[T] Coup de foudre virtuel.

Lui. L'un de ceux qui me font tellement réver. Il porte une écharpe. Pas n'importe l'aquelle. Non. Une écharpe rouge.

Il se dirige vers moi. Je ne sais que faire. Un sourire s'accroche a mes levres. Il sourit égallement.

...: Salut.
Moi: Lu' Hum c'est toi le ...
...: Oui.
Moi: Enchanté. Je suis donc laurine. Je ... je m'attendait pas a ca.
...: Je me doute. Moi c'est Bill, Bill kaulitz, mais tu dois le savoir.

Je ne pouvais le quitter des yeux. Il montra en silence un café proche et l'on s'y rendit sans un mot.

Tete baissé je remuais lentement ma cuillere.

Bill: Tu vas bien ?

Moi: Oui, un peu secoué tu peux comprendre ...

Bill: Je comprends.

Moi: Moi ce que je ne comprends pas c'est pourquoi tu ne m'as rien dis ! En 3 mois !

Bill: Je ne pouvais pas. J'ai déja du mal a garde une relation avec une fille. Tu penses bien qu'etre ami avec quelqu'un qui habite a des killometres de moi ... En plus tu m'as dis que tu connaissais tokio hotel. Et je voulais que tu m'appreci pour ce que je suis réellement. Pas la celebrité, mais moi. Juste moi. Et puis j'avais peur que tu ne revelles tout ce que jete dises a la presse. Tu sais au debut j'avais l'intention de te le dire mais dans le fond je prefferais que tu ne saches pas qui je suis car avec toi je pouvais me confier enfin sans qu'on me juge en tant que " star " A tes yeux j'étais quelqu'un de normal. Quelqu'un comme tout le monde.

Moi: Oh ... tout s'explique alors. Tes cachoteries, tes départs, tes absences.

Bill: Oui. J'ai parler de notre relation a mon frere biensur, a mes proches amis et nos producteurs ont finnis par l'apprendre et me conseiller de couper tout contact. C'était egalement l'avis de mon frere, il ne voulait pas que je m'accroche trop a toi et que je finnisse par en souffrir. C'étai trop compliqué.


Malgré ses belles paroles, quelque chose clochait. Il était different. J'avais pas l'impression qu'il s'agissait du " bogoss " a qui j'avais parler des jours et des jours. J'avais en face de moi un inconnu et cela me troublait.

Moi: Bill, je ne sais pas pourquoi mais je ne ressens pas la même chose que lorsque je t'écrivais. J'ai l'impression que tu n'es pas le même.

Il baissa la tête.

Bill: Bon, très bien il est temps que je te dise la vérité.

Après avoir payer nous nous levammes il se camouffla et nous partimmes nous promener.

Moi: Alors Bill, ce suspens est insoutenable ! Dis moi la vérité je t'en pris.

Bill: Bien.