[T] S'oublier dans l'infini.

Mais c'est meme pas une suite ça T.T
M'enfin. La suite (:
<3

autre que sadique !

titbrune0401 a écrit:

ehh mais j'te vois partout toi....xD

Tu me suis ou quoi?? =D

xD Je t'ai vu où ? =)

ah. ça me rassure parce que je commençais à me demander si j'étais pas atteinte d'Alzeihmer xD

euuuh... nan

Demain =)

hey !
encore !, voyons , ce sadisme ,
c'est fou !
<3

« C'est très étonnant, cette absence de crise de manque. »

« C'est pour cela que je suis ici. »

« Mademoiselle Conacida, vous devez avoir un moral très fort, pour qu'il n'y ait aucune récidive d'aucune sorte. Ou alors un choc psychologique vous a dégoûté de la drogue, inconsciemment, et vous n'en ressentez pas le manque. »

« Lukas... » murmura-t-elle pour elle-même.

- j'comptais m'arrêter là. xD -

*

Le trajet Paris Hamburg lui semblait interminable. Quelle idée de prendre le train aussi.
Cela donnait un côté rustique et retour aux sources qui lui avait tout d'abord plu quand elle avait fait son choix entre train et avion. Maintenant, elle regrettait sa pulsion. Elle soupira, et retourna son regard vers le paysage.
Elle n'avait pas téléphoné à l'appartement. Rien ne pouvait la surprendre de toute manière. Qu'elle le découvre en train de coucher avec une autre fille, ou qu'il la mette à la porte ne l'aurait même pas atteinte. Mais ce que l'adolescente allait découvrir, ça , elle n'aurait même pu l'imaginer.

Ha nan mais t'abuses tu peux pas couper là sérieux xD
Suite!!!

wahoou !!
ce suspence imfame !
putin suite !
c'est trop bien !

J'ai rattrapée mon retard suite stp !!!!!!

Dieu du ciel, miséricorde, sacre bleu.
Suite

suite!

Carmen poussa la porte de l'immeuble, et monta lentement les escaliers. Encore sa claustrophobie.
Arrivée devant la porte, elle sonna une fois, et n'attendit pas de réponse. Elle se dirigea vers le salon, et se stoppa à l'entrée de la pièce, le visage figé dans un rictus d'horreur.
Des rails de coke ressortaient sur la table basse en verre, ainsi que quelques pilules roses et vertes. Une seringue s'apprêtait à tomber de la main de Tom, affalé sur un des canapés. Son jumeau était assis par terre, divaguant, une petite paille encore figée dans sa main. Carmen s'approcha de son mari, le regarda d'un air dégoûté, et ressortit de la pièce pour aller chercher un sac poubelle dans la cuisine. Lorsqu'elle revint, Bill leva les yeux vers elle, avec un sourire enfantin. Elle ne le regarda pas, et jeta avec violence tout ce qui se trouvait sur la table dans le sac. Elle arracha rageusement la seringue des mains du guitariste, ferma le sac, et descendit le poser dans l'entrepôt où un brave homme venait tous les matins ramasser les poubelles.
Revenue chez elle, elle saisit son beau frère et son mari par le cou, et les traîna sous la douche. L'eau glacée gicla, et réveilla les deux hommes brusquement. Ils parurent surpris, effrayés et heureux en même temps.
Lorsqu'ils furent réellement conscients, elle gifla Bill.

« Tu n'es qu'un connard. Tu te sentais trop seul peut-être dans ton petit paradis coloré ? C'est pour cela que tu y as emmené ton frère ? Tu n'es qu'un petit merdeux Bill Kaulitz. »

Vive la drogue --'
Milles dieux, encore encore !

wahou .
génialissime ...
encore !

Ptin et voilà!
La drogue ...Faut pas qu'ils plongent dedans.