque le soleil a disparut, faisant place à de gros nuages noires, comme ce qui se passait dans ma tête.
Je me levai, et mes pieds me conduisirent instinctivement jusqu'à la maison de Bill et Tom.
Je n'osai une fois de plus pas sonner. Mais il le fallait bien, si je voulais en avoir le coeur net, je pris donc mon courage à deux mains, rentra dans l'allée de la maison et sonne à la porte.
Je n'attendis que quelques secondes avant que celle-ci s'ouvre.

Simone : oui c'est pour quoi?
Moi : euh bonjour, j'aimerais savoir si Bill et Tom sont encore là?
Simone : Non, arrêtez de me harceler toutes, mes fils ne sont jamais là, partez !
Moi : Pardon ? Mais Simone, c'est moi Lu...

Mais trop tard, elle m'avait déjà claqué la porte au nez et j'entendis le verrou se mettre en marche.
Qu'avais t-elle voulut dire par "arrêtez de me harcelez toutes?" ne m'avais t'elle pas reconnu ?
Un peu normal en même temps depuis tous ce temps, mais je ne comprend pas sa réaction.
Sa y est c'était finit, tout était finit, derniers espoirs envolés, j'était revenu dans cette ville pour rien...

Je restai la, comme une conne devant cette porte définitivement fermée, sans pouvoir m'empêcher de pleurer, après tout j'en avais marre de faire semblant. Après de longues minutes, je pris enfin la décision de partir, me lamenter ici ne servira a rien, mes anciens amis n'allaient pas réapparaître par magie de toute manière.

Je n'avais plus aucune solution, aucun plan, j'étais perdue, comme à la rue, et c'est d'ailleurs bientôt ce qui va arriver si je ne me trouve pas un job assez vite.
En voulant rentrer à mon hôtel, je décidai d'aller me promener pas longtemps là où j'allais avec eux, dans notre forêt. Notre ancienne cabane qu'on avait construite tout les 3 était complètement en ruine, ravagée par le temps.

J'arrivai près d'une falaise un peu plus haut. Des idées noires fusaient partout dans ma tête.
Après tout, maintenant, plus rien ne me retenait ici, j'étais seule. Seule, seule, seule, définitivement seule!
Ce mot résonnait en moi comme des coups de poignard.
L'endroit parfait, le moment parfait...
Je m'abaissai, laissant mes jambes tomber dans le vide, je ne voyais plus net, trop de larmes envahissaient mon champ de vision.

Ma décision était prise, j'allais vraiment le faire lorsque...

Suite?

Rappel: L'endroit parfait, le moment parfait...
Je m'abaissais, laissant mes jambes tomber dans le vide, je ne voyais plus net, trop de larmes envahissaient mon champ de vision.
Ma décision était prise, j'allais vraiment le faire lorsque...
Lorsque j'entendis des pas précipités et une main m'attraper violemment le bras, me tirant du vide, me remettant a terre.

...:Mais enfin vous êtes folle !!! Qu'est qui vous a pris?

Je me dégageais violemment de son emprise pour faire face à mon interlocuteur.
C'était un jeune d'environ mon âge, cheveux assez longs noirs avec des mèches blondes, de grands yeux noisette dans lesquelles je me perdrais volontaire, entourés d'un trait noir qui rendait ses yeux plus que magnifique. Il m'obsédait, je n'arrivais plus à détacher mon regard de lui, il me rappelait quelqu'un sans vraiment savoir qui il était.

Moi: Je.... pourquoi tu a fait sa toi ? Pourquoi tu m'as empêchée ? Tu n'aurais pas du ! Plus rien de me retient ici, si tu savais...

Je fondis en larme, son visage s'adouci et il me prit dans ces bras. Prise de panique je voulu m'enfuir mais il me tenait fort. Ses cheveux sentait bon les fruits, bien que je ne le connaisse pas, j'avais l'impression qu'on pouvais lui faire confiance... Il me caressa les cheveux, me répétant des "chuut, aller calme toi s'il te plait ". Ma tête était plaquer contre son torse, je n'essayais après tout, même plus de le fuir, il m'inspirait tellement confiance. C'était un exploit pour moi, qu'un contact existe entre quelqu'un et moi, je n'avais plus toucher personne depuis ma maladie. Il me prit le menton entre ces doigts, me forçant à le regarder a nouveau.

