[T.] 33 Kilos d'Espoir... (2ème Topic)

Ok

J'attends lol !!!!!!!!!!!!!!

Avoue que tu ne vas pas suiter lol ?????????????????

Les garçons levèrent la tête en les entendant entrer.
- Souriez un peu tous les deux, on dirait que vous avez croisé le diable, fit Tom, mi-amusé, mi-troublé.
- Le diable ne se risquerait pas à me croiser Tom, tu le sais bien, fit Saki en haussant les épaules. Il aurait peur que je lui pique sa place de patron des enfers...
- C'est vrai que je n'aimerai pas que tu me tortures comme le Malin, fit Georg en souriant. J'y laisserai ma peau.
- Mais voyons Georg, répliqua Tom avec un sourire espiègle, il ne te torturera jamais...on dit qu'il est le bourreau des dames...
- Qu'est-ce que tu es entrain d'insinuer toi? grogna Saki.
- Et bien il paraît que tu as des talents particuliers en ce qui concerne les "sports de chambre"... Même que tu arrives à faire plier les jeunes femmes à tes désirs rien qu'en utilisant tes mains...
- Je ne sais pas d'où tu sors tes informations Tom, mais elles datent. C'était peut-être vrai dans ma jeunesse ce que tu dis. Mais plus maintenant. Ma femme me suffit amplement, pas besoin de convaincre d'autres jeunettes à passer des nuits avec moi...
- Tu m'apprends ton truc alors s'il-te-plait?
- Je ne suis pas fou. C'est mes secrets ça, il ne faut surtout pas que ça tombe entre de mauvaises mains, si j'ose dire...
Ils éclatèrent de rire.
- Et maintenant, si tu as fini de dire des conneries et d'étaler ma vie à l'époque "con insoucient", ça m'arrangerait bien qu'on regagne le bus. On doit être à Nantes demain matin, je vous le rappelle.
- On est partis alors, fit Gustav, qui n'avait rien dit jusque-là.

Ils sortirent de la loge, et prirent la direction de la sortie. Bill regardait Maria-Eva, sans rien dire. Il la sentait bien distante ce soir. Voire même absente par moments. Il ne savait pas à quoi elle pensait, mais cela l'inquiétait. Il n'aimait pas la voir dans cet état. Il avait peur qu'elle tombe dans les pommes devant lui, ou qu'elle se fasse mal. Elle avait l'air épuisée. Comme si le poids du monde lui tombait dessus précisément à cet instant.

Lorsqu'ils montèrent dans le bus, elle s'assit sur le sofa calé contre la paroi du bus et le bar qui séparait le petit salon de la cuisine. Son endroit préféré, d'où elle pouvait voir tous les gestes des garçons en se faisant la plus petite possible.

Sauf que ce soir, elle s'était contentée de s'asseoir, les jambes relevées contre sa poitrine, les yeux fermés, comme si elle espérait ne plus les ouvrir. Bill s'assit alors à côté d'elle. Elle ouvrit ses yeux, à regret.
- ça va? demanda-t-il doucement.
- Je te mentirais si je te répondais oui. Et toi, ta voix se porte mieux?
- Je crois. Mais j'ai toujours cette douleur au fond de la gorge. Ne changeons pas de sujet s'il-te-plait. Pourquoi ne te sens-tu pas bien?
- Parce que. C'est toujours comme ça que ça se passe, et ça ne changera pas. J'ai l'habitude de cette faiblesse qui m'envahit, et de cette envie de frapper sur les endroits où ça fait mal jusqu'à ce que ça ne fasse plus mal...De cette lutte intérieure que je me fais pour tenir debout, alors que je voudrais déposer les armes et me reposer en paix, enfin... De ces gellules rouges que je suis obligée de cacher pour ne pas céder à la tentation d'en prendre une...Et de cette douleur, qui est maîtresse de mon corps pendant cinq jours.
Le silence s'intalla entre eux.
- Les autres sont allés se coucher, remarqua Bill.
Maria-Eva le regarda, intriguée.
- Et alors?demanda-t-elle doucement.
- Rien, fit Bill en se reprenant. C'est juste qu'on devrait peut-être essayer de dormir nous aussi. Il est près de 23h00.
- C'est vrai, fit-elle après un bref silence.
Bill crut voir une lueur de déception dans son regard. Mais il se dit que ce n'était qu'une impression, car Maria-Eva avait gardé un visage impassible.

