[T] 10 Minutes de plaisir conTre..

La finnnnnnnn ? Oo.

Gott, deja T__________T

Roh .. demain alors n_n.

*Va se mettre dans un coin & pleure*

...

*.....*

Nan vous y croyez pas ?

Bon d'accord

xD

non pas la fin
on va tobliger a continuer et a ouvrir un new topic xD

Invité

daff72 a écrit:: Sase, je comprends plus là.
Tu l'avais pas finis celle-ci déjà?

euh sisisisi ^^'
mais des topics se sont évaporés O_O
alors j'ai reposté pour avoir tout sur un topic ^^
mais comme c'est parti je vais encore me retrouver avec un 2eme topic W_W

Invité

moi jdi autan tou poster se soir juska la fin kome sa o moin c fai ... non ?

oauis allez 2eme topic on va pas te lacher
hii

x3

Suiite...

Bientot la fin:(

x3

demain ????? demain ???? nan demain jpars à 7h du mat' en vacances !! nan nan nann !!!!

Ah nan mais c'est triste!!
allez suite

Invité

Bonjour =)

ça
ou ça ^^

Chapitre 140

[T] 10 Minutes de plaisir conTre.. - Page 40 0611

Des portes claquent et le moteur démarre… je suis seule.
Machinalement, je me lève et vais me doucher et m’habiller.
Une fois prête, je vais dans la chambre d’ami que Bill occupe quand il n’occupait pas mon lit.
Je prépare le lit avec attention, avec amour, même si il s’en foutera sans doute, ce n’est pas grave.
Quelques temps plus tard, la chambre est fin prête, il manque juste une dernière chose…
Je vais dans ma chambre, saisi la lettre posée sur mon bureau, et retourne dans la chambre de Bill.
Je m’assoie sur le lit, déplie le bout de papier … je redécouvre les mots que j’avais inscrit plus tôt.
Je ne sais si j’ai tout dit… j’en ai peut-être dit trop ou pas assez… qui sait réellement ?
Je referme la lettre, et la dépose sur la table de chevet en espérant qu’il la lise … un jour.

Je ressors de sa chambre, fermant la porte silencieusement, pour retourner dans la mienne.
Je range vite fait le petit foutoir que j’ai, puis je m’approche de ma commode.
J’ouvre le tiroir, et en sors pour la deuxième fois en trop peu de temps, la fameuse boîte.
Je l’ouvre doucement, mon sang ne fait qu’un tour.
J’en sors des médocs, et … une lame.
Je referme aussitôt la boîte et la remet dans ma commode.
Je respire profondément, en faisant attention à bien avoir glisser dans mes poches, la lame et les médocs, je jette un dernier regard derrière moi, puis sors de ma chambre.
Je parcours le couloir tranquillement, puis descends les escaliers.
Mes gestes sont lents et mal assuré, pourtant je suis déterminée.
Malgré la peur qui me tiraille les entrailles, malgré mon cœur qui semble n’avoir jamais battu si fort, malgré les larmes qui coulent déjà le long de mes jours, malgré tout, je le ferais.

Dans le hall d’entrée, j’enfile mes converses rapidement, et m’enroule dans mon manteau.
Avant de partir je vais dans la cuisine, et gribouille un simple « je suis sortie » sur une feuille à l’adresse de mes parents.
Je retourne dans le hall, j’ouvre la porte, le froid me glace sur place, le vent souffle fort emportant avec lui la moindre feuille qui tombe.
Je ferme la maison à clef, et m’éloigne dans chez moi… de mon ancien chez moi.

