[T] Always cold ( integral+suite)

...: Monsieur Kaulitz où étiez vous?

David avait loué une salle assez grande dans l'hotel. En fait c'était la salle des fêtes et celle-ci était pleine à craquer. Des flash crépitaient de tout les coins, les journalistes s'agitaient sur leurs chaises, cherchant Tom du regard.

Il était assez anxieux, tordant ses doigts une minutes, froissant son jeans l'autre. Tom ne savait plus, les phrases qu'il avait soigneusement préparé s'étaient envolées de sa mémoire, ne laissant qu'un trou noir, qui lui mettait la pression.
Ses fesses avaient à peine effleuré sont siége qu'il devait déja répondre à une question.

...: Eh... Ben... Ici et là.
...: C'est à dire?

Dans la rue bouffon! Tom était dans la rue, c'était un SDF, unnclochard, un sans abris, un vagabond, un mandiant.

...: Je bougeait tout le temps. J'ai marché de l'est vers l'Ouest et je dormais où je pouvais.
...: Vous étiez un... clochard?
...: C'est un des nombreux termes utilisés.

Curieusement le stress avait prit la poudre d'escampette. Il était plus alaize. il avait décidé d'être franc un maximum.

...: Pourquoi avoir prit la décision de disparaitre d'une façon si prématuré?

Il n'allait comme même pas leur dire qu'il était addict à la cocaïne et qu'il était parti sans réfléchir!

...: Euh... J'étais dans une période de ma vie où beaucoup de choses se mélangeaient. J'avais besoin de faire le point, de me retreouver.
...: Pourquoi ne pas être parti en cure de repos?

Tom y avait pensé, mais bill n'aurai jamais voulu. Le simple mot " cure " provoquait de l'urticaire chez son jumau.

...: Si j'étais allé en cure de repos, je sais que vous vous seriez donné à coeur joie, de mettre à la une de vos torchons " Tom Kaulitz dépréssif? " Et je n'étais pas dépréssif, juste un peu perdu. De pus je n'aurai pas supporter être analysé par un psychologue qui me sortirai des balivernes sur certaines blessures d'enfance.

Il n'y était pas aller de main morte avec eux, et tel des charognars, les journalistes s'acivaient à le bombarder de question cimme les hyènes s'excite sur sur un cadavre abandonné.

...: Avez-vous pensez à vos fans?
...: Vous pensiez que disparaitre et engendrer des inquiétudes inutiles à votre frère, votre famille, vos amis et vos fans fans était préférable, que d'aller osculter un psychologue et d'aller en cure?
...: Premièrement, je pense que nos fans me pardonnerons et comprendrons mon acte. Quelque fois on à tous besoin de souffler. Cette fuite était nécéssaire, j'ai appris beaucoup de choses que le plus grand expère en psychologie n'aurait pu m'apprendre. Etre confronter à certaines situatios renforce bien plus que du repos.
Ensuite, je tiens à m'excuser publiquement à ma famille, mes amis et surtout aux fans, qui se sont fais du souci pour moi. Pardon, sincérement.

Tom avait omit Bill volontairement. Si il était parti c'était à cause de lui.

...: Est-ce vrai qu'on vous a trouvé mourrant?
...: Non.
...: Alors que fesiez vous à l'hopital central?

Tom sourit lègérement.

...: J'y ai emmené une amie, elle était très malade.

Un murmure parcouru l'assemblée.

...: Une amie?
...: Oui, sans elle je pense que le Tom qui se tient devant vous ne pourrai pas être cohérent. je ne serai plus tout simplement.

...: Et quel genre de relation vous unis?
...: Platonique. Ce n'est en aucun cas une histoire de sexe.
...: Donc vous êtes toujours célibataire?
...: Oui.

Bill ,qui se tenait à la droite de Tom, ouvrit des yeux ronds.
Halalia n'est pas... enfin ils ne... ensemble?

...: Maintenant que vous êtes revenu, Tokio Hotel va reprendre du service ou est*ce vraiment obselette?
...: Tokio Hotel n'a jamais arrêté d'exister! Mon absence, je pense, a été une occasion de prendre du recul pour tous. Que les fans se rassurent Tokio Hotel est toujours d'actualité!
...: Et comment les autres membres du groupe ont pris votre retour aussi inatendu?
...: Je

Bill prit la parole d'une voix absente.

...: Nous n'avons pas encore eu l'occasion d'en parler serieusement, mais Gustav et Georg ne lui enveulent certainement pas.
...: Et vous Bill, comment le prennez vous?
...: Je suis très heureux de retouver ma moitiè. Maitenant je suis complet.

C'est sur cette prase que se conclut la conférence de presse.

Personne ne fit allusion aux yeux injectés de sang et gonfflés de Bill.
Un journaliste avait juste gribouillé:

Bill Kaulitz a encore les yeux rouge des larmes versées lors des retrouvailles.

Tom monta directement dans sa chambre pour voir si Halalia dormait toujours. Elle s'était réveillé et regardait la télévision. Le journal télévisé. Elle sourit quand elle le vit.

...: Regarde on parle de toi.

A ce moment une mini séquence de la conférence passait.

...: ...: Oui, sans elle je pense que le Tom qui se tient devant vous ne pourrai pas être cohérent. je ne serai plus tout simplement.

...: Tu le pensais vraiment?
...: Quoi?
...: Ce qui tu as dit?

Tom alla rejoindre Halalia sur le lit et l'encercla de ses bras.

...: Oui.


Magdeburg

Elle regardait les infos comme tous les soirs, espérant avoir des nouvelles.

Ils étaient dans leur familles respective et regardaient le journal télévisé comme la moitié du pays. De tout façon , à cette heure il n'y avait rien d'autre.

Ensuite, je tiens à m'excuser publiquement à ma famille, mes amis et surtout aux fans, qui se sont fais du souci pour moi. Pardon, sincérement.

Ils l'avaient tous vu et n'en crurent pas leur yeux. Ils étaient réellement réapparut!
les deux amis s'appelèrent de suite et elle, elle reserva un billet pour Cologne.

Tom commanda à manger, un hamburger, frites, ça fait longtemps.
Il ne se goinfrèrent pas, la rue leur avait appris le respect de la nourriture.

La misère ont ne s'en rend compte que lorsqu'on y est confronté

Tom alla chercher la guitare des temps difficiles, qui lui avait apportée tellement de bonheur. Il l'accorda et se mit à jouer Yellow de Coldplay...

Halalia tendit l'oreille et se retourna, les yeux étincellant comme les étoiles dans le ciel.

elle se mit à chanter...

https://www.youtube.com/watch?v=qI8I6qcxWyU

...: Look at the stars Regarde les étoiles
Look how they shine for you Regarde comme elles brillent pour toi
And everything you do Dans tous ce que tu fais
Yeah, they were all yellow Elle étaient/sont toutes jaunes

I came along Je suis venu
I wrote a song for you J'ai écris cette chanson pour toi
And all the things you do Et toutes les choses que tu fais
And it was called "Yellow." Et ça s'appelait " jaune "

So then I took my turn Alors j'ai pris mon tour
Oh what a thing to have done Juste une chose à faire
And it was all "Yellow." Et c'était entièrement " jaune"

Your skin Ta peau
Oh yeah, your skin and bones Ta peau et tes os.
Turn into something beautiful Se transforment en quelque chose
de magnifique
You know, you know I love you so Tu sais que je t'aime tellement
You know I love you so Tu sais que je t'aime tellement

I swam across J'ai nagé à travers
I jumped across for you J'ai sauté à travers pour toi
Oh what a thing to do Juste une chose à faire

Cos you were all "Yellow," Parce que tu étais entièrement "Jaune"
I drew a line J'ai dessiné une ligne
I drew a line for you J'ai dessiné une ligne pour toi
Oh what a thing to do Juste une chose à faire
And it was all "Yellow." Et c'était entièrement "Jaune"

Your skin Ta peau
Oh yeah your skin and bones Ta peau et tes os.
Turn into something beautiful Se transforment en quelque chose
de magnifique
And you know for you Et tu sais que pour toi
I'd bleed myself dry for you Et je me saignerais sec pour toi
I'd bleed myself dry Je me saignerais sec pour vous

It's true, look how they shine for you c'est vrai regarde comme
elles brillent pour toi
Look how they shine for you Regarde comme elles brillent pour toi
Look how they shine for Regarde comme elles brillent pour
Look how they shine for you Regarde comme elles brillent pour toi
Look how they shine for you Regarde comme elles brillent pour toi
Look how they shine Regarde comme elles brillent

Look at the stars Regarde les étoiles
Look how they shine for you Regarde comme elles brillent pour toi
And all the things you do Dans tous ce que tu fais

C'était une sorte de déclaration mutuelle. Un merci implicite. c'était comme sur les trotoires, dans les champs, sous la pluie, dans la neige...

