[ OS ] Spéléologue de l'âme.

Je crois que c'est le premier One-Shot que je vous poste ici, C'est vraiment pitoyable ( Hideux principalement ) mais critiquez :].

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Spéléologue de l'âme .

Tu contemplais calmement la mer, Avide de ce silence qui ne faisait que détruire qu’un peu plus notre image pro destructrice d’un univers que nous n’étions même pas aptes à gérer, Empereur d’une puissance complètement inconnue.
Et puis finalement, que voyais-tu à travers cet écran impassible qui ne savait refléter qu’une amertume un peu trop profonde. Tu tentais vainement de t’échapper de ta propre prison, Captif de ton corps.
Tu virevoltais parmi tes songes sans même penser à ce que nous endurions face à ta froideur, Tu étais de glace et nous étions transis par ce froid qui paralysait chacun de nos os. Tu étais la braise qui consumait l’oxygène au point de nous aspirer complètement. Nous pleurions notre âme, Nous vomissions nos esprits et tu ravalais tout goulûment, Ne laissant aucun répit à nos consciences. Tu jouissais de notre décrépitude.
Le concert arrivait, Et la vie s’activait dans ton être. Ta voix reprenait toute son ampleur et ton sourire semblait naître, Comme s’il n’avait jamais existé auparavant. Tu étais simplement un avaleur d’âme, Un vendeur de délice qui offrait sa marchandise à l’euphorie du public. Tu nous tuait pour les faire vivre, Pour produire la prospérité.
Et tel l’écume, Tout cela n’était qu’éphémère, L’effet-Merité de cet acharnement, Mais prenait tu plaisir à nous assassiner pour ce succès ?
Telle était la question, Mais maintenant que tu es mort, Reste à savoir si nous sommes plus vivant que toi.

Tu étais l’essence même de nos vies, Malgré le fait que tu nous dévorais. Tu creusais les fin fonds de nos boîtes crâniennes, Pour trouver la faille qui nous ferait flancher, dériver, Tu nous rendais dépendant à ton inutilité, Spéléologue de l’âme.

Ce n'est pas du grand Art - Je suis un peu Maso sur les bords :].
Ton commentaire me fait réellement plaisir, Il est tout aussi beau de ta grandeur , En fait, Je sais : Tu es Dieu. Grand, Hum, Au microscope peut être.
Merci beaucoup, Réellement (L).

=].
Te voir est toujours un grand honneur, C'est sûrement que tu es trop grande pour voir les particules de mots qui jonchent ma poubelle à lettres.
Merci beaucoup :].
I love you too.

Depuis que tu fais plus d'un mètre .

Depuis toujours, Non ? :]

Depuis toujours . Point.

Vous allez pouvoir faire un club de Couture alors ='].

Hum, Je dirais Merci, Parce que ça ne se fait pas d'pas le dire. Mais, Je ne suis pas du tout de ton avis =).

Je déteste qu'on contredise mon Ô grand réalisme =].
Grand, Tellement grand que le microscope ne le trouve même pas.

Les aiguilles à coudre sont fait pour se piquer, Où s'attaquent aux doigts.

Grand ? Tête de mule.
Loin de là, Ce n'est si grand, Ni splendide, Ni quoi que ce soit. Ce ne sont que de piètres mots qui s'entremêlent brutalité, Le tact ne vient nul part dans le mélange, Pour donner un goût vulgaire au Texte. Voilà, Le microscope il se brise de Laideur, Il n'arrive pas à supporter, C'est trop horrible pour lui.
L'adjectif de Grandeur conviendrait plus à certaines personnes aux écrits splendides qui se borne à ne rien voir de la magnificence de leurs propres écrits en voyant ailleurs ce qu'il y a chez eux.

Les ânes sont des êtres dotés d'une intelligence suprême.
Insupportable Sublimité t'appartiens. Ma plume foudroyante de justesse touche en plein coeur cet espèce de mélasse qui n'appartiens à personne, Qui se confond avec l'abîme pour ne former qu'un mélange qui donne la gerbe à l'âme.
Excuse moi, Le sublime n'a rien à voir avec tout cela, Le suprême est tien, Totalement tien. Délibérément en ta personne.
Je ne plaisanterai point avec ce genre d'appartenances, Aurait tu peur de l'incontestable, Ou simplement peur que ce Phénix t'abandonne ? Ce qui est totalement absurde, Tu es le Talent, Le Génie ne s'abandonne pas.
Oui, On se ressemble à ça près. Tu es dotée d'un don en lettres alors que les mots ont une certaines tendances à s'incruster dans l'immondice.

Ôh. Merde.

Mince Alors, Je suis devenue Cyclope - Hahaha .
Ecoute, J'ai raison, Tu as tord.
C'est un fait, Tu conteste encore.
Mais nous sommes toutes deux persuadées de contraires.

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Buhuhu, C'est trop malheureux dit donc - Je vais me suicider, Sauter du Rez de chaussée - Hahaha, Mon Humour, Mais mon humour.

Mon humour est extraordinaire .
Que dire de plus, Tu as raison sur tous les points sauf que J'ai raison et tu as tord (A).