[T.] 33 Kilos d'Espoir... (2ème Topic)

j'ai adorée!!! vivmen la suite

et beul soit pas triste!!!!!!!!!!!!

youpi ^^vive mercredi

et vive vos maths xD
nous on en est aux trangles isométriques
et aux inégalités avec les intervalles.

sinon, millie, bien sûr j'adore ta suite

- T'es très beau comme ça tu sais? fit Georg, retenant un éclat de rire.
- Si tu continues, Georg, c'est toi que je badigeonne de peinture, menaça Tom.

mais mon pc bugge >< l'internet.
je squatte chez ma môman

de la bombe cette suiiite =D
j'iimagiiine trop la scene !!
xD

SUITE =D

Youhou suite!
J'adore!^^

la suite!!!!!!!!!!!!!!!!
c'est trop bien!!!!!
(toute les suites que j'avais manqué^^)

cest extra extra extra
La suiiite

Ki§@ a écrit:

le ridiculisme ne tue pas ? pas sur
quand je repense a ta fic direct je repense a elle
c'est dur vous savez mais je vais pas etaler ma vie
je vais juste demander une suite

Je me doute bien que c'est dur Ariane...Mais il faut tenir pucette (ouah...mon vocabulaire s'arrnge pas >< quel surnom de chiotte t'ai-je trouvé...)

Putain...trop pas le moral pour vous taper une suite demain...Sérieux. Mon moral, il a fait un pic vertical en l'espace de trois secondes, et maintenant je touche le fond. Tout ça à cause de cet enfoiré qui m'a bousculé dans l'escalier alors que je tenais dans mes mains les échantillons qu'on avait ramassé samedi et qu'on avait pas fini d'utiliser pour le tpe...Six éprouvettes cassées en moins de trois secondes, parce qu'un connard voulait toute la largeur de l'escalier pour monter alors que je descendais doucement avec mes échantillons. Les boules.
En plus les éprouvettes elles m'appartenaient. C'était pas le prof qui nous les aurait prêtées...Je les ai prises dans mon truc de petit chimiste avec lequel je jouais quand j'étais toute gosse... Une partie de mon enfance envolée sur le bitume du lycée...

Maintenant qu'on a prévu de retourner à la décharge pour faire les tests, comment on va se démerder? Il m'en reste qu'une en "bon état"...
Bref. On stagne à mort avec Camille. Mais c'est pas grave. On a une maquette à construire et un site internet à créer pour le 18 décembre, mais c'est pas grave...on va juste se tuer au travail. Et se ramasser des tôles aux contrôles des autres matières parce qu'on sera à fond dans notre tpe.

F'in, dsl pour ce HS de merde. J'aimerai bien vous donner de bonnes nouvelles de moi pour une fois...Mais apparemment, mon ange gardien il se démerde toujours pour partir quand il devrait intervenir ^^ pour faire vérifier le "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants"...

Vous inquiétez pas. Demain ça ira mieux. Je devrai être en mesure de vous taper une suite. D'ailleurs, elle devrait être super longue d'après l'idée que je m'en fais...longue, mais super triste aussi, quoi que heureuse.

Comme mon état d'esprit, quoi...

Bonne nuit tout le monde.
Bizzz
Milie

Trop Triste !!

Suite !

Bienvenue à toi, Love-twins !!! Même si tu as l'impression d'avoir fait un com minable, je trouve qu'il est super...il m'a beaucoup touché en tout cas. (faudrait peut-être que je commence à vous taper votre suite moi...)

Oh Ariane, c'est pas ce que je voulais dire...Pour moi, tenir, c'est justement ne pas "rien faire, rien dire, et rester là à la regarder s'éteindre doucement"...C'est au contraire profiter de chaque moment passé avec elle, et se débrouiller pour que chacun des moments que vous avez passés ensembles reste un super souvenir pour elle, et pour toi...La rendre heureuse, et, au fond, lui montrer que tu veux tout faire pour qu'elle reste avec toi, dans ce monde...
Je m'exprime mal, je sais. Mes mots me paraissent fades par rapport à ce que je voulais dire. Mais j'sais que j'peux pas mieux m'expliquer...dsl.

