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| [T] Always cold ( integral+suite) | |
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a-j Hyperaktiv
Nombre de messages : 1045 Age : 34 Ma localisation : Somewhere in between... Date d'inscription : 04/05/2007
| Sujet: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 12:40 | |
| Sous mes pieds nus J'ai senti la terre trembler Vrombir sous la directive de l'homme
Sous mes pieds nus Le sol s'est affecé, écroulé écarté ne supportant plus le poids de la destrucion
Sous mes pieds nus L'apocalypse est monté décimé et calciné de la rancoeur brûlante de la terre
Sous mes pieds nus l'horreur s'est enchainée à rendre plus lourd l'aire pollué jouissant de me faire suffoquer
Sous mes pieds nus de la plante de mes pieds dépourvu de toute logique un serpent s'est amusé à silloner au sommet de mon crâne
Sous mes pieds nus J'ai été élevé à la damnation nommée "humanité"...
Ce n'était pas une prière juste un assemblage de mot qu'elle avait prononcé dans un murmure innodible... Elle n'avait pas les pieds nus, non, juste des converses totalement usées... Elle était juste là debout observant la foule des gens qui défilent dans les rues d'une ville dont elle ne connaissait point le nom... de toute façon elle n'était que de passage, elle est toujours de passage...Elle n'a pas de toit, elle n'en a plus depuis qu'elle avait tout perdu...
Elle n'a pas de toit, elle n'en a plus depuis qu'elle avait tout perdu... Elle restait donc la les yeux perdus dans le vide, observant ce qu'elle appelait les pauvres... Oui les pauvres parce qu'ils ne voyaient pas le monde... Ils ne voyaient pas les signes et se bornaient à tout saccager. La terre, le ciel, et surtout la vie... Ce dont que quelque chose avait donné, un dont que l'on ne pouvait pas refuser. Mépriser ou jetter certe, mais refuser non. Parce qu'on ne choissait pas de naître, on naissait et voilà.
Elle était née il y 18 ans, jour pour jour et aujourd'hui elle était libre. Elle n'avait plus a se cacher. Finit de fuire et de se cacher de peur qu'une voiture de police ne l'emmène dans un orphelina ou une famille d'acceuille. Aujourd'hui elle admirait la fin de l'été, le début de l'automne appréhendant l'hiver qu'elle redoutait tant...
Ailleurs
...: Va te faire foutre!!!! ...: donne m'en juste un peu... ...: NON, regarde toi t'es pathétique!!! ...: T'es mon frère tu peux pas me refuser ça!! ...: Je peux pas??????? Et ben regarde bien ce que je fais de cette merde!!!
Le jeune homme qui se diputait avec son frère, se dirigea vers les toillette avec un sac tout blanc... Non ce n'était pas de la farine, un peu de cocaïne, beaucoup de cocaïne... Il se demandait depuis combien de temps son autre et lui était tombé aussi bas... Depuis combien de temps la lumière du soleil lui brulait les yeux, depuis combien de temps lui et son frère ne se parlaient plus vraiment... Depuis quand lui et Bill, ne supportaient plus d'être dans la même pièce sans être imprégner de substances illicites ou pour parler buisness... Depuis quand ils s'étaient perdu dans les paillettes de la célébrité, hors qu'ils s'étaient promis de ne jamais changer...
Jamais changer...
Il soupire tout en vidant la poudre dans la cuvette. Il avait décidé d'arrêter de s'enfoncer parce qu'il avait peur de troucher le fond, parce que à l'allure ou ça allait il finirait surement a l'hopital et certainement dans une tombe. Au fur et à mesure que le sachet se vidait, Bill hurlait : Mais tu es complètemtn dingue!! TOM OUVRE!!!! Tu sais combien ça coûte????? De tout façon tu sais très bien que j'en acheterai encore!!! Tu pourras pas m'en empecher.
Tu ne pourras pas m'en empêcher... Non Il ne pourra pas mais il essayera... Alors qu'il tirait la chasse il entendit la porte de leur appartement claquer. Bill venait de sortir, chercher une autre pelle pour creuser sa tombe.
Bill venait de sortir, chercher une autre pelle pour creuser sa tombe.
Le soleil se couchait déja et elle était rester là toute la journée, à coté d'un arrêt de bus qui n'était pas passé de toute la journée... Elle avait mal au pieds et au dos mais refusait de s'assoire, non aujourd'hui elle ne se cacherai pas au mlonde... Elle avait de se tenir debout toute la journée et tant pis si demain elle serait courbaturé! L'obscurité gagnait peu à peu l'espace et la fraicheur du soir se fesait sentir. Elle avait la chaire de poule comme toujours d'ailleurs. Voilà la nuit vient de tomber comme un rideau négligeamant jeté sur une cage quel'on ne veut plus voir. Pas d'étoile ce soir, jamais d'étoiles, trop de pollution, alors... Elle se tenait là debout lorqu'elle vit un garçon, où une fille, aujourd'hui on ne sait plus trop qui est quoi ou qui... Et puis ça n'a pas d'importance... Il ou Elle marchait en se retournant à chaque instant comme pour guéter un danger et portait des lunettes de soleil, en pleine nuit. Il s'est assis à l'arrêt de bus et quelque minutes plus tard une voirture s'arrête sur l'emplacement des trasports en commun et le jeune personne s'en est approché. Elle regerdait sans voir l'etrange transaction qui se déroulait devant elle.
...: C'est de la bonne, je prends.
Il avait plongé sa main dans la voiture et l'en avait resorti avec un sac de papier brun, avait porté son auriculaire dans le sac encuite à sa bouche. Il avait ensuis tiré une liasse de billet de sa poche arrière comme une vieille habitude et était revenue s'assoire à l'arrêt.
...: t'en veux un peu???
Surprise par cette proposition indéscente, elle avait vigoureusement secoué la tête de gauche à droite, en signe de désaprobation.
...: Biensure...
Le jeune homme, oui c'était un jeune homme avait ricanner en prononçant cela. Sa voix était douce mais dépourvue de vie... Elle l'observa un bon moment avant que celui-ci n'appel un taxi et disparaisse. Elle a alors décider de se trouver une endroit pour la nuit. Elle a marcher longtemps et arrivé dans un parc elle jugea qu'il était assez bien pour y passé la nuit, elle se recroquevilla sur elle même sourir au lèvres, elle tremblait, elle avait froid, mais elle était heureuse, aujourd'hui elle était libre... Enfin jusque demain. Bill était rentré à l'appartement que lui et son groupe partageaient. Tom était là, assis sur le canapé le visage fermé et lorsqu'il aperçu son frère une leurre de tristesse traversa ses yeux. Bill avit les yeux rougis, explosé, son sourire ne ressemblait à rien, juste une cicatrice de plus dans cette univers bien dégeulasse.
...: Je t'avais dit que tu ne pourrais pas m'en empêché!! en plus c'est de la bonne!!!! Le trip totale!!!
Tom regardait toujours son frère qui venait de rentré, il le vis saisir son portable et appeler une certaine Mia. Tom se disait que tout cela était arrivé par sa faute...
...: Aller viens frangin, je partage moi je ne suis pas égoïste!!
Bill dit ses mots en riant, un rire qui sortait tout droit des abisses de l'enfer... Leur enfer... Tom baissa la tête ne supportant pas cette vision infernale.
...:Tu n'en veux pas??? Je t'en laisse un peu.
Tom n'eu même pas le temps de répondre que que la sonnette retenti.
...: C'est pour moi, MIA...
Une jeune fille, vielli par son maquillage et son accoutrement, qui aurai laissé croire qu'elle fesait le trottoire, entra aprés que Bill lui ait ouvert la porte.
...: Salut Tom
Tom ne réagis pas, les yeux rivés sur le sol, se demandant commen sortir de cette merde.
...: Vient pas là, j'ai quelque chose pour toi.
Bill venait de prendre la dite Mia pas la taille et l'entrainait dans sa chambre, d'où, les éclats de rire de la jeune star et de son " amie " parvenaient aux salon et s'entrechoquaient dans un chaos diabolique dans les oreilles du grand frère, reveillant ainsi un sentiment qui l'étouffait de plus en plus, culpabilité...
Tom se parlait en son fort interieur se remémorant le jour où lui et sont frére avait descendu la première marche vers le néant.
Bill sortait d'une histoire assez pénible avec Amy, il ne voulait plus parler à personne, même pas à son frère. Il sombrait un peu plus chaque jour, tandis que Tom, lui, cherchait du réconfort entre les cuisse d'inconnues, dont il ne se rappelait plus le nom ou même la couleur de cheveux... Un jour Tom avait trouvé Bill dans la salle de bain une lame à la main, prêt à se l'enfoncer dans le poignet gauche. Il avait alors décidé de faire gouter à son frère la poussière d'étoile comme il l'appelait. Il lui avait dit qu'elle fesait des miracles et qu'il oublierai cette Amy de malheur... Bill avait été rétissant, mais avait fini par céder car il ne pouvait rien refuser à son doubble. Voilà comment tout avait commencé Bill et lui s'envoyaient des lignes dans les narines, et enchainaient les filles comme ils changeaient de chaussettes... Au début c'était chouette, Tom voyait son frère prendre gout à s'amuser sans se soucier des autres. Mais Bill sombrait bien plus vite que Tom... Il n'arrivait pas à ce passer de la drogue et bien vite tout à basculer, il oubliait les paroles en plein concert, il était désagréable avec tout le monde et surtout avec lui...
Tom avait transformé son frère en junky, doubblé d'un briseur de coeur. Bill avait fermé son coeur à l'amour et s'enfonçait dans la haine...
Les rires se sont bien vite transformés en gémissements inssoutenables pour Tom... La culpabilité c'est un monstre sournois qui s'imisse dans l'esprit et qui a bien fait de vous bouffer avant même d'avoir pu l'arrêter...
...: Tout ça c'est ma faute...
Tom se murmurait ça comme un condamné à mort qui savait qu'il serai executer demain... En attendant demain Tom s'est rué sur la poudre que son frère avait laissé sur la table basse du salon, et la sniffé à en perdre la raison... Les gémissement était redevenu des éclat de rire et cette appartment se déformait à la guise des hallucinatons du guitariste qui riait, tordu sur le sol comme un dérinté bon à enfermer. | |
| | | a-j Hyperaktiv
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 12:44 | |
| Elle s'était réveillée sur le banc du parc qu'elle avait choisi la veille. Il fesait froid, la rosée du matin avait laissé des petites goutelettes sur l'herbe qui entourait le banc. Le vent soufflait déja fort pour l'heure qu'il était. Quelle heure était-il?? Elle ne savait pas et elle s'en foutait de toute manière... Le temps n'avait pas d'importance... Du temps, elle en avait puisqu'elle n'etait attaché à rien...
Elle c'était levé d'un coup, il n'était pas nécéssaire de s'attarder. Elle s'éttira et se frotta le visage, il fallait qu'elle trouve un endroit ou se débarbouillé, ou de prendre une douche.
...: Tom réveille toi!!! ...: Tom!!!!!
Un jeune blond était penché sur son compagnon, essayant de le sortir de ses exces de la veille.
...: Tom!!!!!!! ...: Non, laissez moi... ...: Tom, qu'est-ce que tu as encore pris???
Voilà les mots étaient lachés, qu'avait-il encore pris? Tout doucement, mais surement, le jeune guitariste sortait du brouillard poudreux dans lequel il s'était perdu la veille.
...: Gustav?? ...: non, ton père ...: très drole!!!
Gustav soupirait, tandis que Tom éssayait de se levè tant bien que mal. La tête qui tournait, Tom titubait, se cognant si et là contre la table ou le fauteuille.
...: Saloperie!! ...: T'es pas beau à voir... ...: Ta morale tu te la guarde!
Biensure, Tom était dans un état lamentable , il le savait, mais ne supportait pas qu'on le lui rappel. Gustave exaspéré par le comportement de son ami alla s'isoler dans sa chambre...
:Salut, Tom!
Cette voix était bien plus qu'énervante le matin.
...: casse toi Mia! : Pas la peine d'être désagréable! ...: Bon tu te barres, t'es venue on t'as baisé maintenant dégage!
Sans attendre son reste la jeune fille quitta les lieux...
...: C'est quoi ce boucan?? Elle est où Mia??
Bill venait de faire irruption au salon, son maquillage n'était plus que d'énormes taches sous ses yeux, le "beau" Bill Kaulitz ne ressemblait pas à grand chose, il fesait même peur ou encore pitiè.
...: Elle s'est barré.
Le ton de Tom était sec et cassant, il secoua la tête pour retrouver ses esprit, mais la réalité était encore bien plus dure qu'il pensait...
...: Tu t'es éclaté hier soir? Elle était trop...
Bill fesait allusion à la coc' qu'il avait laissé et qui avait disparu.
...: Je savais que tu allais craqué! Bon moi je vais manger.
La rock star s'en alla, laissant son frère plein de remords et agonisant sous la culpabilité dont il n'arrivait plus a se débarasser... Il avait craqué et s'en voulait de ne pas avoir la force se sortir de là... Il était dans un gouffre qui se recouvrait peu à peu, bientot il ne serai plus capable d'appercevoir la lumière, bientot il serai enseveli, mais ce qu'il redoutait le plus, c'est d'enterrer Bill avec lui...
Une deux trois... Encore une fois je perds mes pas
Une deux trois... droit devant ou à reculons peut importe puisqu'il s'agit de mes choix
Une deux trois... comme un refrain, à l'unisson une simple répétition de toutes ses voix
Une deux trois... Et on recommence Oubliant la belle enfance
Une deux trois... Je sonne la fin, mais pas la mort Juste une reprise dans l'ignorance
Une deux trois... Une deux trois...
Et la suite c'est quoi???
Encore des mots imperceptible... Toujours dans sa bouche à elle qui marche à la recherche d'un endroit pour se décrasser. Elle finit par trouver, une épicerie, un veillard qui peine avec ses paquets, alors elle lui propose son aide. Dabord surpris le vieux se méfie puis s'attendri en regardant l'éclat des ses yeux... Il est vrai qu'elle était innofancif, enfin presque... mais elle n'est pas dangereuse, alors il accepte. Une fois le travail terminé, il lui propose une biscuit qu'elle refuse... elle demande juste si elle peut utiliser ses sanitaires, celui-ci hoche et lui indique où ils se trouvent. Elle se dirige en dans la direction indiquée, entre dans la petite pièce et très calmement sort une petite saccoche qu'elle porte sous ses vêtements: brosse à dent, gant de toillette et un minuscule morceau de savon. Ce n'est pas parce qu'on avait pas de maison que l'on devait ce négliger pour autant. Elle ouvre le robinet et très miniscieusement elle fait le nècessaire à son hygiène.
...: Merci beaucoup, aurevoir. ...: Merci à vous.
La jeune fille s'apprètait à quitté la petite échauppe quand l'épicier l'interpel.
...: Vous ne voulez pas rester un peu... du moins le temps de manger quelque chose ou de boire une tasse de thé. ...: Euh... je ...
Elle hésitait, elle ne le connaissait pas et lui non plus, même si il lui inspirait confiance... Aprés une seconde d'hésitation elle accepta. Il instala une chaise en face de son petit contoire, ouvrit une paque de petit beurre et alla chercher deux tasses et une boulloire dans l'arrière boutique, tout en guardant un oeil sur l'inconnue, on ne sait jamais... Il revint quelques minutes plus tard et entama une conversation avec la jeune fille.
Ailleurs
...: Bill, Tom!!!! Georg et moi on a quelque chose à vous dire!!!
La jeune blond et un autre de ses amis qui ne dormait plus depuis longtemps chez lui, puisqu'il ne supportait plus de voir son rêve s'écrouler en même temps que ses amis.
...: Hey salut Georg!! ...: Salut! ...: Alors on se décide à revenir?? ...: Non.
Georg était quelque peu géné de se retrouver en face des Tom et Bill, Gustav baissait les yeux n'osant affrontezr les océans noisettes des deux autres...
...: Qu'est ce qu'il se passe??
Tom avait senti que quelque chose se tramait, quelque chose qui pourrait tout faire basculer.
...: Gustave et moi on rentre chez nous... ...: Mais vous êtes chez vous!! ...: Non Bill on est plus chez nous, ici c'était chez nous quand vous étiez clean Tom et toi, maitenant... ...: Mais vous ne pouvez pas nous abandonner comme ça
Tom avait senti juste, quelque chose de terrible était en train de se produire.
...: Et le groupe?? ...: On abandonne pas le groupe, jamais, on veut juste s'éloigner un peu, juste le temps que vous vous reprenniez. ...: Alors c'est comme ça!!!!!
Tom était toujours le premier à hurler et cette fois-ci ne fit âs exception.
...: On craque Tom, on a besoin de changer d'aire, notre décision est prise, le reste dépend de vous... Aurevoir ...: Ou Adieu.
Voilà c'était fini, Bill était tombé sure le sol en larmes et Tom était resté paralysé lorsque ces amis ont franchi la porte... Etait-ce la fin???
...: J'ai besoin d'une ligne
Bill avait essuié ses larmes et s'était levé complètement déboussolé.
...: Viens, on va oublié en moins de deux.
Il avait raison, Tom a oublié très vite et l'euphorie s'est emparée d lui au fur et à mesure que la drogue s'installait dans son être.
Il avait raison, Tom a oublié très vite et l'euphorie s'est emparée de lui au fur et à mesure que la drogue s'installait dans son être. | |
| | | a-j Hyperaktiv
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 12:50 | |
| Les jours se sont écoulés, le vielle homme qui lui avit dit qu'il s'appelait Johan, lui avit proposer de dormir dans la chambre qu'il avait en haut de son magasin. Elle avait accepté, le froid commençait à se faire sentir de plus en plus, alors pourquoi pas. Johan était seul, ilavait perdu sa femme et son unique fils et lui ne se voyait plus depuis que celui-ci avait découvert le passé plus que criminel de son père. En effet Johan était un ancien voleur, qui avit décidé de se ranger lorsue son fils a eu 10 ans. Elle l'aidait à ranger les produits, mais ne tenais jamais la caisse, elle n'aimait pas ça... Elle avit trouver une guitare qu'il lui avait dit de guarder puisque personne ne l'utilisait. Elle savait en jouer, dans son ancienne vie elle en jouait, alors elle l'a prise et jouait souvant pour le plaisir de Johan. Un jour juste pour rire, il lui avait appris comment subtiliser le porte-feuille de quelqu'un, juste pour rire...
Ailleurs
Le temps s'écoulait, tantot rapidement, tantot à une allure d'escargot, et tout, oui bien tout se ressemblait... Tom et Bill étaient pétés 24h00 sur 24, les jours étaient des nuits et les nuits étaient des jours, la nourriture de la merde et la merde de la nourritures, puisque tout, oui bien tout se ressemblait...
Ce soir là Tom avait bu un peu trop et la poudre magique n'arragea rien à son état.
Bad trip...
Les murs de sa chambre se sont tordus dans tout les sens, des bêtes sorties du plus bafond de l'imagination, graipaient partotu... Le visage du guitariste grimaçait à la vue des toutes ses insectes qui lui montaient dessus, il avait l'impression d'éttouffer et les hurlements qu'il poussait semblaient raisonner dans le vide... Des visions d'horreure lui torturaient l'esprit, des voix stridantes mutilaient ses oreilles,... Une impression de tomber, bien plus vite que d'habitude...
Il aurait tout donné, tout, pour que cela s'arrête...
Perte d'équilibre, vertige, les sensation changeaient à tout va et le jeune homme subissait à tout vent.
Puis le calme total, le noir absolut, rien si ce n'est que la voix de son frère qui pleureit quelque par, lointaine, ... Il s'en approcha et tout bascula, il vit son autre se tenant avec peine sur la rembarde de leur immense balcon, des larmes coulaient le long de ses joues empoortant ainsi de long trainnée de noir...
...: Tom je n'en peux plus...
La voix du chanteur était si faible que Tom croyait ne pas l'entendre... Le chanteur fut soudainement secoué de spasmes violents et vascillait dangereusement ...
...: C'est à cause de toi!! Tu entyends c'est à cause de toi tout ça!
Cette fois-ci Tom était certain de bien entendre ce que lui disait son frère, et le démon culpabilité ne se fit pas prier pour sauter sur le jeune musisciens. Il vit son frère se jetter dans le vide...
...: Rendez-vous en enfer!!!
Tom se précipita et au moment où il allait attraper le bras de Bill...
Respiration saccadé, il se réveilla, en sueur, allongé sur le carrelage froid de la cuisine.
Ce n'est qu'un mauvais rêve, enfin c'est ce qu'il se disait pour se rassurer. Il se leva avec peine et se dirigea tant bien que mal vers la chambre de son frère qu'il y trouva avachit, encore tout habillé, sur son lit, avec bien évidement un longue trainée blanche lui sortant du nez.
Rassuré, bien qu'écoeuré, il ferma tout doucement la porte et alla s'écroula le long du mur... L'hiver était passé, et elle était resté bien au chaud grace à Johan. Ce jour là elle était partie jouer un peu dans le parc, et y admirait les premiers signe de printemps... Guitare sur le dos, elle décida de rentrer voir si Johan avait besoin d'aide, même-ci la boutique n'était jamais remplit, on savait jamais... Elle rentrait, chez elle, enfin pour l'instant... Elle vit un attroupement aglutiné près de l'échope de son ami, elle n'y prèta pas grande attention, mais plus elle s'en approchait, plus un sentiment étrange lui prenait les trippe et une envie incontrolable de vomir lui prennait à la gorge... Elle se trouvait maintenant devant le magasin, il y avait des policiers partout des débris de verres éparpillés sur le sol et... et le corp de johan éttendu, même pas couvert.