C'était juste un je t'aime de note sur feuille blanche et noire de porté, gribouillé de blanche, crouche, doubble, comme des super nova, étincellant de game, filant de barré constéllé d'accords mélodieux.


Do Ré Mi Fa Sol La Si
Diese Bémole et Tutti Cunti

Je t'aime...

Bill n'avait pas mangé, il avait dévoré.
Effet secondaire, on crève la dale.

Il s'était encore injecté une dose et lorsqu'il entendit la musique, elle se transforma en une caquinphonie cohaotique. La voix de celle qu'il haïssait en hurlements insupportable. Pour lui c'était une véritable torture.
Mais la vrai torture c'est lui qui se l'infligeait.
Il avait pris gout à la merde alors que son ame se mourait dans l'autodestruction.

Elle avait prit le premier avion, celui de 5H30 pur arriver à7H00 et être à l'hotelt à 7H20.

Une fois arrivé, elle a reclamé le numéro de sa chambre, qu'on lu a bien évidement refusé. Alors elle a supllué, mais le major d'homme la menacé.

...: J'ai reçu des odres formels.

Quels ordre?
Elle pouvait le voir si elle le voulait, c'était son droit, le droit ilaneliable que la nature avait donné à son statut.
Elle a foncé vers l'ascenceur, peut importe qu'elle ne connaisse pas le numéro de sa chambre, son intuition la guiderai...

Elle est monté au troisième étage, a parcouru le couloir et s'est arrêtée à la chambre 346.

ICI.

C'état là, elle en était sure.
Elle a dabord voulu frapper, puis a hésité. Elle a réitéré son geste, en posant la main sur la clanche, l'autre main en point, pre^te à donner 3 coups secs.

...: Madama vous ne pouvez pas!

Trois hommes, la sécurité certainement, se tenaient de l'autre coté du corridore. Ils en avaient mis du temps pour monter 3 étages!

Sans réfléchir, elle a appuyé sur la clanche, et à la surprise générale, la porte était ouverte.
Elle s'est engouffrée dans la chambre encore sombre, pendant que les agents se précipitaient vers elle.

...: Madame ouvrez!

Ils hurlaient derrière la porte, qu'elle avait soigneusement fermé.
ignorant les cries, elle s'avança vers le lit que l'on distinguait à peine dans l'obscurité.
Voilà, elle y était, juste en face du lit ou IL dormait.
Elle allait se pencher pour le réveillé tendrement quand...

...: Madame sortez immédiatement!
...: Mais qu'est-ce qui se passe?

La sécurité avait ouvert la porte et allumé la lumières, ce qui eu pour effet de réveillé les dormeurs.

...: Tom...

Elle n'arrivait pas, les larmes lui nouaient la gorge.

...: Excuser nous Monsieur, mais cette femme...

Elle n'arrivait pas, les larmes lui nouaient la gorge.

...: Excusé nous Monsieur, mais cette femme...
...: Maman?!

Tom s'était levé ou plutot bondi du lit, coupant la parole aux guarde de sécurita incompétents.
Il se tenait devant une femme d'age moyen, ses yeux étaient embué de larmes, elle avait une main devant la bouche et tremblait d'émotion.

...: Mon fils.
la chaire de sa chaire, l'os de ses os, son sang, le fruit de ses entrailles, son fils était là.
Il était revenue.

Peut-on imaginé la douleur d'une mère qui perd un enfant?

Même si elle en a plusieurs, un enfant, peu importe du quantième il s'agit, a une valeur unique. Alors quand celui-ci disparait, les mots " manque" ou "vide" ne sont en dessous de la souffrance endurée.

Le coeur qui se sert, les yeux qui pleurent, l'ignorance, le doute, le desepoir, l'espoir, les souvenirs douloureux, la torture de se lever chaque matin et de savoir qu'il n'est plus là, pas encore revenue, si il revient un jour...

Les prières du soir pour un lendemain de joie qui n'arrive pas.
Et l'attente, parce que l'on est impuissant.
Cette attente qui nois tue petit à petit, parce que les dictons :

Au pays de j'espère, on meurt de faim.
L'espoir fait vivre l'attente fait mourir.

s'avèrent de plus en plus vrai de secondes en secondes.

Même si un intuition, infime, vous murmure dans le néant du desaroi, qu'il est toujours vivant et qu'il va bien.
L'attente semble interminable et plus on attend, plus l'espoir s'estompe...

Tom dépassait sa mère, elle paraissait faiguer, ces 9 mois l'avaient vieilli. Pourtant elle était belle, toujours.

c'est dans un élan plein d' Amour qu'il enlaça cette femme minuscule face à lui.
Cette femme qui lui avait donné la vie.

...: Maman...

La mère emprisonna son fils dans ses bras, la souffrance n'était plus qu'un vague souvenir qui disparaissait à chaque battement de coeur. Il s'imprégnait du parfum de celle qui l'aimerai toujours, envers et contre tout, effaçant ainsi les tensions du passé, recollant les morceau brisé.

La mère retrouvait son fils et le fils, sa mère.

Halalia avait été réveillé en même temps que Tom. Les antibiotiques épuisaient énormément son organisme, elle n'avait pas l'habitude. Il lui fallu un certain temps pour comprendre ce qui se déroulait sous ses yeux. Quand ses idées devinrent claires, Tom et sa mêre desséraient leur étreinte.Les yeux de la femme se posèrent alors qur la jeunne fille qui était encore sous les couhettes.

...: Oh, je suis désolé je...
...:Ce n'est pas ce qui tu crois, maman!

Elle regarda son fils et la jeune fille successivement.
Combien de fois n'avait-elle pas surpris Tom, à demi-nu, dans sont lit (à lui!) prétextant qu'il n'y était rien de ce qu'il parraissait?

Halalia ne fesait pas attention au regards de la femmes, la maman de Tom...

Elle regardait et nottait la ressemblence.
En fait si Tom et Bill avait des traits si féminin c'est parce qu'ils avaient beaucoup hérité de leur mêre, énormément même: les yeux, le nez, les lêvres, la forme du visage, presque tout sauf les cheveux et la taille. Tom était bland et chatain par endroit, assez grand et des grains de beauté un peu partout. Elle était petite, brune et avait une peau blanche sans imperfection.

...: Maman je te présente Halalia.
...: Bonjour Madame.

Halalia sorti du lit et Madame ex-Kaulitz fut étonnée de la voir toute habillée.

...: Halalia a été... comme... un guide.

Le visage de la maman s'illumina. Alors c'était elle qui avait aidé son fils!

...: Tu peux m'appelé Simone.
...: D'accord... Simone.