Je ne sais pas vraiment où aller, alors je laisse mes jambes me traîner à travers les rues de la ville.
La mort semble partout autour de moi, tout est sombre, tout est froid, de temps à autre, quelques gouttes de pluie pleuvent accompagnant mes larmes.
Ce n’est pas que j’ai peur… je n’ai pas peur de mourir, je n’ai plus peur de mourir.
Plus jeune, je croyais avoir peur de la mort, mais en y repensant aujourd’hui, je réalise, que je n’avais pas peur de la mort, j’avais peur plutôt du temps
J’avais peur de ne pas en avoir assez pour savoir qui je suis censée être, j’avais peur de ne pas trouver ma place dans ce monde avant de l’avoir quitté… j’avais peur de ce que j’aurais pu faire et que je n’aurais peut-être pas fait, j’avais peur de rater des choses, de rater ma vie.
J’étais égoïste à l’époque, il n’y avait pas de « nous » dans mes propos que des « je »
Pour une fois je vais penser à quelqu’un d’autre…

Mes pas m’ont portés un peu au dehors de la ville, l’agitation semble lointaine.
Il commence à y avoir un peu de verdure par-ci par là.

[J’ai continué à marcher longuement…
Mes pensées se bloquaient quelques fois sur lui, mais qu’un très court instant.
Le reste du temps le vide envahissait mon esprit]

Après de longues minutes d’inconscience à me laisser porter par mes jambes, mon visage se releva…
Je savais où j’avais atterrie.
Un petit lac à l’abandon, a à peu près 3km de la ville.
Les arbres cachaient légèrement le petit espace d’eau, bien que ça ne serve à pas grand-chose.
Personne, ou très peu de gens s’aventuraient ici…
Il y avait aussi un pont qui tombait complètement en ruine, et qui traversait une partie du lac.

[FLASH BACK FINI – RETOUR DANS LE PRESENT]

Je m’avance lentement sur le pont …
Tout mon corps tremble …
Mes yeux se remplissent de larmes …
Je continue d’avancer, en hésitant …
Je m’approche de la balustrade …
Je passe par-dessus … et me mets assise …
Mes jambes se balancent au-dessus du vide …

Wir schaffens nicht beide / On ne s'en sortira pas tous les deux
Du weisst es nicht / Mais tu ne le sais pas
Ich geb mich jetzt für Dich auf / Maintenant je m'abandonne pour toi
Mein letzter Wille hilft Dir raus / Ma dernière volonté t'aidera à t'en sortir

La pluie commençait à tomber fébrilement, dessinant des ondes sur le lac.
Mon souffle était douloureux… mes poumons s’emplissaient mal…
A cause du froid ? A cause de la tristesse ?
Non, je ne vivais plus… comment pourrais-je ressentir quoi que ce soit ?
Mon corps entier est mort, et mon âme s’était perdue quand j’ai déploré le mal que je lui avais fait…
Ma tête se mise à tourner sans que je ne comprenne quoi que ce soit.
Mon corps chancela vers l’avant, mais je me rattrapai tant bien que mal à la balustrade.

Je reprends mes esprits puis descends de la balustrade.
Je m’assois au sol, mon dos s’adossant à une poutrelle de la balustrade.
Je rabats mes genoux sur ma poitrine, puis laisse le sablier du temps s’écoulait patiemment.
Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est, la pluie a cessé de battre et j’arrive à distinguer dans le ciel un faible arc-en-ciel.
Les nuages s’évaporent peu à peu, laissant place à un soleil timide, mais réchauffant.

La journée continua sa lente progression… j’attendais le crépuscule.
Le moment où les rêves et les cauchemars naissent, ou les ténèbres apparaissent, mais ou le soleil est encore présent, ou ces rayons donnent un dernier espoir… donnent un peu de courage.

J’ai besoin de ce courage lâche, le courage des vaincus et des condamnés.
J’ai besoin de sentir les ombres autour de moi, mais de voir aussi de la lumière pour me rassurer, pour croire que tout n’est pas fini, qu’il existe un ailleurs.
J’ai besoin d’y croire, alors j’ai attendu le crépuscule le plus calmement que je pouvais.