...: dégagé mademoiselle, il ne faut pas rester ici.
Elle devait s'en allé, elle venait de perdre Johan et elle devait s'en aller... Où ??? Elle n'en avait aucune idée... Elle restait là dans la foule se demandant, pourquoi le destin s'acharnait sur elle. Johan était étendu sur le sol, deux balles dans le coprs, une dans la tête et l'autre dans la poitrine. Un jeunes en manque était passé par là, il avit réclamé la caisse, voyant qu'elle était vide il est devenue fou et a tiré sur le pauvre vieil homme. Elle eu juste le temps de prendre quelques affaires et elle du s'en allé, encore...
Ailleurs
Il avait passé la journée à tourner en rond cherchant la solution. Il avait pris une décision et cette fois il souhaitait s'y tenir et il s'y tiendrai, peu importe le prix... Il avait patienment attendu que son frère se lève et soit pleinement conscient de se qui l'entourrait...
...: Il faut que l'on parle. ...: Je t'écoute. ...: On ne peu plus continuer comme-ça!! ...: Je suis daccord, il faut que l'on forme un nouveau groupe. ...: NON!!! Je ne parle pas de ça!!!!!
Le fait que Bill ait pu imaginer laisser tomber Georg et Gustav en disait long sur l'état mentale de son petit frère. Il est vrai que depuis 4 mois les médias les harcèlaient pour savoir pourquoi on n'entendait plus parler d'eux, si ils s'étaient séparés, ou fesait courir des rumeurs plud folles les une que les autres. NON, Tom ne comptait pas former un autre groupe, TH à la vie à la mort, c'était d'ailleurs tatoué sur la nuque de Bill!
...: Je veux que l'on aille en désintoxication... ...: Quoi jamais!!!! Tu m'entends!!! Jamais!!!! ...: Si tu ne veux pas, moi j'irai... ...: Tu as pensé à ce que les gens vont dire!!! ...: Je m'en fou Bill, il s'agit de mon avenir et de celui du groupe!! ...: Tu as perdu la raison??? ...: Non, et si tu ne me suis pas je m'en irai. ...: Alors vas-t'en!
Bill avait dit cela en quittant l'appartement, ne songeant pas une seconde que Tom était serieux...
Elle avait dormit sur le banc de son arrivée... Elle fut réveillée au aurore par des bruits étranges, elle ouvrit les yeux et bondit, surprise de voir un drôle de personnage penché au dessu de sa tête...
...: Hey!! n'est pas peur ma mignonne, je ne te ferai pas de mal.
L'inconnue puait l'alcool et portait des vêtement qui devait dater de plus d'une semaine, vu l'odeur qu'ils dégageaient!! Prise de panique elle attrapa ses affaires et se mit à courir aussi vite qu'elle le pouvait. Lorsqu'elle estima être hors de danger, elle s'arrêta, hors d'haleine, et s'appuyia conte l'immense façade d'un batiment. Une voix retenti de nul par:
...: Chers clients, aujourd'hui votre shopping est en fête et vous invite à profiter des nombreuses remises qu' y font les magasins.
Un centre commercial, elle ne sait pas trop comment, mais elle avit réussi à tomber sur un centre commercial... Elle y entra sur les pointes, biensure personne ne prêta attention à elle, mais elle se sentait toujours mal à l'aise lorsqu'il y avait beaucoup de monde. Heureusement pour elle, il n'y vait presque personne, les commerces venaient juste d'ouvrir. Elle pensa que c'était un bon endroit pour se rafraichir un peu, il y a toujours des toillettes au centre commercial... | |
| | | a-j Hyperaktiv
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 12:51 | |
| Il s'était levé très tôt ce jour là, bien résolu à s'en allé, puisque Bill refusait de se faire soigner. Il avait préparé des affaires dans un sac, comme-ci il allait en randonnée, il ne manquait plus qu'un materiel de campement se disait-il, alors il décida d'aller en acheter, incognito... Il pris donc son porte-feuille, enfila une de ses nombreuses casquettes, assortie à ses vêtement, et quitta son petit chez lui. Le shopping était presque vide ce qui arrangea Tom. Il entrepris alors de trouver le magasins spécialisé en équipement, pour sport extrême, il pourrait surrement y trouver son bonheure... Elle avait trouvé les toillettes et pris soin d'elle comme elle le pouvait. Les soucies firent apparition dans son esprit: elle se demandait comment elle allait faire maintenant qu'elle n'avait plus Johan??? Où allait-elle aller??? Et qu'allait-elle manger? Faire la manche??? Elle y avait pensé, mais elle était connu de le quartier et la police ne rigolait pas avec les vagabonds... Une idée quelque peut risqée naquit dans son esprit, il fallait juste trouver la proie... Il lu le plan qui indiquait où se trouvait le magasin qu'il cherchait et parti en sa direction, lorsqu'il fut bousculé par une jeunne fille en guenilles, qui courait vers la sortie. ...: Mais fait attention!!! Il se remis bien vite du choc et entra dans le magasin, où, il prit plusieurs choses, bien plus qu'inutiles, et alla à la caisse. Quand vint sont tour, il entra la main dans son immense baggy et se m'y à la recherche de son porte-feuille, introuvable!!!! C'est alors qu'il se souvint de la fille qui l'avait poussé... ...: Et merde!!! le destin une rencontre la croisée des chemins
La vie Incontrolée en plein soleil ou sous la pluie
la liberté contradictoire choisir d'être enchainé
Et nous Perdu dans l'infinité Cherchant juste une issue... Johan lui avait fait promettre de ne jamais voler, mais elle avait besoin d'argtent, juste un peu, pour recommencer... Aprés avoir subtilisé le précieux bien, elle se mit à l'abris et ouvrit l'objet. 750 euro!!! Ce gars là qui ne devait pas être plus agé qu'elle et il se balladait avec 750 euros dans sa poche!!! Pour elle c'était trop, beaucoup trop... Elle n'en voulait pas tant!! Elle se demzndait ce qu'elle allait faire maintenant... Cet argent c'est peut-être tout ce qu'il possédait!! Elle s'en voulait énomement d'avoir faillit à sa promesse... Elle éra ci et là, perdu dans ses pensées et elle ne vit même pas la nuit tomber. Tom n'en croayit pas ses yeux comment lui, Tom Kaulitz, avait pu se faire voler aussi facilement! Et maintenant il ne savait pas quoi faire... Il n'allait pas rentré chez lui, hors qu'il avait pris la décision de se reprendre en main et ce même sans son doubble... Il marchz longtemps, dabord dans l'espoir de retrouver celle qui l'avait si bien berné, puis dans l'espoir de trouver une fille qui l'inviterai à passer la nuit chez elle... Les deux jeunes gens plaçaient un pied devant l'autre sans direction précise à suivre, juste un brouillard qui ne se dissipait pas dans la tête... juste des questions qui se bousculaient sans réponses... Jamais de réponses. Voilà donc deux âmes perdues au milieu de leur doute, cherchant la raisons de leurs déroute pour pouvoir repartir... Elle marchait sur le chemin des étoiles et lui admirait la lune... : Putin comment je vais faire maintenant!!! Il parlait tout seul et les gens s'éloignaient de lui dans la rue, grâce à l'obscurité il n'avait pas été reconnu. Il vociférait à tout va quand il cru reconnaître la voleuse qui entrait dans un bâtiment en piteuse état. Elle avait été attirée par les chants qui s'élevaient par delà les murs, elle lu l'écriteau qui se trouvait au dessus : Eglise évangélique de Magdeburg. Elle entra donc dans la maison de Dieu envoutée par les voix des choristes. Elle se place sur la dernière chaise pour ne pas être vu. Une jeune fille qui ne devait pas avoir plus de 16 ans antonna " amazing grace " . La jeune spectatrice fut prise d'une envie soudainne de pleuré, la conviction dans la voix de cette fille sublimé par les choeurs, lui rappelait une profonde plai qu'elle croyais avoir oublié... C'est larmes aux yeux en amplie de remords qu'elle se leva et déposa la casie totalité de l'arghent qu'elle avait volé dans le panier d'offrande qui se trouvait juste devant les gradins. Elle reparti s'assoire pour se délécter encore du spectacle que lui offrait le groupe de gospel. Il décida de la suivre pour récupéré son argent; il entra dans l'eglise sans vraiment y prêter attention et repéra tout de suite celle qu'il cherchait. Il s'en approcha lentement pour la surprendre et la saisir pour ne pas qu'elle s'enfuit. Elle était à genoux et murmurait des paroles qu'il ne pouvait pas ententre. Arrivée près d'elle il remarqua quelques larmes qui tombait sur le sol... Elle pleurait, mais cela n'allait pas arrêter Tom. Il décida simplement de s'assoire à coté d'elle en silence... Elle avait entendu quelqu'un s'assoire sur la chaise de droite, celle qui donnait sur la sorti. Elle stopa alors ses prières, essuya ses larmes d'un revers de manche et se releva. ...: t'as finit?? Elle tourna doucement le vissage vers son interlocuteur... Une envie soudaine de fuire, mais il bloquait la sorti, alors elle essaya tant bien que mal de se maitriser. ...: rend moi mon argent. Elle leva le doigt en direction de la corbeille situé devant la chaire. ...: Il est là. Tom fut déconcerté par cette nouvelle, elle avait donné son argent!!! Et elle souriait??? Plus de 500 euro!! Biensur ce n'était pas grand chose, mais ce qui était à lui était à lui. Il a pensé à chercher son argent directement dans le panier, mais il hésitait. Après tout il était dans une église et il s'agissait d'un don... Il tenta de se lever mais se rassi en acceptant l'idée qu'il ne récupérrai pas ses sous. ...: tu crois en Dieu?? Il fut surpris par cette question, il ne croyait en rien si ce n'est au pouvoir de la musique. ...: Non. Elle l'observait minuscieusement, il reniflait sans arrêt et pourtant il n'avait pas l'air enrhumé. Ses yeux était injecté de sans et il avait le regard fuyant. Elle l'avait reconnue mais ne portait aucune importance à qui il était au yeux du monde. ...: Alors tu crois en quelque chose, puisqu'on ne peut pas réellement dire qu'il n'y a rien. Sa voix était douce et candide, elle parlait calmement et doucement comme pour ne pas déranger un équilibre insaisisable. ...: Rien ne prouve qu'il y a quelque chose. La voix du jeune homme était grave, elle fixait ses lèvres qui bougeaient et s'attarda sur le piercing qui se balançait au rythme des mots. ...: Nous sommes daccord alors... Il ne comprenait pas, la discution qui s'établissait entre eux était étrange. ...: Daccord ??? Elle sourit légèrement. ...: Oui, daccord, puisque Dieu et rien ne réponde pas quand on leur parle. Ou encore Dieu et tout et tout n'est rien dans une certaine mesure... Tom plissa les yeux et sourit à son tour. ...: Sans doute. Nous sommes daccord. Sur ses mots la jeune fille se leva et entrepri de sortir. Il lui laissa le passage... ...: Où Tu vas??? ...: Dormir. Il ne lui avait pas demandé ce qu'elle allait faire, mais cl'endroit où elle allait. C'est à ce moment là qu'il la detailla de haut en bas et remarqua que ses vêtements bien que propre était assez usés. ...: Tu... Il voulait lui demander si elle était sans abris mais la réponse était tellement évidante qu'il se ravisa. ...: Aurevoir. Elle pris sa guitare qu'elle avait laissé contre le mur avec son sac et passa la porte... Il la voyait s'en allé quand il se souvint qu'elle peut-être toujours son porte-feuille. ...: Attend! Elle fit volte face et attendi comme il lui avit demandé. ...: Je viens avec toi. Il avit changé d'avis, il ne voulait plus récupérer son bien. Il voyait en l'inconnue un moyen de disparaitre. D'une manière ou d'un autre c'est ce qu'il avait prévu. Elle ne dit rien et repris sa marche vers un abris pour la nuit. Il savait qu'elle était sans abris et elle prenait les choses comme elle venait. Il avait décidé de la suivre, soit... Il l'avait suivi, elle s'était arrêté sous un pont, lieu de prédiléction des clochards. Elle avait placé un gillet a terre et s'y était assise. Adossée contre le mur elle regardait le ciel, du moins ce qu'elle arrivait à voir... | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 12:53 | |
| Bonjour les étoiles Aujourd'hui rien n'a changé Tout comme hier le temps c'est écoulé
Salut la lune J'ai marché longtemps et je n'ai rien touvé Pourtant j'y ai cru mais ce n'était qu'un leurre dans l'obscurité
Bonsoir la nuit Demain, peut-être que demain je trouverai enfin Certainement demain elle sera là sur mon chemin
J'espère... Encore des mots, Tom les trouvait beau... Ils n'avaient pas échangé une parole depuis qu'ils avaient quitté l'église. Il l'observait, admirant les cieux, il pensait dabord qu'elle priait, mais on ne pris pas la lune ou les étoiles, à moins d'être un hérétique. Non, elle parlait à rien ou peut-être à Dieu... ...: C'est ici qu'on va dormir?? Voilà, c'était dit. On, nous, Tom venait de celler leur destin inconsciement. Une minute de silence semblable à l'éternité s'écoula... ...: Je te conseil de mettre un pull au sol. ...: Pourquoi?? ...: Le froid ça rend stérile. Il n'avait pas trés bien compris mais s'executa. ...: Pourquoi tu veux t'en aller?? Il ne lui avait rien dit, mais elle n'était pas stupide. ...: Je...J'ai... Euh... Comment dire... Tom hésitait, il ne savait pas ou plutot n'osait pas. ...: Tu as besoin de changer d'aire. ...: Oui, c'est ça. Elle tourna la tête vers lui et plongea ses yeux dans les siens. Cela le perturba, ses yeux était noir et scintillaient étrangement. On aurai dit des gouffres sans fond où s'étaient perdues les plus belles étoiles... ...: Je n'ai aucune idée de l'endroit où je serai demain. Lui non plus. ...: Ni même si je verai demain... Cette pensée l'effraya, mais il ne savait pas où elle voulait en venir. ...: Mais si tu viens avec moi. ...: Je viens avec toi! Il s'était précipité comme un enfant, ce qui la fit sourire. ...: ce sera sans drogue. Boum!! Voilà, des mots pononcés le plus calmement du monde avaient expolsé à l'interieur de Tom. ...: Comment ?? Tu ?? Elle sourit à nouveau. ...: Tu renifles tout le temps, tes yeux sont explosés et tu as l'aire d'être poursuivi par je ne sais quoi. Il ne le savait pas, il ne se doutait pas que c'était si flagrant, il croyait avoir berné tout le monde. ...: Je n'en ai pas pris, je n'en veux plus, c'est pour ça... Soulagé par les déclarations de son nouveau compagnon, elle s'appuya un peu plus contre le mur, pris sa guitare et se mit à jouer une morceau d'arpège très lent. ...: Tu joues bien. ...: Tu joues mieux. Elle lui tendi la guitare, mais Tom eu un mouvement de recul, il ne voulait pas, il ne se sentait pas prêt, pas encore... Elle n'insista pas relevant l'expression de tristesse qui traversa le visage du musiscien. ...: Comment tu t'appels? C'était idiot, il l'avait suivit mais ne connaissait même pas son prénom! ...: Halalia, Tom, je m'appels Halalia ...: Halalia... Il l'avait murmuré ne se rendant pas compte qu'elle frissonnait à la prononciation de son prénom. ...: ça vient d'où??? ...: Loin... Une autre terre, au delà de l'océan, où il fait toujours soleil... Ce n'était pas vraiment un réponse mais il s'en contenta. ...: Qu'est-ce que ça veut dire? ...: Pur, ça veut dire pur. Tom n'a pas dormi de la nuit, il était trop habitué au lit doubble place bien moeulleux desa chambre et de nombreux hotels où il avait séjourné. Il a regardé dormir Halalia: elle était couleur caramel, elle avait les cheveux noir buclés et coiffés en une queu de cheval. Il se demandait d'où elle venait.Elle s'était recroquevillé sur elle même et avait tremblé tout la nuit. Il avait à mainte reprise faillit se mettre à coté d'elle et la prendre dans ses bras pour la réchauffer, mais il s'était ravisé car bien qu'ils suivent désormait la même route, ils n'étaient pas assez proche pour ce genre de contact. Il regardait le soleil se lever et observait de loin les maisons qui ne ressemblaient plus qu'à des gros cailloux négligement posé sur le sol... Il ne s'était pas rendu compte qu'il avaient presque quitté la ville. ...: C'est beau. Il sursauta de surprise. ...: Oui. ...: Dans plus au moins 2 kilomêtres nous aurons quitté Magdeburg Quitter Magdeburg, il l'avait fait tellement de fois que cela ne lui disait rien. Mais cettre fois il s'en allait s'en savoir quand est-ce qu'il reviendrai... Il savait juste qu'il ne reviendrai pas avant d'avoir repris le controle de sa vie... ...: En route. Les voilà partient vers nul par en quête de quelque chose de totalement inconnue et pour l'un comme pour l'autre... Il marchaient cote à cote dans un silence qui commençait à peser. Ils passèrent devant une boulangerie. ...: Tu as faim?? biensur qu'il avait faim!! Il n'avait pas mangé depuis hier, elle non plus n'avait rien mangé mais elle avait l'habitude. ...: Oui. Elle lui tendi alors son portefeuille, qu'il pris avec hésitation, il l'ouvri et y découvri 20 euro et toute ses carte de crédits. il pensait qu'elle avait tout donné!! Il entra dans la boulangerie et ...: Au mon Dieu!!!! Tu es Tom Kaulitz!!! Il esquiva un sourire, la jeune fille se cambra d'une manière ridicule et bati des cils comme une deumeuré. Tom pri du pain et deux coucques au chocolat. Avant de sortir la jeune fille lui tendis un papier avec son numéro de téléphone dans l'espoir, plus que vain, qu'il l'appel et peut-être l'envoie au septieme ciel... Tom sorti de la boulangerie se retenant de rire! ... Tiens! Il tendi à Halalia une couque au chocolat et lui raconta se qui c'était déroulé dans la boutique quelques instants plus tot. Elle rit de bon coeur tout en marchant et dévorant sa couque. ...: Tu crois que les gens vont me laisser tranquille... Il avait posé la question même si il en connaissait la réponse. ...: Non. Ni plus, ni moins la réponse était non, même si le groupe n'avait rien sorti depuis longtemps et même si les rumeurs sur la fin du groupe allaient bon train, les fans ne diminuaient pas et l'hystérie autour du groupe non plus. ...: Tu penses que je peux faire quelque chose pour éviter ça?? ...: Quest-ce que tu veux?? ...: Disparaitre. Disparaitre, voilà ce que voulait Tom, disparaitre, s'effacer pour un nouvel ère... ...: Pour disparaitre il faut que tu effaces ce que tu es. Ce qu'il était... qu'est-ce qui fesait Tom Kaulitz???? Ces vêtements, son aire de drageur, ses dreadlocks, son piercing, son argent et sa musique... ...: Il faut que je change de look, que je change d'identité. Tom l'avait déclaré, il allait changer. ...: Bon alors eu pour les vêtement ça va pas être compliqué. ...: Je penses qu'à la prochaine escale il y a un entrepot pour de vêtement pour les pauvres. Tom ne pensait pas vraiment à se genre de changement mais bon... ...: Pour l'identité? ...: passe moi ton porte feuille. Il le lui tandis, celle-ci l'ouvrit, pris la carte d'identité et la cassa en quatre, ainsi que les carte de crédit. Elle ne conserva que la carte six... ...: On ne sais jamais... ...: Pourquoi tu as détruit les cartes de crédits??? ...: Réfléchit!!! Tu veux disparaitre non?? ...: Oui. ...: Tu sais que l'on peut te pister grace à tes retraits. Tom n'avait jamais pensé à ça!! ...: Comment on va faire alors??? ...: Pour??? Halalia ne conprenait pas très bien, il est vrai qu'elle et Tom venaient de monde différent. ...: Ben l'argent, manger... ...: Ben on se drébrouillera. Se débrouiller??? Comment??? Le jeune homme regardait Halalia de manière interrogatrice. ...: Me regarde pas comme ça! ça fait deux ans que je suis à la rue et je suis toujours en vie. ...: Si tu le dis. Tom n'était pas convaincu, mais il ne voulait pas faire marche arrière... Ils marchaient depuis ce matin et le soleil se levait déja haut dans le ciel... ...: Je ne penses pas que tu doives couper tes dreadlocks. Elle venait de briser le silence. ...: Je penses que tu devrais juste les couvrir, avec autre chose que tes casquettes. Sans le savoir, elle venait de rassurer Tom, qui ne se voyait vraiment pas sans ses précieuse tentacules. ...: Je te propose d'échanger tes vêtements contre d'autres, se sera plus économique que de les jetter. Mais je te conseil d'en guarder quelques un, au cas ou tu déciderai de redevenir Tom Kaulitz. Tom ne fesait qu'acquiescer de la tête. ...: Bien, alors Thomas Shöne, bienvenue dans se monde... Thomas Shöne, elle venait de lui donnersa nouvelle identité, une nouvelle naissance... Au nord, au Sud, à l'Est ou à l'Ouest... Le vent nous mêne à travers les plaines et les champs.
Au nord, au Sud, à l'Est ou à l'Ouest... Le temps s'écoule rapide, lent du moment que ça roule.