Bon, je vais taper. Cette suite, encore une fois, sera longue. Vous étonnez pas si elle n'est toujours pas là d'ici deux heures.

Bizzz
Milie

j'ador ta fic continu comme sa

oh qu'elle c*n celui la --"


Bon ba vivement demain pour la suite alours^^

Bisous jeux theeemeee

les jeunes de nos jours
_ _,

'pouvaiit pas faiire attentiion suiii'la
il devaiit etre un peu blondiiinet de l'iiinteriieur nan ??

Ariane, putain, j'sais pas quoi dire...Mais j'veux pas que tu partes, et je veux pas qu'elle parte non plus.

laurene, c'est aujourd'hui la suite ^^ j'en suis même à la moitié

Mathilde, c'était une fille d'après Claude. Une jeune fille qui m'a donné un coup de sac en montant, sans le faire exprès ><. Bon, j'lui en veux pas. c'est juste que ça me met vraiment les boules pour les échantillons. bref.

Je tape. mais c'est dur, vous savez pas à quel point.
Bizzz
milie

Vite une suite, je n'attend que sa ..

Maria-Eva était dans la chambre de Bill. Assise en tailleur au pied du lit, elle dessinait une des dernières photos prises par Georg. Celles du dernier concert, à l'ambiance éléctrique. Son regard allait et venait entre cette photo de Tom tenant le micro, et son bloc-notes, reproduisant avec une exactitude déconcertantes chaque détail, et en jouant avec les ombres.

Quelques minutes plus tard, elle posa la photo sur le côté, prit une nouvelle feuille, et commença un autre dessin.

Elle était lasse. Vraiment lasse. Elle avait sous-estimé la quantité de travail qu'il lui restait à faire, et se sentait submergée. Le lendemain matin, à huit heures précises, elle devait rendre son dossier. Déjà.

C'était trop tôt pour elle. Si elle voulait le finir pour le lendemain matin, elle devrait sans doute rester éveillée encore une bonne partie de la nuit, et se lever quelques heures avant le soleil lui-même. A moins qu'elle ne fasse cérrément une nuit blanche. Mais pour cela, il lui faudrait beaucoup, beaucoup de café.

Comme s'il avait lu ses pensées, Bill toqua à la porte et entra, une tasse fumante à la main. Elle prit la tasse entre ses doigts saisis de crampes.
- Merci.
- De rien.
Elle avala une grosse gorgée de café en faisant la grimace. Non, vraiment, ce breuvage était immonde. Elle ne comprenait pas pourquoi les gens rafolaient de ce liquide noir. Bill eut un petit sourire en la voyant grimacer comme ça.
- Que font les autres? demanda-t-elle finalement après que le goût aigre du café soit passé.
- Ils sont devant la télé. Regardent un film.
- Tu ne vas pas les rejoindre?
- Non. Pas trop envie de rêvasser sur le canapé ce soir, dit-il d'une voix lointaine. Je vais plutôt aller me coucher. Fatigué.
- Désolée de te piquer ta chambre, et de t'obliger à dormir avec ton frère...
- ça ne me dérange pas. Je sais bien que tu vas travailler tard ce soir. C'est mieux que tu n'aies pas une marmotte ronfleuse à côté de toi...
- Tu ne ronfles pas.
- Non, c'est vrai. Mais ça n'empêche pas le fait que tu es mieux seule ce soir, avec tes dessins.
Il s'approcha d'elle.
- N'empêche, je pense toujours que tu te tueras au travail. Tu n'as même pas mangé ce soir.
- Pas faim. Et pas le temps.
- Trop de travail pour prendre dix minutes pour avaler un truc? fit-il en haussant un sourcil.
- Oui. Enfin, non mais...S'il-te-plait n'insiste pas.
- Très bien, dit-il en soupirant.
Il s'assit sur le rebord du lit.
- Tiens, tu sens encore le white-spirit, remarqua-t-il.
- Je sais. J'ai beau avoir pris trois douches, rien n'y fait. Je suppose que l'odeur partira d'elle-même...Je te jure, ce Tom...Je l'adore. Mais j'aimerai bien qu'il fasse ses mauvais coups sur d'autres personnes. ça m'éviterait de sentir mauvais...
Bill n'avait rien dit, mais une expression triste était apparue sur son visage.