Bill: Dit, tu va continuer a m'inonder, ou tu va me dire enfin se qui ne vas pas ?

Je ne pu retenir un sourire, me séchant vite les yeux en reniflant.

Bill: Eh bah, je n'aurais peut-être pas encore réussi à te faire parler, mais tu m'auras au moins fait un sourire. Ce n'est pas que je m'ennui, mais rester comme ça près d'une falaise ne m'inspire pas. Tu veux bien qu'on aille autre part s'il te plait ?

J'approuva d'un hochement de tête et marcha à ses côtés.
Mon regard ne pouvait s'empêchait de le regarder, il me disais quelqu'un rien qu'à sa façon de parler mais je ne voyais vraiment pas qui ça pourrait être.

Bill: Je peux savoir au moins ton nom ?
Moi:je m'appelle Lu...euh non excuse moi, appelle moi Espoir.
J'essayai de faire le mieux que je pouvais pour avoir une expression crédible, mais se tromper dans son prénom, il allait définitivement me pendre pour une suicidaire et une mongole.
Mais je ne voulais pas donner mon nom, Lucie était morte, elle ne reviendra plus, je préfère dire au gens que je m'appelle autrement.

Bill: Espoir ? Pas très courant ça, je n'avais encore jamais entendu se nom ! Mais c'est très beau !
Moi:euh merci, c'est gentil. Et toi au faite comment tu t'appelle?

Il me regarda l'expression incrédule. Quoi, j'avais dit quelque chose de mal ?

Bill : euh bah moi c'est Bill, tu ne me connais pas ?
Moi : Pourquoi, je devrais ?
Bill :.... non rien oublie.
C'était peut-être pour ça que je croyais le connaître, car il portait le même nom que celui qui a été mon seul meilleur ami, mais l'évidence était la, ça ne pouvais être lui.
Il me fit un sourire rassurant et on arriva hors de la forêt.

Bill : Dit moi, tu habite ou?
Moi: et bien, c'est que je n'ai pas de maison fixe, pour l'instant j'habite dans un l'hôtel pas très loin d'ici
Bill : ah ok. Tu ne vis déjà plus chez tes parents?
Moi : eh bien, a vrai dire mes parents s'en fichent un peu de moi.
Bill : Pourquoi ?
Moi : Bill, tu es bien gentil, mais j'ai pas vraiment envie d'en parler, ni d'y penser, tout ce que je peux te dire, c'est que je suis partie de chez moi hier dans la nuit, et je ne compte en aucun y revenir.
Bill : Excuse moi Espoir, je suis une vrai pipelette, désolé de t'avoir refais penser à des chose pas marrantes. Je ne suis vraiment pas doué.
Moi : Ce n'est rien, tu ne pouvais pas savoir.
Bill : En tous cas, maintenant que je t'ai vue comme sa je ne suis pas prêt de te lâcher de si tôt, même si tu ne me connais pas, sache que je suis là maintenant pour t'aider, tu n'est plus seule... Demain, je dois repartir chez moi, à Hambourg pour des vacances. Voudrais tu venir avec moi ?
Moi : Je ne veux pas te déranger...
Bill : Tu ne me dérangeras pas, ce qui me dérangerait au contraire, c'est de te laisser seule ici...
Moi : Dans se cas j'accepte.... Je ne sais pas quoi te dire...

Il ne répondit rien. Si j'avais accepté, c'est surtout car c'était le seule qui pouvais me toucher, s'approcher de moi, sans que ma phobie reprenne le dessus.

Moi: Bill, il faut que tu sache aussi, c'est que si tu t'entête d'une fille comme moi, ce sera pas facile, j'ai la phobie qu'on me touche, mais c'est tellement bizarre avec toi, je peux t'approcher sans être terrorisée. Mais ce n'est pas car tu ma sauver la vie que tu dois te sentir obliger de me prendre sous ton aile...
Bill : Je ne me sens aucunement obligé, je le fais de ma propre volonté... Et de toute manière qui t'aurait laisser sauter ?
Moi:je... je sais pas...
Bill : Tu vois, c'était naturel, pour ta maladie, et bien je suis bien content que ça ne marche pas avec moi, et si tu veux, je pourrais t'aider a la combattre. Vertrau mir...
Moi: ja...