Au nord, au Sud, à l'Est ou à l'Ouest... Plaines ou champs Vent ou marrés Rapide ou lent Seule ou accompagnée
Peut importe... Puisqu'il faut suivre la rose des vents | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 12:54 | |
| Elle avait prononcé ces mots encore une fois, comme-ci personne n'existait , rein que pour elle comme pour guider son ame à travers les épreuves avenirs... ...: Tu viens d'où? Tom n'avait pas pu s'empêcher de poser cette question, il l'avait regardé dormir et les questions se sont installées dans sa tête et ont fini par sortir. ...: d'ici et d'ailleurs... Encore une réponse qui n'en était pas une... ...: Tu réponds toujours aussi vaguement? Halalia sourie, elle n'avait pas pour habitudede répondre au question, Johan ne lui en posait aucune, et avant elle n'avait pas besoin d'y répondre... ...: Je ne sais pas. Que veux-tu savoir exactement? ...: D'où tu viens, tu n'est pas d'ici. Elle rit d'un rire christalin qui surpris Tom. ...:Et bien, mes origines sont assez diverse, comme tu peux le voir. Mon père et moitié Allemand et moitié Tanzanien, d'où mon nom, ma mère elle est Belge-italienne et aussi Allemande. Je suis née Eupen à la frontière Bego-Allemande. Mes parents voyageaient souvant et j'ai vécu par-ci par-là avant de venir ici. Enfin en Allemagne. ...: Ok. ...: Tu as quel age?? ...: 18 ans. ...: comme moi! Tom était heureux comme un enfant qui découvrait quelque chose d'extraordinaire!! Il posa alors de nombreuses questions à Halalia et il était tellement absorbé par leurs discution qu'il ne remarqua même pas le paneau indiquant qu'ils quittaient Magdeburg. Il s'en rendu compte qu'une fois arrivée devant le panneau indiquant qu'ils arrivaient dans un village... Le soir tombait et le temps se rafraichissait, Halalia proposa alors de chercher un abris pur la nuit. Heureusement pour eux il y avait une sorte de cabanon... Les deux jeunes y entrèrent et s'y installèrent comme ils le pouvaient et mangèrent le pain que Tom avait acheté en début de journée avant de s'endormir, du moins Halalia.Tom lui n'y arrivait pas et les signes du manque Et il regardait Halalia qui tremblait encore... La sueur coulaient abonbemment sur le front du jeune guitariste, qui clignait des yeux plus que nécéssaire pour éclaircir sa vue qui devenait de plus en plus floue. Non pas par manque de someil, il s'agissait juste des premiers symptomes du manque. Il se demandait comment cela se fesait-il qu'il n'avait rien ressanti les 2 premiers jours... Il essayait de se concentrer sur quelque chose un point fixe mais rien , il n'y arrivait pas... Puis ses yeux se posèrent sur Halalia qui tremblait, et les questios on refait surface sur elle. Biensur il lui avait posé quelques question, mais plus il avait de réponse plus les interrogations proliféraient dans son l'esprit embué... Halalia a dormit contre la paroie gauche du cabanon et Tom s'était installè à gauche, juste en face d'elle. Elle s'était réveillé en milieu de nuit et avait vu Tom, les yeux grand ouvert et totalement paniqués... Il est en manque, elle ne savait pas comment se déroulait le seuvrage d'un drogué, mais elle s'imaginait que c'était dure, parce que une fois que l'on sétait rendu esclave de sa propre destruction, rebattir sur des cendres étaient bien difficile... Elle s'est rendormit quelque minutes plus tard, épuisé par les heures de marche. De voir Tom dans cette état ne la laissait pas indifférente, mais ils n'étaient pas assez proche, pas encore prés à se tendre la main pour pouvoir mieux avancer... Le soleil s'est levè il y a bien longtemps déja et Halalia et Tom marchaient depuis un bon moment vers l'entrepot de vêtement. Arrivés à l'entrepot, Tom fit un mouvement de recul, il fut surprit par la file de personne ayant besoin de vêtement ou de couverture. La misère... Il avait connu des moments difficiles avec ses parents et le groupe mais jamais il n'avait pensé que ses difficultés étaient le quotidient des autres. Tom en avait entendu parler comme on entend parlé des guerres dans le monde, comme on entend parler des ses gens qui meurent de faim, de froid ou de maladies contre lesquels lui avait été vacciné depuis longtemps... Tom avait vu des images à la télé, des photos et Bill avait même écrit une chanson sur les enfants du tiers monde, mais aujourd'hui, la, à cet instant précis, il fesait parti de ses gens... Tom ou plutot Thomas Schöne allait rencontrer la misère... ...: C'est à notre tour. Halalia venait de le faire redescendre sur terre. Il regarda autour de lui, il y avait des tonnes de contenaires et de cartons posés par là. Des habilles gisdaient partout sur le sol et des gens se disputaient des pulls ou des couhettes. Halalia s'est directement dirigée vers les pull et T-shirt. Elle en choisi plusireurs et revint vers Tom sourire au lèvres. ...: Tu as de la chance, il ne sont pas usés et en plus ils sont tout propres!!! Tiens j'ai trouvé ta taille et ils sont tous unis... Donc du noir, du blanc du bleu ciel et même du beige et du brun. Ce sont tes couleurs je penses... Et oh!! un rouge!! Tiens c'est du xl, ça va. ça change juste du xxxxxl! Elle sourit en disant cela... Les vêtements quelq avait choisi ne déplurent pas à Tom, elle avait du goùt. ...: Vide ton sac et laisse tes vêtements là. Viens maitenant on va voir les pantalon et puis les chapeau. Normalement on devrait trouver notre bonheure, l'hiver est finit alors les gens n'en prennent plus. Tom suivait Halalia à travers les pilles et les rangées en bazarre. Elle n'avait pas pris grand chose, disant qu'elle avait se dont elle avait besoin et qu'il n'était pas nécéssaire de se surcharger. 1h30, c'est le temps qu'ils ont pris pour relooker Tom. Maintenant il ressemblait à un jeune plutot banal avec une bonnet gris immense posé sur la tête... Une sorte de rasta civilisé. Après cette séacnce habillage, il pu enfin prendre une douche car derrière l'entrepot il y avait un abris pour SDF où ils purent se laver et manger un repas chaud, pas terrible, mais nourrisant. Ils reprirent la route vers nulle part l'estomac callé et tout propre. Tom avait réussi à se controler toute la journée, la nuit venue Halalia et lui se sont fait un mini abris avec des carton au bord de la route. Tom et Halalia s'étaient recroquevillé sur eux même pour économiser l'espace... Bien vite Halalia a fremé les yeux, enfin c'est ce que Tom croiait. Elle attendait tout doucement le moment venue, le moment ou Tom perdrait le contrôle... Celui-ci ne se fit pas attendre, à peine avait-elle baissé les paupières, que Tom fut pris de violent tremblement. Tout dabord ses mains, puis ses pieds et ensuite tout son corps, comme une vague que l'on ne peut pas arrêter. Des spasmes de plus en plus violent, puis le flou, il ne distinguait plus très bien ce qui l'entourait... Tout n'était qu'ombre et bientot ces ombres se sont bien vite transformé en monstre qui semblait vouloir le dévorer. ...: AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!! Il ne pu s'empêcher d'hurler, un cris qui aurait réveillé tout un quartier, mais il n'y avait personne et la route où ils avaient domicile pour la nuit était déserte. Seule Halalia entendu le cris de Tom... Celle-ci se marcha à quatre pattes jusqu'au musicien qui ne pouvait réprimé des mouvement quelque peut violent à son égare. ...: C'est moi Halalia. A l'ouïe des ses mots, Tom se calma quelque peut et Halalia pu sans trop de difficulté passer derrière son lui et se mettre sur les genoux. Elle pris délicatement la tête de Tom et la posa sur ses cuisses, il se retrouvait allongé. Elle pris ses mains toujours tremblantes et les croisa sur son torse et essuia le visage toujours humide de son nouveau compagnon. Celui-ci saisi sa main droite et la serra très fort. Il ne disait rien il n'y arrivai pas, tout son qui serai sorti de sa bouche se serai transformé en hurlements stridants... Tom avait perdu le sens des réalités et la seule chose qui le retenait encore un peu c'était la présence d'Halalia, cette main à laquel il s'accrochait désépérement et cette voix qui enchainait les mots en une farandole de couleur arc-en-ciel... Je suis tombé ... Et lorsque j'ai relevé la tête j'ai vu des étoiles mourirent j'ai vu les astres fesant la fête
Je suis tombé ... Et lorque j'ai relevé la tête j'ai entendu des rires s'éloignés j'ai entendu des cris fracassant le ciel
Je suis tombé Et lorsque j'ai relevé la tête J'ai cru que je resterai au sol J'ai cru que l'espoire était mort
Je suis tombé Et lorsque j'ai relevé la tête J'ai vu une lueur au bout du tunnel J'ai senti ta main prendre la mienne J'ai entendu ta voix me dire
Ce n'est pas la fin, Juste le commencement... Halalia carraissait le visage de Tom qui chuchotait des choses dans in charabia inconnu aux oreilles humaines. Des flash de souvenirs et d'imaginraires se mélangeaient dans l'esprit de Tom. De temps à autre, lorsque les hallucinations étaienttrop difficiles à supporter, il serrait un peu plus fort la main de la jeune fille. ...: Chuuuuuut ce n'est qu'un mauvais moments à passer... Elle lui murmurait cela tout doucement même si elle ne savait pas combien de temps cela durai... La circulation reprennait petit à petit et le jour se levait déja. Halalia avait veillé au près de Tom toute la nuit. Sa crise était passé et il était temps pour les deux jeunes gens de reprendre la route. Tom reprit la marche péniblement tandis qu'Halalia, bien que manquant de sommeil, avançait droit devant elle. ...: Si on marche bien d'ici deux ou trois heures on arrivera à Halle, on y trouvera un endroit pour passer plusieurs nuits. Il y a pas mal d'immeuble abandonnés par là. Ils marchaient silencieusement le longs des chemins qu'Halalia empruntait. De temps en temps Tom laissait échapper un gémissements et Halalia se retournait: celui-ci marchait tête basse, capuche sur la tête, fuyant le regard de son guide. Halalia ne disait rien et Tom avait d'autre préoccupations. Elle espérait trouver un endroit convenable pour le jeune homme et elle, afin qu'ils puissent rester un moment... Juste le temps de sa desintoxication... Un tas de soucis se bousculaient dans son esprit et un plan de survi pour deux prenait forme dans sa tête: - il devait encore rester à Tom 18 euros, ce qui leur permetterai de tenir avec le stricte nécéssaire pendant 4 ou 5 jours. - elle ferai la manche jouerai de la guitare et chanterai dans les rues pour gagner de quoi survivre. Elle était tellement perdu dan ses réflexions que c'est Tom qui la tira de ses pensés. ...: Je penses qu'on est arrivé. Il n'était pas appuié contre le mur épuisé et tremblant. ...: Oui, reste là je vais chercher un endroit où dormir. ...: Pourquoi pas là. En effet, l'immeuble où s'était appuié Tom semblait vide. Quelques carreaux étaient brisés mais le batiment ne semblait pas à l'abandon depuis longtemps. Halalia en fit le tour et trouva une fenètre ouverte, elle s'y faufila et inspecta les lieux. En réalité ce n'était pas un immeible mais ine immense maison. L'eau n'avait pas été coupé, surement une négligeance de la municipalité, il y avait un grand salon avec une cheminé. Heureusement seules les vitres de la cuisine et d'une des chambres du premier étaient cassées. Satisfaite de l'endroit, ellecrochetta la serrure de la porte d'entrée et fit entré Tom qui s'était assis sur le perron. ...: Ce n'est pas le grand luxe mais au moins il y a une cheminée, on pourra se chauffer et manger chaud de temps en temps! Tom n'écoutait plus, il rentré et s'était précipité dans un coin. Il se balançait d'avant en arrière et se parlait à lui même. Halalia rempli de tristesse, s'approcha de lui et l'entoura de ses bras... Elle se souvenait des images dans les magazines, leurs débuts et les sourires sur écran ou papier glacé. Le Tom qu'elle avait sous les yeux était loin d'être aussi joyeux que dans la boite à images. Le Tom qu'elle avait qu'elle essayait de rassure était perdu, le regard dans le vide, se débatait contre ses démons pour enfin se découvrir... Je me suis perdu quelque par entre deux mondes... Les repères de jadis ne sot plus que des ombres.
Je me suis perdu entre deux mondes... Où des ames sans visages cherchent la direction.
Je me suis perdu entre deux mondes... Dans un néant d'illusoir et de dérisoir.
Je me suis perdu entre deux mondes... Et l'echo de ma mémoire me torture sans relache.
Je me suis perdu quelque par entre deux mondes... mais je guarde
[size=7]Espoir Espoir Espoir Espoir Espoir Comme un finanbule sur une corde, Tom vascillait tentant de guarder l'équilibre sur les vers d'Halalia... Elle le berçait tout doucement tenant sa tête contre son coeur, fermant les yeux, ravalant sa salive pour réprimer cette envie de pleuré. Elle devait être forte pour deux. Elle serai forte pour deux maintenant... Tom s'agita dans tout les sens avant dr plonger dans un sommeil profond, dû à l'accumulation de la faim et de la fatigue. C'était encore l'après midi, Halalia décida alors de repérer les alentoures et d'acheter de quoi manger avant le réveille de Tom. Elle sorti par l'arrière et fit le tour du quartier, trouva un mini supermarché et acheta du pain quelques conserve, du lait, et des fruits pour palier au manque de vitamines de Tom. | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 12:56 | |
| Tom fut reveillé par l'odeur d'harricot qu'Halalia fesait chauffer dans la cheminée. Le soir était tombé et il se demandait combien de temps il avait dormi et surtout, il ne se rappelait pas s'être endormi dans le divan et s'être couvert. Juste quelque mot qui résonnaient dans sa tête:
Perdu... Direction... Espoir...
Il se redressa et secoua energiquement la tête comme pour remettre en place les idées qui flottaient dans un épait nuage.
...: Bonjour. ...: mmmrrhhh...
Sa bouche était pateuse et sèche.
...: Je suppose que c''est un bonjour! : oooui.
Il tente de s'approcher du feux et surtout de la nourriture car son estomac criait famine, mais son corps était lourd et refusait d'obéir. Il ne parvenait pas à faire un mouvement. Halalia voyant tom complètement désarmé, pris une assiette qu'elle avait trouvé et nettoyé, la remplie d'harricot à la sauce tomate et de quatre tranches de pains et l'apporta à tom
...: MMmmmmerci.
Elle lui sourie et alla se servir à son tour. Tom avait l'assiette sur les genoux mais ne parvenait pas à attiendre les aliments. Il était comme paralisé et les tremblements, bien que légers, le trrifiait. Il avait peur de renverser son assiette. Halalia leva la tête à la troisième bouchées de pain et remarqua l'immobilité de Tom.
...: Tu n'as pas faim? ...: Sssi... J... J'a... J'arrives pas.
Elle mit alors son assiette sur le coté, alla s'assoire à la droite du guitariste. Il pris une tranche de pain, la coupa en deux et trempa le moitié dans les harricots pour ensuite le portr à la bouche de Tom. Celui-ci entrouvi la boche et mordit dans la demie tranche. Elle renouvella songeste jusqu'à ce que l'assiette soit vide. Elle prit une pomme, la coupa en huit et les fit mangé les morceaux à Tom.
...: Merci. ...: C'est normal.
Normal? Tom n'osait pas regarder Halalia, il avait l'impression d'être devenue une loque humaine, un fardeau de plus sur les épaules de la jeune fille et il culpabilisait d'autant plus qu'il était responssable de son état.
Ailleurs
Bill était assis sur son lit et fixait la fenètre. Une semaine. Une semaine que Tom a disparu. Unhe semaine qu'il a perdu son doubble...
Au debut il pensait qu'il était quelque part avec une fille, surement à s'amuser, mais au bout de deux jours une srainte vint s'installer au creux e son ventre...
Et si il lui était arrivé quelque chose? Non, Bill l'aurait senti. Tom lui avait sit qu'il s'en irai, même sans lui. Bill ne pouvait se faire à l'idée que son frère l'avait abandonné. Il avait essayé de rentrer encontact avec lui, de le localiser grace au lien étrange qui les unissait.
RIEN...
Bill n'y arrivait pas. Soit son cerveau était trop ramoli par la drogue, ce qui était surement le cas. Soit Tom bloquait son esprit. Quelques fois, Bill entendait des mots et avait des visions etranges et terrifiantes. Il s'enfilait alors des lignes pour oublier et tomber dans l'euphorie éphèmére...
Tom essayait de se refugier dans le sommeil tant bien que mal, mais quelque fois les cauchemars étaitent trop dur à affronter. Alors il restait les yeux ouvert et regardait Halalia qui lui serai la main et qui somnolait de temps en temps. Elle frissonnait toujours, comme si elle avait toujours froid...
Le jours elle se levait, prenait sa guitare et allait se perdre on ne sait où dans Halle. Elle posait un pull sur le sol, s'y assayait avant d'entamer des aires de musique populaire allemands. Elle arrivait à gagner 5 à 7 euros et atteignait la somme de 10 euros lorsque quelqu'un lui demandait de jouer un morceau particulier. Elle ne restait pas souvant à la même place à cause de la police et des lois sur le désordre publique. Elle bougeait environ toutes les heures et lorsqu'elle entendais sonner 18 heures, elle courait faire quelque courses et rentrait cuisiner.
DIX jours qu'elle n'était plus seule...
Ce soir là, elle trouva la maison en bordel. Biensur il n'y avait pas gramd chose, juste un canapé complètement défoncé par endroit, quelques assiettes et verres qu'elle pensait avoir été oublié par les propriétaire dans leur hate de partir, deux casseroles, une poile et un seau où elle mettait de l'eau préalablement chauffée pour se laver et débarbouiller Tom lorsqu'il en était incapable. Ce n'était pas grand chose, mais ce casi rien était éparpillé dans le salon, entre le divan renversé et les morceaux de verres cassés. Tom l'attendais dans un coin sombre...
...: Tom?
Elle l'appela croyant qu'il lui était arrivé le pire.
...: Tu as la pourdreuse?
Il était sorti de l'ombre les traits tirés et les yeux remplis de rage, injecté de sang. Halalia compris alors qu'il avait perdu l'esprit et qu'il était en quête de cocaïne.
...: Tu sais trs bien que je n'en ai pas.
Sa voix était sèche et claquait dans les oreilles.
...: Vas en chercher!
Tom venait d'hurler son ordre comme on ordonne à un chien.
...: Non.
Un NON cassant qui mit Tom hors de lui, il se rua sur la jeune fille et lui arracha son sac. Il le vida au sol et se mit à chercher une infime poussière d'étoile.
...: J'en veux juste un peu...juste un peu...
Le ton agressif du musicien s'est transformé en une plainte sanglotante. Il se grattait machinalement la têtye et répétait sans arrêt
...: Juste un peu, j'en ai besoin...
Halalia ramassa ses courses, nettoya la maison et prépara le diner, laissant tom à terre complétement déboussolé. Elle lui donna à manger et attendi qu'il s'endorme...
Les jours passait et l'état de tom empirait, Halalia était de plus en plus épuis et Tom passait d'un état d'extrême violence à celui d'enfant inoffenssif en peu de temps. Il ne se rappelait jamais des ses periodes d'égarement et ouvrait grand les yeux, bessait la tête lorsqu'elle lui racontait ses érrences...
... Attache moi.
C'est ce qu'il lui avait demandé un soir aprés l'unique repas de la journée. Halalia surprise guarda silence. Tom s'avança vers elle, prit le visage de la jeune fille entre les mains.
...: Attahce moi, là, à ce radiateur. ...: Mais c'est inhumain!!
Elle refusait de réduire une être humain à l'état de bête, même si quelque fois il était difficile de savoir si Tom n'en était pas une... de bête.
...: Attache moi, c'est plus sur.
Evidement qu'il était préférable que Tom soit attaché. Lorsqu'elle rentrait, elle était fatigué et devait prendre sur elle lorsque Tom divaguait et perdait pied...
...: Daccord.
Elle se résigna à contre coeur et le lendeamain, quitté leur demeure, elle le reveilla et l'attacha aussi solidement qu'elle pu et s'en alla le coeur serré.