Tom était heureux d'avoir retrouvé sa mère, d'autant plus qu'elle semblait appréciè sa Lalia.
Simone était au anges, son fils prodigue était revenu et la fille qui était dans son lit n'était pas une conquête d'un soir. D'ailleurs ce n'était ps un conquête tout court.
Halalia, elle était un peu perdu,complètement égaré.
Elle s'excusa au près de son ami et de sa mère et alla s'enfermer dans la salle de bain.

Elle s'excusa au près de son ami et de sa mère et alla s'enfermer dans la salle de bain.

Halalia entra dans la salle d'eau, se deshabilla, laissant tomber ses vêtements sur le carlage froid. Tout puait le luxe, le marbre bleuet blanc dans laquelle était faite la baignoir, les lavabos, la douche italienne sans oublier les robinets et le pichet de douche qui brillaient àen faire mal au yeux. De l'argent certainement. Halalia entra dans la douche, enclancha le jet d'eau tiède, puis de plus en plus bouillant. Elle pris un des échantillon de savon et de shampoing, se froitta vigoureusment la peau et rinça ses cheveux, avant de laisser son corps se desavoné sous la puissance de l'eau.
Elle sorti de la douche, des goutellettes dégoulinants de ses cheveux, parsemant son corps de leur éclats pour mourir en vulgaire flaque sur le sol.

Lalia prit la première serviette de bain qui, elle sentait bon l'adoucissant. Elle se secha le corps et temps bien que mal les cheveux. Ils étaient encore humides et tombaient en long ridaux ondulés de part et d'autre de son visage. Elle se dirigea vers le lavabo et se brossa les dents avec un des nombreuses brosses neuves mises à disposition. Elle avait enroulé sa serviette autour de son corps et celle-ci s'echappa, la laissant nue.

Elle se regarda longuement dans la glace...

- peau mate: papa
- cheveux noir: maman
- yeux couleurs ténèbre: papa
- bouche rose et pulpeuse: maman et papa
- taille: maman
- nez droit, mais pas aussi parfait que celui des Kaulitz: papa
- un petit 37 fillette: maman
- jambe musclé par les longues heures de marche: la vie...

Elle n'epargnait aucune parcelle de son corps, rien.
Essayant de les répertorier par ressemblance avec les parents et lorsqu'elle n'y arrivaient pas, une frustration profondes s'installait en elle.
Plus elles se regardait et moins elle savait.

Les yeux de papa?
Non. Maman.
Papa avait les noir et maman bleu.

Elle ne savait plus. En fait, elle était trop embrouillée pour que ses souvenirs ne soient cohérents0
Elle essayait désesperement de savoir à qui elle ressemblait, mais les images devenaient de plus en plus flou, et la peur d'oublier leurs visages de plus en plus grande.

S'accrocher à un souvenir de plus en plus vague pour se définir.

Elle.

Rattraper une identité qui s'inscrivait dans ses gènes.
Une histoire écrite sur les traits de son visage, la ride de son sourire, le contoure de ses hanches et l'arrondie de ses fesses.

Plus elle essayait en moins elle savait.

Alors qui était-elle?

...: Lalia ça va?

Bill avait lu aussi été réveillé par le bruit dans le couloir.
Lorsqu'il décida d'aller voir, les vigiles étaient en train de discuter dans le couloir, l'aire confut.

...: C'était quoi ce bruits?
...: Votre mère est...

Bill n'attendit même pas la suite et déboula dans la chambre de son frère encore en boxer. Il aurai été tout nu de toute façon il n'en avait rien à foutre, trop pété pour ça.

...: Bill!
...: B'jour m'man.

Elle était assise sur un mini sofa brun. Son sourire s'évanouie lorsqu'elle vit la lueur féroce et entendit le ton rageux de son second. Bill était rachétique.
Oh il n'avait pas une carrure de soldat! Mais une mère ne se trompe pas!
Il avait perdu 2, 3 kilos et comble de l'horreur, son bras droit ressemblait à un dé à coudre: parsemé de mini cicatrices à peine visible à l'oeil nu.
Mais les yeux d'une mère voient tout...
Enfin presque.

...: Qu'est-ce que tu fais là?
...: Sur un autre ton Bill!

Tom sortait de la salle de bain avec Halalia vetu d'un de ses T-shirt xxxl et d'un de ses pantalon de sucendron.
Simone était profondement blaissé par l'attitude de son benjamin. Jamais avant il ne lui aurai parlé de la sorte. Elle regrettait sur le moment de les avoir laissé concrétiser leur rêves. D'avoir touché les étoiles du ciel polué du show business, parce qu'il c'était rammaser le revers de la médaille en pleine face.
Bill toisa sa mère, puis Halalia et retourna dans sa chambre.
Pas de picure ce patin, juste des pillules, mais c'est déja trop...

...: Je vais vite à la douche et après on va manger=, j'ai fin.
Tom retourna dans la salle de bain, laissant Halalia seule avec Simone.

Mécaniquement elle s'assit sur le lit encore défait. Simone la fixait et elle ne disait pas un mot.

...: Où tu as connu Tom?

Halalia leva les yeux et fixa Simone à son tour.

...: Je lui ai volé son porte feuille dans un centre commercial, il m'a retrouver...
...: Oh!

Celle qui avait aidé son fils était une délinquante!!

...: Je le lui ai rendu, mais j'avais déja donné l'argnet à l'église.

Robin des bois?
Halalia avait dit cela pour se rattraper, elle ne savaient plus vraiment comment réagir, un trop plein de tout la submergeait. Avec tom ça avait été bizarre.

...: Et tes parents? Qu'ont-ils dit quand tu as suivi Tom?

Morts, ils sont morts!!
Mais Simone ne le savait pas, comme elle ignorait que Tom était un clochard. Les infos n'avaient pas retranscrit toute l'interview.

...: Ils sont mort.

Simone pris un aire peiné.

...: Je suis majeur vous savez.

Des mots pour la rassurer.
Juste parce qu'elle avait senti la gêne de Simone.

...: Ha bon? Tu parrais si jeune! Quel age as-tu?
...: 19 ans.

Un silence s'habatit.
Elle avait le même age que ses fils et était déja orpheline!
Comment?
La vie est bien cruelle des fois...
Le silence devenait vraimet pesant et halalia avait envie de ruer de coup la porte de la salle de bain pour faire sortir Tm, qu'il la libère de se tête à tête!
Mais elle se résigna a rester assise, fixant Simone.

Ele eu un mouvement de recul lorsaue Simone se leva et vint s'assoir sur le lit.

Madame Kaulitz était prise d'un élant maternelle. Cette fille avait l'age de ses fils, elle avait tout perdu et rien dans sa posture et dans ses gestes ne laissait voir enu quelconque trace de mauvaise éducation.
D'un geste gracieux elle prit les mains de la jeunes fille, les serra dans siennes et plongea ses yeux huides dans la noirceur de Lalia.

...: Merci pour ce que tu as fait.

C'était étrange, Halalia avait perdu l'habitude de tout ça et eu l'estomac noué et la bouche cloué face aux paroles de Simone.

...: Je ne...

Simone la coupa.

...: Je suis sa mère, mais il y a certain domaine où je n'ai aucune autorité. Je n'ai pas réussi à preserver mes fils du fléau de la drogue. Tu as réussi à sortir Tom de là. Tu ne me doit rien, mais si tu l'aimes comme tu l'aimes autant que lui, aide le avec Bill.

Pas de réponse, elle n'avait rien fait de special pout Tom...

Elle lui avait parlé, mais c'est lui qui avait décidé de la suivre...

...: Vous savez, je...
...: Tu, tu peux me tutoier.
...: ... Tu sais... je... enfin je n'ai rien fait. Il m'a juste demandé si il pouvait mme suivre et j'ai accepté. La rue n'appartient à personne...

Simone ne saissi pas la dernière phrase et passa outre.

...: Si il ne t'avait pas rencontré, il n'en serait pas sorti.