Cette dernière se leva difficilement, et commença à monter les marches qui la mèneraient à la chambre commune. Bill s'était mit derrière elle, par mesure de précaution. Il avait bien fait, car elle vacilla à la moitié de l'escalier. Il tendit un bras pour la remettre en équilibre. Elle le remercia à mi-voix, puis avala une bouffée de ventoline avant de reprendre sa montée.

Elle soupira de soulagement lorsqu'elle franchit la dernière marche.
- On y est arrivé, fit-elle. Bonne nuit Bill.
- Bonne nuit.
Ils regagnèrent leurs couchettes respectives. Bill s'endormit rapidement, contrairement à Maria-Eva, qui se tournait et se retournait dans sa couchette, cherchant vainement une position où la douleur se ferait moins présente.

[...]

Bill fut réveillé en sursaut à 3h du matin. Il avait cru entendre un bruit de vaisselle brisée. Les trois autres dormaient profondément. Ils n'avaient apparemment rien entendu. Attendez, les trois autres?

Bill regarda la couchette de Maria-Eva, qui était vide. Son coeur se mit à battre plus fort. N'y tenant plus, il se leva, et descendit précautionneusement les escaliers, cherchant désespérement du regard le béret qu'elle portait toujours sur la tête.

Il la trouva finalement dans la cuisine, temblant de tout son corps, une assiette brisée par terre, et un verre d'eau à la main. Dans l'autre main, il aperçut une petite gellule rouge. Et merde.
- Maria-Eva, non! Ne l'avale pas, fit-il en s'approchant d'elle. Tu vas faire une hémorragie si tu prends ton traitement avant la fin de tes règles !
- De toute façon, ça ne peut pas me faire plus mal que la douleur qui me coupe le souffle en ce moment, répliqua-t-elle, le regard perdu dans le vague.
- Arrête ça !
Il lui prit fermement, mais doucement la main, tâchant de lui faire lâcher la gellule. Elle ferma instinctivement sa paume.
- Voyons, ne fais pas l'enfant! Lâche ça !
- Ne fais pas l'enfant? murmura-t-elle, menaçante. Ne fais pas l'enfant? C'est à moi que tu dis ça, alors que tu sais très bien que mon enfance, elle n'a jamais été vécue comme telle? Alors que pendant que les autres "gamins" jouaient et goûtaient aux plaisirs de l'innocence, moi j'étais dans un lit blanc, entre quatre murs blanc avec plein de fils accrochés aux bras, et ce cinq jours sur sept jusqu'à mes huit ans? Une enfant triste, refermée sur elle-même, observant les rayons du soleil par la fenêtre d'une chambre d'hôpital, et cotoyant tous les jours la mort? Je n'ai jamais été une enfant ! On m'a fait naître avec un fardeau d'adulte dans les veines, et on m'a bouffé le peu d'innocence que j'avais réussi à acquérir en me disant que de toute façon, j'allais mourir, et que je n'aurai pas le temps de goûter aux joies de l'enfance, et de profiter de la vie ! Qu'est-ce que ça peut me foutre de faire une hémorragie et de crever? Je n'en peux plus. Quelque part, cela serait un soulagement de partir là-haut, où les douleurs n'existent plus, et où je pourrai enfin revoir Laïla et ma mère...
- Parce que tu crois vraiment que Laïla serait d'accord que tu quittes ton combat sans te battre? Tu crois qu'elle t'accueillerait bien si elle savait que tu as rendu les armes sans résister?
- Comment oses-tu? cria-t-elle, les larmes coulant sur ses joues. Tu penses que je ne me suis pas battue assez dans ma vie? Tu ne te doutes pas que j'ai essayé de résister, de toutes mes forces, mais que ces forces ne suffisent plus maintenant, car la maladie devient plus forte de jours en jours? Tu ne vois donc pas que je suis à bout?
- Viens là. Donne-moi cette gellule, répondit Bill, la voix blanche. S'il-te-plait.
A son étonnement, elle l'écouta, et posa la gellule dans sa main, avant de se réfugier dans ses bras, pour pleurer toutes les larmes de son corps. Elle était brûlante de fièvre.
- Calme-toi ma puce. Calme-toi. C'est dur, parce que tu étais toute seule avant. Mais maintenant, je suis là. Et les autres sont là aussi. Tu crois sincèrement qu'on ne serait pas chamboulés par ta mort?
Elle étouffa un sanglot.
- T'es devenue tellement importante pour nous, putain, tu te rends pas compte...On se couperait en deux pour toi. On déplacerait les montagnes, si ça pouvait t'aider à te sentir mieux. On t'aime. On sait très bien qu'on ne pourra jamais faire cesser la douleur. Mais on veut au moins la faire diminuer quelque peu. Parce que le fait que tu sois en bonne santé, et heureuse, ça vaut tous les trésors de la Terre à nos yeux...