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 12:58 | |
| Ailleurs... Dix-huit jours que Tom a disparu. Bill était paniqué, il avait appelé sa famille, ses amis mais personnes ne savaient où il était. Il décida alors de faire appel au média puisque la police lui avait dit: ...: Il est majeur monsieur, on ne peut rien. Bill organisa une séance de presse. ...: Je vous en suppli, si vous voyez Tom ou si vous possédez une quelconque information sur l'endroit où il se trouve... Appelez où écrivez moi, une forte récompense vous sera offerte si vous retrouvé mon frère. Ce que Bill ignorait alors c'est que son frère lui même ne savait plus qui il était... Halalia rentrai comme d'habitude de sa longue journée, lorsuqe son attention fut atiré par une orde de jeunes filles attroupée devant un "kioske" à journaux. ...: Tu crois qu'il est mort?? ...: On a surement du l'enlever pour de l'argent!!! Halalia ne peu s'empêcher de s'approcher et elle fut stupéfaite de voir les gros titre avec une photo des jumaux Kaulitz. Elle s'empressa de rentrer et trouva Tom endormi contre le radiateur... ...: Tom!! Reveilles toi!!! Elle essayait de guarder son calme même si au fond d'elle une tempête grondait... Et si quelqu'un les avait vu? Si on trouvait Tom attaché? On croirai qu'elle a voulu lui faire du mal ou pire... ... : Mmmmhh Bonjour. Halalia se depêchait de liberer Tom de ses liens. ...: Du calme!!! Tom regardait Halalia qui semblait ne pas l'entendre, s'acharner sur des noeuds qu'elle n'arrivait pas à défaire. ...: Il y a le feu? Pas de réponse. ...: Halalia? ...: Quoi? ...: Qu'est-ce qui ce passe? Tom avait articulé chaque mot et détaché chaque syllabe. ...: Il se passe que...qu...que... Elle était totalement paniqué et ne savait pas où commencer. Des scénarios de toutes sortes se déroulaient dans son esprit... Elle s'imaginait que la police pouvait débarquer d'un instant à l'autre et qu'elle l'eménerait et on l'emprisonnerai... ...: Halalia? Tom s'impatientait. ...: Tu fais la Une de tout les journaux! Tom sourit, il avait l'habitude d'être en première page. ...: Enfin, c'est normal. ...: Non, non !!! On te cherche Tom!!! Tu es porté disparu!!! Et ton frère il... il... ...: Il quoi? ...:Il propose une forte somme d'argent pour quiconque te retouve. Tom dépassé pas ce qu'il venait d'entendre laissa tomber sa tête contre le mur et ferma les yeux deux secondes. Lorsqu'il les reouvrit Halalia s'agitait dans tout les sens, fermant des sac, ramassant les affaires qui trainaient. Il se leva et se diriga vers la jeune fille paniqué et l'immobilisa. ...: Qu'est-ce que tu fais? ...: Il faut partir! ...: Non! Non??? Il est complètement fou!! pensa Halalia. ...: Personne ne m'a vu et je ne suis pas sorti d'ici depuis notre arrvivée. Il n'y a aucun risque, on reste. L'assurance et le calme de la voix de Tom la décontenança... Elle alla s'assoire sur le fauteille en piteuse état et ne bougea plus. Tom, lui, débala les course et prépara pour la première fois le diner. Durant le repas pas un mot ne fut échangé. Les deux jeunes adultes s'endormirent... Pour la première fois depuis longtemps Tom n'eu pas de cauchemars et halalia trembla comme à son habitude. Encore un matin, elle ne sait plus lequel, elle se leva, fit sa toillettes et déambula dans les rues de halle, donnant sa voix contre quelque pièces et rentra à 18h00. Elle trouva Tom assis sur le divan, il s'était libérè de ses liens et il l'acceuille avec son plus beaus sourire. ...: Bonsoir! Cela feasit longtemps qu'elle n'avait pas vu tom rayonner, en fait, elle ne l'avais jamais vu heureux, réellement... Il se leva la débarassa de sa guitare qu'il posa avec délicatesse dans un coin, puis de ses courses. Il l'incita à s'assoire pres de lui. Le soleil était encore haut dans le ciel, les jours étaient de plus en plus long le temps de plus en plus doux... Tom débala les courses et rit en découvrant le gateau marbré. ...: On fête quelque chose? ...: Non: juste une envie... ...: Alors on fête quelque chose! ...: Quoi donc? ...: Mon retour! enfin... Halalia ne comprenait pas trés bien et leva le sourcil droit en signe d"interrogation. ...: Je vais mieux Déclara Tom satisfait de lui. ...: ça fait trois jours que je ne suis plus lunatique et que je ne fais plus de cauchemars. J'ai encore quelque tremblements et ma vue deviens flou de temps en temps mais je progresse. Tom était tellement heureux qu'il fit le diner et lorsque le momen du desert arriva, il s'avoura chaque bouchée du cake. Halalia s'était plongé dans le silence... Non pas qu'elle était trise te voir Tom rétabli, mais elle se disait que c'était la fin d'une aventure qui n'avait pas vraiment commencée... ...: Raconte moi, Halalia, comment tu... Tom venait de la sortir des ses pensées. ...: Une clocharde? ...:... Confus Tom baissa la tête. ...: Ne soit pas gêné, comme le disait ma mère : il faut appeler une oeuf un oeuf. ...: Elle est où ta mère? Halalia prit une grande inspiration et se lança dans des recoins de sa mèmoires qu'elle n'avait plus parcouru depuis longtemps... ...: Mes parents son mort il y a deux ans, peu après le nouvel an. Il revenaient d'une soirée de charité et on été surpris par une tempète de neige. On les a retouvé le lendemain, ils avait heurté une barrière de sécurité. ...: Et depuis tu... Elle repris la parole. ...: Non, des policiers et des assisantes sociales sont venus me chercher et m'on dit de prendre mes affaires, mes grands parents étaient morts et mes parents étaient enfant unique. J'ai don été placé dans une famille d'acceuille. La femme n'était jamais là et le mari buvait beaucoup trop. Un jour il m'a battu et les jours suivant aussi... Elle marque une pose et reprend les dents serrés. ...: Une nuit, il est venu dans ma chambre et a tanté de me violer. Il empestait l'alcool... Je pouvais supporter les coup mais ça s'était au dessus de mes forces. J'aiattrapé ma lampe de chevet et l'ai assomé. Je me suis enfuie et caché... Depuis ce jour j'ai fait de la rue ma maison. Tom n'en croyait ps ses oreilles , sa bouche reste close... Que dire après avoir entendu une tel chose? Il se rappelait que c'est à 16 ans qu'ils ont explosé dans toute l'Europe, le debut de la Tokio Hotel mania. Au même moment le malheur s'abattait sur Halalia et le bonheur coulait à flot sous les pieds du jeunes hommes et son groupe. Culpabilité encore et toujours... Tom se sentait coupable de tout. ...: Je penses que l'on devrait dormir. Halalia avait senti le malaise s'installer. Elle aurai voulu dire à Tomm que ce qui lui était arrivé n'était pas de sa faute, d'ailleurs ce n'était de la faute à personne. Mais le visage de Tom exprimait bien plus que de la compassion et de la tristesse, c'était comme si Tom portait les fardaux du monde, comme si les siens ne suffisait pas... Cette nuit là , Halalia dormi...enfin... Tom, lui, fesait des sessions de 2h00 et entre chaque sieste, il observait le corps qui se trouvait en face de lui appuié prés de la cheminée. Ce corps qui tremblait sans cesse. Tom se demandait pourquoi elle tremblait de la sorte? Pourquoi elle l'intriguait et l'intimidait tant? Pourquoi semblait-elle proche et lointaine de lui à la fois? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? C'est sur ses interrogations qu'il s'endormi. A son reveille Halalia était déja parti... Il se leva et entrepris de nettoyer les déchets de la veille. Il sa lava, se changea et se posa près d'une fenêtre, d'où les passants ne pourrait pas le voir. Il regardait les gens passer, tantot vers le nord et tantot vers le sud, et réprimait certaines secousses. Il guettait le reoure de celle qui , sans le savoir, lui avait tendu la main... ...: Bonsoir ! ...: Salut. Tom rayonnait et sautait dans tout les sens, ce qui fesait bien rire Halalia. Il lui demandait comment c'était passé la journée? Ce qu'elle avait joué? Si les gens avait été généreux? ...: Stop! Evidement Stop! Tom fesait courir les questions sur sa langue, sans laisser le temps à Halalia de répondre. Elle comprenait que Tom ait envie de sortir, elle même ne supportait pas qu'on lui interdise de voir la lumière du soleil ou de la lune. Les symptomes du manque se dissipaient peu à peu, et il était de plus en plus agité. Il tapais du pied sans arrêt et fesait pianoter ses doigts des qu'il les posait quelque part. Il gesticulait dans tout les sens constament. En claire il était insupportable... INFERNAL... ...: Arrête s'il te plait. ...: Pardon. Et cela durait depuis une semaine, lorsqu'elle rentrait, Tom s'exitait sautillant et parlant à une allure folle! Elle voyait bien qu'il n'en pouvait plus. Elle se résignait et se contantait de lui demander d'arrêter lorsqu'elle sentait que ses nerfs aussi allaient lacher... [color=violet] Je rêve de liberté en plein jour ou dans la nuit en plein soleil ou sous la pluie
J'ai rêvé de liberté clodiquant sur le ying et le yang explosant d'arc-en ciel et de sang
J'ai rêvé de liberté J'ai rêvé d'être enchainé J'ai rêvé tout et son contraire J'ai rêvé liberté...
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| | | a-j Hyperaktiv
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:04 | |
| Tom dormait de mieux en mieux. Vingt-sept jours ... Il lui a fallut Vingt-sept jours pour être seuvré... Vingt-sept Jours en enfer...
Aujourd'hui il avait décidé de sortir. Il attendi qu'halalia sorte pour se lever à son tour et la suivre en zigzagant sur les traces de la jeune fille. Il s'arrêta et se cacha à une dizaine de mêtre d'elle, lorsque celle-ci posa son pull au sol. Il resta caché une bonne heure lorsque la pluie se mit à tomber. Il vit alors Halalia se lever et se diriger vers lui, en fait, elle ne se dirigeait pas vers lui, mais plutot vers l'endroit où il se trouvait.Cet emplacement le protegeait de la pluie. Il tenta de se cammouffler tant bien que mal mais...
...: Thomas?
Halalia avait conditionné son cerveau à appeler Tom Thomas en publique. Sa surprise fut grandre quand elle découvrit Tom et l'envie de lui geuler l'incosciance dont il fesait preuve, à la face du jeune homme, n'était pas moindre. Elle s'approcha de lui lentement et colla presque son corps au sien, leva la tête et lui demanda à l'oreille.
...: Qu'esy-ce que tu fais là? ...: Je n'en pouvais plus.
Ni plus, ni moins, Tom avait craqué. Halalia planta ses yeux dans l'universd d'automne du guitariste et soupira tout en se collant au mur à droite de lui. Elle ne pouvait pas lui en vouloir! Qui pourrait en vouloir à un prisonnier de vouloir s'échapper?
La pluie cessa et Halalia suivie de Thomas trouvèrent un autre emplacement. Ily avait un peu de monde des jeunes essentiellement. Une jeune fille, pas plus agée qu'eux, s'approcha d'Halalia.
...: C'est toi la fille qui joue contre de l'argent? ...: Oui.
Un oui blazé, Halalia en voyait des gens défiler et lui poser la question. Beaucoup d'entre eux lui demandait de jouer un morceau précis, mais la mojorité n'en connaissait pas le titre et lorsqu'il chantonnait l'aire celui-ce était tellement faux qu'ele craignait qu'il se mette à pleuvoir. Elle s'excusait alors de ne pas le connaitre même si elle était sur du contraire, simple question de justesse!
Tom observait la jeune fille qui venait de s'approcher, elle était toute de noir vétue et était maquillé comme Bill. Ce qui lui provoqua un pincement au coeursqu'il tenta d'ignorer comme il tentait d'oublier l'absence de son frère... La pluie recommença à tomber, à torrent cette fois ci, heureusement pour eux ils étaient sous un abris de bus.
...: Tu connais Tokio Hotel?
Tom jetta un un oeil à Halalia, celle-ci esquiva un sourire et fit oui de la tête.
...: Dix euro si tu me chante leur première chanson.
10 euros rien que pour une chanson! 10 euro et la journée est finie... Halalia regarda Tom en biait, il se demandait si elle connaissait la musique. La pluie tomba encore plus fort. Halalia ferma les yeux et posa ses doigts sur le manche, formant ainsi les premiers accords de Durch den Monsun. Tom fut surpris d'entendre Halalia chanter leur premier Hit. Sa voix était lisse et légère, au début elle chantait faiblement et au second refraine elle pris plus de puissance. Les éclaires ont alors déchiré le ciel. Tom sursota, cela lui rappelaitn le clip et bien des désillusions... Les paroles de la chansons étaient gravées dans sa chaire...
...: dann wird alles gut Wird alles gut - alles gut…
Les dernières paroles raisonnèrent dans le vide et le silence qui se faufilaient entre les gouttes.
: Mouai, Tom joue comme même mieux que toi. Tiens.
Halalia pris le billet que lui tendais la fille avant de la voir s'éloigner sous la pluie.
...: Viens on rentre.
Il n'était que 14H00 et la journée était terminée. Les deux vagabonds était partis faire les course. Il n'avait cessé de pleuvoir et Halalia ne pouvait s'empêcher de chantonner Durch den Monsun en écartant les bras, topurnoyant, laissant l'eau mouillé son visage... Tom la regardait faire, elle ressemblait à un enfant qui ne connaisait pas les démons de se monde, pourtant elle en avait vécu des choses... Tom se demandait comment elle pu tenir, lorsqu'elle lui sais la main et tourna avaec lui.
...: Ich muss durch den monsun - hinter die welt Ans ende der zeit - bis kein regen mehr fällt...
Là en plein milieu de la rue, deux personnes cherchant quelque chose perdu dans les méandres de la vie tournoient laissant carresser par la pluie printanière qui redonnait vie à la terre.
Une valse au rythme incohérant des gouttes de pluie sur le sol. Une ronde à deux, une ronde sous la pluie, une ronde pleine de vie, une rondetoute blanche, one ronde de quatre temps... Une rone... Leur ronde...
Exténuer il s'arrêtèrent. Tom et Halalia soufflaient se moquant du ciel si triste. Eux, riaient, un rire sans raison, un rire innocent, d'une joie sortie de nul part pour profiter du moment présent. Ils ressemblaient à des fous qui embrassait les larmes célèste qui perlaient l'immensité qui les entourait... C'est bras dessus, bras dessous qu'ils rentrèrent. Ils se changèrent pour éviter d'attraper la crève . Ils grignotèrent quelques biscuits et attendire patiement l'heure du diner qu'ils préparèrent à deux. Ils savaient qu'aujourd'hui le faible lien qui les unissait, c'était consolidé, il était devenue résistant comme un file de pêche; transparent mais solide.
...: C'est quand qu'on s'en va?
Tom se sentait près à aller plus loin. Halle c'est vraimen près de Magdeburg...
...: Demain matin.
Demain matin, c'était dit, c'était décidé, demain matin ils s'en iront. Tom s'endormi se rêvant sur les route et Halalia toujours tremblante.
Le ciel hésitait entre le rouge, le jaune, l'orange et même le mauve. Halalia souriait sachant qu'il choirsirait le bleu. Il prend toujours le blei et quelques fois il s'amuse à y poser des nuages, des micro gouttes congelé formant un hama à l'apparence cotonneuse, et puis d'autre fois il en mettait tellement qu'il parraissait gris et triste...comme hier. Ils se dirigeait vers l'ouest comme ils auraient aller vers le nord, le sud, ou l'est, mais Halalia allait vers l'ouest. Elle savait que vers l'ouest Il n'y avait pas beaucoup de ville, donc moins de chance de trouver Tom.
Tom détaillait Halalia: elle portait toujours un pull même si le temps était de plus en plus chaud. Ses cheveux étaient long et formaient une masse noir bouclèe, qui encadrait son visage. Il esquiva un sourire en coin. Halalia n'était pas mignonne.Halalia n'était pas jolie. Halalia n'était pas belle. Halalia était un mystère...
Maintenant ils marchaient cote à cote, sauf quand le passage était trop étroit, l'un d'eux se rangeait.
Halalia lui explicait qu'ils allaient traverser des campagnes et qu'ils allaient vers l'ouest. Ils étaient tranquille pour deux semaines car ils avaient économisé 50 euros.
Un discution diverse et banal dont Tom n'en avait que faire. Il voulait en savoir plus, mais il l'écoutait quand même car il s'agissait de leur survie. | |
| | | a-j Hyperaktiv
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:06 | |
| C'est dans une grange abandonné qu'ils élurent domicile à la tombée de la nuit. Les étoiles brillaient et la nuit était bien noire contrairement aux villes.
...: Dis Halalia? ...: Tom? ...: T'es mots? ...: Oui? ...: Ce sont des chansons? ...: Je ne sais pas, tu as déja entendu une chanson sans musique? ...: Non.
Tom fixa longuement la guitare d'Halalia avant de sombere dans le someil Tom fixa longuement la guitare d'Halalia avant de sombrer dans le someil.
Il fesait de plus en plus chaud. Mai. Ils étaient en Mai, cela fesait presque deux moi que Tom était Thomas et qu'Halalia avait quelqu'un. Cela fesait deux semaines que les deux accolites marchaient dans la campagne le jours et dormaient où ils le pouvaient la nuit. Ils n'avaient presque pas gaspillé d'argent, 15 euros maximum. Ils effectuaient des travaux pour les fermiers alentoures contre un bon repas et un endroit pour passer la nuit. Ils arrivaient dns une sorte de petite ville ou plutot de grand village. Tom marchait tête base et Halalia repérait les lieux. Il achetèrent un sandwich pour chacun et se restaurèrent sur la place centrale et s'y reposèrent un peu.
...: Viens.
Halalia s'était levè et avançait à vive allure vers le salon lavoir en face d'eux. Il était vide.
...: Passe ton sac.
Tom lui tandis son sac et regarda Halalia en vider le contenue dans une des machines. Elle fit de même pour ses affaires, puis se mit à se déshabiller.
...: Mais qu'est-ce que tu fais?
Halalia avait enlevé ses vêtements ne laissant que ses sous vêtements.
...: Désabille toi vite!
Sans trop comprendre, il s'executa. Il s'imagina qu'on les surprennait à moitié nus dans un salon lavoir! Elle lui pris les vêtements des mains et les fourra dans le lave linge, avant d'y introduire une pièce et le savon qu'elle venait d'acheter. Halalia portait un soutien gorge bordaux et un boxer assorti. Elle ne semblait pas être consciente d'être presque nue devant Tom, qui ne se génait pas pour découvrir chaque parcelle de son corps. Non pas qu'Halalia était impuduque, mais il fallait laver les vêtements et puisqu'elle ne savait pas quand se présenterai la prochaine occasion de le faire... Rester un heure en petite tenue...
Il observait attentivement le corps de la jeune fille: elle était mince, bien dessinée et proportionée. Un beau bassin et une belle taille. Elle avait des seins en forme de pommes bien assez gros pour remplir sa main de guitariste. Ses jambes étaient fine et ses fesses bien rondes et fermes comme ses cuisses. Elle avait une léfère cambrure et de petit pieds, pourtant elle mesurait plus qu' 1 m 70.
Il y avait de la musique de fond, il n'y avait que leur machine qui tournait. La radio laissait entendre le bruit qui se propageait sans grande difficulté.
...: Ha! What's my age again!
Halaliase mit à danser dans le lavoir, chantant les paroles qu'elle connaissait par coeur. Blink 182. Tom n'avait pas reconnu, mais lorsqu'il entendit le refrain, il se tordit de rire. La situation dans laquelle ils se trouvaient, lui rappelait celle du clip dans lequel les membres du groupe se promenaient nus dans la rue. Quel coïncidance lui et Halalia l'était presque. Au solo de guitare elle monta sur une machine et fit semblant d'en jouer. A a fin de la chanson elle s'arrêta le souffle court et s'assit sur une sorte de table en bois destinée au pliage. Elle invita Tom à le rejoindre, il ne se fit pas prirer. Il était rouge, il fesait une chaleur éttoufante et pourtant Halalia avait la chaire de poule. Les deux jeunes attendirent 35 minutes le temps du lavage et 20 minutes le teps du sechage et du pliage. Lorsqu'il sortirent, la nuit s'était déja installée. Tom trouva une ruelle non loin, il y avait une sorte de toit et un peu de lumière, c'était discret. Il entraina Halalia vers la petite rue, ceux-ci s'installèrent pour dormir, l'un en face de l'autre.
...: Pourquoi tu trembles toujours?
Tom avait trouvé le courage de poser la question qui le tarodait depuis le premier jour.
...: Je suis trés frileuse.
Il connaissait beaucoup de gens frileux mais Halaia semblait toujours avoir froid, comme dans le lavoir.
...: Tu es malades? ...: Non, pas que je sache. ...: Tu as toujours été comme ça? ...: Non, avant j'étais frileuse comme tout le monde, mon père me disait qu'un jour je rencontrerai quelqu'un qui me réchauffera. A la mort des mes parents, le froid s'est engouffré en moi comme un blizzare dans mes os. Depuis c'est comme si il gelait à l'intérieur. J'ai toujours froid.
C'était juste ça, elle avait toujours froid même si lui crevait de chaud.
Tom la regarda s'endormir et lui pris la main. Elle était gelé, un froid digne des hiver siberien. Il se demandait comment elle pouvais se sentir à l'interieur si sa main était aussi froide?
Lorsqu'elle ouvrit les yeux Halalia senti quelque chose de chaud autour de sa main. Il cligna des yeux pour éclaircir sa vue endormie et vit la main de Tom, dui la serai contre la sienne. Elle la retira doucement avant de le réveiller .
...: Debout on a du chemin à faire.
Et cela dura longtemps, Halalia et Tom marchaien toutes la journée, trouvaient un endroit pour faire leur toillettes, mangeaient et dormaient de plus en plus à la belle étoile.
Ce jour la Halalia avait décidé de faire la manche. L'argent diminuaut dangereusement et elle veillait à ce qu'il y ait toujours quelque chose dans leurs ventre: Vaut mieux prévenir que guérrir... | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:08 | |
| Elle se posa quelque part,il y avait quelques passants, des jeunes essentiellement. Elle sorti sa guitare, l'accorda à l'oreille et commença à jouer, quand un groupe de garçon s'en approcha.