Halalia sourir.
Avec des si on refait le monde...

Tom avait changé, disons qu'il était redevenu lui avec plus de maturité.
Simone l'avait doucement enlacé.
Geste tendre et maternel qu'elle avait oublié...

...: Vous avez fini vos trucs de bonnes femmes? J'ai faim moi!

...: Tu vivais dans la rue?
...: Moins fort M'man!

Simone venait de comprendre "la rue n'appartient à personne."
Son fils, son bébé, avait été dans la rue!
Sans maison et sans le sous.
Exposé à tout les dangers.

...: Mais Tom tu te rends compte, dans la rue! Comme un... un
...: SDF maman un SDF.

La terre entière devait savoir ce que Simone ingorait.
Ce fut un choc.
Elle se demandait vraiment ce qu'ellle avait raté dans l'éduction de ses enfants!
Avait-elle donné trop ou trop peu d'affection?
Avait-elle été trop laxiste ou trop sévère?
Où s'était-elle trompé?

...: Maman il le fallait.

Tom avait senti le malaise dans les yeux de sa mère.

...: Si il le fallait...

Elle ravalé son envie de lui crier dessus.
Elle voulait lui demandé pourquoi n'était-il pas venu vers elle lorsqu'il avait eu besoin d'aide?
Simone s'est tu parce qu'elle ne voulait pas lui faire de reproche, et surtout parce qu'elle était fier qu'il s'en soit sorti seul.
Son fils avait grandit.

...: M'man me regarde pas comme ça!
...: Mais tu es tellement beau mon fils! N'est-ce pas qu'il est beau mon fils Halalia?

Halalia fut attendri et rit de Simone et Tom.

...: Oui, surtout quand il mange!

Il avait mangé dans sa chambre, isolé de sa famille.
Il s'est lavé avec peine et avait ababdonné son application du fard à paupière. Ses mains tremblaient trop...

...: De toute façon, il aurait fallu un peau de peinture pour cacher tes vernes.

Tom était remonté seul. Il voulait rentrer à la maison. Les fêtes étaient proches et Simone avait proposé qu'ils viennent à la maison.

...: Elle s'est calmé l'Histérique?
...: Change de ton.
...: ...
...: On part avec maman, on rentre à la maison pour Noël.
...: Mais ça va pas?
...: Trés bien merci. Lalia et moi on part, fait comme tu veux. Nous on bouge à 16h45.

Tom ne lui laissait pas le choix.
En fait tout ce résumait à " je pars avec ou sans toi " comme la première fois, à la seule différence que Bill savait où il serait: avec leur mère et elle...

Elle

L

La femme du diable...



la belle voix d'une inconnue raisonnait ans les hauts parleurs de l'aeroport. Halalia était avec simone, elles avaient pris un taxi.
Pour sa sécurité avait dit Tom. Elle avait obéit et Simone lui avait pris la main durant 20 minutes.
Décidement cette jeune fille l'intriguait, jamais Tom ne s'était montré si intentionné, sauf avec Bill, il y longtemps...

Simone et Lalia passèrent le bureu de contrôle sans problèmes.
L'embarquement commença et toujours aucune trace de tom...

...:! Ne t'inquiètes pas, ce n'est pas si terrible tu sais, après le décollage on oubli qu'on est suspendu dans les aires.

L'anxiété pouvait se lire sur le visage d'halalia, mais rien avair avec l'avion, elle le prennait souvant avant.
Non.
Elle avait peur que Tom ne vienne pas.
C'était dingue, elle ne pensait plus pourvoir s'attacher comme ça!
Ses yeux balayaient la foule dans l'espoir de voir une casquette, des dreads, n'importe quoi du moment qu ce soit lui...

...: Allez vient.

Elle passèrent le bureau d'embarquement.
Lalia regarda encore une fois en arrière, esperant le voir surgir en courant comme dans les films, mais personne.
Elle se sentait ridicule de se monter une scène aussi bidon, mais elle était n'était pas rassuré.

Dans la rue se serait Tom qui la chercherai, lui quin aurai besoin de la voir pour se sentir en sécurité. Mais les rêgles avaient changé, dans cet univers si, c'est tom le maitre et elle le disciple...

elle s'assit à coté du hublot et Simone dérrière elle. La moitié de l'avion était vide.
Les hotesse s'afféraient à répondre aux besoins des passagers. C'est uniquement lorsque l'une d'entre elle vint lui demander si elle désirait quelque chose, qu'elle se réalisa qu'elle était en 1 classe.

...: Rie, merci.

Si Tom était là, il l'aurai obligé à prendre quelque chose. mais il n'était pas là.
D'ailleurs où était-il?

L'avion n'allait pas tarder à décoller.
les turbines commencèrent à tourné, provoquant ainsi une secousse imperceptible, que seule Halalia smble remarquer.
Le stess était palpable. Lavion allait abandonner les couloirs d'embarcation.

Elle posa sa tête contre le hoblot, renfoulant des larmes qui allait couller.
Pourquoi lui avoir dit qu'ils allaient ensemble à Magdeburg pour les fêtes, si il l'abandonnait?
Simone était SA mère, la sienne gisait six pieds sous terre...

Elle tourna la tête vers l'allée et cit des yeux noisettes et des lèvres percées lui sourirent.

...: On a failli le rater! Les fans étaient daichénées! De la folie!

Tension 0
Tout était normal, enfin presque...
Parce que Tom avait toujours une sainte horreure des avions, qu'il n'avait pas son I-Pod, que l'hotesse qui lui montrait se poitrine, à travers son décolté pogeonnant, n'arrêtaits pas de lui demander toutes les 5 minutes si il désirait quelque chose.
Et surtout parce qu'il avait vu Bill s'enfermer dans les toillettes et en resortir trop heureux pour que ce soit vrai...

...: Tom tu peux ouvrir les yeux, on a attéri.

Il ouvri les yeux, Halalia était penchée en face de lui.

...: Tu sais que tu as plus de chance de mourir dans un accident de voiture que dans les aires?
...: Si tu cours pas maintenant c'est toit qui va mourir!

Voilà Tom qui course Lalia dans un avion, sous l'oeil amusé de Simone et celui agacé de Bill.

...: Aie!

Elle avait tribuché à hauteur du chanteur.
Son pied trainait par là...

...: Ma lalia ça va?
...: Oui...

Tom venait de saisir Bill à la gorge.

...: Espèce d'enfoiré, tu l'as fait expres, hein?

Acte prémédité
Bill avait tendu le pieds pour une balayette discrete, et comme une aveugle elle était tombé dans le piege.

Dommage qu'elle ne se soit pas tordu le coup...

Bill ne pouvait rien dire mais n'en pensait pas moins.

...: laisse le.

Tom retira ses mains du cou de son frère. Il était l'un en face de l'autre, à quelque centimètre. Les yeux de Tom était noir de rage et Bill le défiait de son air superieur.

...: J'ai tribuché à cause de mon lacet.

Tom regarda les chaussures de la jeune fille, rien
Elle mentait ouvertement. Elle ne voulait pas d'une altercation violente.

...: Viens, maman nous attend.

...: Tom et Bill avec moi.

Saki répartissait les groupes. Simone et Halalia irai avec Toby jusqu'à un point donné, où, le van avec les jumaux les rejoindrait pour aller à Magdeburg.

...: Retouche la encore une fois. Je te tue.

Tom n'avait prononcé que ça de tout le trajet, jusqu'au 1 er point de rendez-vous. Il tirait la gueule même si, quelques instants plutot, il avait balancé des sourire à tire la rigot...

Des fans, encore... pour lui.
Joie de retrouver le guitariste de son groupe fétiche.