Voila^^

suite !!!

J'arrete pour aujourdhuis '^^

ok !!!demin alor !!!!!!!

Rappel:Moi: Bill, il faut que tu sache aussi, c'est que si tu t'entete d'une fille comme moi, se sera pas facile, j'ai la je ne suporterai pas qu'on me touche, mais c'est tellement bizard avec toi, je peu t'aprocher sans être téroriser. Mais se n'est pas car tu ma sauver la vie que tu dois te sentir obliger de me prendre sous ton aîle...
Bill : Je ne me sent aucunement obligé, je le fais de ma propre volonté...
Et de toute manière qui t'aurais laisser sauter?
Moi:je... je sais pas..
Bill : Tu vois, c'était naturelle, pour ta maladie, et bien je suis bien content que sa ne marche pas avec moi, et si tu veux, je pourais t'aider a la combattre. Vertrau mir...
Moi: ja......

Le lendemain matin, je me reveillais pour la deuxième fois dans ce lit pas vraiment confortable. Heureusement que c'était bien la dernière fois. Je pris une douche, me prépara puis pris mes affaires et je rendis les clés de la chambre en bas a l'aceuil. Bill m'avait dit qu'il passerait dans 15 minutes me prendre devan l'hôtel, avec ses amis et son frère.

Mais je ne voulais pas partir d'ici a Hambourg avec eux sans avoir était voir pour la dernière fois la maison à Bill et Tom.
Je marcha préssé jusqua leur maison.J'attendis qu'on vienne m'ouvrire après avoir sonner.

Simone : Encore vous? Quesque vous voulez?
Moi : Je voudrais seulement savoir ou sont les jumaux, je vous en suplie, dite le moi!!!
Simone : Ecouté, j'en a arre que des jeunes filles comme vous sonne toutes les semaines a ma prote pour savoir ou il se trouve! Bill et Tom sont partit tôt se matin pour leur apartement a Hambourg.Laisser moi maintenant, je n'ai rien d'autre a vous dire.
Moi : Mais, je ne comprend pas, vous m'aviez pourtant dit hier qu'ils n'étaient pas la
Simone : Oui, mais j'ai seulement dit sa dans le but que vous ne viendrez plus fouiner ici.

Je n'u le temps de rien dire que déjà la porte se claqua en un bruit sec.
1000 et 1 question fusaient en moi. Tout se raprocher maintenant, Bill et son frère étaient la hier, et comme par hasard je croise un Bill qui d'ailleur ma sauver la vie, ensuite celui ci passe me prendre ce matin avec son frère, sa ne pouvais être que Tom!!!c'était claire, tout était claire, et c'est surement pour sa que je pouvais le toucher l'aprocher, sans que ma phobie reprenne le dessus.

Mais pourquoi Simone avait-elle dit qu'ils étaient partit?M'avait-il oublier?

Pas de temps a perde, je courus comme jamais je ne l'avais fait auparavant jusque mon ancien hôtel. J'arrive 5 minutes plus tard, il était là, avec 3 autres personne. Celui aux dread devait être Tom, j'en était sur même.

Bill : Te voila! J'ai bien crus pendant un moment que tu m'avais déjà oublier.
Moi : Non! Exuse moi, j'était passé faire quelque chose avant de partir...

J'avais une folle envie de le prendre dans mes bras, de lui dire qui j'était réelement. Mais quelque chose m'en empéchais, surement la peure, lapeure qu'il se vexe, ou pire, qu'il ne se souvienne d'aucune Lucie, sa me tuerais. Je me retient donc, on vera se que la temps en pensera...

Bill : Je te présente mon frère jumaux Tom, mon ami Gustav, et Georg.
Les trois :Salut
Moi : Bonjours.

Aucun d'eux ne me sera la main ou me fit la bise, Bill avait du surement les mettre au courant et je lui en était reconaisante, pas encore prète.