Elle pleura encore, et encore. Pendant une durée interminable. Puis, elle sembla se calmer. Mais Bill comprit qu'elle avait cessé parce qu'elle n'avait tout simplement plus la force de pleurer. Elle s'appuyait contre lui, tenant difficilement debout.
- Pourquoi ça fait si mal? murmura-t-elle soudain, la voix éraillée.
- Je ne sais pas, répondit Bill, triste de ne pas pouvoir lui apporter de réponses.
Voyant qu'elle était incapable de remonter toute seule, il la porta doucement. Il s'étonna de son incroyable légèreté. Ce n'était pas possible, elle ne pouvait pas être aussi maigre...

Elle s'accrocha faiblement à son cou lorsqu'il monta les escaliers. Puis, il la déposa aussi doucement que possible sur sa couchette. Mais lorsqu'il fit mine de partir vers son propre lit, elle ne lâcha pas prise, ses bras enserrant toujours son cou. Elle ne voulait pas qu'il s'en aille. Elle avait besoin de lui.

Il soupira, puis s'installa finalement avec elle, sous la couette. Elle se blottit contre lui, et s'endormit après avoir bougé plusieurs fois de suite, pour trouver une position plus confortable. Bill carressa sa joue doucement, puis regarda l'heure. 3h30. Il sentit malgré lui ses paupières se refermer, et il s'endormit à son tour, bercé par le souffle chaud de Maria-Eva dans son cou.

___________________
Alors, tu en penses quoi?
J'espère que tu n'as pas trop pleuré...

Bizzz
Milie

J'en pense quoi ?
Je suis trop triste là ben si j'ai pleuré !!! Et sa fais du bien en faite !!!!

Alors merci à toi c'est incroyable je sais plus quoi dire, on à l'impression que c'est innée chez toi !!!!!

Millie Merci mille fois !!!!!

Je sais pas si tu vas en remettre une là mais au cas ou je te demande une suite !!!!

C'est pas inné...ça prend juste beaucoup de temps (la preuve, tu t'es même demandée si j'allais finalement pas te laisser te coucher sans suiter ^^

Bah une suite...je ne sais pas. Disons que j'ai plus trop d'inspiration pour ce soir...je crois que je vais plutôt mettre une suite demain, si mon ordi ne me fait pas des misères comme aujourd'hui ><.

Que dis-je...j'vais pas en mettre une...deux-trois (et cette fois, je vais bien en mettre deux-trois , et pas en plein milieu de la nuit ^^)

Bizzz
Milie

Ok Millie en tout les cas merci encore une fois !!!!!!!

Bisous à toi Bonne nuit et à demain !!!!

Bye ma Belle !!!!!

Bonne nuit à toi aussi!!!

Bizzz
Milie

suite =D
c'est trop bien > < j'adore trooooop!!!

cool, merchiii

et moi nossi j'ai pleuré :'(
c'est trop beau ma docteuuuuuur

j'adore la façon dont tu fais passer les sentiments, j'en ai mal pour Marie Eva et Bill....