Maintenant, il menaçait son frère de meurtre. Bill resta muet. Tom et lui s'était souvant disputé dans le passé. Ils s'étaient blaillé avec des mots quelques fois. Des mots qu'ils avaient profondement regretté ensuite. Mais jamais Tom et lui ne s'était menacés de mort pour une fille. Alors elle...

Tom pensait-il vraiment pouvoir survuvre sans Bill?
Ses mots avaient-ils dépassé sa pensée?

Au fond maintenant le pourquoi de cette situation importait peu.

Comment sortir de là?
Etait une reflexion essentiel, si l'un comme l'autre ne se blindaient pas.

La maison était de taille moyenne:

brique rouge bordaux, fenêtres aux bordures blanches, 2 étages. L'entrée donnait sur un petit hall chaleureux.
Halalia ne s'attarda pas sur les lieux, un cuisine, des portes, le salon, les toillettes dans bas, la cave, les escaliers, les trois chambres, la sale de bain, l'autre toillette. Une maison comme et comme dans toutes les maisons des fots, celle de famille, et ici ça sentait la nostalgie...

On pouvait clairement voir l'évolution de Bill et de Tom. Une paire de bînome identique: blonds, les mêmes vêtements, les sourires, ses mêmes sourires et ses yeux...

Des fotos avec maman et papa, puis un autre homme. Tom avec un guitare, enfin elle présume que c'est lui. Puis un brun-roux avec les yeux noircis, pas de doute, Bill. Une jeune dreadé, Tom. Les styles qui s'éloignent et s'affirment, mais toujours ses sourires et ses yeux. Lalia voyait quelque chose de fort, de rare, un amour hors du commun.
Ensuite des photos avec un grand blond, inconnu et d'autre avec Georg et Gustave. Devilish. Avec leur tête d'ange comment pouvaient-ils porter un nom si démoniaque?

Et les dernières, les plus récentes, Tokio Hotel.

Halalia compara les images à la réalité et son coeur s'atrista.

Plus de sourires.

Plus ses yeux.

Disparu le lien.
Disparu le lien
Disparu le
Disparu


...: Lalia?
...: Oui.

Simone était en bas et s'afférait déja à préparer le souper.
Sans même avaoir réfléchit à la question, il semblait évident qu'halalia dormirai avec Tom.

Tupac, Snoop dog, BIG, Samy deluxe, Fugee's, Bob marley, Run DMC, Moss Deef, NWA, Cypress hill, LL Cool G, Missy Eliote, Nelly, Fat Joe, Busta Rihmes...

Halali était entrée au paradis du Hip-Hop: casquettes, bandana, T-shirt XXXL de toutes les marques étaient éparpillé -ci et là.
Soigneusement rangé contre le mur, des basquettes de toutes les couleurs, usées ou neuves et une guitare.

...: un cadeau de Gordon.
...: ...
...: Tu peux si tu as envie.
...: je...

...: A table! raisonna dans toute la maison.

...: Bonjour, je présume qe tu es Halalia?
Gordon, enchanté.

Gordon, l'autre homme, ke beau père des jumaux.
Il était grand, brun en tout, cheveux coupé sougneusement, barbe de deux jours très virile.

...: Halalia, c'est bien ça.
...: Bievenue chez nous jeune fille! Fais comme chez toi!
...: Sans oublier que tu n'est PAS chez TOI.
...: Ta geule.
...: Tom!
...: Ne fais pas attention, allons voir ce que ma femme à prépérer.

Riz à l'oreintal avec des anna et du poulet.
Sucré/ Salé.

Halalia fini son assiette au saveur d'ailleurs...

...: C'était délcieux.
...: Oh oui! Bien meilleur que la bouffe d'égout!
...: Bill ça suffit!
...: merci Halalia, je te montrerai si tu veux?
...: Je veux bien, merci.

La jeune fille bailla, revelant ainsi sa fatigue.

...: Au lit.

Tom l'avait dit, elle prit ses médicements, souhaita onne nuit à tout le monde et monta se coucher. Le sommeil ne vint la chercher que lorsque Tom la rejoind.

Chaleur de Tom
Saveur noisette
Parfum chocolat
Dans des cordes de blée
Chaleur de Tom
Chaleur d'automne
Chaleur de Tom.

Tom s'était levé avec les poules, il descendi préparer le petit déjeuné.
Silone fut surprise de voir le café prêt, les croissants achetés et la table dréssée.

...: Merci, mon fils!

Pour toute réponse, il lui fit un clin d'oeil.
Gordon descendi 5 minutes plus tard et parti avec Simone 15 minutes après. Dans le vrai monde les adultes doivent travailler.
Ce fut Bill qui suivit, la tête dans le cul. A peine remis de ses exces de la solitaire.
C'est nonchalement qu'il s'assit et bouffa parce qu'il n'y a pas de therme plus adequat.
C'est avec la même désinvolture qu'il pris une petite boite de cachet, les enfila e grande quantité sous l'oeil médusé de Tom.

...: Bordel! Mais qu'est-ce que tu fais?
...: Je prends mes "vitamines".

La voix du chanteur était trop calme et Tom hurlait déja.

...: Des vitamines? Mon CUL!
...: Quoi? tu en veux aussi?

S'en était trop, trop pour Tom. Bill lui tendait la perche pour mieux se cracher, comme il l'avait fait pour lui avec la cocaïne.
Maintenant Ton était en colère, mais plus contre lui, contre son autre qui refusait de corriger ses erreures.

...: Tu péfères l'hero?

De la folie, un cauchemard, un mauvais rêve dont il allait bientot se réveillé...

FAUX

la réalité en pleine face ça fait mal, alors quand elle vous transperce l'ame et le coeur...

...: Tu vois c'est pour ça que je suis parti.

Changement de role, Tom pparle posément et Bill crit.

...: Pourquoi Tom? Dis moi!

Enfin l'occasion d'avoir une réponse, et pour une fois, Dieu ne laisserai pas rien répondre.

...: pour ne pas finir comme toi.

BOUM!
Comme à Yiroshima.
BOUM!

Une explosion 10 milles fois plus forte que celle de la bombe a-TOM-ique.Alors dans les oreilles d'un seul homme.

...: C'est à cause de toi si je suis comme ça!

L'heure des rêglements de compte avait sonné.

...: Non. J'avou t'avoir conduit sur le mauvais chemin, mais c'est toi qui à décidé descendre en enfer.
...: Si tu ne m'en avais pas proposé, je n'en serai pas là!
...: Si tu avais accepté d'aller en cure, tu n'en serai pas là.
...: Si tu n'étais pas partis, j'aurai jamais été jusque là.
...: Si je n'étais pas parti, on serai mort tout les deux.

Logique.
Evidement même.
Les jumaux ont se lien qui les maintient en vie parallelemement .
Si Bill survivait c'est que To vivait.

...: C'edst toi qui a choisi de t'enfoncer, pas moi. Je regrettes, c'est toi qui te piques à l'héroïne. PAS MOI! C'est toi BILL. Assume.*

Assumer, ça veut dire prendre ses responsabilités.
A-t-on déja vu une loque décidé de bettoyer la maison?
Alors Bill n''était pas plus capable de prendre ses responsabilitéz.
La seule décision qu'il pouvait prendre c'est d'arrêter.
Le seul problème quand on fait des erreures er qu'on se perd, c'est qu'on reste dans le tord et qu'on se tait.
Et Bill s'est tu.

Elle s'était réveillé avec la douce mélodie d'une engueulade matinal.
Dabord Tom, ensuite, Bill.
Elle ne se demandait pas le sujet de l'heure dispute.
A cause d'elle... certainement.

Puis le calme, celui aprés l'orage.
L'orage qui précède la tempête,
qui précède l'oragan,
qui précède le Tsunami.

Elle se leva et descendi discètement.
Bill était devant les télé-bêtise, "télétubize", et Tom rangeait son bol dans le lave vaisselle.