...: Tu connais from yesterday?
Tom était rester en retrait mais vit qu'Halalia était en difficulté. Elle ne connaissait ni le groupe, ni la chanson. Depuis qu'elle avit fugué, elle n'avait pas pu se tenir au courant des nouveauté.
...: C'est de 30 second to mars.
Elle ne connaissait pas le groupe, surement un nouveau! Voyant qu'elle ne réagissait pas et croyant qu'elle les narguait, l'un d'entre eeux voulu lui prendre son instrument.
...: Passe Halalia, moi je connais.
Halalia remercia Tom du regard et lui tendis la guitare. Celui-ci pris l'objet et s'assis à coté d'elle. Il observa la guitare un court instant et posa ses doigts sur le manche. Tom ne savait pas chanter, du moins il ne chantait pas. Il jouait tout simplement, de temps en temps il fermait les yeux comme-ci il pouvait voir les notes se dessiner dans le noir. Il grattait avec passion... Halalia le regardait avec admiration, elle se disait qu'il avait un véritable don. NON, qu'en fait il était né pour enchainer les notes, ronde, doubble croche, noir, blanche, s'armonisant sur les 5 lignes d'une portées, créer des partitions qui ferait chavirer les coeurs à en donner la nausée tellement qu'elles feraient tenguer l'équilibre de l'univers...
...: Mon vieux t'es un pro!
Un imbécile venait de briser le silence qui planait et permettait à l'ame de se délecté de la beauté dui resonnait dans les oreilles.
...: Merci.
Les jeunes donnèrent tous quelque chose et le montant du butin l'élévait à 20 euro et des poussières. Tom les donna à Halalia qui les rangea soigneusement.
Il reprirent la route cote à cote. On pouvait voir deux jeunes gens marcher,le soleil au dessus de leur tête. leplus grand portait une guitare sur le dos et le plus petit marchait en équilibre sur un file imaginaire. On pouvait voir l'ombre des leurs sacs se balancer sur la route, tantot de béton ou de terre. Des rires et des sourires s'échangeaient et se partageaient sans retenue. On pouvait voir deux jeunes qui ne savaient pas où ils allaient, mais qui marchaient droit devent, sans regarder en arrière. Sur les routes on pouvait voir Tom et Halalia. Le pritemps était là, mais il fesait encore un peu froid comme depuis deux jours. Halalia semblait le ressentir encore plus. Ils avaient trouvé un vieux chalet, ou une cabane de chasseur, pour s'abriter et ils y trouvèrent du bois sec pour faire du feu. Halalia se tenait les genoux contre la poitrine et avait posé sa tête sur ceux-ci. Elle ferait les yeux tentant de maitriser ses tremblement de plus en plus fort...
...:Halalia? ...: Tom...
Elle avait à peine ouvert les yeux et remué des lèvres qui étaient bleue et violette.
...: Halalia ça va? ...: J'ai juste très froid.
Tom n'était pas rassuré, il s'inquietait pour elle. I s'en approcha,se plaça derrière elle, la prit dans ses bras et la serra contre son torse. Elle ressenti une chaleur qui parcourait sa colonne vertébrale comme jamais, elle leva la tête et la tourna lègerement, tomba dans les yeux noiserttes de Tom dans lesquels se reflètait les flammes du feu dont la chaleur était bien faible comparé à celle de Tom. Il lui souriait faiblement. Un sourir paisible et rassurant. Elle se retourna et encercla son cou de ses bras.
... Merci.
Un merci sussuré à l'oreille, un merci qui vallait bien des trésor. Un merci qui venait du fond du croeur, un merci sincère, pure. Un merci tout simplement... Tom ouvrit son sweat et le referma sur Halalia et lui. Elle mit sa tête au creux de son cou et se blotti contre lui. Il passa ses main sur le dos de la jeune fille et il s'endormi avec le souffle d'Halalia séchouant sur sa peau.
Le soleil passait à travers les trous du cabanon, Halalia ouvrit doucement les yeux, elle sentiait quelque chose de chau, elle avait chaud. Pas une de ses chaleur étouffante, non, juste un chaleur qui l'entourait comme dans un cocon. Elle tourna légèrement la tête et vit tom endormi, la tête appuié contre la paroie de bois.Elle resta un moment à détailler son visage : des traits fins, un nez droit et parfait, une peau blanche et lisse, quelques points de beautée, deux sur le coup et un sur la joue droite,il est imberbe, des cils et surcils chatain tirant vers le blée, des lèvres roses, l'inferieur lègérement plus pulpeuse est mise en valeur par ce fameux piercing. Sa respiration était calme et égal. Elle reposa sa tête contre son torse et senti les mains du guitariste se resserrer contre sa taille.
...: Bonjour. ...: Bonjour.
Tom n'avait pas tardé à se reveiller.
...: ça va mieux?
Elle aquieça simplement. Aucun des deux ne bougea pendant un long moment, chacun regardant un point de l'espace assez cosi de leur abris de bois, écoutant la respiration et les batements du coeur de l'autre. C'est leur estomac qui les obligèrent à se détacher l'un de l'autre. Ils mangèrent een silence et reprire la route toujours sans dire un mot. Chacun pensait à l"évolution de leur relation. NON, ils n'étaient pas amants, ils n'étaient plus de simple connaissance et avaient dépassé le stade de la camaraderie... Ils étaitent amis... Amis? c'était bizarre, Tom n'a jamais eu d'amie fille. Amis?
Tom c'était reconcilié avec la musique, sa maitresse de toujours. Il était heureux de jouer à nouveau et s'en donnait à coeur joie. Maitenant il jouait avec Halalia qui chantait, c'était simple, un petit bonheur, une petite chose, une jolie chose... Il apprenait à prendre la vie comme elle vient, et les bons moments en particulier. Des petits moments qu'il ne voyait plus aveuglé par les flash et les projecteur sans cesse braqué sur lui et le groupe. C'était une révolution pour lui, il aimait la vie de boême, il se savait déja épicuriste mais là, il décourvrait réellement le sens de Carpe Diem puisqu'il ne savait jamais ce que lui reservait demain.
...: Joue moi quelque chose de vous, du nouvelle album.
Vous Tokio Hotel, son groupe, ce groupe qui lui manqueit même si il n'en parlait jamais. Gustav toujours en retrait, Georg qu'il adorait vaner et Bill, son sang, son doubble, son coeur, sa chaire, son autre... Son frère... Au fond de lui il sentait que Bill n'allait pas bien, en fait son état n'avait pas réellementévolué depuis son départ... Inconsciement il se mit à jouer Ich brech aus. Il en voulait à Bill de ne pas avoir voulue aller en cure, de l'avoir obligé à partitr... Loin... En fait il lui envoulait de ne pas se reprendre pour lui permettre de revenir.
...: Ce n'est pas drole! Tu ne chantes pas! ...: Je ne sais pas chanter, c'est le boulot de Bill. ...: Mais je ne demande pas à Tom Kaulitz simple guitariste... ...: C'est Tom Kaulitz qui fait parti de Tokio Hotel. ...: S'il te plait, chante. ...: Je ne sais pas! ...: Et comment veux-tu que j'apprenne chansons si je ne connais pas les paroles?
Elle avait raison, cela n'était pas encore arrivée, mais si il venait qu'on lui demande de chanter une chanson de Zimmer 483... Il changea de mélodie et se mit à jouer Reden pour ne pas qu'elle se rende compte du malqui le rongeait. Halalia écouta attentivement, Tom avait une voix rique et grave. Il ne chantait pas toujours juste, non par maladresse, mais parce qu'il avait peur, parce que lorsqu'on a peur on chute plus facilement. Et Tom avait peur que sa voix n'agace, et surtout l avait la tête ailleurs...
Elle savait pertinement à quoi il pesait quans ses yeux se perdaient dans le vide ,et que l'éclat qui les animait gaiement devenait mélancolique... Elle savait mais était impuissante. Il s'agissait d'une douleure contre laquelle, elle n'avait aucun remède...
Les soirées de juin se déroulèrent de la même manière: il jouait un morceau de Zimmer 483 et la soirée suivantes elle l'aprennait avec zêle, et ainsi de suite. Elle allait se blotir contre lui et ils rejoignaient les bras de Morphé. | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:10 | |
| Juillet, ils étaient en juillet, plus de 4 mois qu'ils étaient sur les routes. Ils avait déja parcouru plus de la moitié du chemin vers l'endorit ou le soleil disparait. Ils étaient toujours en pleine campagne et avaient décidé de suivre les petites routes. Celles border de champs de plus en plus colorés.
Eté, ça sentait l'été. C'était l'été. Le soleil apparaissaient tot et se couchait tard. Des senteurs de toute sorte se mélangeaient dans l'air. On voyait beaucoup de randonneur et des gens qui fesait du camping. Plus personne ne fesait attention à deux jeunes qui se baladaient cote à cote ou mains dans la mains...
...: Viens
Halalia entrainait Tom par le bras vers un champ de fleures rouge.
...: Regarde, des coquelicots!!! Et là des tournesols!!
En effet mitoyen due la tache rouge s'élevaient des soleils jounes sur tiges verte. Halalia alla en prendre deux et revint, le sourir fendant son visage, les yeux pétillants de malice. Elle tandis un tournesol à Tom et arracha une graine du coeus de la sienne, la fourra dans la bouche peu avant de recracher la coquille ensuite.
...: Des pipas, goute!
Tom s'executa et grimaça.
...: C'est dégueux! ...: Fais voir.
Il lui tendit la fleure.
...: Normal, celles las sont pourris pas de chance! ...: Passe une des tiennes. ...: Hum... NON! ...: Non? ...: Non!
Halalia lui tira la langue, agita sa fleure sous son nez pour le narguer et au moment où Tom essaya d'attraper le tournesol, Halalia le retira et se mit à courir...
Course poursuite dans un champ de coquelicots...
Du ciel on pouvait voir deux soleils dans un océan de sang se mouver sans direction...
Deux soleil, Tom poursuivant Halalia...
Et des rires qui brisait le silence...
...: Tu ne m'attraperas pas! ...: C'est ce qu'on va voir!
Une légère accélération de la pas du jeunes artistes et les voilà tout les deux écrlouler sur le sol...
...: Donne m'en! ...: Non! ...: Tu l'auras voulu! ...: Non arrête!
Tom chatouillait Halalia. Bataille de chatouille au milieu des fleurs. Halalia essayait de le chatouiller à son tour, mais elle était trop affaibli par les giligilis.
...: Alors? ...: Ok, Ok, je partage!
C'est ainsi que pris fin la bataille que Tom remporta haut la main. Halalia lui tendit une pipas qu'il ouvrit entre ses dents et puis d'autres encore. Elle se plaça entre les jambes du rockeur et ils se fixèrent dans le blanc des yeux longtemps... Pas besoin de plus... Nul besoin...
...: Apprend moi tes mots. ...: Daccourd.
Halalia se calla dans les bras de Tom.
...: Qu'est-ce que tu vois? ...: Des fleures. ...: Non, ferme les yeux.
Il s'executa.
...: Qu'est-ce que tu vois? ...: Rien. ...: Ok. Qu'est-ce que tu entends? ...: Ta voix. ...: Non... Ecoute.
Tom se tu et Halalia aussi.
...: Alors? ...: Le silence et le vent. ...: Bien.
Tom senti son T-shirt se soulever et le souffle dhalalia qui grimpait, le long de son torse, et une tête qui sorti de son col juste à coté de la sienne.
Océan de sang Soleil couchant
Souffle silencieux Caresse éphémère Goût insipide Sourire offert
Coeur inspiré rire leger Sans importance Un moment d'insoussiance
Sans importance Juste un renaissance Océan de sang Soleil couchant.
Les premier mots de Tom, la première fois qu'Halalia partage son univers. Un sourie s'est dessiné sur le visage de Tom, il était content, lui qui ne parlait que le language des notes avait été inicié à celui des mots...
C'est dans une tache bordeaux maintenant que les deux accolites ont passé la nuit, sous les étoiles et un croissant de lune. | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:13 | |
| Les jours passaient mais ne se ressemblait pas. Tom et Halalia étaient de plus en plus proche. Il marchaient cote à cote sur les chemin de campagne, des allées de verger, où, poussaient de nombreux arbres fruitiers, et n'hésitaient pas à y grimper pour et en cueillir les fruits: poires, pommes, prunes... Ils les mangeaient avec plaisir, lèchant le nectar qui coulaient le long de leur doigts. De vrai gosses.
...: Parle moi de lui.
Jusqu'à présent Halalia n'avait pas montrée beaucoup d'intérêt pour la vie de Tom. Tom n'avaient aucun doute sur l'identité de lui, lui c'était Bill.
...: C'est mon jumeaux. C'est la première fois que nous sommes séparés. Je suis parti parce que je ne supportais pas de nous voir sombrer tout les deux. Je lui est posé un ultimatum et il à choisi la drogue.... ...: Il était comment? Je veux dire av...
Elle avait utilisé l'imparfait, comme si il n'était plus...
...: Bill est un acharné du travail, un insatisfait de nature, comme moi. Il aime cultiver son look, comme moi. Il est sensible, un peu à fleur de peau. Il adore tomber amoureux, il cherche la perle rare, un romantique dans l'âme. Il est jaloux, même avec moi! Il encaisse beaucoup, depuis qu'on est célèbre c'est lui qui a enduré les pires rumeurs... Il aime rêver et se donne les moyens de les réaliser. Il aime la musique comme moi. Il adore parler, même si il est timide avec les filles. Il a un véritable don pour les mots, comme toi. C'est un perfectionniste, il ne supporte pas que les choses tourne mal...
Les yeux de Tom pétillaient, il aimait son frère et ça se voyait. Il l'aimait son frère car il en parlait au présent, comme si le Bill qu'il dont il parlait n'était pas celui qu'il avait quitté. Son Bill à lui s'était juste perdu... Tom était parti pour mieux revenir, plus fort, pour aider son frère à se relever comme Halalia l'avait fait pour lui. Même si il éspérait qu'il était redevenu lui même...
Halalia s'imaginait ce bill si bien décrit. Un portrait haut en couleur, un portrait avec des defaux et des qualité où s'équilibrait ombres et lumières. Un portrait réaliste, Un portrait de la moitié de Tom. De l'autre de Tom. Un portrait de Bill...
Il a parlé longtemps, une pallette d'émotions traversant ses yeux: de la joie à la peine, de l'euphorie à la tristesse. Une douce mélancolie pouvait se faire entendre dans la voix de Tom. Il n'oubliait rien et insitait sur les défaux, parce qu'au fond ce qu'on aime chez les gens ce sont leurs défaux, ceux qui nous font nous chamailler pour mieux se réconcilier. Parce que si il n'y avait pas ses imperfections on s'ennuyerai bien vite...
Elle l'écoutait attentivement s'imprégnant un peu de cet autre, ce Bill dont le fantom était omniprésent.
Ils étaient arrivés à la ville de Karlsuhre près de la frontière Française.
Mi-Août, on pouvait voir à la naissance et à la mort de l'astre de feu, un masse formé de deux corps au coin d'une rue. Tom et Halalia... Elle avait pris l'habitde de dormir cotre lui et des fois même contre sa peau...
L'anniversaire de to approchait et Halalia voulait lui offrir quelque chose. Elle chantait de tout son coeur et ses efforts n'étaient pas vains: ils leurs arrivaient souvant d'atteindre 20 euros. Elle ne savais pas réellement quoi lui offrir. Il pouvait tout avoir, si il le voulait...
Il y avait de nombreux artoste de rue et parmis eux, un dessinateur. Halalia pretexta une envie pressante pour s'éloigner de Tom et approcha l'artiste au papier. Elle lui demanda de dessiner son ami pendant qu'il partageait son don avec les passants. Il s'applica et le résulta n'en fut que plus beau. Elle lui donna 10 euro en echange du dessin.
Elle revint au bout d'une heure, avec l'exuse des toillettes bouchées. Mensonge. Mensonge nécéssaire. Tom la cru et la journée passa à un rythme qui laur étaient propre. Le lendemain Halalia insista pour qu'ils se rendent a centre commercial. Elle espérait qu'il n'y aurai personne.
Elle n'aimait pas la foule...
Tom entra dans les toilletes des garçon et se débarbouilla. Halalia en profita pour aller acherter un cadre, y glisser le précieux dessin et le faire emballer. En sortant du magasin, elle vit qu'un essaim c'était formé au centre du shopping, empêchant ainci à la jeune fille de voir de l'autre coté, où se trouvaient les WC.
Elle n'aimait pas la foule...
Ella avança d'unpas mal assuré vers la maase de gens pour tenter de la traverser. Elle regardait le sol, ou plutot ses baskettes, lorsqu'un enfant la bouscula. Elle vascilla, perdi l'équilibre et tomba au milieu de l'attroupemennt d'incconus. Tout les regards se tournèrent vers elle. Le père du gamin maladroit, lui tendit la mai afin de l'aider à se relever. Halalia resta immobile, elle ne pouvait faire un mouvement. Des larmes de detresse commencèrent à rouler sur ses joues.Elle avait peur, un peur panique. Un angoisse foudrayante qui la paralysait... Elle avait l'impression qu'elle allait vomir son coeur, qu'on lui tiraillait les entraille... C'était la première fois, elle ne comprenait pas... Elle se sentait mal et manquait d'air, elle suffoquait...
CRISE D'ANGOISSE.
La première... Elle avait l'impression de se noyer au milieu de cet armada humaine...
Des mains... Une chaleur qu'elle connaissait la souleva et la serra contre elle.
Tom...
Ne la voyant pas sortir des toillets il attendit 5 minutes avant de commencer à s'inquieter. Elle était toujours prête avant lui. Il décida alors de la chercher dans les alentours. Peut-être fesait-elle du lèche virtine? Il traversait la foule, lorqu'il la vie à terre. Des perles de nacres se perdaient dans son visage et mouraient écrasées au sol. Il se fraya un chemin dans les coprs aglutinée autour d'elle et la souleva, la porta sous le regard interrogateur des personnes présentes, et sorti avec elle du centre commercial.
Halalia se calma doucement et descendit des bras de Tom, qui la protait toujours. Confuse elle s'excusa et s'emmura dans le silence. Il voyait bien qu'elle était désorienté face ce qu'elle venait de vuvre, alors il respecta son mutisme et ne dit mot.
Le temps se rafraichissait un peu plus, Tom et Halalia profitait des préludes de la fin de l'été.
...: Joyeux anniversaire.
elle n'avait pas sourit comme les autres fois, c'était un surir un peu aible. Joyeux anniversaire. Comment pouvait on être joyeux un jour comme celui-ci. Tom respirait depuis 19 ans l'air de plus en plus polué de cette planète. 19 ans que pour la première fois ses cris avaient retenti sur la terre, suivis 10 minutes plus tard des pleures de son binome. Aujourd'hui il avait 19 ans et pour la première fois ce n'était pas Bill qui le lui souhaitait. La personne qui avait inventer cette formule était bien bête ou trop égoïste pour penser aux gens qui n'étaient pas heureurses le jours de la commémoration de leur naissance.
Halalia sorti un paquet pas très gros de son sac, ça ressemblait à un livre. Elle le tendit au jubilé. Silencieusement Tom le saissit et le débala, sans déchirer le papier cadeau comme il l'aurai fait en temps normal.
Un cadre bleu ciel protegeait un dessin de lui jouant de la guitare au fusin. Le dessinateur avait dessiner en bleu quelque ronde, croches, et clée de sol qui flottaient autour de lui, contrastant avec les traits noir et mettant en valeur Tom assis sur le trottoir. Il souri et leva les yeux vers Halalia qui le regardait tendrement.
...: Ce n'est pas...
Tom venait de poser sun index sur la bouche de la jeune fille afin de la faire taire.
...: Chhhuuu ... Merci.
Il la pris dans ses bras et l'étreint fort. Elle se perdait dans son coup et lui senivrait de son odeur. Tom avait les yeux fermés, il n'était pas triste, il n'était pas heureux. Hlalaia lui avait fait un des plus beau cadeau de sa vie. Un cadeau comme Bill lui en fesait en lui écrivant des chanson comme "In die Nacht" ... Un cadeau simple qui venait du fond du coeur, un cadeau qui le lassait sans voix, un cadeau pur tout simplement. | |
| | | a-j Hyperaktiv
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:15 | |
| Elle se défit de leur étreinte et lui carresa la joue avec le dos de la main, avant d'enlacer son bras gauche et de le mener à travers les rues qui s'étendaient dans l'infinie de leurs iris, avec pour seul différence la matière dans laquel elle setaient faite , et l'entrelassement de leur angles auxquels les deux jeunes bifurquaient sans arrêt.
...: Où on va? ...: Manger.
Effectivement Halalia entraina Tom jusqu'à une petite pizzeria trs discrète. Ils y pénétrèrent main dans la main.
...: Bonjourrrr, une tabl pourrr duuu perrsonnes? ...: Si ...: Ah parla italiano? ...: alcuni ...: Per favore mi segua.
Tom ne compris rien à part "si" qui voulait dire oui. Halalia parlait italien? Une fosi installé, le garçon d esalle pris leur commande. Ce fut une pizza spécial pour lui, Tom pouvait choisir les garnitures. Et un quatre fromage pour elle.
