[T] 33 Kilos d'éspoir [3ème Topic].

Putain mais quel con*** !
Je rêve ! Mais c'est pas humain de faire ça !
J'aimerai pouvoir lui dire deux mots !
Tu ecrit toujours aussi bien !
la suite stp

Lol pour mes hamsters!!
Mais je dois en prendre qu'un seul xD
On, ne met jamais plusieurs hamsters ensemble, c'est interdit!! ^^

J'ai juste a mettre la cage en place, et mes parents m'emmenerons l'acheter! Kya, j'ai trop hate! ^^

Ma Patate!! A quand cette suite?...
J'ai trop hate!
Je t'aime!
Nouille

Milietrom a écrit:

Pas si nouvelle que ça Mimita (tu permets que je te surnommes comme ça?) ... Tu m'as envoyé un mp il y a quelques jours, tu te souviens?? ^^

Bon, je vais au lit moi. Trop crevée.

Joyeux Noël tout le monde !!!!!!!!!!!!!

Bizzzzzzzz
Milie

Bah d'accord si tu dis que je suis pas si nouvelle que ça ! =P

Si,si tu peux m'appellé mimita meme que tu peux m'appeller mimi pour faire encore plus court.^^


Au faite, Joyeux noel a touts le monde


et suiteeee!

Bah bienvenue à Mimita et à Schwarz-Engel !!!

Deux lectrices de plus, c'est un super cadeau de Noël ^^

Ma Nouille, pour te répondre, je poste une suite tout de suite, maintenant que j'ai (enfin) fini le blog pour le ranch. Enfin, il reste le bêtisier à mettre en place, mais je verrai tout ça avec Armelle demain.

En revanche, ce sera sans doute la dernière suite des vacs celle-là... Du moins, jusqu'au 5 janvier. Car après le stage d'équitation, mon oncle et ma tante viennent en Guyane (pas les mêmes que la dernière fois hein? ^^) donc je serai très rarement sur l'ordi.

Allez, je me tais, et je tape.
Bizzzz
Milie

Dézo pour l'absence [honte à moi] mon père a été emmené à l'hosto --'
Enfin soit suiiiiiiite =D

Olah...il va mieux ton papounnet????

J'ai bientôt fini la suite.
Bizzzzzz
Milie

Bofbof, thrombose =s
Paralysé du coôté droit =s mais on sait ce que c'est donc il s'en remettra [ont dit les médecins]
Donc voila =)
Joyeux Noël àtous =)

Assis tranquillement sur son banc, comme tous les jours, le vieux Monsieur que Maria-Eva dessinait était en train de lire un magazine, les sourcils froncés, en se disant que, vraiment, les journalistes de notre époque n'avaient rien de mieux à faire que de causer des emmerdes aux gens qui mériteraient d'être tranquilles. Cette façon qu'ils avaient de remuer le couteau dans les plaies à peine cicatrisées et de faire ressortir des trésors maudits qui devaient rester enterrés le mettait hors de lui. Il aurait bien voulu dire deux mots au journaliste responsable de tout ce remue-ménage, si sa réputation ne risquait pas d'être ternie par l'altercation.

Il leva ses yeux ombrageux du journal, sachant qu'il ne changerait rien en lançant des regards noirs au papier couvert d'encre qui lui donnait envie de vomir son mépris.

Puis, il la vit, qui avançait tranquillement jusqu'à leur point de rendez-vous quotidien. Allons donc, était-elle folle? Voulait-elle se faire lapider sur place? Déjà, de jeunes filles la regardaient d'un très mauvais oeil. Sentant le danger venir, il se leva aussi vite que lui permettaient ses jambes de vieillard, et s'avança vers elle. Surprise de ce changement brutal de leur routine, Maria-Eva s'arrêta, et le laissa venir à elle, serrant son bloc-notes contre elle, quelque peu inquiète de l'air soucieux de ce vieil homme d'habitude si calme lorsqu'elle le dessinait.