...: Bonjour.
...: Bonjour. bien dormi?
...: oui.

Eviter de parler de la dispute de ce matin.
Elle s'assit, rit une tasse de thé et 2 tartine de pain grise, pas plus pas d'apétie.
Il n'avait rien dit.
Elle ne voulait pas le brusquer.
Il parlerai si il vourdait.
Elle sera là, elle l'écoutera.
Elle finitde manger, ranga la vaisselle et monta prendre sa douche.
Lui, il alla s'enfermer dans la chambre, chercher du réconfort au près de Musique.
L'autre s'abruti devant l'écran, pupille dilatées, il s'imagine être un personnage de dessin animé.

...: merde!

Toutes ses affaires étais sales, sauf la petrite culotte de secours. Timidement elle traversa le couloir en serviette. Elle était tellement stresser qu'elle n'entendit pas que Tom jouait.

...: ça va?

Il s'était arrêter, surpris de la voir encore toute mouillée.

...: Je... euh...
...: Tu quoi?
...: J'ai plus rein a me mettre.

Tom ouvri les yeux rond et éclata de rire.
Lalia était rouge de honte et lui trouvait ça drole.

...: Je dois avoir quelque chose pour toi.

Le jeune homme sorti un de ses T-shirt et baggy de taille plus au moins normal.

...: tu ne peux pas rester comme ça! ça ne te vas pas!

Halalia approuvait totalement, elle ne ressemblait à...

Même ses vêtements usés lui allait mieux s'était dire!

...: Viens, je vais te montrer où on fait le linge.

Elle prit ses affaires et descendi à la suite de Tom.
c'est à la cave que se trouvait les machines à laver.

...: Bon alors, tu appuis ici, le savon c'est là, le sêche linge ici, pour rêgler tu tourne ce bouton et pour démaré celui là.

Elle n'écoutait pas les indications, elle savait comment faire fonctionner une machine. Au pire, elle lirai.

Tom était remonté. halalia avait mit la machine en route et s'était assise deçu, balançant le ses pies dans le vide.
Elle était perdu dans ses pensées observant le plafond sans interêt.

La lumière s'éteind, ne laissant que la petite fenêtre éclaire, de la faible lumière d'un jour de décembre, la pièce semi osbscure.

Bill n'attendait que ça que Tom ne la voit plus. Il avait le champ libre.

Halalia entendi des pas, puis une voix.

...: Qu'est-ce que tu fais là?
...:...

Elle attendi de le voir, il était un peu effrayant, en fait il lui fesait pitié. Non pas de la pitié commune, pas de ce pincement au coeur étrange et de cette voix dans la tête qui murmur " Oh le pauvre".
Si la rue eu un quelconque effet sur Halalia, c'était d'avoir faussé certaine perception, quoique faussé ne serai pas le mot juste, changé serait plus approporié.
Un epitiè qui s'apparenterai à une nausée, un dégout profond, une répugnance à laquelle elle ne pouvait rien.

...: Hey la souillon je te parles!
...: ...

On répond au imbécile par le silence. Et comme tout bon imbécile, Bill c'est approché d'halalia, à posé ses mains de par et d'autre de ses jambes et a plongé ses yeux méprisants dans les gouffres étoilés de la jeune fille.

...: je vais te faire vivre un enfer, tu le sais?
...: ...

L'enfer?
Elle en avait déja vu beaucoup.
Les coups?
Elle en avait reçu.
Le coeur srré?
Elle connaissait.
La misère?
Elle s'y était habitué.
L'enfer?
Bill ne pouvait pas l'y entrainer, trop occupé à s'y enfoncer lui même.

...: Tom c'est mon frère. J'en ai rien à faire du nombre de fois qu'il t'as sauté dans le canivau. Je vais te faire dégager et Tom va t'oublier comme les autres. Il n'a pas beson de toi. Tu n'es rien.
...:...

Celui qui se rapprochait le plsu de rie, c'était lui, une épave sur patte, un squellette enbulant. Il de servait à rien. Il n'était plus rien et c'est bien ça qui Le rendait malade.

...: Salope, tu comprends quand je te parles?
Et les mains de Bill se sont posés sur Halalia, elles étaient brulantes, une chaleure qu'elle ne supportait pas. La star enfermait les hanches de la jeune fille et les pressait. Un sourrire sadique apparu sur son visage.

...: Alors c'est comme ça qu'il te prend?
...: ...

Il approche son visage du sien, ses mains remonte sur la taille.

...: Ou là?
...: ...

D'un gete violent, il redescendit jusqu'aux cuisses et tenta de les écarter.

...: Tu résistes?
...: ...
...: Tu vas parler?
...:...
...: Tu aimes te faire désirer...

Une nouvelle tentative.

...: Sale Pute!

C'est ce qu'a crié Bill quand hallalia lui a saisit les testicules et les lui a compréssé de ses mains gelées. Par reflexe il l'a gifflé et la claque a raisonné.

...: Tu vas voir commetn tu dois me traiter, Pétasse !

Une autre claque siffla dans l'aire. Un rictus sur les lèvres de Bill, un filet de sang sur celles d'Halalia.

Pas de larmes, juste le reflet d'un Bill ayant perdu la raison.

...: Tu as fini?

Comme-ci il ne s'était rien passé. Sa voix était celma, malgré les coups éssuyés. D'un coup de langue, elle effaça le sang.
Il n'en fallait pas plus pour que Bill se déchaine.

...: Batarde, Chienne, Charogne, tu vas voir si j'en ai...

Ilo n'eu pas le temps de terminer sa phrase, ni de joindre les gestes à la parole. Tom avait dévalé les escaliers, alerté pas les cris de son frère, et s'était placé devant sa protégée.

...: Voir quoi? A quel point tu es pathétique? ça saute aux yeux,on ne peut pas faire mieux.
...: ...

Des mots qui touche en plein coeur, retourne le couteau dans la plaie, même si ce n'est plus qu'une plaie, hémoragie généralisé...

Une vrai boucherie....

Tom aida Lalia a finir son linge et ils restèrent ensemble devant les inépties de la télévision qui caractérisent si bien notre société.

Les joues rouge d'Halalia?

...: J'ai un peu chaud.

Il voulait qu'elle aille se coucher et elle avait protesté.

Bill est parti s'enfermer dans sa chambre:
piqûre de bonheur,
une dose pour que son monde explose,
piqûre de bonheur,
à la limite de l'overdose,
piqûre de bonheur,
repint la vie en rose,
piqûre de bonheur,
piqûre de malheur,
piqûre de bonheur,
piqûre de douleur,
piqûre de bonheur,
ravage les coeurs.

...: B'soir la jeunesse!

Un ton enthousiaste, Gordon, toujours de bonne humeur. Halalia était endormie, lové contre Tom. Tom n'avait pas bougé et avait des fourmis un peu partout.

Bill?
Bill...

...: Vraiment mignonne cette petite, hein Simone?

Le tableau était touchant, Tom fesait des gestes pour que les parents fassent moins de bruit.

...: Vous allez me la reveillé...

Trop tard, ses yeux s'étaient ouvert et elle avait baillé.

...: Bonjo... hum... bonsoir.
...: Bonsoir
...: Bien dormi?
...: Hum... tu es assez confortable.
...: Biensur, Tom Kaulitz est confortable.

Les chevilles de Tom étaient revenues aussi.

Une stéréotype bien encré, les femmes à la cuisine et les hommes devant la télé. Enfin... j'ausqu'à ce que gordon vienne les rejoindre.
Tom, lui n'en avait toujours pas fini avec le téléphone. Il savait qu'il devait les appeler, il avait imaginé leur conversation aux rythmes des battements de sa Lalia, à son souffle dans son cou et avait trouvé le courage dans ses mains toujours froides.