...: Je ne savais pas que tu parlais italien. ...: je comprends plus que je ne parles. ...: Tu as d'autre talent caché? ...: Ben, je parle anglais, français et je comprends le swahili. Mes parents parlaient 4 langues chacun. " les portes du monde" disaient-ils.
des questions sans réelles importance, sans profondeur, juste pour apprendre un peu plus. Ils avaient déja lu dans l'âme de chacun, restait à découvrir le reste car l'être humain ne se résume pas à un corps ou à une intelligence, il forme un tout, luttant à en faire une harmonie.
Tom appris que Halalia n'avait pas été à l'école, d'où sa proportion à ne pas trop aimé le monde. Elle avait terminé l'école deux ans plus tot, puisqu'elle avait commencé bien avant l'age prévu. Halalia appris qu'il avait commencé a jouer de la guitare vers 6 7 ans, qu'il vait été un élève moyen. Il se ventait d'avoir été la cause de la hausse des inscription aux cours d'Allemand en France!! Qu'il avait de légère tendance au narcissisme...
Ils quittèrent le restaurant comme ils y étaient entré, sans oublier de payer. Ils se promenèrent dans les rues et ruelles de bétons et dans un parc peu fréquenté. tom y joua de la guitare, juste pour le plaisir sous les yeux d'Halalia. Le soir tomba bien vite, recouvrant l'espace d'une sombre coulleur bleu, mauve. Les deux amis se réfugièrent sous une sorte de porche. Elle se faufila contre Tom comme chaque soir.
Parfois on a toutes les raisons de s'effondrer...
Sous un lampadaire clignotant ou sous le poids de nos erreurs. Ne pouvant plus supporteur les battements de nos coeurs.
Cherchant dans le mirroire notre reflet qui nous tourne le dos. A taton dans le noir s'aveuglant d'éclat éphémère.
Parfois plus rien ne nous reteint...
Seul nos pas raisonneent derrière nous et les souvenirs ne sont que des coups. Seul notre ombre nous domine, et nous fait courber l'échine.
Parfois on a toutes les raisons d'abondonner...
Et l'instinc nous retient, norte souffle refuse de s'arrêter et les étoiles de briller. Les étoiles de briller. Mes étoiles de briller... Pour la première fois Halalia s'endormi sur les mots d'un autre. Tom rejoignit le pays des rêves serrant Halalia contre lui. Ses étoiles...20 Septembre, brocante sur la place communale.
On était le 20 septembre et Tom et Halalia étaient sur la place communale.
Le froid se fesait de plus en plus présent. Les arbes perdaient déja leur feuilles et celles-ci tourbillonaient dans un arc-en-ciel d'automne. Préambule de la mort. Le soleil s'en allait bien plus tot et revenait bien bien plus tard.
Halalia avait déja une bonne doudoune sur le dos. Les nuits commençais serieusement à se rafraichir. Halalia se préocupait du froid, bientot ils ne pourraient plus jouer, ni dormir dans la rue. Elle s'inqutiétait vraiment car elle n'a jamais du affronter l'hiver, d'ailleurs elle se demandait si elle aurait survécu si elle n'avait pas rancontré le défunt épicier. Tom lui pensait à tout autre chose, l'anniversaire d'Halalia était plus que proche. 5 jours à peine. Il voulait lui offrir quelque chose à la hauteur. Il s'attardaient souvant devant les vitrines et regardait consciensieusement, éspérant trouver quelque chose.
Mais rien...
Il ne trouvait rien.
Il jouait dans la cohue de la brocante. Halalia avait admirée des boucles d'oeilles qu'une dame, la quarantaine bien entamée, vendait avec d'autre bijoux fantaisie et d'or quelque peut dépassés.
...: Regarde les étoiles. ...: 25 euros, mademoiselle, elle sont en argent! ...: Non, non... plaisir des yeux. ...: Dommage, je suis sûr qu'elles vous iraient bien!
Voilà! ses boucles là! Mais 25 euros! Tom ne guardait jamais l'argent, alors quel argument allaitil sortir à Halalia? Il attendi que son amie s'en aille acheter du pain pour négocier les boucles d'oreilles
...: s'il vous plait. ...: ce n'est pas l'armé du salut ici jeune homme!!!
Tom baissa la tête et s'apréta à partir lorsque la brocanteuse le retint.
...: Tu l'aimes?
L'aimer?
Il n'y avait jamais vraiment réfléchit...
L'aimer?
Biensur, elle n'avait pas précisé de quelle manière, alors il Hocha positivement.
...: Joue moi Laïla et elles sont à toi.
Sans hésiter, il accepta et se mit à jouer avec ferveur. Les dernières notes moururent écrasées pas les pieds battant les pavers.
...: tiens, et que ses yeux brillent autant que celle dans le ciel. ...: Merci. | |
| | | a-j Hyperaktiv
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:16 | |
| Les mains de Tom était moite et il ne pouvait s'empécher de tripoter quelque chose dans sa poche, tandis que de l'autre il tenait celle d'Halalia. Il marchait depuis longtemps, hier il avaient joué pour la dernières fois. Tom se stoppa d'un coup sec.
...: Tiens.
Il avait fini par sortir un minuscule paquet qu'Halalia pris. Elle ouvrit la petite boite et resta figé, fixant le contenu de la boite.
...: C'est pour ton... ton... ...: Anniversaire.
Des larmes qu'elle essayait de ravaler submergèrent bien vite ses yeux. les gouttes d'eau salées se serraient l'une contre l'autre dans ses yeux retardant leur chute. Sa vue était embué mais elle refusait de lacher des yeux les petitesétoiles qu'on venait de lui offrir.
...: Merci.
Elle se blottit contre Tom laissant couller ses larmes contre sa peau. Ele pleurait de joie. De joie. Tom lui en avait apporté de la koie depuis qu'il avait décidé dans cete église de la suivre vers nul par.
Son coeur battait la chamade chaque fois qu'elle respirait son odeur. Son parfum, le parfum de celui qui avait collé ses pas au siens, de celui qui la réchauffait la nuit. L'odeur de Tom qui sans le savoir avait été le premier à lui faire confiance depuis ses parents. Tom: des yeux qui l'apaisaient, des mains qui la rassurait et qui la fesait rêver à travers la musique. Un destin qui s'était liè à elle dans les ténèbres du déséspoire et qui marchait avec elle vers une lumière lointaine...
Le vent fesait dévier les larmes de la jeune fille et essayait de la faire frissonner, mais peut importe, à ce moment précis Halalia n'avait pas froid. Parce qu'il l'entourrai de ses bras, parce que son souffle brulait sa peau à elle, parce qu'il était avec elle, parce qu'il lui avait offert les étoiles, parcqu'elle était avec lui.
Tom.
Son Tom.
Ils s'étaient posé dans un coins d'un ville dont ils ignoraient le nom avec d'autre S.D.F. Non loin de Bonne avait dit Halalia. Ils étaient assis contre unmur, les autres avaient allumée un feu dans un vieux barille en fer.
Halalia se pressait contre Tom, il passa son bras autour de ses épaules poir l'envelopper. Ils étaient dans une citéé, contrairement au tour des quartiers commerciaux, les carraux des tours ici ne brillaient pas, et était cassés pas endroit. Il y avait un légère odeur noséabonde qui se dégageait des égouts bouchés. Tom observai les vissages des gens qui l'entouraient et la seule chose encore humaine qu'il voyait dans leurs yeux était la peine et la tristesse d'être transparent. Personne ne fesait attention à la misère qui régnait à coté de soit. Les gens baissait les yeux des qu'ils les croisaient. Comment pouvait-on être aussi indifférent? Il se demandait comment avait-il pu être aussi indifférent? Il se revoyait dans son lit deux place bien moeulleu, se moquant des autres, ceux qui n'ont plus rien. " Ils n'ont qu'à travaillé se disait-il. " Et comment travailler si toute les portes vous sont fermé et quand on vous regarde comme si vous n'étiez qu'un animal, une éspèce parasite à exterminé, mais protégé par les lois qui donnaient les même droit à tous. Les hommes sont tous égaux, les individus, NON.
...: Hey tu nous prête ta copine?
Deux hommes d'age moyen, sale et pieusement vétu se tenaient en face d'eux. Ils avaient fait sortir Tom de ses réfléxions sur la condition déplorable de l'être humain. L'un deux se baissa et tenta de saisir Halalia vers lui par le bras.
...: Lache la!
Tom se redressa et poussa l'homme violement.
...: Dégagez! ...: c'est bon, on a compris tu ne partages pas!
L'autre S.D.F aida son amis à se relever avant de s'éloigner. Tom se rassi.
...: Viens là.
Sans hésité Halalia s'assis entre les jambes de tom. Elle n'avait pas bougé et avait observé la scène. Tom l'avait défendu, il la protégeait. Décidément elle s'était attaché à lui et lui à elle, bien plus qu'elle ne le pensait.
...: ça va Halalia? ...: Lalia tom, tu peux m'appeler Lalia maintenant.
Lalia, cela fesait longtemps.
...: lalia c'est mignon c'est plus court.
Lalia, un surnom qu'elle avait soigneusment rangé dans un coin de son passé. Lalia, elle l'avait baricadé, Lalia elle voulait l'oublié, Lalia c'est comme ça que les gens qu'elle aimait l'appelaient. Lalia c'est comme ça qu'elle laissait les personnes qui l'aiamaient l'appeler. Et Aujourd'hui Tom pouvait l'appeler.
...: Lalia...
Il répétait se nouveau surnom comme pour en découvrir les moindre secret.
Halalia. Alalia. Lalia.
...:Bonsoir que puis-je faire pour vous? ...: Bonsoir, vous reste-t-il deux lits s'il vous plait?
Tom se tenait derriére Lalia, se demandant ce qu'ils fesaient dans un foyer pour sans abris...
C'était pourtant son idée de venir ici...
Ils n'avaient pas trouvé d'endroit assez chaud pour passer l'hiver. Tom craignait pour la santé de Lalia. Il lui avait alors demandé si elle ne connaissait pas un endroit. Elle avait questionner d'autre S.D.F et ceux si lui avaient parlé d'un abris. Elle avait longtemps hésité avant d'en parler à Tom si bien que un mois s'érait écoulé. Il avait tellemetn insisté qu'ils y étaient venu.
Que fesaient-ils dans un foyer pour sans abris?
...: Oui, pour vous et votre ami? ...: Oui.
Lalia avait commencé à tousser, elle dormait beaucoup et ne tenait plus longtemps dals le froid. Ils était fin novembre et la neige commençait déja à tomber. Alors il n'a pas céssé de la tpurmenté jusqu'à ce qu'elle céde.
Voilà ce qu'ils fesaient dans un foyer pour sans abris.
...: Les dortoires ne sont pas mixte.
Halalia regarda Tom furtivement, il ne semblait pas comprendre ce que cela signifiait: elle aurai à nouveau froid cette nuit.
...: Les repas sont à : 7h00 à 8h30 pour le petit déjeuner. 1200 à 12h30 pour le déjeuner le seul repas chaud de la journée. 18h00 à 18h30 pour le souper.
Les douches sont communes à chaque dortoires et le couvre feu est à 22h00. Bien évidement vous serez reçu par des assistants sociaux, pas avant deux semaines, car ils sont partis en vacances avant le coup de feu des fêtes.
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:17 | |
| Les deux amis patientaire quelques minutes qu'un éducateur assez baraqué, prénomé Yan, vienne les chercher. Ils furent vite séparé et se retrpuvèrent aussi vite pour le soupé. Ils s'assirent enssamble à un bout de table, aucun deux ne parlaient. un silence lourd planait entre les deux jeuns gens.
...: Salut, moi c'est Isabelle.
Une ravissante jeune fille, élancé au visage de poupée vint mettre fin au silence.
...: Salut. ...: Salut.
Ils ne levèrent même pas la tête sur elle, ce qui l'agaça.
...: Ho, les deux amoureux! On est tous dans le même galère. C'est pas parce que vous pourrez pas baiser ce soir qu'il faut faire la gueule à tout le monde!
Tom redressa la tête d'un coup et posa ses yeux sur la fameuse Isabelle, qu'il trouva jolie. Elle était blonde avec de grands yeux verts, blanche, et les traits fins, des lèvres fines d'un rose trés pales, et elle lui souriait de touts ses dents.
... Ce n'est pas mon copain, dit Halalia d'une voix presque colèreuse.
Elle boudait, Tom l'avait obligé, elle aurai préféré la rue.
...: vraiment, frère et soeur alors? ...: Même pas, lui c'est Thomas, moi ça n'a pas d'importance, ajoutat-elle.
Avant de quitter la table en laissant glisser sa chaise, provoquant ainsi un bruit déplaisant pour les oreilles, comme une gamine trop gaté qui n'avait pas eu son gateau au chocolat.
...: T'as quel age? ...: 19 ans ...: J'en ai 17 mais on me donne toujours plus.
Tom ne lui avait rien demandé même si il était vrai qu'elle fesait plus que son age.
...: Tu viens d'où? ...: De l'est. ...: Cool!
Tom ne voyait pas très bien en quoi venir de l'autre cotè de l'Allemagne était cool.
Elle s'était assise à coté de lui à une distance très, très proche.
...: Tu me rappels quelqu'un mais je n'arrives pas à savoir qui? ...: On me le dit souvant.
Tom baissa instinctivement le visage, elle l'avait peut-être reconnu?
...: Tom, je peux t'appeler Tom?
Elle avait pose la main sur sa cuissse et battait des cils stupidement.
...: Euh... non je préfères Thomas. ...: Ok va pour Thomas.
Isabelle passait frénétiquement sa main dans les cheveux, dévoilant ainsi la peau de son cou. Le message était explicite. Tom ne c'était pas soulager depuis longtemps. C'est assez cru de le dire ainsi, mais il avait des désir à assouvir, c'était un homme, une Rockstar précisement, pas un moine.
...: Isabelle vient s'il te plait!
L'homme qui l'avait appelé était Yan, l'adolescente se leva et promis à Tom de revenir vite.
Halalia marchait dans la cours pour évacuer cette tension qui la rendait folle. La neige avait fondu laissant d'immenses flaques sur le sol. Le vent s'amusait à faire plier le seul arbre présent et qui ne ressemblait plus vraiment à c'est congènères qui, même, l'hiver restaient imposant. Elle fit trois fois le tours du petit carré qui ne devait pas être plus grand qu'une cellule de prison et décida de rentrer. Elle pénétra dans les couloir gris et s'avança vers le salon.
...: Dans la buanderie vite.
Halalia apperçu yan entrainer la fameuse Isabelle dans une pièce, la buanderie certainement. Ils ne l'avaient pas vu. Quelques minutes de silence s'écoulèrent, avant qu'elle n'entende des gémissements explicites sur ce qu'il se passait à l'interieur. Elle fut quelque peut géné d'avoir surpris un moment d'intimité et décida de retourné dans la salle commune, où elle vit Tom affalé sur un des nombreux fauteuilles devant la télé.
...: Fini de bouder? ...: Oui.
Tom ne l'avait pas regardé, préférant les absurdité de la télévision à son amie. Ce n'est que lorsqu' Isabelle revint une bonne heure, plus tard, qu'il lacha l'écran des yeux.
...: Bon j'en ai finis avec Yan. Tu veux que je te fasse visiter?
Tom connaisait l'endroit, ce n'était pas très grand. Mais il accepta car la voix qu'elle mielieuse et sensuel, qu'elle avait employé avait réveillé ses instincts masculins. Il se leva et emboita la pas d'Isabelle qui s'éloignait déja avant de se retourner...
...: Euh... Lal ...: NON.
Il parti sans delander son reste =, la fureur c'était installé dans le coeur de la jeune fille. A 22h00 elle alla se coucher sans se soucier de Tom. Isabelle entra dans le dortoire des filles et se dirigea vers elle.
...: Sympas Thomas, j'étais sur que vous étiez ensemble. ...: non.
Elle s'allongea dans le lit, rabattit les couvertures qui ne lui serviraient pas au dessus d'elle, et fit semblant de dormir, recroquevillé sur elle même pour que les autres ne voient pas ses tremblements.
Tom s'endormi sans Halalia, se demandant si elle n'avait pas froid. Ses pensées s'égarèrent bien vite vers Isabelle et s'est avec les images de la jeunes fille, secouant ses cheveux, riant à ses fintes pourris et prononçant son prénom d'emprunt avec un éclat pervers dans les yeux, qu'il rejoinds les bras de la déesse du sommeil. | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:19 | |
| ...: Bonjour. ...: ... ...: Je vois que tu n'es pas dsiposée à me parler.
Halalia leva la tête de son bole de chocolat chaud.Laissant découvrir son visage creusé par la fatigute.
...: Tu n'as pas pas dormi?
Elle hocha négativement la tête, laissant Tom s'en vouloir pour les cernes qui trounaient sous ses yeux.
...: Hey Salut!
Isabelle venait d'apparaitre, toute souriante et fit la bise à Tom.
...: Dis donc tu es malade toi?
Halalia répéta son hochement négatif.
...: En tout cas tu as tremblé toute la nuit!
Pout toute réponse Halalia disparue, laissant son bol encore fumant et un Tom remplis de remords...
Ils discutait avec Isabelle, qui était de plus en plus claire dans ses gestes et dans ses paroles, vis à vis de Tom, qui jouait le jeu. Peu après le déjeuner, vers 14H00, elle l'entraina dans la buanderie où leurs mains se mirent à se chercher et ou les caresses ne cessaient. Elle l'avait embrassé en première, sussotant sa lèvre inferieur et jouant avec l'anneau de Thomas*. Les mains de Tom se sont vite accrochées à la taille de la jeune filles, avant de descendre et de saisir fermemant ses fesses. La bouche de la se perdit dans le coup du guitariste et celui-ci émit un rale de plaisir.
...: vient...
Elle l'attira vers un tas de linges éparpillé sur le sol avant de l'y faire assoirer et de rirer son pull. Elle lui lassait alors découvrir sa poitrine ferme emprisoné dans un soutient gris sale. Mais qu'importait la blancheure des sous-vêtements, il voulait seulement son corps. Alors il se pencha et se mit à l'embrasser dans le coup, pendant que ses maisn s'affairaient à dégraffer le vulgaure soutient gorge. Le désir montait vite et le T-shirt du garçon se retrouva bien vite au milieu des autres vêtements. Elle s'apprêtait à lui ouvrir le pantalon pour libérer son sex déja gonflé.
... : Arrête. ...: Quoi?
Tom venait de mettre fin à leurs ébats et remettait son T-shirt.
...: Désolé je ne peux pas.
Il s'en alla sur ces mots, fermant la porte sur la pin-up toujurs sur sa faim. Et reparti à la recherche d'Halalia
Tom trouva Halalia assise sur une chaise près de la baie vitrée qui donnait sur la cours.
...: ça te vas bien.
Elle s'était faite des tresse africaines sur le devant du crane, formant ainsi un sorte de diadème.
...: Merci.
Il hésita, puis, il s'approcha d'elle, la souleva et la mit sur ses genoux. Lui, c'était assis sur la chaise où elle se trouvait. Donc Halalia se retrouvait sur les genoux de Tom.
...: Je ne suis plus faché. ...: Je sais, pardon.
Ils sont resté assis là jusqu'au souper, parlant de tout sauf d'Isabelle. Quand le moment de manger arriva, ils s'instalèrent en appartée.
...: Pétasse!
Isabelle venait de lancer cette injure à l'encontre d'Halalia. Ses yeux lui lançaient des éclaires.
...: Toi et ton mec, vous vous êtes bien foutu de ma gueule!
Halalia rétorqua avec con plus beau sourire.
...: Ce n'est pas mon mec. Si il l'était, on ne se cacherai pas, et je n'aurai pas besoin de me cacher dans la buanderie pourme faire sauter.
Tom rougie un peu croyant qu'elle parlait de lui et d'Isabelle.
...: Vous allez me le payer!
Halalia rit et mangea de bon coeur avec un tom un peu gêné.
...: Tu sais pour la buanderie? ...: Oui.
Tom rougie à nouveau et cette fois-ci elle le remarqua.
...: Elle était avec Yan, je n'ai rien vu mais j'ai entendu. ...: Ah.
Sans savoir pourquoi le fait qu'elle ne parlaient pas d'eux le rassurait.
...: J'ai été avec elle dans la buanderie.
Halalia le fixa un moment avant de terminer sa tartine.
...: On a rien fait.
Il sentait le besoin de se justifie. Il n'en était pas obligé, mais il en ressentait le besoin.
...: Elle est jolie, tu aurai du. ...:....
Il ne voulait plus en parler et changea de sujet en demandant à Halalia comment elle avait fait ses tresses toute seule.
Il était temps d'aller se coucher. Les deux amis se séparèrent. Halalia alla se coucher et se recroquevilla sur elle même pour controlé la tempètes de son corps. Tom de son coté s'allongea mais ne s'endormi pas, l'image d'Halalia tremblante comme de ce chalet lui revenait sans cesse. Il fit s'emblant de dormir, attendant que les autres pensionnères du foyer dorment, pour se lever et quitter le dorttoire des hommes sur la pointe des pieds. Celui des filles était de l'autre coté du couloir, qui paraissait encore plus gris en pleine nuit. Il longea le corridore et s'introduit sans bruit dans le dorttoire des filles. Il n'eu pas de peine à trouver le lit de son amie. Elle tremblait tellement qu'il lui suffisait de suivre le claquements de ses dents et des draps, qui bougeaient sous les secousse de son corps. Avecd délicatesse il souleva les draps du lit et se glissa à l'interieur, collant son corps au dos de la jeune fille.
...: Tom? ...: chuuuu...