(L)
Wow.
Cette suite est la meilleure pour moi, jusqu'ici. (Je ne dis pas que je n'aimais pas le reste hein, mais...). Poignante, touchante à la fin. Parfaite.
J'adore.
Je n'ai pas pleuré, mais je n'en étais pas bien loin. =)

Mais C'est Pas Possible
T'aimes Nous Faire Pleuré Toi ?!!
C'est Trop Triiiste =(

Siinon Merci Pour Ces 2 Suiites
Et Pi' Sii T'a Riien A Faiire
Mets En Une Autre =D

Biisouxx.

Bon, je vous tape la suite.

Bizzz
Mile

SUITEeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Quand Bill se réveilla le lendemain matin, il eut la surprise de voir que Maria-Eva dormait encore, la tête sur son épaule et la main posée sur son torse. D'habitude, elle était toujours partie lorsque Bill se réveillait.

Bill n'osait plus bouger, car il ne voulait pas la réveiller. Elle dormait si bien... Il savait que s'il se levait, elle ouvrirait les yeux. Elle l'avait emprisonné de telle sorte pendant son sommeil qu'il ne pouvait pas sortir du lit sans la faire bouger elle aussi. Alors, il resta allongé, contemplant le petit bout de femme qui dormait contre lui.

Maria-Eva avait de belles valises sous les yeux. De toutes petites rides s'étaient formées au coin de ses lèvres. Des petites rides de souffrance, qui ne ressemblaient pas à celles qu'il pouvait apercevoir chez Tom, ces rides causées par ses rires incessants.

Ses traits étaient détendus. Elle paraissait moins pâle qu'hier, et plus sereine aussi. Elle avait déposé son fardeau pendant son sommeil. Mais elle le reprendrait aussitôt qu'elle ouvrirait ses yeux porteurs d'une tristesse abyssale. Voilà pourquoi Bill refusait de bouger, pour qu'elle reprenne son fardeau le plus tard possible.

Pendant son sommeil, il le remarqua soudain, leurs doigts s'étaient entrelacés. Cela le fit rougir. Pourtant, il ne pensa pas à retirer sa main. Il se sentait bien comme ça, tout prêt d'elle, plus prêt qu'il ne le serait dans la journée.

Son ventre commença à gargouiller. Il réclamait un bon bol de céréales...Bill tenta de l'ignorer. Mais ce dernier protesta encore plus vivement. Maria-Eva, troublée par ce bruit, ouvrit doucement les yeux.
- On dirait que tu as faim toi, fit-elle avec un petit sourire discret en direction de son ventre.
- Mouais...pardon, je t'ai réveillé.
- Pas grave, fit-elle en s'étirant. Il est plus de dix heures. Je peux estimer que j'ai bien dormi.
Elle reposa son regard sur lui.
- ça fait longtemps que tu es réveillé?lui demanda-t-elle finalement.
- Non. Une quinzaine de minutes, tout au plus.
- Tu as la voix très enrouée.
- Je sais. ça passera.
- Tu es sûr?
- Il le faut de toute façon. Je ne peux pas faire annuler le concert de ce soir à cause d'une voix un peu défaillante.
Il toussa car quelque chose le gênait au fond de la gorge. Maria-Eva ne répondit rien, même si elle pensait qu'il ferait mieux d'annuler le concert, et de se soigner avant que cette voix enrouée se transforme en quelque chose de plus grave.
- Au fait Bill...Merci pour hier soir.
- Tu n'as pas à me remercier.
- Si. Et je devrai même te demander pardon. Parce que j'ai dit des choses qui t'ont fait mal.
Bill ne tenta pas de nier. ça ne servirait à rien.
- Tout ce que je veux, c'est que tu ailles mieux, fit-il finalement. Je t'avais déjà pardonnée avant même que tu ne sortes tout ce que tu avais sur le coeur. Parce que je sais que ça fait du bien de faire sortir tout ça, même si tout n'est pas beau à entendre.
Il y eut un court silence.
- Bill, je peux te demander une faveur?
- ça dépend de ce que tu veux me demander.
- Pourrais-tu...prendre mes gellules, le temps que je puisse à nouveau prendre mon traitement? Je préfère te les confier, pour ne pas avoir la tentation de recommencer comme hier.
Bill la regarda, puis hocha la tête. Bien sûr qu'il pourrait les garder. Il avait même pensé à les lui demander, avant qu'elle ne prenne les devants.