- Je crois, jeune fille, que tu as des tendances suicidaires très marquées...souffla-t-il
- Pourquoi dites-vous cela? lui demanda-t-elle, de plus en plus intriguée.
C'était la première fois qu'ils s'adressaient la parole, en trois ans de rencontres quasi-quotidiennes, excepté lorsqu'elle était partie avec le groupe en tournée. Elle n'aimait pas cette rupture brutale de leurs habitudes, car seul quelque chose de grave aurait pu pousser le vieux à briser leur silence appaisant, elle le savait.
- Ne vois-tu pas comment les filles de ton âge te lancent des regards mauvais? Ne penses-tu pas que c'était tenter le diable que de venir ici après cet éclat journalistique?
- Quel éclat? De quoi parlez-vous? Je ne vous suis plus, je ne comprends plus rien...
Le vieux monsieur la regarda avec étonnement. Comment, elle n'était pas au courant? N'avait-elle donc pas lu les journaux, ni regardé la télévision aujourd'hui? N'avait-elle pas eu vent de cette histoire qui était dévoilée aux yeux de tous? Au vu de son regard innocent et intrigué, il en déduit que non, elle ne savait rien. Et cela lui faisait mal de lui apprendre lui-même. Mais il lui tendit quand même son magazine, lourd de regrets.

Maria-Eva regarda la couverture, étonnée. Le sourire aux lèvres, elle se demanda comment un vieil homme pouvait être intéressé par un magazine qui contenait autant de futilités que PlayBoy. Son sourire se perdit dans le vide lorsqu'elle lut la manchette, agrémentée de quelques photos.
" Bill Kaulitz, le célèbre chanteur de Tokio Hotel, amateur de filles de joie?... Pour en savoir plus, lisez le reportage pages 4 à 6"
- C'est quoi ce merdi....
Elle tourna les pages rapidement, et tomba sur des photos qu'elle pensait détruites. Des photos qui faisaient remonter ses souvenirs comme des vagues de souffrance, des souvenirs qui l'étouffaient. Et des photos d'elle et de Bill sur un banc du parc. Ces photos qui n'auraient jamais dû êtres prises, et qui parcouraient maintenant la surface de la Terre aussi vite que le permettaient les moyens de communications.

Elle referma le journal, refusant de lire le reste de l'article, et s'assit. La tête lui tournait. Ces souvenirs qui remontaient sans qu'on leur ait rien demandé, ces douleurs mâtées à grand-peine par le temps, cette honte profonde qui ressurgissait, ces remords et ces larmes à l'origine de nombreuses nuits blanches...C'était trop. Plus qu'elle ne pouvait le supporter. Elle ferma les yeux, tremblant de tout son corps. Le vieillard posa une main sur son épaule fermement, la forçant à rouvrir les yeux.
- Non. C'est pas maintenant qu'il faut te laisser envahir par ton passé. Pas ici, en plein jour au vu et au su de tous. Rentre chez toi, cela vaut mieux. Et fais attention, dit-il en lui montrant du regard les filles qui parlaient entre elles au bout du parc. Tu t'es faite beaucoup d'ennemies en choisissant cet espèce d'hérisson comme compagnon...
Maria-Eva ne sut jamais où elle trouva le courage de sourire à cette réplique peu élogieuse mais néanmoins satirique du vieillard. Toujours est-il qu'elle suivit ses conseils et partit, en allant aussi vite que pouvait lui permettre son corps pourri de l'intérieur par la maladie.

Le vieux la suivit du regard jusqu'à ce que son ombre même disparaisse de sa vue. Alors, il pria pour qu'elle ne fasse pas de mauvaises rencontres sur son chemin.

[...]

Elle monta les dernières marches qui la menaient à l'appartement en courant, et ferma la porte. Elle s'étonna du silence qui régnait dans l'appartement. Puis, elle se souvint. Les garçons donnaient une interview sur un plateau télé ce jour-là. Seule Véronica se trouvait donc là. Elle supplia tous les saints qu'elle connaissait de faire en sorte qu'elle ne lui pose pas de questions.

- Maria-Eva, qu'est-ce qui t'arrive? lui demanda Véronica, assise sur le canapé en posant son livre.
Malheureusement, les saints ne semblaient plus disposés à écouter les prières de Maria-Eva.
- Pourquoi tu fais une tête pareille? fit Véronica, de plus en plus inquiète.
Elle ne répondit rien, et se contenta juste de poser sur la table le magazine du vieil homme avant d'aller dans sa chambre en claquant la porte. Véronica s'empara du journal, se demandant qu'est-ce qui avait bien pu mettre son amie dans cet état. Ce qu'elle vit la laissa sans voix. Elle lut l'article en tremblant de rage.