Georg : Bon aller, en voiture on a du chemin a faire!
Tom : En espérant arriver sein et sauf, sans qu'il nous manque un doigt ou une jambe a notre destination, paske avec Georg le Hobbit en conducteur...

Ils riéent tendis que Goerg, surnomé le "hobbit" donnait des fausse baffes a Tom.
On monta dans la voiture et je me placa aux côté de Bill. Tom me regardais bizarement. M'avait-il reconnu???

La voiture demmera et nous voila partis diréction Hambourg.
Je pouvais constater durant tout se temps, qu'un bonne ambuance régné au sein du groupe.
Je ne parlais pas beaucoup, préférant les écouter eux.

Bill : Tu va bien Espoir?
Moi : Oui Bill, sa va merci.
Bill : Bon si tu le dit...
Gustav : Ta qu'elle âge au faite?
Moi : J'ai eu 18 ans il y a très peu
Tom : Et bien joyeux anniversaire!

Pour toute réponse je lui adressa un sourire amicale. J'aimerais tellement savoir si ils me reconaissaient les deux la...

Moi : Racontez moi votre vie tien. Bill se lança dans u long récit, j'apris qu'ils avaient un groupe de rock nomé "Tokio Hotel" que je ne connaissais pas, se qui les étona d'aileur. Surement pour sa que Bill avait eu l'air étonner quand je lui est demander son nom et que sa mère ne voulais pas me dire ou ils étaient, elle avait du me prendre pour une fan.

Georg : A toi Espoir, raconte nous des choses sur toi, on en saient peu.
Moi : euh... c'est qu'il na rien de passionant a dire pas rapport a vous. j'habité en Allemagne durant
mon enfance, puis on a déménagé en France. Le joure de mes 18 ans, je suis partit sans dire ou j'allais pour mon vrai pays, je me suisjamais sentis heureuse avec mes parents...
Je n'en dit pas plus, ils n'avaient pas besoin de savoir tout mes problèmes, du moin pour l'instant.
J'en avais déjà d'ailleur trop dit.+le temps défilé a vive allure, quand je pense que si j'avais sauter, je ne les auraient pas recontré et revu mes deux amis.

Le reste du trajet se passa dans la bonne humeur, je commencais a distinguer leur personnalité.
Tom était sans aucun doute le plus charieure du groupe balaçans des vans des qu'il le pouvais, Georg avait l'air gentil et rier volontier au blagues foireuse de Tom, Gustav avait l'air également gentil, voir même trop. Tant qua Bill, commeson frère, il n'avais pas beaucoup change.
Une vraie piplétte. De sa bouche sortai un nombre spectaculaire de mot en seulement quelque secondes. Je les aimer déjà tout les beaucoup.J'avais l'impression de ne plus être seule, sentiment qui m'avais lachement abandoné il y a quelque années.

La voiture s'arreta, et nous voila devant leur appartement a Hambourg.
Une nouvelle vie commencais. Meilleure? Sa je ne savais pas encore...
Ma vie commencais a prendre un peu de couleur, effacant un bout de noire, celui de la sollitude


Je ne t'ai pas deçu? '^^

suuuuiteeeeeeeeeeeeeeeeeee

Hum suite demain^^

elle est trop bien suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite

yes !!!!!!!On est deux !!Tu vois ça commence !!!!!Suite !!!!!!

Oh coul xD

Nan suite demain ;p jpeu pas la.

Enfin je verai a la limitte ce soir^^

snniffffffff

:p laisse moi le temps au moin d'écrire ^^'

ok !!!!!!!!!C'est bon ??XD

Je descendis de la voiture et je rentra dans leur appartement. J'était émerveillé. Vue de dehors, sa ne parraissait pas très grand et aceuillant, mais une fois a l'intérieure, c'était tout le contraire.
Un style très moderne.Lorsqu'ils me firent faire la visite, on voyait quand même que cette apartement appartenait a 4 jeunes garçons vue le parfais bordel qui regnier dans chacune de leur chambre; lit non fait et fringues sales a perte de vue. La cuisine était de loin la pire....Les casseroles s'empilées les une sur les autres dans l'évier suvit d'assiettes et de couverts.