Maria-Eva soupira.
- Merci.
Elle lui fit un bisou sur la joue, puis se leva. Bill la reardait, prêt à intervenir si elle était à nouveau prise de vertiges. Mais ce ne fut pas le cas. Elle atteint la porte sans grande difficulté, puis elle descendit les escaliers prudemment. Bill la suivit, après avoir enfilé un pantalon et un tee-shirt à manches longues. Il avait la voix suffisament enrouée comme ça, pas besoin d'en rajouter en se promenant en caleçon dans le bus en novembre.

[...]

David se trouvait avec les autres garçons quand il descendit. Il était entrain de discuter avec Maria-Eva de ses dessins.
- Tu en es à combien là?
- Je ne sais pas. 100 à peu près...
- C'est bien. Tu avances vite. N'oublie pas de mettre une légende en dessous de chaque dessin, parce que sinon je pense que ni les fans ni moi nous ne saurons nous y retrouver.
- Ok.
- Alors Bill, ça va mieux aujourd'hui? demanda Gustav, qui l'avait aperçu le premier.
- Pourquoi tu lui demandes si ça va mieux? demanda David, inquiet.
- Boulette Gustav, fit Georg avec un sourire.
- Merde. Ben parce qu'il avait un peu mal à la voix depuis avant-hier, David.
- Mais ne t'inquiètes pas David, ça va aller, fit Bill en essayant de le rassurer.
Mauvaise idée. Sa voix enrouée faisait tout, sauf le rassurer.
- Bill, quand je vois à quel point tu es enroué, je me pose des questions. Tu ne préfères pas qu'on annule le concert de ce soir?
- Non. Je te dis que ça va aller. Je vais juste me faire une cure de lait/miel/camomille, et de sirop antitussif...
- Vous êtes de son côté je suppose les gars, fit David en soupirant.
- Tous pour un, un pour tous, fit Georg en souriant.
- Très bien. On n'annule rien. Mais Bill, je te préviens, si ça ne va pas mieux cet aprem, j'appelle un toubib.
- Ok, fit Bill, une grimace aux bouts des lèvres.

Il avait donc plutôt intérêt à guérir vite. Les docteurs, mine de rien, il n'aimait pas trop...Tout comme Maria-Eva.
Il chassa cette idée de sa tête, et se reconcentra sur la conversation.

_____________
Votre avis?

cro biiiiien =)

<3 comme d'habitude c'est superbement bien écrit !

suiiiiiiiiiiiiiiite docteuresse !!!!

xd

J'aime le côté protecteur de Bill il l'aime son pti bout de femme mine de rien lol

SUITEeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Suga'Girl a écrit:

J'aime le côté protecteur de Bill il l'aime son pti bout de femme mine de rien lol

SUITEeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Bah...encore heureux !!! mdr.

Parce que s'il l'aimait pas, je ne sais pas ce qu'il faudrait que j'écrive pour qu'il l'aime ^^. Je me marre trop quand même à les faire se tourner autour comme ça, sans qu'aucun des deux n'osent agir ^^

Bizzz
Milie

Ouais c'est sadik quand même mais sa change des autres fictions ou ils se sautent dessus direct lol !!!!!!!!!!!!!

T'inquiète, leur délivrance arrivera un jour...de préférence, bientôt (15-20 chapitres environ, je pense...^^)

Je crois que je vais bientôt me mettre à taper une suite.

Bizzz
Milie

15 - 20 chapitres !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! c'est plus de la souffrance là c'est une torture que tu nous inflige xD

Tu n'as pas encore taper ????? MDR

SUITEeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Non, je n'ai pas encore tapé

Mais je m'y met tout de suite ^^

Bizzz
Milie

Ok je vais préparer mes valises alors mdr !!!!!!!!!!!!!

Courage Millie je suis de tout coeur avec toi xD

Haaaaa mondieuuuuw =)
A la première des suites j'ai cru que j'allais chialer.
C'est un exploit, moi qui n'ai jamais versé une larme pour un film ou autre xD.


Swiiiiiite =)