" Bill Kaulitz n'est désormais plus un coeur à prendre. C'est dans le parc tranquille de Loistche, à une heure très matinale du jour de Noël, que nous découvert le pot aux roses, cette relation qu'il s'évertuait à cacher aux fans depuis de longs mois.

L'heureuse élue n'est autre que la bassiste qui avait remplacé Georg Listing lors de la tournée en France après l'accident de ce dernier, accident qui, nous le rappelons, lui avait valu un poignet cassé. Une certaine Maria-Eva Duponteuil, d'après les renseignements que nous avons pu retirer auprès de l'Agence du Travail. Cette jeune femme d'à peine 17 ans, en plus d'avoir assuré les derniers concerts de la tournée, avait été engagée initialement pour rendre un dossier de dessins du groupe qui a été mis sur le marché il y a quelques mois (dessins de très moyenne qualité, nous devons bien l'avouer).

Bien que les deux tourtereaux aient l'air de filer le parfait amour, photos à l'appui, il n'empêche que cette relation a de quoi nous faire nous poser des questions sur son aboutissement. En effet, le passé lourd de la jeune fille nous incite à croire que Bill Kaulitz choisit étrangement ses compagnes, ce qui pourrait lui causer des problèmes auprès des autorités, et provoquer un malaise chez les fans du groupe.

Maria-Eva Duponteuil n'est pas la jeune fille sage que l'on pourrait imaginer. Il y a encore quelques mois, elle était MiniDeath, une strip-teaseuse de renom connue de tout Hambourg, si ce n'est de tout le Lander. Une jeune fille dont la population masculine connaissait chaque courbe par coeur. Une spécialiste de ces barres si chéries des clubs, et si évocatrices de plaisir. Une strip-teaseuse donc, si ce n'est plus. Car nous savons bien que de nos jours, les dames des bordels savent se travestir en strip-teaseuses quand besoin est, et inversement.

MiniDeath, comme on la surnommait, a disparu de la circulation de ce marché parallèle qu'est le milieu de la prostitution et de la vente du corps depuis plusieurs mois. Plusieurs mois, cela coincide étrangement avec le début de la relation entre elle et le chanteur de Tokio Hotel. Ce dernier aurait-il réussi à la convaincre de lui réserver ses charmes, moyennant quelque argent, chose courante dans le milieu des artistes? Ce dossier qu'elle a fait sur le groupe, n'était-ce pas une excuse, un prétexte pour justifier les abus commis dans le lit du chanteur? Seul Mr Kaulitz lui-même pourrait répondre, s'il ne craint pas que sa réputation en prenne un coup.

Tout au plus, pour se sortir de ce pétrin, le chanteur pourrait-il décider de purifier l'eau à la source, et se séparer de celle qui prétend au titre de compagne...Mais ceci, nous ne serons en mesure de le savoir que dans les prochains jours."

Francis Lagardène.

Bouillonnante de colère, Véronica jeta le magazine contre le mur, et tenta d'ouvrir la porte de la chambre de Bill, où se trouvait Maria-Eva. Cette dernière s'était enfermée à clef.
- Maria-Eva, ouvre-moi s'il-te-plait, dit Véronica d'une voix qu'elle essayait de garder forte.
- Laisse-moi crever seule avec mes souvenirs, lui répondit une voix étouffée par les sanglots.
- Oh non, je ne te laisserai pas seule, gronda Véronica. Et c'est pas un scandale médiatique causé par un journaliste de merde qui me poussera à te laisser tomber comme une vieille chaussette !
Le silence lui répondit.
- Maria-Eva, je te connais. Et les garçons te connaissent aussi. Putain, t'es pas la fille qu'il a décrite dans son article. T'es pas devenue strip-teaseuse par vice, tu y as été obligée par les circonstances. Et t'es pas une putain ! Tu es une fille adorable, qui a souffert énormément, mais qui guérit peu à peu ses blessures avec nous. Une fille pleine d'espoirs, d'amour et de bonne volonté. une fille qui se bat pour trouver le bonheur, et le garder. Pas une vulgaire fille qui vend son cul sur les trottoirs parce qu'elle n'a rien d'autre à foutre dans sa vie...
- Qu'est-ce que tu en sais? s'écria Maria-Eva. Qui te dis que pendant ces trois ans passés dans les rues, je n'ai pas offert mon corps à de parfaits inconnus? Qui te dit que, par des nuits d'hiver, après avoir fouillé les moindres recoins des poubelles gelées dans les rues à la recherche de bouffe, je n'ai pas couché avec des mecs dans des allées sombres pour de l'argent, pour ce putain de fric qui nous corrompt et dont on est dépendant, parce que je crevais de dalle et de maladie? Qu'est-ce qui te fais croire que je suis restée pure après avoir cotoyé les pires des vices pendant trois longues années? Pure, laisse-moi rire...Fille d'une pute, responsable de la mort de sa soeur, enceinte à treize ans et strip-teaseuse dans un club du bordel de Hambourg...C'était écrit dans mes gênes que j'allais suivre le chemin de ma mère...Je te l'ai déjà dit, et je l'ai dit aux garçons, je ne suis pas celle que vous croyez. Alors maintenant, si je t'ai assez dégoûtée, fous-moi la paix, et laisse-moi me dégoûter moi-même en paix...