Halalia abandonna sa position foetal et enlaça ses bras autour de Tom. Celui-ci l'embrassa sur le frond et la pressa contre lui. Elle n'eu pas froid cette nuit là, et lui dormi comme un bébé. | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:26 | |
| ...: HAAAAAAAAAAA!
Un cris digne des plus grand filme d'horreur réveilla les deux jeunes blotti l'un contre l'autre, et tout le monde, garçon et fille confondu.
...: Que ce passet-il?
Yan venait de faire irruption dans la chambre des filles.
...: IL A DORMI ICI!
Isabelle pointait du doigt le lit en face d'elle, où se trouvait Halalia et Tom. Yan se dirigea vers le lit en question et attrapa tom par le col.
...: Vous avez enfreind le rêglements! C'est l'exclusion. Toi prépare tes affaires! dit-il à l'addresse d'Halalia, tandis qu'il fermait la porte toujours avec Tom prisonnier.
Halalia fit son sac et Tom le sien, ils se retrouvfèrent devant les portes de l'établissement.
...: Je cous avait dir que je me vengerai, dit Isabelle, avant de s'éloigner vers la salle commune.
Tom eu une envie irrépressible de la tuer, de l'éttriper, de désarticuler chacun de ses muscles, de faire de la chaire à paté avec cette chaire mainte fois souillé. Il avait des envie de meurtre...
...: viens.
Halalia l'entraina dehors. Le froid lui mortdit la peau, il serra les dents pour ne pas hurler. Halalia marchait à coté de lui sans dire un mot.
...: Désolé. ...: De quoi? ...: Si je n'étais pas venu, on serai au chaud. ...: Si tun'étais pas venu, j'aurai toujours froid.
En disant cela, elle enlaça la main du guitariste et posa sa tête sur son épaule. c'est ainsi qu'il marchèrent dans la neige qui recroivait tout sur son passage. Un épaix menteau blanc, magnifique, dans lequel se cachait une mort certaines, si ils ne trouvaient pas d'endroit où s'abrtiter. C'est dans une carcasse de voiture abondonnée qu'ils décidèrent de passer la nuit. Quatre jours se succédèrent, Tom et Halalia se serraient dans la voiture délabrée, un Volkswagen noire, aux sièges défoncés et à l'odeur de pisse. Le pire endroit qu'ils avaient connu. La toux d'Halalia s'agravait mais elle fesait comme si tout allait bien, et s'éloignait des qu'elle était prise d'une quinte trop violente.
...: Viens. ...: Où? ...: Chercher un endroit plus chaud.
Halalia prit la main de Tom, échangeant ainsi sa place de guide. Ils marchaient depuis longtemps mais n'avançaient pas. Le froid c'était enlacé à leurs jambes comme un poids les empêchant d'aller plus vite. Tom ne sentait plus ses pieds et se demandait dans quel état pouvait être eux de sa Lalia, qui ne portait que des vieilles converses en tissus. L'eau devait Très facilement s'y infiltrer. Il voulu la porter, mais elle avait répliqué:
...: Moi ça va!
Mensonge.
Parceque la main d'Halalia devenait moite, qu'elle avait ouvert sa veste et défait son écharpe, laissant le vent la pénétrer.
Mensonge.
Parce qui bien vite elle senti des bouffés de chaleur l'étouffer. Qu'elle a laché la main de Tom.
Mensonge.
Parce qu'elle enleva sa veste et s'agenouilla dans la neige, laissant des larmes et des gémissemants s'échapper d'elle, se tordant de douleur et brulant de l'interieur.
...: Tom j'ai chaud.
Elle sétait mise à se rouler dans les flocons ammasés à terre. Le musiscien l'immobilisa et la prit dans ses bras. Les yeux d'Halalia devinrent blanc et elle perdi connaissance.
...: LALIA!
Elle était fiévreuse et transpirait énormément. Tom la porta à travers les rues qui lui était inconnues. | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:27 | |
| ...: AIDEZ MOI!! Je vous en suplie...
Voila ce qui cria Tom lorsqu'il entra dans les urgences de l'Hopital central de Cologne. Uen équipre de deux infirmiers et d'un docteur prirent Halalia en charge et l'emenèrent dans une unité, interdite aux gens qui n'étaient pas menbres du personel soignant.
... Monsieur c'est vous qui êtes avec la jeunne fille au cheveux noirs?
3 HEURES Il avait attendu trois heures pour qu'on vienne lui demander si c'était lui qui l'accompagnait. 3 HEURES Il venait de passer 3 heures à poiroter comme un débile au milieu de la salle d'attente, toissé par la récépsionniste, ignoré des médecins. 3 HEURES Pendant lesquelles, il s'étaient torturé à voir le sourir d'Halalia, hors que sa denrnière image d'elle était remplit de larmes. 3 HEURES Pendant lesquelles, il se demandait si elle n'était pas morte, si il ne l'avait pas rangé dans un couloire la laissant crever. 3 HEURES Pendandt lesquelles, il se demandait si il avait bien profiter d'elle, à analyser tout ce qu'elle lui avait apporté, à compter les étoiles qui s'étaient échouer dans ses yeux qui s'étaient fermé dans ses bras à lui. 3 Heures. Durant lesquelles il refesait un monde où elle n'aurai jamais eu froid, 3 heures pour entendre ça!
...: Oui comment va-t-elle?
Le médecin, c'était marqué sur son badge, ne répondit pas à sa question.
...: Nous aurions besoin d'information conplémentaire. ...: ça ne répond pas à ma question!
Tom s'était énervé d'un coup, il était fatigué et n'avait pas attendu 3 HEURES pour qu'on ne réponde pas à ses questions. Il voulait savoir comment elle allait et tout de suite!
...: Calmez vous jeunne homme. Je ne penses pas que votre condition vous permette de faire des vagues.
Sa condition?
...: Le devoir et le sermon d'Hypocrate exige que nous soignons votre amie, soeur, fiancée, ou que ne sais-je encore, mais il ne nous oblige en aucun cas de vous tolérer dans cet hopitale.
Tom resta statufié devant ce que venait de lui dire le médecin.
Sa condition? Quelle condition? Celle de sans abris?
...:Quel age a-t-elle? ...: 18 ans. ...: Son nom? ...: Halalia ...: Halalia comment? ...: Ster. ...: Des antécédents médicaux? ...: Je ne sais pas. Je peux la voir? ...: Non pas pour l'instant, dans 1 heure, peut-être plus...
Le docteur s'en alla, laissant Tom ahuri par cette attitude méprisante et ses aires supérieurs qu'avait prit le médecin en l'interrogeant. Votre condition, sa condition...
Tom pris son sac et entra dans les toilletes pour homme.
La condition de quelqu'un n'a pas d'importance en sois, seul la personne compte. En quoi le niveau social prédéfinit l'intelligence ou les qualtité d'un homme? Selon quelles critères jugeait-on la condition d'une personne assez bonne pour la considéré comme son égale?
Baskettes Aire force Nike noires et blanches, Baggy, T-shirt XXL ecko avec des tags, bandana noir avec une casquettes NY noire et blanche, dreaudslocks soigneusement attaché en un queue retombant sur les épaules, carte d'identité en main.
Si pour que l'on préte attention à lui, il lui suffisait de tricher sur lz condition, l'homme était alors le plus grand menteur du monde. Parce qu'une condition change du jour au lendemain, d'un instant à l'autre, tandis que l'Homme, lui, se construit avec le temps. | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:31 | |
| ...: Bonjour, je m'appels TomKaulitz et je voudrais passer un coup de file.
La récaptionniste, qui n'avait pas dégné répondre aux questions de Thomas Shöne, resta bouche baie lorsque Tom se présenta à elle, plantant ses yeux dans les siens et demandant le combinait qu'il fini par saisir lui même ne voyant pas de réaction de la femme. Il pris le téléphone et composa un numéro...
...: Hallo ...:... ...: C'est moi, je suis à l'hopitale centrale de cologne, viens.
Losrque le médecin revint, il fut surpris de voir Tom, en fait il ne l'avait pas reconnu.
...: Docteur, je peux la voir maintenant? ...: Pardon? ...: Est-ce que je peux voir Halalia? ...: Mais Monsieur qui êtes vous? ...: Tom Kaulitz, son ami, son frére, son fiancé peu importe ma CODITION, ça fait plus de deux heures que j'attends et je voudrais la voir, et maintenant.
Il avait dit cela très calmement, un peu trop calmement.
...: Euh... Biensur, chambre 780 au 2e étage à droite.
Tom se dirigeait vers lassenceur et s'apprettai à y entrer.
...: TOM!!!
Il s'arrêta en entendant cette voix, une voix qui ne l'avait jamais quité, une voix dont il connaissait les moindres sonorités, une voix qui portait sa musique. Sa voix.
...: Occupe toi de l'acceuille, elle s'appel Halalia Ster, chambre 780. C'est mon amie, ma soeur ou ma fiancé comme tu veux.
Il ne s'était pas retourné, il craignait de neplus pouvoir monter la voir. Il avait peur de perdre ses moyens en voyant ce qu'il était devenu, peur de constater qu'il n'avait pas changé, au contraire il avait continuer à sombrer.
Chambre 780
Tom poussa la porte en retenant sa respiration, empêchant son souffle de s'échapper de ses poumons, le coeur s’emballant, les pieds près à le trahir et une impression de perdre son équilibre. Lorsque ses yeux se posèrent sur le lit au centre de la pièce et qu'il aperçu son visage qui dépassait des draps, la terre redevint stable et cette impression de vaciller disparu. Elle était là, les yeux clos, elle dormait. Sa respiration était lente, une perfusion d'eau et d'un liquide jaunâtre, relié par des tuyaux en plastiques transparents, lui entraient dans le bras gauche. Elle avait un masque d'oxygène qui faisait résonné chacune de ses inspirations et expirations plus fort que d'accoutumé. Ses cheveux contrastaient avec le blanc des draps et des murs. C'est en la voyant ainsi qu'il se rendit compte de l'ambiance macabre typique des hôpitaux, et de cette nauséabonde de naphtaline qui agressait ses narines. Une odeur de mort...
Il s'approcha d'un pas mal assuré du lit et s'assit sur un tabouret, placé à la droite du lit. Les SDF n'ont pas droit à des chaises?
...: Lalia réveille toi...
Il effleura son bras et sa main redevenue froide. Ses paupières s'agitèrent, avant de laisser découvrir des gouffres étoilés.
...: Tom Kaulitz.
Elle retira le masque qui la gênait et émit un léger sourire. Tom était redevenu Tom Kaulitz, il avait changé ses vêtements de rue contre celle de vie, sa vie.
...: Tu m'a fait peur ma Lalia. ...: Moi aussi.
Elle toussota un peu et souri à nouveau.
...: Approche.
Elle le fit s'approcher de manière a pouvoir caresser son visage. Elle passa ses mains sur le contour de la casquette, joua avec ses dreadlocks, avant de redessiner son visage: son nez, sa bouche, ses yeux...
Ses yeux dans lesquels elle se plongea à nouveau...
Ses yeux là...
Les yeux de Tom.
...:Mon Tom...
Il s'approcha encore un peu plus et posa ses lèvres sur le front de la jeune fille. Lalia passa ses mains autour du cou de celui-ci. Ils restèrent ainsi longtemps. Une éternité en fait, car le monde autour d'eux n'avait pas d'importance. Ils étaient dans une bulle, leur bulle...
Il était entré sans frapper, chambre 780. Il le vit presque allongé sur le lit où devait se trouver, Halalia. Il resta un moment à les regarder se murmurer des choses qu'il n'entendais pas et parler avec les yeux.
On lui avait dit que cette Halalia Ster avait eu une fièvre foudroyante, et que si Tom ne l'avait pas emmené à l'hopital elle serait s'endoute morte. La fille de l'acceuille lui avait dit qu'elle n'avait dabord pas reconu son frère car il était habillé comme un sans abris, et que ses dreadlocks étaient cachées par un bonet et une capuche. Elle l'avait pris pour un vagabond quelconque, mais lorsqu'il était sorti des toillettes vetu de ses vêtement "NORMAUX", elle avait cru à une allucination. Tom Kaulitz, porté disparu depuis bientot un an, se teanait devant elle et lui demandait si il pouvait téléphoner. " Dingue, non?" lui avait-elle dit.
DINGUE??? Ce qui était dingue c'est le coup de fil qu'ilavait reçu à 10h14, hors qu'il venait de se coucher d'une soirrée bien arrosé.
...: Hallo
Il avait directement reconu cette voix grave.
...: Tom? ...: C'est moi je sui à l'hopital central de Cologne, viens. ...: Mais, att...
Avant qu'il n'eu le temps de finir sa phrase, le bip incéssant de son portable résonnait dans ses oreilles.
Cologne??? Mais que fesait-il à l'autre bout du pays? Dans un Hopital en plus! Il s'empressa de s'habiller et de se rendre à l'aéroport, pour prendre le premier avion vers pour Cologne. Un heure trente pour arriver et 20 minutes de taxi, il se précipita dans les urgences et chercha une silouhette familière. Il était sur le point d'entrer dans l'ascensseur quand il l'interpella.
...: Tom!
Sans même se retourner, il lui avait ordonné de se rendre à l'acceuille et de s'occuper de la paperasse, concernant une certaine Halalia Ster De la chabmbre 780.
Cette fameuse chambre où il se tennait, raide comme un piquet, observant un couple dans un univers parralèe. Ils ne bougèrent pas avant que celui-ci n'interrompe leur étreinte.
...: Hum, hum... ...: Bill, je te présente Halalia, ma Lalia.
La voix de Tom était douce et tendre, comme losrqu'il rassurait Bill, aprés que celui-ci ait fait un cauchemar quand ils étaient petit. Tom n'avait pas daihné le regarder. Apres quelque enjambées, il se retrouva face à elle. Halalia Ster. Sa Lalia comme il l'avait appelé plutot. Elle, celle qui lui avait enlevé son frére, celle qui l'avait privé de lui, lui fesant connaitre les feux de la géhenne.
Halalia Ster. Sa Lalia. Elle.
Bill avait multiplié les passages télévisé, les interview. Gerog et Gustav étaient revenus et ont pris la fuite deux mois plus tard envoyant Bill s'ensevelir dans la décadence. Tout avait commencé avec Tom à cause d'Amy. Et maiantenant Tom n'était plus là, et Amy... | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:35 | |
| Amy...
Elle l'avait appelé pour savoir comment il allait, elle avait même proposé qu'il se revoient, si il le désirai...
Biensur Bill le désirai, il la désirai elle...
Alors ils se sont revu à l'angle d'une rue, en face du café où il s'étaient rencontrés quelque mois plutot. Ils avaient parlé longtemps, de tout et de rien, sauf de leur histoir, comme si l'époque où ils étaient amants n'avait été qu'un mirage auquel Bill c'était accroché. Ils ont parlé et se sont séparé avec la promesse de se revoir plus tard.
Amy avait remarqué les cernes de Bill, sont teint tout gris et ce tic étrange de reniffler tout le temps. Elle s'était juste dit que c'était l'abscence de Tom qui lui détruisait la santé. La pauvre fille se trouvait bien loin de la vérité.
Georg et Gustav étaient revenu, Bill semblait au bord du gouffre. Bill se souvenait de visions étranges dans la nuit, mais celles-ci s'étaient évanouies avec le temps...
Les deux compéres s'étaient réunis pour soutenir leurs amis, même si, celui-ci n'était plus que l'ombre de lui même...
Il n'était plus lui même du tout.
Les jours défilaient et pas un signe de Tom. Rien.
Bill avait engagé des detective privé, il ne dormait plus et ne prennait plus seulement de la cocaïne. Pour se maintenir éveillé et alerte, il prennait des pillules de tout les couleurs, de l'extasi à celles qui portent des noms où se mélangent letrres et numéros. Il avait meêm pris de celle que l'on donne au cheveaux.
Amy et lui passai beaucoup de temps enssenble et un jour, il s'était réveillé avec elle, nu. Il ne se rappelait plus ce qu'il s'était passé la veille, mais la fatigue de ses muscles lui laissait penser qu'ils n'avaient fait qu'un. Elle s'était réveillé sourire au lèvre. Comblée. Apparement ce qu'il avait pris n'exitait pas que son esprit.
...: Bonjour mon amour.
Mon amour? Elle l'avait appelé mon amour! Comme avant qu'elle ne décide de mettre fin à leur histoire, sous pretexte qu'elle n'arrivait pas à gérer son succès et la pression.
Il ne lui répondit pas et l'enlaça. Elle avait les yeux qui brillaient
Mon amour? Mais lui ne se rappelait pas ces mots, il ne lees pronnoncerai pas, plus pour elle...
Il en aiamait une autre, celle qui transformait les larmes qu'il avait versé pour elle en rires. Il aimait celle qui lui fesait toucher les étoiles, celle qui dilatait ses pupilles et éclatait son monde de lumière. Il aimait celle qui le rendait si performant, celle qui feaist battre son coeur jusqu'à la déraison. Bill aimait celle à qui il s'était soumise, celle qui le bousillait en le leurrant de monts et merveilles désanchantés. Lui, il l'aimait elle. Il aimait la drogue.
Amy, elle, ignorait tout de la poudreuse, les bonbon acidulés. elle ne fesait pas attention à ses pupilles explosé, son nez qui reniflait, et à la trainée de poudre qui restait quelque fois sous son nez. De la farine, du fond de teint, du platre toutes les excuses étaient bonnes. et elle était totalement séduite, par ce Bill qui se montrait si fort. Ce Bill qui avait reconquérit son coeur. L'oeil toujours à la recherche de quelque chose d'indéfinie et cette failure, cette pièce manquante du puzzle introuvable qu'était Tom, qui fesait ce contraste si attirant entre force et faiblesse.
...: Bande d'incapable!
Une injure de plus. Les mots qui seraient de trop. Bill était carpicieux, arogant, méprisant, hautaint, égoïste, moqueur, infame, hypocrite,menteur,... Les mots qui sortaient de sa bouche étaient odieux, et le venin qu'il crachait était le plus souvant adresser à Georg et Gustav.
L'été pointait le bout de son nez, rappelant à Bill les traditionnels vacances avec tom. Le batteur et le basiste étaient ses amis et avaient supporté son comportement jusque là. Dans les yeux noisettes de gustav et l'océan d'emmeraude de Georg, lui rappelait l'époque où tout allait bien, les débuts avec devilish, la transformation en Tokio Hotel, la montée du succès, puis les mauvais momments, le commencement de la folie, les temprêtes de langues de vipères et la chute...
Cette première fois où, il s'était perdu dans le bonheur factice. Ce bonheur feint comme toujours, sauf qu'aujourd'hui, il recherchait cette impression qu'il avait ressenti la première fois...
Parce que ce qui le fesait s'enfoncer, c'était cette recherche perpétuelle de cette sensation de flottement, cette perte de la réalité désabusée, qui ne durait jamais assez longtemps, qui n'était jamais la même, jamais aussi intense que cette première fois. Alors, il continuait à gravir ou descendre les marche de l'addiction. Cherchant toujours plus, qui était toujours moins.
Georg et gustav sont partis une nuit, quand Bill se perdait dans les reins d'Amy. Ils sont partis et Bill, leur Bill n'était toujours oas réaparru.
Fin Août et Tom n'était toujours pas réapparru. Amy commençait qu'il était mort, mais Bill lui disait qu'il sentait que le coeur de son autre battai encore. Il ne savait pas où, mais Tom étai en vie.
...: Bill? ...: ... ...: Tu... ...:... ...: te... ...: drogue. T'en veux?
Elle l'avait trouvé dans la salle de bain, s'enfilant elle ne sait pas combien de gramme de poison. Il lui en avait proposé. Amy senti ses jambes ceder et son bassin toucha le sol, des larmes deferlant le long de ses jous.
...: Depuis quand? ...: Depuis toi.
Depuis toi. Depuis elle. Quelque part elle avait été la cause de tout et de rien à la fois. les images du Bill qu'elle avait connu avant la disparution de Tom, et celle d'après, se confrontaient da,s son esprit. Elle avait été séduite par un Bill fragil, à la voix puissante et mélancolique. Cet être unique différent des autres. Une sensibilité presque féminine qui la rassurait, mais qu'elle n'avait pas réussi à aimer. Elle avait été séduite et tout c'était arrêté au stade de la séduction. Elle l'avait quitté, lui balançant de fausses excuses, et c'est bien ça qui avait blaissé Bill. Elle lui avait menti. Puis, le Bill qu'elle avait revu aprés l'évènement, plus dur, p)lus décontracté, plus fort...
Son coeur battait au ralenti et les larmes ne cessaient de couler.
Bill, ce Bill n'était qu'un faux, un démon qui avait son apparence, une afreuse illusion, un leurre,une imposture, un cauchemard réel, une abomination, un faux. Et ce Bill, c'est elle qui l'avait crée.
...: Mais je t'aime. ...: Pas moi.
Non, Bill ne l'aimait pas, plus, qu'elle importance puisqu'il ne ressentait rien. Il était vide. Son âme était malade et la moisissure commençait à ronger son coeur. Il ne ressentait rien car il n'était plus rien. L'éssence même de son être s'était fait la malle avec Tom.
Bill continua à sniffer sa poussière d'étoile et lorsqu'il releva la tête, il vit Amy sur le sol, se vidant de toute l'eau de son corps.
...: C'est fini, vas-t'en.
Bill venait de mettre fin à une relation contingente et replongea le nez dans la poudre.
Amy s'en alla et ne revint plus jamais.
...: Je voulais juste...