Georg : Alors tu trouve sa comment?
Moi : Très joli et moderne, mais par contre, le ménage....a revoir!
Tom : humm... sa on le sait, mais avec Georg en coloc, un vrai enfert, c'est le pire de tous!Plus bordélique, tu meurt.
Georg : Et non c'est pas vrai!!! C'est pas moi qui laisse trainer dans la salle de bain mes caleçons rempli de...
Gustav : STOOP, pas la peine de l'éffrayer les mec, elle vien d'arrivern vous voulez la voir repartire en courant?

On eclata de rire, et une fois calmé je demanda:
Moi : Mais par contre, je vais dormir ou?
Tom : Ya de la place dans mon lit si sa te dit!
Il me fit un clin d'oeil provoqueur.
Moi : Merci Tom mais je croi que sa ira.
Gustav : Je sais, elle n'aura qu'a dormir dans la pièce en haut qui nous sert a moitier d'entrepot.Je suis sur que débarasé, elle peut faire une très belle chambre.
Bill Tom & Gustav aprouvèrent.
Moi : Non, je ne veux pas m'imposer ici, dès que j'aurais trouver un job, je me prendrait un petit studio. Pas la peine donc de m'aménager une chambre, le canapé fera très bien l'affaire
Bill: ttttt Hors de question, tu reste ici. Si tu pard, c'est quand tu poura plus nous suporté!
Georg : Exactement, ne crois pas que tu dérange, de la présence féminie ne fera pas de mal au groupe.
Moi : ... Non désolé, je peux pas acepté de juste loger ici.
Tom : J'ai une idée, tu fait le ménage ici, et en échange tu reste la, comme sa tu approtera quelque chose a la maison.

J'hésita, mais après tout pourquoi pas? Ils me logaient, je les aidé, dans ce cas, je n'aurais pas l'impréssion qu'ils me prennent pas simple pitié.

Moi : Bon ok c'est d'accord, mais laisser moi au moin acheter mes propres affaires pour ma future chambre!
Bill : Sans probleme, si sa peut t'aranger, on a un lit en double, comme sa sa fera une dépense de moin. Nous iront demain si tu veux.
Georg : Ouais! C'est beau tout sa, mais on mange quand? Il se fait tard, et j'ai toujours rien dans le ventre depuis ce midi.
Gustav : Oui moi aussi j'ai faim, tu veux manger quoi?
Moi : Comme vous voulez!
Tom et Bill : Cool c'est partit pour des bonnes pâtes alors!

Toujours a fond dans les pâtes ces deux la.
Les pâtes a la carbonara étaient déjà engloutit, de vrai morfales.
Je bailla en regardant ma montre. 22h00. J'était fatigué, mes yeux commencaient a se fermer tout seule.

Moi : Je vais aller dormir si sa vous dérange pas, je tient plus.
Bill : Oui fait comme tu veux, va dans ma chambre, je dormirais sur le canapé cette nuit.

Pas la peine de négocier, j'était trop crevé. Tom vint me donner un grand T-shirt a lui qui m'arrivait jusqua aux genoux. Je me glissa dans les couverture du lit de Bill. J'était tellement bien a ce moment la, je me surpris même a reniflé son odeur. Elle semblait me bercé. Je m'endormis, un sourire d'ânge aux lèvre pour la première fois de ma vie.
Mais es ce que cela durerai etternellement? Ne dit-on pas tout bonnheur a une fin? Cette scéne horrible restera t-elle ancré en moi? Pourquoi mes parents me detestaient-ils tant? Qu'avais-je dont fait de si horrible pour mérité sa?Comment vont réagir Bill et Tom quand ils découvriront que je suis enfaite Lucie? Le prendrait-ils bien? Mal? Allaient t-ils prendre sa pour une trahïson, ou encore pire, ne pas me reconnaitre, ne plus savoir qui est Lucie...
Voila les questions que je me posais. L'avenir me fesait tellement peur, que je ne pouvais avancer a traver lui sans tremblé. Tellement de questions sans réponses...