Le silence se fit dans l'appartement après cette longue tirade. Maria-Eva étouffa un autre sanglot.
- Maria-Eva, tu sais, toutes les choses que tu as bien pu faire dans ta vie ne m'empêcheront pas de t'aimer et de t'apprécier pour ce que tu es, et non pour ce que les circonstances ont fait de toi...Car tu es et resteras dans mon coeur la Maria-Eva qui croit en Dieu comme si sa vie en dépendait, qui dessine comme une illuminée parce qu'elle croit qu'elle ne sait rien faire d'autre, qui lutte depuis sa naissance contre cette putain de maladie qui la ronge pour rester en vie, et qui aime mon cousin à sa juste valeur, ce que personne n'avait réussi avant elle. Maintenant, s'il-te-plait, ouvre cette porte, et vient me serrer dans tes bras...On s'en sortira, on réussit toujours à s'en sortir.

Maria-Eva ne répondit rien. Ce silence écorchait les oreilles de Véronica, à bout de nerfs. Elle se mit à tambouriner sur la porte.
- Maria-Eva, ouvre cette PUTAIN de porte !!!
Elle s'arrêta brusquement, laissant échapper un gémissement de douleur. Alertée, Maria-Eva ouvrit la porte, et la découvrit pliée en deux, les mains crispées sur son ventre. Du sang coulait entre ses jambes découvertes.
- Eh merde, merde, merde! s'écria Véronica lorsqu'elle remarqua ce mince filet qui s'échappait d'elle. Pas maintenant, supplia-t-elle, c'est pas encore l'heure ! ça fait que cinq mois, ça fait que cinq mois, c'est trop tôt pour qu'il arrive, beaucoup trop tôt !
Elle se mit à souffler bruyamment, pliée de douleur. Maria-Eva s'approcha d'elle, et la força à se tenir droite et à ouvrir les yeux.
- Calme-toi ma puce, ça va aller, respire! Respire... J'appelle les urgences, ils vont s'occupper de toi. Reste calme surtout, ça va aller...
- Je suis en train de le perdre et tu me dis que ça va aller? s'écria Véronica, qui respirait de plus en plus fort.
- Mais non, tu ne vas pas le perdre, fit Maria-Eva en composant le numéro des pompiers, fais-moi confiance, les secours arrivent !
- Standard pompiers, j'écoute? fit une voix au téléphone.
- Bonjour, il faut faire vite. Mon amie est enceinte de cinq mois, mais elle perd du sang. Beaucoup de sang.
- ... Où êtes-vous?
- Quartier Novellini, immeuble 28, au deuxième étage.
- Très bien, on arrive tout de suite. Dites-lui de rester calme, de s'allonger, et surtout de ne pas paniquer, car ça ne ferait qu'accélérer le processus d'éjection du foetus. Nous serons là d'ici une dizaine de minutes.
- D'accord.
Elle reposa le combiné, la peur au ventre.

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Euh...Sincèrement, vous en pensez quoi?
ça m'embête de vous laisser avec ce suspense...mais je dois vraiment y aller...

Suite le 5 janvier. Peut-être avant, mais ce n'est vraiment pas sûr, comme je vous l'ai dit.