Bill avait raccroché à Simone, sa mère. Elle l'avait appelé pour son anniversaire, mais depuis qu'il se droguait, il avait perdu le contacte avec se mère, laissant leur lien s'oxyder et se déteriorer.
Elle voulait juste lui souhaiter joyeux anniversaire...
Mais lui espérait entendre Tom. Il ne voulait rien d'autree que Tom. Il ne voulait qu'entendre la voix de celui qui était toujours là, la voix de son inséparable. La voix de Tom, mais personne apart les autres. Alors il a voulu oublié et a franchi la dernière limite.
Une injection, héroïne ou morphine. Pour oublier. Et il a oublié...
Puis de moins en moins. Alors il a augmenté les doses, mettant son bras droit en charpie. Les toxiques empoisonnaient son sang, asphixiaient son intelligence, polluaient son esprit, tuaient son ame et noircissaient son coeur.
Jusqu'à ce jour où...
...: Hallo? ...: Tom?
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:37 | |
| Bill était persuadé que si Tom était parti c'était à cause d'elle. Alors el s'est mit à la haïr. Il a detesté les étoiles dans ses yeux, il l'a trouvé laide, hideuse, hors qu'elle était belle. Il la jalousait parce que Tom ne voyait qu'elle.
Elle ne le fixa pas longtemps. Elle aurait voulu lui sourire, mais lorsqu'elle vit le vide qui emplissaitn ses iris, elle préféra tourner la tête. Elle n'était même pas foutu de le regarder dans les yeux. Elle ne pouvait pas le regarder dans les yeux parce que la personne qui se tenait devant elle n'était pas le Bill dont Tom lui avait si longuement parlé. La personne devant ses yeux était négligement maquillé, tentait de se montrer plus fort qu'elle ne l'était. Cette personne avait la peua fatiguée, formant des craterres sous les yeux. Mauvaise mine, elle avait vraiment mauvaise mine. Le teint livide, les ongles rongés jusqu'à sang, lees vaisseaux sanguins explosés dans le blanc de l'oeil et ses foutus TICS, que Tom avait et qui à disparu, les yeux fuyants, les renifflement à répétition, instabilité flagrante.
NON.
La persone qui se tenait devant Halalia et qui la dévisageait avec mépris n'était pas bill Kaulitz, n'était plus Bill Kaulitz.
...: Bonjour, moi c'est Bill.
Il aurai pu dire, connasse va te faire foutre ou encore catin, parce que son bonjour était dépourvu de bon sentiment. Il s'éait présenté mais elle savait qui il était. Il était tout sauf celui qu'il prétendait.
...: Halalia.
Tom sourit à Lalia et celle-ci se preécipita sur sa joues pour y déposer une baiser. Un élant, une envie de se rassurer, Tom n'était plus comme Bill.
C'était fou!
Il y avait quelque chose de très particulier entre eux, et Bill. Bill était une spectateur agacé par la représentation qui se déroulaitsous ses yeux, alors, qu'elle venait à peine de commencer.
Halalia bailla et ses yeux s'embuèrent de larmes.
...: Il faut que tu te reposes.
Tom se pencha sur la jeune fille, embrassa son front et carressa tendrement son visage, avant de s'éloigner à reculons, refusant de lui tourner le dos. Bill lui emboita le pas et une fois dans le couloir, il voulu avoir des explication sur la nature de la relation entre lui et cette fille, mais Tom le devança.
...: Alors qu'est-ce qu'ils ont dit? ...: Qui? ...: A l'acceuille! Que t'a-t'on dit sur Halalia? ...: Bonjour Bill! Tu m'as manqué fréro!! ...:...
Tom se tu ne refusant de répondre, c'est alors qu'il leva les yeux vers son doubble et il ne vit que celui qu'il avait quitté 9 mois pus tot.
...: On reglera nos problèmes plus tard. Docteur!
Il venait d'arrêter le docteur qui passait, laissant son frère comme un imbécile bouillonant de l'interieur.
...: Qu'a-t-elle exactement? ...: Et bien, votre amie à été prise d'une fivre foudroyante, dépassant les 40 degré cela peut s'avéré fatal. Heureusement vous l'avez emennée à temps. De plus, elle souffre d'une pneumonie affectée, par conscéquent nous l'avons mit sous anti-biotique cause de son affaiblissement. ...: Quand pourra-t-elle sortir? ...: Tout dépand de son état demain matin. ...: Très bien, pourrais-je avoir une chaise et des couvertures supplèmentaires? Je la veillerai. ...: Tu ne peux pas faire ça!! intervint Bill
Il ne pouvait pas! De quel droit préférait-il dormir dans une chambre miteuse, plutot, qu'à l'hotel de luxe où Bill avait reservé les meilleurs chambres? De quel droit préférait-il veillé cette fille, plutot, que de rester aves son frère?
La haine avait germé dans son coeur et commençait à pousser, ses embranchements commençaient à encombrer son ame. A cause d'elle.
...: Je fais ce que je veux.
Encore une fois Tom eu le mot de la fi et une chaise fut apportée ainsi que des couhettes. Il n'était que 17h00 mais Tom était épuisé et n'avait toujours pas mangé. Il se renseigna pour savoir où était la cafertaria et fit acheter à Bill ce dont il avait besoin. Les gens se retournaient sur leur passage, mais Tom n'y prettait aucune attention. Bill s'executait sans dire un mot, ruminant sa heine incomprhenssible. Tom rangea ses modestes cours dans le mini frigo mit à disposition dans la chambre de la malade. C'est fou ce que la notoriété influence le comportement des gens.
...: Tu comptes vraiment dormir ici?
Bill venait de briser le silence qui régnait. Tom acuieça en fermant les yeux, la bouche pleine.
...: Bien aurevoir. ...: A demain.
Bill quitta la chambre d'hopital, hella un taxi et se rendit dans son hotel. Il monta directement dans sa chambre d'hotel. Les choses se bousculaient dans son esprit. Tom était revenu mais pas pour lui, juste pour la souvée, elle. il était dans Sa chambre d'hopital, plutot, qu'avec lui. Il ne comprenait pas cette indifféence. Il avait mal, mal d'être dans l'ignorance. Il n'aimait âs cela. Alors il fit ce qu'il fesai chaque fois qu'il n'allait pas bien. Il sorti une seringue, puis une cuillère, y mit de la poudre blanc cassée, et avec son briquet fit fondre le contenu de la cuillère. Il en rempli la seringue, avant de se l'injecter dans le bras droit. Il s'offrait ainsi ses quelques minutes de jubilation avant LA CHUTE...
Son coeur s 'accélèra, ses pupîlles se dilatèrent, les song à ses oreilles se déformèrent, ses sens se faussèrent et ses yeux ne voyaient que les étoiles d'Halalia. Ses mains serrant son cou, la gorge de la jeunne fille se cripser sous les mains du chanteur, son souffle se couper et son tien devenir bleu...
Dans son délire Bill tuait Halalia.
18h30 et in rire macquiavelique s'échappa de la chambre 384, un rire qui glaça le sang de la femme de ménage qui passait par là. Le rie de Bill, cruel et allièné. Un rire né de l'artificielle temporaire, parce que LA CHUTE arreive tot ou tard. Et qua CETTE CHUTE inévitable et BRUTALE. Alors il se laisse tomber, avant le choc et le dur retour à la réalité...
LA CHUTE CETTE CHUTE LA CHUTE CETTE CHUTE BRUTALE. | |
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:39 | |
| Halalia dormait depuis 2 heures déjà et Tom n'avait pas décollé ses yeux d'elle.
Les paupières de la jeune tremblèrent légèrement, avant de s'ouvrirent et d'offrir au guitariste les étoiles qu'elle masquaient plutôt.
...: bonjour, tu veux manger? ...: Non.
Sa voix était encore fatiguée.
...: Il faut que tu manges Lalia.
Tom était venu s'assoire sur le lit de la jeune fille et tandis un sandwich, qu'il avait acheté pour elle. Elle ne rochigna pas, sachant le combat perdu d'avance. Elle se força à manger la moitié pour faire plaisir à Tom.
...: Ton frère? ...: à l'hôtel. ...: Tu n'y vas pas? ...: Je reste avec toi. ...: Moi.
Le reste de la soirée ne fut que discutions inutiles: Tom expliqua à Halalia de quoi elle souffrait et lui raconta l'attitude du médecin, quand celui-ci s'était présenté en Thomas Schöne. Lalia en rit, il est vrai que durant tout ce temps, les gens n'avait pas montré d'hostilité envers eux, mais la réalité est tout autre et bien cruelle. Un nouveau bâillement se fit entendre.
...: Je pense qu'il est temps de dormir.
Tom se leva alors pour rejoindre sa chaise mais Halalia le retint par le poignet.
...: J'ai froid.
Un sourire se dessina aux coins des lèvres du musicien. Il se retourna, souleva les couvertures du lit, en faisant attention de ne pas toucher les files de la perfusion de son amie, et se coucha tout contre elle.
...: Lalia? ...: Tom? ...: Tu restes avec moi, hein? ...: Je reste avec toi, Tom Kaulitz.
...: Et ben c'est du joli!
Bill se tenait debout en face du lit, à coté d'une infirmière. Il avait parlé fort, assez pour reveilles les dormeurs.
...: Quelle heure est-il? ...: 9h30 Monsieur Kaulitz. ...: Je vois que tu ne t'es pas ennuié cette nuit.Je comprends mieux pourquoi tu tenais à rester ici... ...: Excuser moi, mais je dois préparé Mademoiselle Sert pour le médecin. ...: Oui biensur...
Tom sorti du lit tout habillé. L'infirmère venait de mettre un terme à ce qui allait être une belle enguelade. Tom mit ses chaussure et sa casquette avant de quitter la chambre, sans oublier d'embrasser sa Lalia. En sortant il croisa le docteurde la veille, qui n'arrivait pas à soutenir le regard du guitariste. Certainement à cause de l'intolérance des ses propos d'hier.
...: Bine je pense que tout va bien, vous pouvez lui retirer la perfusion.
Le médecin venait de terminer d'examiner Halalia qui n'avait toujours pas dit un mot depuis son réveille. L'infirmière s'executa, et Halalia, après un leger pincement au bras, fut libèrèe de ses tuaux de plastique.
...: Vous prendrez ses pillules après chaque repas et ce sirop chaque matin pendant 2 semaines. Vous pourrez sortir demain. Aurevoir mademoiselle. ... Aurevoir.
Le docteur eu à peine le temps d'ouvrir la porte que Tom se précipita sur lui.
...: Alors? ...: Et bien... toutes traces de la fièvre ont disparu, il ne reste plus qu'à soigner sa pneumonie. ...: ça veut dire qu'elle peut sortir? ...: Ben... par mesure de sécurité nous voulions la guarder encore une nuit. ...: Mais elle est hors de danger? ...: Oui. ...: Alors elle peut sortir?
Tom se montrait très impatient.
...: Dem ...: Lalia, tu veux sortir? demanda Tom. ...: Oui. ...: Peut-on accéléré les choses? Elle n'est pas obligé de rester?
Le médecin pris de cour balbutia d'un aire penau.
...: Si...si elle euh... veut vraiment s'en aller. ...: Ok, prépare tes affaires Lalia, je vais tout rêgler on s'en va.
Tom referma la porte metant le médecin et l'infirmière dehors et laissant Halaia se préparer.
Tom parti suivi de Bill, qui était resté en retrait, vers l'acceuille, afin de faire le nécéssaire. Il paya les frais d'hospitalisation, alla se fournir à la pharmaci des médicament pous sa Lalia. C'est avec hate qu'il la retrouva attendant devant la porte de la chambre 780. | |
| | | a-j Hyperaktiv
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:42 | |
| ...: Viens.
Il lui tendis la amin, qu'elle saisi sans attendre, et ensemble il rejoignirent Bil qui les attendait au sous sol de l'hopital. L'entrée avait été bloqué par une horde de fan qui avait entendu dire que Tom Kaulitz se trouvait ici. Pour des raisons de sécurité évidente, un van, leur van était garéen bas avec leur bon vieux guarde du corps: Saki et Tobi. Tout deux avait reçu l'ordre de protégé Tom et son amie. Elle serra un peu pkus la main de Tom dans l'assenceur et à la vue des deux hommes imposant, entre lesquels se trouvait Bill qui la toisait.
...: Tu as dit que tu resterai avec moi, tu te rappels? ...: oui.
Tom, Bill et Halalia s'engouffrèrent dans la voiture. Elle s'éssit sur les genoux du musucien, même si il y avait beaucoupr de place dans le van. Saki était au volant et Tobi à sa droite. La voiture sorti et des fans déchainés se jettèrent sur elle, éspérant appercevoir l'ombre des jumeaux de Tokio Hotel. Halalia regardait le spectacle qui s'offrait à ses yeux avec peur. Tom la serra un peu contre lui.
...: C'est un peu effrayant mais c'est ma vie. Bienvenue dans la vie de Tom Kaulitz.
Bill regardait la jeune fille assise sur les genoux de son frère, cette même fille qui captait toute son attention.
Halalia...
BORDEL!
Qu'avait-elle de spécial? Pourquoi n'avait-il d'yeux que pour elle? Pourquoi ne parlaient-ils pas? Pourquoi ne semblait-il ne pas avoir de place pour lui dans ce nouveau monde, où Tom s'était perdu? Pourquoi se monde se reflettait dans les yeux d'Halalia?
BORDEL!
Pourquoi elle ne pouvais pas soutenir son regard? Pourquoi ne lui avait-elle pas encore adresser la parole? Pourquoi avait-il l'impression de ne pas exister? Qu'avait-il de si haïssable en elle?
Ses yeux? ses cheveux? sa peau au reflet dorée? ses gestes leger et sur à la foix?
BORDEL!
C'était le cas de le dire... C'était le bordel dans dans la tête de Bill et il ne savait pas comment y remettre de l'ordre. Bien au contraire, chaque pensée de plus venait joliement garnir le désordre qui regnait en lui. Puisque penser est inéluctable, l'esprit de bill n'était qu'un amas d'incohérence perdu dans le caos de sa ranceoeur.
Halalia regardait le paysage en noir et blanc, parce que derrière des vitres tintées, tout est noir et blanc. Sous ses yeux, les éléments défilaient semblable à des case d'échecquier. Elle se disait que eux étaient les pions...
Elle était tellement absorbé par cette pensée, qu'elle n'enttendit pas le ronronnement de la voiture s'arrêter.
...: C'est ici qu'on descend.
Tom venait de la tirer de sa rêverie. Bill était déja sorti de la voiture et attendait à la reception. Tom tenait Lalia par la main et les deux compagnons entrèrent dans l'hotel.
...: Monsieur Kaulitz! Quel plaisir de vous recevoir!
Un homme avit surgit du comptoire de l'acceuil, un sourir hypocrite sur le visage. Tout le monde regardait Tom avec curiosité. Ce n'est pas tout les jours que les fantomes réapparaitssent. Ils se demandaient qui était la souillon à ses cotés. Halalia fut parcouru d'un frisson étrange quand le major d'Homme lui sourit. Ses traits se distordaient en une grimace indefinnissable, entre dégout et incompréhenssion.
...: Je voudrais une chambre supplémentaire s'il vous plait, dit Bill.
Mettant fin à un cérémonial qui génait énormement Halalia. Le major d'homme reprit sa place derièrre se comptoir en chène et se mit à pioanoter son ordinateur.
...: Bien, une troisième chambre pour mademoiselle... je suppose. ...: O ...: Vous pouvez l'annuler, intervint Tom. ...: Mais, voulu objecter Bill. ...: Elle dormira avec moi, coupa Tom. ...: Bien, messieurs voici vos clées.
Tom, Bill et Halalia, tojours suspendu au bras du guitariste, montèrent dans l'ascensseur.
...: J'ai fait venir des affaires pour toi. ...: Merci.
Les jumeaux n'échangèreznt plusaucun mots, ils semblaient à des kilomètres l'un de l'autre. Bill essayait déséspérement d'attirer le regard de tom, qui n'avait d'yeux que pour sa Lalia. Il avait beau être à coté de lui, c'était comme si il n'était pas là. Tom, lui, souriait à Halalia et elle de même. De temps en temps il jettait des coups d'oeil furtif vers ill, mais à chaque fois il détournaient les yeux, ne supportant pas ce que son frère était devenu. Une sorte de cache cache où il n'y avait pas de vainceur, et Halalia qui observait en silence. L'ascensseur s'ouvrit à leur étage et trois coprs sortirent de l'engin mécanique. Bill fila dans sa chambre, prendre une dose de bonheur éphémères, espérant que tout sera plus beau à son réveille. Même si tout était toujours pire...
Tom fit entrer Halalia dans sa chambre.
...: Le docteur à dit que tu ne devais pas te fatiguer, alors au lit!
Il n'était que 12h00, mais Lalia s'executa. Elle n'était plus dans son monde et les règles, c'est Tom qui les connaissait.
...: Je commande de la pizza pepperoni. ça te vas? ...: Oui.
Elle n'était pas du genre à faire des histoires pour la nourriture, mais il voulait entendre le son de sa voix. Depuis leur sorti de l'hopital, elle n'avait rien dit. Tom appela le service de chambre, commenda et vint rejoindre Halalia dans le lit. Dans des draps blancs, s'entend la lavande, Tom la prit dans ses bras.
Tout change. Le temps et les saisons... Hier n'était qu'un semblant d'aujourd'hui. Demain n'est qu'une esquisse inachevée...
Tout change. De l'évolution à la régression... Les geants ne sont plus que des nains. Des tourments passés il ne reste rien...
Tout change. De contingent à nécéssaire... La transformation est constante. Répétitif puisqu'il s'agit d'un cycle...
Tout change...
A nous de décider comment. | |
| | | a-j Hyperaktiv
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| Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 15 Mar 2008 - 13:44 | |
| Bill était toujours dans sa chambre, s'alliénant des rires qui provenaient de la chambre de son frère.
Tom et Halalia avait fini de manger et se fesaient des grimaces. Des gamins.
Le portable du chanteur sonna.
...: Hallo? ...:... ...: Oui c'est vrai. ...: ... ...: A l'hotel XV ...: ... ...: Ok, à toute.
Halalia s'était endormi dans les bras de Tom. Lui, priait pour qu'elle guerisse vite0 Il voulait l'emener chez lui.
Toc toc toc
Tom posa délicatement la tête de Lalia sur un coussi et se décol tout doucement. Il sourit en voyant la chaire de poule se dessiner sur la peau de la dormeuse, se rappelant ce qu'elle avait dit à leur exclusion du foyer
"...: Si tu n'était pas venu, j'aurai toujours froid. "
Les coups à la porte se répétèrent.
...: J'arrive! se murmura Tom pour lui même. Il posa la main sur la clanche et la tourna.
...: TOM!
Un homme, l'homme qui leur avait donner leur chance...
...: Chut! Elle dort. ...: Elle? ...: Tu ne lui as rien dit?
Bill qui se tenait juste derièrre le producteur regardait les lampes du plafonds comme les plus belles choses qu'il n'eut jamais vu.
...: Dit quoi? demanda l'homme à la casquette éternelle.
Tom ferma la porte sans bruit.
...: C'est une longue histoire David. ...: Aussi longue que ta disparution? parce que je n'ai pas 9 mois a perdre. De toute façon je ne peus pas me le permettre.
C'était un réprimende, subtile, mais une réprimende tout de même.
...: je sais que tu m'en veux d'être parti comme un voleur. Il le fallait, je n'y arrivait plus... ...: et en attendant, c'est moi qui avait l'air con devant la maison de disque et les journalistes. ...: ne te voile pas la face David. On était crevait à petit feu, certe, mais on crevait quand même. si je n'étais pas parti je serai probablement comme lui, où dans la tombe.
Tom avait pointé Bill, qui s'était mit à sourire au lumières comme un imbécile. David baissa la tête et chuchota quelque chose d'inaudible.
...: et elle? C'est qui? ...: Halalia, une fille de mon age, sans elle je serai sans doute mort. ...: Et qu'est-ce qu'ils on dit à L'hopital? ...: Qu'elle avait une pneumonie. ...: Elle!! Je pensais que c'était toi? ...: Moi, ça va. ...: Ok, Alors voilà le topo. la presse vient dans une heure, j'ai réservé une salle expres. je ne sais pas quel genre de relation tu entretiens avec Alala ...: Halalia, le reprit Tom. ...: oui, oui, mais tu nieras si on te demande si c'est ta petite copine. ...: ce n'est pas ...: Guarde ça pour les journalistes, le coupa David.
Il s'éloignait déja quand il se retourna et lança àl'adresse de Tom.
...: Fait le redescendre, du sucre des biscuits. N'importe quoi, mais je ne peux pas le montrer dans cet état.
Voilà, le quotidien de Tom revenait au galop. il n'avait pas le ttemps de souffler, qu'il devait déja remettre le pied à l'estrier*. Tom prit Bill par le bras et le fit entrer dans sa chambre. elui-ci s'était mit à chantonner la chanson des Bisounours. Il le laissa seul pour aller chercher des biscuit dans sa chambre à lui. Il ne avait pas dans combien de temps rpparaitrait la lucidité de son frère, et il redoutait la confrontation avec la presse. ses yeux se posèrent dur une masse informe dans le creux du lit et il sourit à nouveau. Dans une heure il révélerai l'existance d'Halalia , en guardant son identité confidencielle. Ensuite il pourra souffler et s'occuper de sa Lalia tranquillement. Il alla nourire Bill, prendre une douche, se changer et s'exerçà à répéter ce qu'il allait dire au journalistes. | |
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