...: Hallo
...: ...
...: C'est Tom
...: ...
...: Je voulais m'excuser...
...: ...
...: Je ne sais pas.
...: ...
...: toujours pas.
...: ...
...: Je suis clean.
...: ...
...: Plus jamais.
...:...
...: Ouai, joyeuses fêtes vieux,merci pour tout.
...: ....
...: On s'appel, aurevoir.

A peine avait-il nraccroché qu'il composait déja un autre numéro.

...:Hallo.
...: ...
...: Oui.
...: ...
...: Chez mes parents.
...: ...
...: Je sais... je regretes, j'ai dérapé...
...: ...
...: Oui
...: ...
...: Sur!
...: ...
...: Je ne sais pas.
...: ...
...: Toujours dedans.
...: ...
...: Toi aussi.
...: ...
...: Ok A+ mec.

Voilà c'était fait. Son coeur était plus légé. Ils ne lui envoulaient pas, bien au contraire, ils étaient heureux pour lu et avaient hate de le revoir.

...: A Table!

Pas la peine de s'attardr.
Bill resta enfermé dans sa chambre, personne ne fit allusion à son abscence.
Eviter les altercations, les confrontations, les frustrations, bien trop présentes, juste le temps d'un repas. Même si ilmanque quelque chose...

...: Tom?
...: Lalia?
...: C'est qui?
...: Qui?
...: Le grand blond entre Bill et toi?

Ce grand blond que Tom ne regardait pas, évitait soigneusement, et pourtant dans le tiroire de la table de nuite il y avait plein de fotos de lui avec Bill et Tom. Des yeux bleu, un océan d'amour, un truc spécial, rien avoir avec les liens du sang, plus fort...

...: Où?
...: Sur la foto dans le couloir.
...: ...

Cette foto elle l'avait observé et les autres aussi et elle n'a pu s'empêcher, foutu curiosité.

...: Tom?
...: Andreas.

Elle avait découvert une plaie, une des celles dont on ne guérit pas.

...: Andreas... On prononce le "s"?
...: hum...

Un simple mouvemet de tête.

...: on pronançait.

L'imparfait, il avait emploié l'imparfait, temps passé, Andreas...

...: Désolé.

Tom avait souri à une ombre qui s'en allait au loin.

...: C'était il y a deux ans, un accident, on a rien su faire. Mort sur le coup. J'ai pas supporté. C'était mon meilleur amie, ça m'obsédait.
J'en rêvait et ça me rendait dingue, alors j'ai voulu oublié. Les filles ne suffisaient pas, l'alcool m'a vite lassé, puis la cocaïne. A petite dose, Bill ne savait pas. Il avait Amy, elle soignait ses bessures, puis elle est partie. Elle ne l'aimmait pas, lui en était fout. Je lui ai proposé de s'évader avec moi C'est là que tout à commencé.

...: Maintenant c'est fini.
...: Oui... presque...

Presque
Inachevé
Incomplet
Et ce qu'il manquait c'était lui
C'était Bill.

Je ne suis que de passage
Pour une durée indeterminée, un voyageur en halte...

Comme eux, comme lui
Ils m'ont précédé et sont de l'autre coté.

Je ne suis que de passage
Mes larmes ont coulé avec la vie sans laisser de trace...

Je ne suis que de passage et bientot je m'en irai...

Comme eux, comme lui
Ils m'ont précédé et son de l'autre coté.

Je ne suis que de passage
Un jour je les rejoindrai...

Halalia et tom se sont endormi, Simone et Gordon aussi.
Bill?
Bill...

Il était sorti, on ne sait où.
Dans des endroits peu fréquentable...

Là où se réunissent les ames égarées. Celle qui ne cherchent pas à se retrouver.
Les déchets de la socièté.
Les " sous-merdes" comme ils s'appellent eux-même.
S'évadant comme il disaient.
Loin de tout...

Toujours un peu plus loin...

Toujours plus loin de rien.

Et revoilà ta groupiiiie perso qui refait surfaceuh!!

Ban alors là j'me sens comme un bouley parce que j'me d'mande si j'devais pas légèr'ment attendre que t'ai fini de tout reposter pour m'taper l'invit', mais bon, c'est moua... j'peux pas m'refaire ><" !


trop impatiente de lire ta suite là, mais l'truc d'la morkitu.

( surtout qu'en fait là j'dois aller suiter et que j'ai une flemme alors s'tu pouvais mettre une suite ça retarderait mon suitage )

Nouvel an.

Le champagne coule à flot.
Gordon va coucher Simone,pompette.
Tom est joyeux, il supporte bien l'alcool.
Halalia n'a bu que deux verres.
Bill?
Bill est mort.
On dit que l'alcool revèle la face caché de l'homme, ses désirs les plus profond.

...: Tom regarde moi!

Bill était monté sur la table et sa tête touchait le plafond.

...: Descend de là.
...: Si je tombe tu me rattrapes?
...: ...
...: Tom?
...: Non...
...: Et pourtant je suis ton frère, tu te souviens?
Le sang qui coule dans tes veines, coule dans les miennes
Tu te rappels?
...: ...
...: NoN?

Tom avait baissé les yeux, ce n'était plus le même sang. Les emogloies de Bill étaient empoisonées.

...: Tu te rappels?
...: ...
...: NON! à cause d'elle!

Il avait pointé Halalia du doigt.

...: Laisse là en dehors de ça.
...: Pourquoi? C'est bien sur elle que tu detourne les yeux quand tu ne veux plus me voir.
C'est Elle à qui tu t'adresses et ma voix que tu oublis. C'est dans tes bras qu'elle se blottit
tandis que, de ton coeur tu me banis. Qu'a-t-elle de plus que moi? Je suis TON frère!
Je serai toujours là! Elle, elle s'en ira...

Une seconde de repis avant que Folie ne reprenne possession de sa bouche.

...: Tu sais qu'elle n'en a rien à foutre de toi?
Que tout ce qu'elle veut c'est ton argent?
Pourquoi tu ne vois qu'elle?
Pourquoi je n'existe pas?
...: ...
...: Pourquo tu ne me rattrapes plus?
...: Je ne te connais plus. Bill... tu lui ressemble... mais tu ne l'es plus.

Bill s'est mis à rire de ses rires qui nous déchire l'ame. ce même rire qui avait fait fuir la femme de chambre.
Un rire qui déformait les traits autrefoisbeau de son visage. 2tirant ses lèvres à l'en fendre la face, fesant hoscqueter
sa orge, souillant ses cordes vocals, secouant son buste de tremblemant disconant, asphiiant ses poumons d'un aire qu'il aurait
voulu ne plus respirer. Un rire perfide, secoué de mauvaise intention.Un rire d'aliènè,de taré, d'écorché, d'égaré, de damné.
Le rire de Bill...

...: Halalia e te hais autant qu'il t'aime!
Je te tuerai, tu m'entends!
Je la tuerai Tom si tu ne me rattrapes pas!

Bill s'est trop penché, il est tombé.
Tom ne l'as pas rattrapé.
Halalia a retenue sa respiration.
Tom s'est levé et est passé à coté de son frère toujours à terre.

...: ... Viens Lalia.

Reprendre sa respiration. Elle s'est levé et la rejoind, jettant un regard peiné à Bill. Il ne l'avait pas tué
il est resté couché au sol face contre terre.
Tomber s'est humain, se relever c'est divi, rester couché s'est demoniaque.
Le demon ne semblait pas pas vouloir sortir de son corps.
La question était de savoir quand Bill l'executerai, quand il se releverai.

...: pour toi, le vrai toi pour Tom.

...: Bonsoir!

Elles venaient de rentrer.
Lalia se précipita sur Tom.

...: Ta mêre est trop gentille! Elle m'a forcé à acheter plein de choses!

Ses yeux brillaient de mille feux.

...: Tu as pesé à moi?
...: Mmmmh... Non!