Puis il est enfin venu…
Le soleil disparaissait devant mes yeux.
Un dernier couché de soleil.
Le crépuscule de ma vie.
Je sors de ma poche le petit étui où se trouvent les médocs.
Je joue un instant avec, hésitante ?
Oui, hésitante… puis finalement, j’ouvre la boîte et en ressors 1… 2 … 3 cachets.
C’est pas énorme, je risque pas de faire une overdose, d’ailleurs ce n’est pas ce que je veux.
Je ne veux pas m’évanouir et mourir après.
Non, je veux être consciente le plus de temps possible.
Avec les médocs, je m’offre juste de la sérénité pour pouvoir faire ce que je veux sans paniquer.
Juste un peu de calme avant de sentir la vie glisser hors de mon corps…

Après quelques minutes très court, les cachets firent enfin effet.
Mes mains tremblantes sortirent de ma poche le petit bout métallique tranchant.
Je déboutonne ma veste et l’enlève tout en restant assise sur le pont.
Je relève la manche gauche de mon sweet, dans ma main droite j’agrippe fermement la lame.
Mon poing se ferme, puis la lame se pose sur mon poignet gauche.
Les larmes me montent aux yeux et embue ma vue, je sanglote et enfonce au plus profond de mon être la pointe tranchante.
Je veux m’effacer de ce monde, et emporter sa douleur.
Je veux mourir à cet instant, comme je voudrais que le soi sa peine.
J’aurais tout fait, juste pour le revoir sourire, le revoir heureux… j’aurais vendu mon âme au diable, au diable pour lui, c’est ce que je fais finalement.
J’enfonce un peu plus l’objet métallique en moi, alors que le sang se met à ruisseler sur mes mains.
J’aimerais crier. Crier parce que j’ai le mal de la vie, celui d’exister. J’ai le mal d’aimer, parce que je le salis en l’aimant, tout ici est souffrance. Cette succession de douleur, cette horrible cadence éteint mes souffles les uns après les autres.

Je sens la vie s’extraire de moi, au fur et à mesure que le sang s’écoule.
Le silence se brise dans un cri.

« SANDRA ! »

J’ouvre mes yeux, n’ayant pas le souvenir de les avoir fermés.
Mais tout est flou, à travers la brume, je ne vois que le visage d’un ange, qui appelle mon nom.
La fin ?
Non…

Le pont bouge un peu, et je sens des pas s’approcher de moi.

Invité

Irgendwo ist der ort / Quelque part est le lieu,
Den nur wir beide kennen / Que seul nous connaissons

« C’est quoi cette lettre ? Tu crois que ça va tout arrangé ?! On t’a cherché toute la journée ! Arrête de jouer à la gamine ! Tu me soûles ! Je me demande pourquoi je suis venue d’ailleurs ! »

Je me souviens, trop tard, que tu étais la raison, pour laquelle je devais rester.

Lief alles anders als gedacht / Tout partait en non-prévu

« Bill… » Soufflais-je à bout de souffle.
« NON !! Y a pas de Bill ! J’en ai marre ! Tu comprends ! MARRE ! PUTAIN j’ai mal tu comprends ça ?! » Rage-t-il.
« Bill… »
« PUTAIN ! Mais je t’aime moi ! Comment t’as pu faire ça ?! T’ES CONSCIENTE DU MAL QUE TU M’AS FAIT QUE TU ME FAIS ?! »
« Je t’aime » sanglotais-je.

Mes mots le paralysèrent, sa silhouette que j’avais du mal à distinguer s’immobilisa.
Il s’approche encore de moi, et se met à genou à mes côtés.
Il saisi mon poignet ensanglanté, je grimace sous la douleur.

« Sandra … » Murmure-t-il.

Il reste un moment immobile, puis déchire une partie de son T-shirt, et tente de faire un garrot autour de mon poignet.
« C’est trop tard » assurais-je.

Der Puls in den Adern ist viel zu schwach / Le pouls de l’autre est bien trop faible
Doch irgendwie schlagen uns / Bien que tapent nos cœurs
Die herzen durch die Nacht / Pendant la nuit
Vertrau mir / Fait moi confiance

« Non, non, non NON ! » hurle-t-il.