Il s'avança vers la fenêtre de l'autre côté de la chambre, et regarda les passants qui se pressaient dans la rue éclairée par les lampadaires, tournant le dos à Maria-Eva.
- Dis-moi, tu aimes Tom? demanda-t-il soudain, poussé par une force inconnue.
- Pardon? fit Maria-Eva, surprise.
- Est-ce que tu es...amoureuse de mon frère? redemanda-t-il, la voix quelque peu troublée.
Maria-Eva se leva et le regarda de profil, comme il lui tournait le dos et refusait de croiser son regard. Au fond de ses prunelles chocolat qu'il dirigeait vers la rue joyeuse, elle pouvait percevoir de l'amertume, de la peur, ainsi qu'un profond désespoir, qui menaçait de tout engloutir. Son regard troublait Maria-Eva plus que tout ce qu'il avait dit auparavant.
- Mais enfin Bill, bien sûr que non, je ne suis pas amoureuse de Tom...Qu'est-ce qui te fait dire ça?
Il ne répondit rien. Soudain, elle comprit. Elle soupira.
- Quand j'ai dit que je l'adorais, cela ne voulait pas dire que je...ressentais quelque chose pour lui, loin de là.
Bill regardait toujours la foule, attendant qu'elle parle à nouveau.
- Notre jeu avec la peinture était tout ce qu'il y a de plus innocent. C'était presque un...un jeu entre frère et soeur. Car oui, je crois que c'est la nature de la relation que j'ai avec ton frère. C'est...je le considère comme mon grand frère, parce que...oh, c'est bête, dit-elle les larmes aux yeux. Mais parfois quand il parle, je crois avoir Laïla devant moi. Ils se ressemblent beaucoup. Tous les deux énergiques, vivants, très extravertis. Mais il...enfin, je sais bien qu'il ne la remplacera jamais, et que quelles que soient les ressemblances qu'il ait avec ma soeur, il est d'abord lui-même. Mais parfois, ça me soulage de l'imaginer...Quand je ne supporte plus l'absence de Laïla. Cette petite bataille de peinture improvisée m'a vraiment fait du bien. Elle m'a aidé à me rappeller de bons souvenirs, que j'avais enfouis en moi-même...Mais il n'y aura jamais plus que de la fraternité entre ton frère et moi. Je peux te l'assurer. Et si besoin est, tu peux aller lui demander en personne. Il te répondra la même chose.

Il y eut un silence après cette longue silence. Silence que Maria-Eva supportait très mal.
- Bill, pourquoi tu ne réponds pas?
- Parce que je me sens con. Et parce que je n'ai plus rien à dire.
- Tu mens. Tu as encore quelque chose qui tourmente ton coeur. Sinon, tu ne resterais pas plantée devant cette fenêtre, à me tourner le dos et à suivre du regard ces pauvres gens dont tu violes impunément la vie privée.
Il ne dit rien. Mais ses yeux humides trahissaient ses pensées. Il aimerait bien lui dire quelque chose. Mais il ne pouvait pas. Il s'était déjà assez trahi comme ça. Et il avait beau être content de voir que ses craintes étaient infondées, il ne pouvait faire sortir ce sentiment de désespoir de son esprit.