Bizzzzz
Milie

QUOI??? si longtemps?
Bouwouwouuuh
Swiiite. =)

waouah oO
la suite ça sera que le 5 O_O
trop loooong > <

et sur un suspense pareil!!!
je veux savoir comment Bill et les autres vont le prendre et est -ce que Véronica va perdre son enfant? > <

Oh lala, =S en plus de ça se c*n de francis a fais un article de merde !

suiteee!

ah pi les deux premier chapitres que tu as fais ,et bien sa ma pris 8 heures d'affiler pour lire xD ta fic est vraiment bonne ! si ta fic n'aurais pas été super bonne je m'aurais pas tapper 8 heures de lecture sérieusement tu es super bonne ! ta vraiment le don pour écrire tu as vraiment de la chance!

Nom de Dieu, les filles j'vous aime. Mais à un tel point que c'en est même pas imaginable.

Un secret July? Bien sûr que j'en ai un...c'est vous mon secret, si si, j'te jure. A force de vous parler, j'mélange des ingrédients sortis de nos conversations à une histoire imaginée par mon esprit de malade mentale. Dommage, ça donne pas des chocapics, mais ça donne une fiction qui dégage de l'énergie quand même ^^

Oui oui Livie, si longtemps...Crois-moi, je m'en excuse...j'ai honte de vous laisser avec un suspense pareil. Mais c'est pas comme si je pouvais choisir de ne pas aller à mon stage pour vous taper des suites à la place, mdr. T'inquiète pas, ça passera vite...alors cesse de pleurer pitchoune. Et puis souhaite un bon rétablissement à ton père de ma part ^^.

Ben moi je sais pourquoi Ariane...C'est parce que ça m'a fait le même effet en l'écrivant, cette suite...sérieux, c'était limite je chialais sur le clavier (et je priais pour que cet ordi de (censuré!) n'efface pas ce que je tapais...

tahitian_TH_lover, bah...tu le sauras quand je reviendrai, mdr. Mais dis-toi que j'suis sadique, mais pas à l'extrême...j'réserve tout mon pouvoir pour...aux alentours de mai 2008 dans la fic...ouais, c'est ça à peu près. Et là, on est qu'au 26 décembre 2007, donc t'as le temps avant de crever pour de vrai à cause du suspense xd.

Oui bon Ma Nouille, c'est pô de ma faute...j'voyais pas comment dire "fausse couche" d'une façon plus scientifique...mais si toi ou les autres lectrices vous avez une autre terme, je suis prenante ^^. mais c'est quoi H ???? (j'vis pas sur la même planète que vous...je zappe tout ce qui est sensé intéresser les jeunes de mon âge (pas de satellite ><))
Toi, m'envier? arrête...T'es aussi douée que moi, si ce n'est plus. Seulement, t'as un style bien à toi, et moi pareil... Si je te disais que j'aime pas mon style d'écriture, tu me tuerais?Pourtant, c'est la vérité xd

Ah, enfin une qui me parle de l'article de Francis ^^ Merci mimita. Faut bien que je le dise, cet article de merde, comme tu dis, j'ai passé plus d'une demi-heure à l'écrire, parce que c'était un article de merde, justement. Un article qui bourré de sous-entendus et de déductions dégueulasses...Un truc moche, quoi. Un truc qu'on a pas envie d'écrire, mais qu'on écrit quand même parce qu'il le faut, et qui nous apprend quand même à dépasser notre niveau d'écriture habituel au final.
Oh, mimita je sais plus quoi dire maintenant...A part qu'il fallait pas passer 8 heures d'affilée devant ton écran pour ça, mdr. Merci, merci.


Bon, il ne me reste plus qu'à vous dire au revoir...Vous allez me manquer. Je penserai à vous du haut de mon dada ^^
Passez une super fin de vacances
Bonne année 2008 d'avance

Bizzzzzz
Milie

T'es voyante toi maintenant? Tu lis mes actions à venir? lol

Et ben elles sont mauvaises tes impressions ^^ parce que quand j'te lis j'ai pas les mêmes impressions que toi, niark niark. ^^

Mais si c'est normal qu'on ait des styles différents, parce qu'on vit pas aux mêmes endroits déjà, et puis on a pas le même style de vie ni les mêmes souvenirs/passé/envies.

Bizzzz
Ta patate

harg decidément je suis toujours en retard pour les nouveau topic.

J'ai lue seulement 2 suite la ><

Je revien dès que je peux ^^