J’aurais aimé y croire, comme il y croyait encore.

« Bill…Bill »
« Tais-toi ! » supplie-t-il les yeux embués de tristesse.
Il sort de sa poche son portable, et compose le « 112 »

« Allo ! Oui, oui… C’est pour une tentative de suicide, le vieux pont à côté du parc, a 2km de la ville »

Il n’ajouta rien et raccrocha.
Il se glisse près de moi, son visage me semble flou, je sens son corps se coller au mien.
Son bras enlace mon cou, et m’approche de lui.
Ma tête dans son cou.
Maintenant j’ai un peu peur.

« Pourquoi t’as fait ça ?! » crie-t-il.
« Je suis désolé… d’avoir détruit ta vie… » haletais-je difficilement.
« Arrête ! »
« Je… je ne te demande pas de me pardonner …juste de m’oublier, de continuer de vivre, de regarde l’avenir, de ne pas vivre dans le passé, comme je l’ai fait…
Tu mérites mieux tu sais… »

Chaque mot était difficile à prononcer.
Je ne sentais presque plus mon corps, mon cœur battait faiblement…
La fin arrivait douloureusement.

« J’ai… j’ai cru te sauver, je voulais te sauver … pour une fois
Je voulais me sacrifier pour toi, comme tu l’as fait tant de fois… trop de foi. »

Ich sterb für unesere Unsterblichkeit / Je mors pour notre immortalité.

« Sandra » sanglote-t-il.
« Continue à vivre… je ne t’oublierais jamais, mais toi, oublis moi… s’il te plaît.
Tu auras une belle vie… et tu m’oublieras
Tout ira bien, tu verras, tout ira bien…. » Articulais-je le plus correctement possible.

C’est la douce mélodie de son cœur qui me berce.
C’est la douce mélodie de son cœur qui m’emporte…
Où je ne sais pas…

« Promet moi… que tu continueras à vivre… »
« Sandra, je peux te pardonner ! Mais reste avec moi, je t’en supplie ! RESTE AVEC MOI ! »
Je tourne légèrement la tête, pour tomber dans ses prunelles marron.

« J’aurais du te le dire plus souvent » soufflais-je.
« De quoi ? »
« Je t’aime » souriais-je.

Il ne peut plus me répondre, il retient ses sanglots.
Je l’aime, je l’aime pour ce qu’il est, pour ce qu’on a été.

Mit jedem Hauch von Dir - erlöst Du mich / Chacun de tes souffles - Me délivre
Wir sehen uns wieder - irgendwann / Nous nous reverrons - Un jour
Atme weiter - wenn Du kannst / Continue à respirer - Si tu peux
Auch wennn das Meer - unter Dir zerbricht / Même si la mer Se brise sous toi
Ich glaub an Dich / Sache que je crois en toi

Au loin une porte de voiture claque.
Des pas s’approche

« AH ! Enfin tu l’as retrouvée ! » Rit Georg.
« Tu n’as a fait une belle frayeur ! » ajoute Gustav.
Bill ne dit rien, moi je n’ai plus la force de dire quoi que ce soit.
Je manque d’air, je panique.

« Bill-j’ai-peur » me fatiguais-je à dire.
« Je suis là… je suis là » susurre-t-il à mon oreille.

« Alors ? » demande Georg en s’approchant.

Les premières étoiles apparaissent.

« Je t’aime Sandra, je t’aime » souffle encore Bill.

Les ténèbres nous entourent.

« Bill pourquoi tu pleurs ? » demande inquiet Tom.

Ils n’ont pas encore compris.
Tom s’agenouille à nos côtés.
Je vois ses yeux s’écarquillaient, sa tête va de droite à gauche en signe négatif.
J’étouffe, je tousse, Bill resserre son étreinte.

Les gyrophares retentissent au loin.
C’est trop tard.