Maria-Eva s'approcha de la fenêtre, et lui toucha l'épaule. Il frissonna.
- Bill, on se fait souffrir tous les deux, à se tourner autour comme deux âmes perdues, sans jamais s'atteindre. Tu le sais?
Il ne répondit pas, une fois de plus. Pourtant, il l'écoutait intensément. Il ne savait pas où elle voulait en venir. C'était la première fois qu'elle parlait comme ça. Elle n'avait jamais évoqué jusqu'à présent ce "on" qui sous-entendait tellement de choses.
- Et je...j'en peux plus de cette situation. J'aimerais qu'on cesse notre jeu du chat et de la souris. Qu'on brise ce cercle vicieux dans lequel on s'est installé, qui nous détruit petit à petit, et nous empêche d'être heureux ensembles. Qu'on...qu'on accepte enfin qu'on s'aime à en crever, tous les deux, et qu'on envisage enfin un avenir à deux. Mais même un présent à deux me suffirait, tu sais...Tant qu'il y a quelque chose, je me contenterai de ce qu'il y a.
Bill ne répondit rien, le regard toujours obstinément fixé vers cette fenêtre fermée.

Maria-Eva soupira, retenant ses larmes.
- Je suppose que ce silence signifie que tu ne veux pas d'un "nous deux"...Tant pis. Je ferai sans.
Elle lui tourna le dos, et s'avança vers la porte ouverte. Bill, pendant ce temps, serrait de toutes ses forces le rebord de la fenêtre. Il ne comprenait plus. Il sentait qu'il avait perdu le contrôle de la situation depuis que Maria-Eva avait parlé. Il ne s'était pas attendu à ça. Il ne pensait pas que ce moment arriverait si vite. Et maintenant, il la sentait s'éloigner de lui, sans pouvoir rien faire.
*Mais Grands Dieux, Bill, empêche-là de partir ! Retiens-là avant qu'il ne soit trop tard!*
Bill ne savait pas qui était cette petite voix qui parlait dans sa tête. Mais elle l'avait réveillé de son état de semi-conscience. Brusquement, il comprit ce qui était entrain de se passer, et vit ce bonheur qu'il avait tant attendu lui passer sous le nez. Il fallait qu'il agisse, effectivement, et vite.

Il la rattrapa avant qu'elle ne franchisse le seuil de la porte de la chambre, et lui prit la main. Surprise, elle se retourna, et lui lança un regard interrogateur à travers ses yeux humides de larmes refoulées. Il l'emmena près de la fenêtre, et s'appuya contre le mur, en prenant une grande inspiration.
- Comment on doit s'y prendre pour...sortir de ce cercle vicieux? lui demanda-t-il, prenant la parole pour la première fois depuis de longues minutes.
Il avait la voix tremblante, et un peu éraillée. Elle lui lança un regard mi-amusé, mi-surpris.
- Mais voyons Bill, de la manière la plus simple qui soit...
- Je...Je ne vois pas.
- Vraiment?
- Vraiment.
- Oh, ça c'est embêtant...Je te croyais plus dégourdi que ça.
- Je...S'il-te-plait Maria-Eva, explique-moi.
- Il n'y a rien à expliquer. Juste à montrer.
Il ferma les yeux, cherchant à faire le vide dans ses pensées qui défilaient à cent à l'heure.
- Montre-moi comment on fait pour sortir de ce cercle vicieux. S'il-te-plait.
Elle s'approcha lentement de lui, et lui caressa la joue du bout du pouce. Il frissonna, mais n'osa pas ouvrir les yeux, par peur de briser cet instant inattendu.

Maria-Eva ne savait pas quoi faire elle non plus. Elle avait peur de le brusquer, et qu'il se referme sur lui-même, en l'empêchant de l'atteindre à nouveau. Elle était donc concentrée par ce pouce qui allait et venait sur la joue de Bill, en dessinant de petits cercles qui se rapprochaient doucement de la commissure de ses lèvres. Elle caressa doucement ces lèvres veloutées, avant d'approcher plus près son visage du sien.
- Et maintenant, tu ne vois toujours pas? lui murmura-t-elle, ses lèvres à quelques millimètres des siennes.
Il eut l'impression de recevoir une décharge en entendant ces mots. Lentement, il joignit ses lèvres aux siennes. Maria-Eva le laissa lentement venir à elle, sachant bien qu'il fallait lui laisser le temps de devenir plus entreprenant.

