Chapitre 8 : Dann sieh an !
Il s’installe sur la chaise … dos à la porte … les coudes sur la table … les doigts se croissant agilement entre eux. Ces yeux noisette fixent le mur dessiné de trait noir. Sans vraiment s’en rendre vraiment compte … il se lève … se dirigeant sans vraiment le voir vers la banquette qui sert de lit à la prisonnière. Il s’installe comme il peut sur le lit … c’est yeux fixant toujours les coups de crayon noir sur le mur. Il pose une de ces mains sur le lit … avançant son corps vers le mur. Il pose ça main sur quelque chose de fragile … qui s’émiette presque sous ça main. Il se recule précipitamment … trouvant tout de suite la provenance de ces traits. Il prend doucement les morceaux de fusain se trouvant sur le bois de la banquette. Ces doigts recouvert de noir … il regarde une nouvelle fois les visages sur le mur.
Il y a tellement de détaille … des détailles autour de chaque nez … les yeux presque trop triste … une bouche finissant simplement un mot inaudible. Elle avait même représenté quelque ombre … les plus sombres. Il passe le doigt sur le contour du visage d’une de ces personnes.
La porte c’est ouverte dans un bruissement qu’il n’a pas entendu … il est tellement passionner par ce qu’il regarde.
… : Ne touche pas à ça.
Pris au dépourvue, il lâche le fusain qu’il avait délicatement ramassé … puis c’est retourné tout en se relevant. Il fait quelque pas en arrière … se mélangeant les pieds … pour finir les fesses sur le sol … le dos contre le mur … le visage crispé d’un peut de douleur.
Ilana est revenu dans la cellule … ces yeux sont rivé vers l’androgyne … ce dernier toujours les mains recouverte du noir du fusain.
Ilana : Tu n’as pas le droit d’y touché.
Elle se baisse pour ramasser le fusain que l’androgyne à lâché quelque minutes plus tôt.
Bill : Je suis désolé. Je suis désolé aussi d’avoir cassé ton fusain.
Elle se dirige vers la table … déposant le charbon dessus. L’androgyne se lève. Ilana s’installe silencieusement sur la chaise qui lui est machinalement réservé. L’androgyne s’installe à l’autre bout de la table … sans gardé le silence qui régné maintenant dans la pièce.
Bill : Tu aimes bien le dessin ?
Ilana lève doucement le visage vers l’androgyne. D’un mouvement de tête elle approuve la question que Bill à posé.
Bill : Alors …
Il fouille dans son sac … sortant quelque chose qui pourrait intéressé la prisonnière.
Bill : Prend ces feuilles et se crayon.
Ilana : Je ne peux pas … c’est à toi.
L’androgyne pouce les quelques feuilles et le crayon … insistant pour qu’Ilana les prennent.
Bill : Je te les donne. Ils ne me seront pas utile aujourd’hui … je n’ai pas envie d’écrire de parole.
Malgré se qu’il dit … il aurait aimé écrire quelque parole aujourd’hui … l’imagination est présente. Mais, il avait quelque chose d’autre en tête à se moment là. La prisonnière prend doucement le papier … emprisonnant le crayon entre ces doigts agiles.
Bill : Demain, je te rapporterais plusieurs fusains.
Ilana n’écoutait déjà presque plus l’androgyne parlé … des formes se dessine déjà sur la feuille grâce au crayon qu’elle tient dans sa main droite pour commencé … et pour finir il va passer dans la main gauche pour faire quelque trait qui seront plus qu’utile à se visage qui prend forme.
Elle pose le crayon sur le côté gauche de la feuille … mais elle le pose droit … parallèle à la feuille.
Ilana : Pourquoi tu viens si souvent me voir ?
Bill : Pour te rendre un peut d’humanité peut-être ?
Ilana : Tu plaisante j’espère ?
Bill : Bien sur que oui.
Ilana commence à s’attaché les cheveux avec beaucoup de délicatesse … réunissant chaque mèche de cheveux … n’oubliant pas les cheveux rebelles. Elle ferme doucement les yeux … attrapant sa mèche de cheveux qui cache la plus part du temps son visage. Attachant son élastique sombre autour de ces cheveux fins … ne laissant pas échapper une seul mèche rebelle. Elle garde le visage baisser … le visage face à la table … que personne ne le voit vraiment … sauf si cette personne en a envie.
Ilana : Tu veux toujours voir mes yeux ?
L’androgyne arrête de la regarder après la question … il répond un vague « oui » … ces yeux fixant la feuille où déjà quelque trait y son resté.
Ilana : Alors regarde !
Il lève doucement la tête vers le visage d’Ilana … cette dernier lève elle aussi le visage … à la même vitesse. C’est à se moment là que l’androgyne aurait aimé ne pas savoir parlé … qu’il aurait aimé ne pas être là … qu’il aurait aimé ne pas avoir prononcé se son si absurde à la vue de ces yeux.
… : Val, tu as vue Bill ?
Val : Il doit être sorti … il ma dit qu’il allait voir Andréas toute l’après-midi.
Heureusement que son mensonge était presque une vérité pour Tom, qui se précipite pour prendre son téléphone pour appelé son meilleur ami.
Tom : Andréas, Bill est avec toi ?
Un silence pris place … seule la voix d’Andréas résonné comme un murmure dans le portable.
Tom : D’accord … tu lui diras que j’ai appelé s’il te plait … Merci.
Le guitariste soulagé de savoir son frère chez leur meilleur ami … s’installe sur le canapé à côté de sa copine.
Val : Tu t’inquiète toujours autant pour ton frère, tu le sais ?
Tom : Oui je sais. Mais je ne veux pas qu’il retourne voir la prisonnière 205.
Val : Pourquoi ?
Tom : Tu sais très bien.
Val : Et tu sais très bien que tout les indices la contredise.
Tom : Alors fait lui dire qu’elle est innocente.
Elle pose le dossier sur la table basse devant elle … puis commence à se dirigé vers la chambre.
Val : Merci de m’encouragé.
Le guitariste avait remarqué que le dossier était dure depuis bien des jours … il l’encourage à ne pas s’arrêté en bon chemin … mais là … il fait tout le contraire.
Tom : Ma chérie … je suis désolé.
Il s’approche de l’avocate … pour doucement l’embrassé.
Avis ???
suite ou pas ???
nul ... ou assez bien ???