Je me tourne vers Bill, une dernière fois, ma main glisse dans sa nuque et l’approche de moi avec les dernières forces dont je dispose.
Ses lèvres effleurent les miennes faiblement.
« Je t’aime »

THE END

Invité

PROLOGUE

Ils n’étaient peut-être pas destinés à vivre ensemble heureux.
Certains donnent leurs vies par amour, d’autre continue à vivre par amour.
Ils ont peut-être été lâches, peut-être pas.
Qui sommes nous pour les juger ?
Ils ont tous leurs part de responsabilité…
Tous auraient mérités d’être sauver … finalement aucuns ne le sera vraiment.

Comment continuer à vivre après ça ?
Après tant de souffrance et de malheurs ?
La vie reprend-elle son cours ?
Du sang plein les mains comment continuer ?

Des vies ont été détruites, des existences entières.
On y a tous cru pourtant.
On a cru que tout irait bien…
Comme tout le monde, on se rattache à tout ce que l’on peux, à la moindre lueur d’espoir aussi infime soit elle.
Cette nuit, une nouvelle étoile brillera … un peu moins que les autres… sans doute, mais qu’importe.

Vous voulez savoir qu’est ce qui s’est passé après cette nuit ?

L’ambulance est arrivée… trop tard.
On a arraché aux mains de Bill son amour, alors qu’il avait son sang sur les mains.
Les 4 garçons sont rentrés.
Les parents de Sandra attendaient leur fille … ils l’attendent encore, et continueront sans doute de l’attendre.
Le groupe s’est détruit peu à peu.
Bill essayait de suivre ce que Sandra lui avait demandé … de vivre…
Il n’y arrivait pas. Chaque jour que Dieu faisait, il voulait en finir.
Mais jamais il ne porta la lame assez profond en lui… il voulait tenir sa promesse …
Même si au fond, il ne la respectait déjà plus… il était mort quand elle était morte.
Il n’en voulait à plus personne … l’envie lui manquait.
Il ne rêvait plus que de retrouver Sandra… il ne voulait plus que ça.

« Du bist alles was ich bin / Tu es, Tout ce que je suis
Und alles was durch meine Adern flieBt / Et tout ce qui coule à travers mes veines »

Merci d’y avoir cru.

Bonus page 68 =)

Voilà =)
c'est fini =)
J'ai aimé lire vos comms
j'ai aimé posté pour vous
j'ai aprécié que vous aimiez mes mots un peu brouillon défois =)
Merci du fond du coeur n_n
Donnez moi votre avis sur la fin, le début, tout quoi ^^
LooL

J'ai un bonus pour vous que je posterais demain =)
Bisous
j'espère que vous êtes pas trop déçu de la fin

J'ai adoré lire ta fic et est trop belle.Cette suite est trop triste j'ai écouté For Blue Skies en la lisant et sa ma mis les boule.
La fin est trop triste.
J'espére que tu en refera d'autre pour que je puisse te lire
Merci pour cette fanfic

Génial merci j'ai encore pleuré!Trop magnifique mais je déteste les fins tristes et je déteste que ce sois déja la fin tes mots vont me manquer c'était une si belle histoire meme si jvais peut etre passé apr une nunuche ou une fille a fleur de peau jm'en fous j'aime les fins heureuses meme si on sait que c'est souvent pas le cas en vrai et meme si ça fait parfois niais!Mais malgré ta fin très très triste bah j'adore jcrois que ta fic restera a jamais la meilleure pour moi,tellement d'émotions,d'amour,de haine aussi!Merci pour cette fic!Maintenant va falloir que je tiennes sans elle...

C'est magnifique
J'en ai les larmes au yeux Sad

oh c'étai trop beau !!!
domage qu'elle soi morte quand meme !!
j'en pleure telement c'étai bien !!!

Han...

Mein got...

Ta fic était...

Ya même pas de mot pour la décrire...

J'en pleure...

J'espere que tu vas en faire une nouvelle...

Merci...x3

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