Seule le temps y répondra surement un jour, c'est se que j'espere le plus au monde

Alors? ^-^

Tom : Debouuuuuuut !!!!Il est 15 heures!
Je grogna et marmona des paroles incrompréhensibles . Il me secoua se qui me fit cacher la tête sous l'oreillé.

J'entendis Bill lui hurlait depuis en bas de me laisser tranquil, que sa ira mal si il m'avait réveillé...
Tom : oups
Il fit un aire faussement désolé et partit de la chambre les mains dans les poches de son baggy 20 fois trop grand pour lui l'air de rien.

Resigné a me lever, je poussa un long soupir et partit directement a la douche.
L'eau brulante tombait sur mon corp. Si seulement cette chaleur pouvait brulé tout les soucies, sa serai plus simple, mais rien n'est simple. Lavée, je sortit de la cabine et me secha les cheveux.
Je regardais pessimiste mon reflet dans le miroire, on aurait dit un spectre.
Une touche de maquillage s'imposait. Je pris dans mon sac mon crayon noir et me fis comme a mon habitude un fin trait noir qui soulignait a merveille mes yeux vert.
Je coiffa mes cheveux me fesant une frange, m'habille et sortis enfin prète de la salle de bain.

Je descendis dans le salon, a la rencontre de mes "nouveaux" amis.
Lorsque ma main se posa sur la poigné, une question fit surface; devais-je leur faire la bise? Sa a marcher avec Bill, et se matin avec Tom j'était tellement endormis que je n'ai pas réagis, sa voulait donc dire que si je n'y pensais pas, sa irais surement...

Si je voulais etre forte, c'était maintenant. J'ouvris la porte tremblante. Il fallais que je sois forte.
Ils étaient là, assi sur le canapé en parlant. Je m'avença vers eux, et a la grande suprise de chacun, je leur fit la bise. Le coeur plus léger, contente d'avoir réussi cette première étape, je m'assis a leur côté.

Bill : Tu veux déjeuner quelque chose?
Moi : C'est gentil, mais je n'ai pas faim, et puis vue l'heure qu'il est.
Bill : Ok, desolé que cet abruti qui le sert de frère t'ai reveillé.
Tom : Heyyyy
Moi : Mouais, mais bon vallait mieux que se soit maintenant qu'a 18 heures. Sa nous laisserai le temps d'aller acheter les choses dont j'aurais besoin, et surtout de réaménagé la pièce.
Gustav : Oui d'alleur, allez y maintenant au centre ville, sinan vous n'aurez pas le temps.
Tom : Ouais, Georg, tu nous conduit?Parce que avec ma grosse cadillac, je vais pas passer inaperçut...
Georg : Sans probleme.
Bill : Je ne viens pas avec vous, on aura plus la chance de se faire reconaitre, et en plus je dois faire encore des choses.
Tom : Ok, let's gooo

Georg nous déposa en ville, une fois que Tom ai mis ses lunette, et nous rapela qu'il viendrait dans une heure pile a l'endroit même pour nous ramené, prendre le bus aurait était trop risquer.
On alla a IKEA. Je passe environs une demi heure a choisir quelques objets. Je me pris une table de nuit ainsi qu'un meuble de rangement, cela me sufisais pour le moment.
Je me pris également des décos et un tapis damier rouge & noir .
Mes achats payer, on sortit.Tom proposa qu'on aille faire un tour dans le parc comme ils nous rester un peut de temps avant de rentré, se que j'acepta volontière. On parle de tout et de rien en marchant, puis on vis un petit banc libre près d'un étang. Un blanc s'installa entre nous. [Non pas une personne xD]Je ne savais pas quoi dire,lui non plus. Au bout de quelque minutes qui paraissaient interminable, il brisa ce silence.

Tom: Espoire, c'est quoi ton nom de famille?
Je sentis mon corps se raidire, je n'y avais pas vraiment pensé a cette question qu'on me poserai bien au jour ou l'autre. Scheisse. Je mis un certain temps de réfléxion.
Moi: ... Ferrie
Ma vois me trahissait.
Tom : Pourquoi fais tu sa Lucie?

sniiiif j'ai pas asser de lectrices ><' c'est si nul que sa?

siute !!!!

new lectrices trop bien jadore ////


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