[T] Journaliste: un métier de rêve.

La personne continuais à 'acharné sir la poignée et ça commençait à me faire peur. J'attrapa un gros machin à côté de moi. Je ne savais absolument pas ce que c'était mais vu comme c'était lourd, ça ferait sûrement l'affaire. j'inspira un grand coup.

Moi: Bon allez Anaïs. Un... eux... trois!

J'ouvris la porte et m'apprêta à frapper mais j'arrêta mon geste car la personne s'écroula toute seule par terre.

Moi: Tom?

Tom: Hein? Quoi? Qu'est-ce que tu fais dans ma chambre?

Moi: Ou lui il est pas dans un bon état. mais ce mec, c’est pas possible il en rate pas une.

Je pose le machin que je tenais toujours dans ma main et aida Tom à se relever. Ouf mais il est pas léger quand même et moi je suis pas musclor, les muscles et moi ça fait carrément 3. Il s'écroula sur le lit m'emportant avec lui.

Tom: Oh mais c’est pour ça que tu m’attendais, Il fallait le dire tout de suite!

Moi: Mais n’importe quoi. Dors ça t’évitera de dire des conneries.

J’avais même pas fini ma phrase que Tom c’était endormi en travers de mon lit. C’est malin, je dors où moi maintenant. J’essaya de le pousser un peu pour me libérer au moins une petite place. Puis je m’allongea toute recroquevillé dans un coin tu lit. C’était pas vraiment confortable, mais ça suffirait pour le reste de la nuit. Au bout d‘un moment, je finis par m’endormir, malgré la place très inconfortable dans laquelle j’étais et Tom qui n’arrêtait pas de bougé. Mes yeux s’ouvrirent vers les 9 heures. Un fois un peu mieux réveillée, je sorti du lit et vis Tom en train de dormir. c’était vraiment trop mignon. Apparemment il avait eu chaud car il était e boxer et ses habits étaient posé en un tas au pieds du lit. Il était sur le ventre et dormais comme un bébé, vraiment trop chou lui quand il dort. Je pris des affaires e parti dans la salle de bain. après ma toilette, j’emporta mon ordinateur et descendit manger un ptit truc et finir de taper mes notes. Olivier était déja en bas. un e heure plus tard, j’avais tout fini et Olivier semblait plutôt satisfait du résultat. A vrai dire moi aussi, j’étais assez fière de moi. Puis à 1 heure Gustav descendit suivit, peu à près, de Bill. Apparemment ils étaient rentrés plus tôt que Tom et Georg. al soirée n’avait pas été très passionnante. Puis enfin, environ vers 13 heures, Tom et Georg pointèrent le bout de leur nez, la tête dans le cul. Surtout Tom, normal, il devait avoir un sacré mal de crâne. en plus, David se it à leur crier dessus car ils avait rendez-vous dan une heure pour un interview et qu’ils venaient à peine de se réveiller. Le pauvre il devait vraiment souffrir, vu la tête qu’il tirait. Puis on prit tous place dans lev an et on parti pour l’interview. Sincèrement, elle était pas super. Le journaliste posé les même questions que tous les autres, c’est-à-dire « Pour avoir choisi ce nom pour le 3em album? », « comptez-vous autant l’exportez que le second? », je trouve que les journalistes devraient renouveler leur stock de questions ça devient lassant à la fin. Surtout pour eux. Puis retour à l’hôtel, car pour Olivier et moi, le voyage touchait à sa fin. Maintenant il fallait faire nos valise et repartir pour Paris. Chacun de nous monta dans sa chambre pour préparer sa valise. La mienne était presque fini quand quelqu’un frappa à ma porte. J’ouvris, c’était Tom.

Moi: Salut!

Tom: Salut! Je peux te parler?

Moi: Oui bien sur entre!

Je parti finir ma valise.

Tom: en fait, ma nuit d’hier est assez flou,et euh.. je me demander, il s’est passé quelque chse entre nous la nuit dernière?

Moi: Non, rien du tout, mais dans l’état où tu étais c’était carrément impossible.