Bill avait l'impression d'exploser. Ce baiser, c'était un bonheur et une souffrance extrème à la fois. La tension qu'il ressentait était trop forte. Sa joie ne parvenait pas à prendre le dessus sur la tristesse extrème qui le prenait à la gorge. Il n'avait plus la notion du temps qui s'était écoulé, ni de ce qui était entrain de se dérouler. Tout ce que son cerveau était encore capable d'enregistrer, c'était leurs deux corps qui se rejoignaient dans leur étreinte.

Soudain, il rompit le contact. Il n'en pouvait plus. Maria-Eva lui lança un regard interrogatif.
- Pardon, bredouilla-t-il.
Il fondit en larmes. Maria-Eva, d'un geste maternel, le serra dans ses bras. Collé contre ce corps bouillonnant, il se laissa aller à sa peine, et pleura jusqu'à ce qu'il ne ressente plus rien. Plus d'amertume, de peur,de désespoir. Plus rien, hormis un amour sans limites.
Il recula un peu, se séparant à regret de Maria-Eva.
- Je suis désolé, dit il en regardant son tee-shirt humide de larmes.
Elle sourit, puis passa ses doigts sur sa joue, pour enlever l'eye-liner qui avait coulé.

Pris d'une soudaine aspiration, il lui prit sa main doucement, et l'embrassa aussi tendrement que possible. Puis, il l'embrassa dans le creux du cou. Sur la joue. Sur les lèvres. Un baiser doux, quoi que passionné. Le premier qu'il lui donnait véritablement. Celui dans lequel il mettait tout son amour, et son envie d'être avec elle. Celui avec lequel ils s'échangeaient leur passion, et leur frustration que ces longs mois d'hésitaton leur avait coûté.

Totalement obnubilés l'un par l'autre, ils n'aperçurent même pas Tom, qui refermait doucement la porte de la chambre restée ouverte, un sourire aux lèvres.

Ce dernier s'avança vers le salon, où Georg, Gustav et Véronica étaient confortablement installés, regardant un film policier en grignotant du pop corn.
- Vous savez quoi? fit Tom, qui avait toujours son sourire scotché aux lèvres.
- Quoi? demanda Véronica.
- Je vous conseille de porter des boules Quiès ce soir. Parce qu'il y en a deux qui ont l'air très motivés...
- Non, fit Véronica, en décrochant totalement de la télé. ça y est, ils sont ensembles?
- Je suppose, vu qu'ils étaient très...occupés lorsque je les ai aperçus.
- Je peux savoir pourquoi tu étais là entrain de les déranger dans ce cas? fit Georg, en levant les yeux au ciel.
- Je ne les ai pas dérangés. J'ai juste fermé la porte. Ils ne l'ont même pas remarqué...
Georg ne répondit rien.
Gustav, lui, souriait.
- On peut dire que ce n'est pas trop tôt, dit-il. Bon, il ne reste plus que vous deux à caser, les gars...
- Très drôle, Gustav, fit Tom.
Ils se turent, et replongèrent dans leur film, les pensées toutefois tournées vers ces deux personnes adorées d'eux tous qui, enfin, s'étaient trouvées.

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Je te l'avais dit Justine, que ton compte à rebours allait te jouer des tours...T'as vu...il est passé de S-4 à S0...^^

Alors, ça vous a plu???

Bizzz
Milie

15 20 suites hein ??

XD c'est trop beau ma ptite Millie

Bill, on se fait souffrir tous les deux, à se tourner autour comme deux âmes perdues, sans jamais s'atteindre. Tu le sais?

>< je suis morte là

j'ai même pas eu mal au crâne en te lisant ! c'est dire ! parce que le marteau piqueur part pas souvent --'

j'ai sincèrement adoré =) sont trop mignons tous les deux !