Il affichait un ptit sourire.

Tom: On sait jamais tu aurais pu vouloir profiter de mon corps de rêve.

Moi: Euh non, tu sais hier tu donnais pas très envie.

Tom: Hey, mais t’es méchante!

Moi: Non, je dit la vérité, attends tu t’es pas vu, tu t’es carrément écroulé par terre, t’arrivais même plus à marcher, je me demande d’ailleurs comment tu as fait pour monter jusqu’ici.

Tom: Oui, moi aussi.

Il s’installa sur mon lit.

Tom: Alors pas trop triste de partir?

Moi: Non, ça va. Enfin, ces deux jours étaient géniaux, mais je me dit que j’ai eu beaucoup de chance alors ça va.

Tom: Ok. Tu voudrais pas nous laisser ton numéro, comme ça quand on est sur Paris, on t’appelle.

Moi: Ok.

Je lui passe mon num, puis on descend car ma valise était prête. J’dis au revoir à tout le monde, puis direction l’aéroport, puis Paris et enfin chez moi.


*- Fin-*

Non je rigole lol!!

Ou je fais des blagues pas marantes aujourd'hui lol

Je pris les clef dans mon sac et ouvris la porte du petit appartement à Paris que je partageais avec ma meilleure amie. Bizarre d'ailleurs qu'elle ne soit pas là. Elle avait elle aussi 19 ans. On s'était connu au lycée, puis on avait décider de venir faire nos études ensemble à Paris. On a eu de la chance que son université de médecine et mon école ne soit pas trop loin l'une de l'autre. Ainsi on pouvait partagé le même appart (T'imagine Laureline si un jour on habite ensemble!! Hann la galère lol L'appartement c'est Hiroshima après! mdr). Mais elle n'avait pas besoin de stage pour validé son année et elle était déja en vacance, c'était sûrement pour cela qu'elle n'était pas encore rentré. Je défis ma valise et me posa sur le lit 5 minute. J'étais crevé. D'un côté j'avais pas passé une super nuit non plus. Je me leva et marcha jusqu'à la cuisine pour sortir quelque chose à manger, quand la porte s'ouvrit. C'était Laureline.

Laureline: Hey! Alors c'était comment?

Je lui balança un sandwich et un truc à boire et on s'installa dans le canapé où je lui raconta mes 2 jours en compagnie des TH. J'essayait de pas trop trop raconter, car elle aussi les adorait et aurait vaiment aimé passé ces deux jours avec moi, ou plutôt avec eux. Mais rien qu'avec ça, elle tirait un peu la tête.

Moi: Oh, mais j'ai oublié, toi aussi tu va sûrement les voir.

Laureline: Ah bon et comment?

Moi: Ben je leur est laissé mon num et donc ils ont dit, ou plutôt Tom m'a dit qu'ils appelleraient quand ils seraient sur Paris.

Laureline: Ouais, mais bon encore faut-il qu'ils appellent.

Moi: Ouais c'est sur. Pfff j'suis crevé, j'crois que je vais pas te tenir compagnie longtemps.

Laureline: De toute façon tu me la tien jamais longtemps.

Moi: Ha, ha, ha!!! Je te signale que moi je me lève t$ot le matin parce que je suis pas encore en vacance!!

Laureline: Ouais l'excuse!!!!

Je parti prendre une douche et me mit au lit. Le lendemain, comme tous les matin, mon réveil sonna à 7h50. Je me dépêcha de me préparer et parti au journal. Aujourd'hui on devait sélectionner les éléments que l'on gardait et taper l'article. A midi, je retrouva Laureline pour manger et reparti l'après midi, jusqu'à 17 heures. Ce fut comme ça toute la semaine qu'il restait avant de terminer mon stage. L'article était vraiment cool, et le magasine c'était bien vendu. Mon stage venait de se finir, les vacances pouvait enfin commençait. Avec Laureline, on restait encore 2 semaine sur Paris pour profiter un peu, puis on retournait à Marseille, voir nos familles.