Et une lalia tordu sur le sol.

...: Alors?
...: Mmmmh... je penses que... Non!
...: Tu vas voir!
...: Hahaha... arrête!... Hahaha...
...: Moi j'ai pensé à toi!

Simone fit les yeux doux à Gordon.

...: Vraiment?

Pour toute réponse elle l'embrassa

...: Beûrk! M'man! Il y a des chambres pour ça!

Simone entraina Gordon dans la cuisine pour lui montrezr la mini étagère qu'elle voulait qu'il place au dessus du plan de travail, qu'elle avait acheté en pensant à lui.

Bill était de moins en moin présent, tnat physiquement que mentalement.
Simone pleurait en silence.
NOEL

Elle esperait...

Un miracle

...: Juste un miracle...

Et Rien repondait pour Dieu.

Gordon fesait tout ce qu'il pouvait mais Bill s'acharnait.

...: Tu n'es pas mon père!

Pourtant Gordon l'aimait comme un fils et Bill comme un père avant...

Halalia?
Elle attendais, redoutait et profitait.
Qui sait ce que Bill lui demanderai?
Quand il le ferai?
Jusqu'ou il irai?
En attendant elle savourait tout ce qu'elle vivait. Elle respirait les bras de Tom le jour et sa chaleur la nuit.
Et puis demain, Noël
Un jour pour dire merci comme disent les americains, " Thanks giving", le merci donnée...

...: Tu aimes
...:...
...: Jen ai mis trop?
...: euh...
...: J'enlève?
...: Non!
...: Alors quoi?
...: ça te vas trés bien.

Elle avait fait un effort, juste un peu, elle s'était maquillé juste ce qu'il faut: crayon noir et mascara.
Pantalon noir classique avec chemise blanche et veste assortie.
Pas de Talon, des ballerines.

Plus femme, femme enfant.

...: Tu es sur?

Un petit sourire pour la rassurer, il lui prit la main.

...: Certain.

Il n'y avait que eux.
Bill, Gordon, Halalia, Simone et Tom.

Tout le monde complimenta Lalia sauf Bill.

...: T'as beau mettre de la merde dans un ecrin, ça ne change rien au fait que cest et restera toujours de la merde.

Halalia fermait les yeux, et serrait les poings.
Envie de crier!

Silence.

On répond toujours aux imbéciles par le silence...


De la dinde,des marrons chaud, des pomme de terre sautées aux fines herbes, de la buche, du champagne et du vin.
Le repas classique, puis la veillé. Celle où Simone racontait les bétises de jumaux.Tom rougissait et Bill plannait.
Ses yeux regardaient intansement, donnant l'impression qu'il était attentif, mais il s'agissait d'un leur et
tout le monde savait.

C'est Halalia qui fut le plus gaté: une guitare costumisée par To, des gadjet éléctronic par Gordon et un portable
par Simone.

...: On fait la paix?

Voilà le cadeau de Bill.
Mais pour Bill la paix qu'est-ce que c'est?

Les jours suivants se passèrent sereinement. Bill reparlait à ses parents et Tom lui s'obstinait dans son silence.

...: Fait gaffe.

Il avait demandé à Lalia d'être prudente. La pseudo paix de Bill n'était qu'un mensonge. Bill était devenu un menteur
Et Tom detestait les menteurs.

Bill est parti le lendemain, juste un mot

Je rentre

Tom a fait l'avaugle et Simone a séché ses larmes.
Le reste de la semaine s'est passé dans le calme jusqu'à la sonnerie

...: allo
...: ...
...: Bonne année!
...: ...
...: ça peut alle et toi?
...: ...
...: Demain?
...: ...
...: Ok à demain.

Court et clair, conscit comme on dit.

...: on part.

Ni plus, ni moins.
Où?
Peu importe du moment que c'est avec Tom.

L'appartement était une vrai porcherie: le canapé crême, était nir de crasse, des emballages divers couvraient le sol
et une odeur noséabonde, agraisait les oreilles. En bref ce à quoi ressemblerai Bil si il avait été un appartement.

...: désolé, ce n'était pas comme ça avant...
...: Ton rendez-vous est à quelle heure?
...: 14h00 et je dois être à la banque dans 10 minutes.
...: Vas-y je vais nettoyer.
...: Je vais voir si il est la.

Tom fit le tour de l'appartement.

R A S ( RIEN A SIGNALER)

Pas un souffle étrangé.

...: J'y vais, je serai là vers 13h30

Un bisou sur la joue et la porte se ferme.

Elle nettoie la maison, decouvrant ainsi l'appartement, les chambres, le studio d'enregistrement, de répétition, et les autres pièces.

13h00

Il la trouve dans les toillettes.

...: Ben voilà, je sais à quoi tu sers maintenant.
Nettoyé la ma merde. Tu fais ça très bien, cet ta vocation.

Un amas de connerie débitée à la seconde, méchanceté gratuite.
Pour vu que Tom revienne vite.

...: T'as fini?
...: ...
...: Qui ne dis mot conscent. Dehors.

Halalia s'est executé sans broncher.

...: ici c'est chez moi, ni maman, ni gordon et apparement pas de Tom pour te proteger. La soti c'est là.

Elle est descendu au rez de chaussée et s'es assise dans un coin.
Tom ne devrit pus tarder.

...: Qu'est-ce que tu fais là?
...: Bill.

Un mot et tout est claire. Tom a soupiré, a serré Sa Lalia dans ses bras.
Ensemble ils sont montés dans l'assenceur et sont re-rentrés dans l'appartement.

...: qu'est-ce qu'elle fait là?
...: ça ne te regarde pas.
...: Je suis chez moi!
...: moi aussi.
...: Je ne veux pas d'elle ici!
...: Moi, c'est de toi dont je ne veux pas.

Infinité à zero.
Un match dont on conais deja le vainceur.
Tom et Halalia sont partis dans la chambre.
Il lui avait fait le doubble des clées et retiré un peu d'argent.

...: si il te prend une envie.

han une suite

Des interview,des réunions,des révisions de contract et encore des interview.
Résumé bref de la programation des trois journées de Tom.

...: Elle?
...: Elle s'appelle Halalia.
...: Ah! Oui... Euh... Donc Halalia?
...: Je te l'ai déja dit, elle reste avec moi.
...: Et qu'est-ce qu'elle va faire?
...: On verra.
...: Ellr nettoie tres bien la merde.
...: Ta geule!
...: pas question qu'on vous voit ensemble!
...: Je peux rester ici.


Tom sortait tot le matin et rentrait tot le matin.
Halalia se reveillait losqu'il partait guetait Bill.

11H00

...: Dehors.

2H00

...: Bill?
...: Oui.

Et ce pendant trois jours durant.
Bill ne supportit pas sa présence, le fait qu'elle respire sur on toi et de partager le même oxygène,
l'écoeurait au plus haut point. Des qu'elle franchissait le seuille,
il refermait la porte en prennant soin de laisser la clée.
IL s'enfilait un aller vers les nuge attendant son retour, le retour d'Halalia, le retour de Tom
le retoir de Tom, le retour de la douleur, le retour de la réalité, tout simplement.

...: Lalia?
...: Tom?
...: Gustav et Georg viennent dans deux jours.
...: ...

Comme si elle n'avit pas assez de problème avec Bill.

...: Tu verras ils sont très sympas. Gustav est un peu comme toi, il a son monde à lui, fait de rythmes et de percussions.
Gerorg est un sensuel, un coeur gros comme ça sous son apparence d'armoire à glace. Tu les aimeras...

Encore deux inconnus à une equation qu'elle n'avait toujours pas résolu. A croire que la vie s'obstinait.

H+T/B+(Ge+Gu)²= ???

...: Je peux te parler?
...: ...
...: Ok je prends pour un oui.
...: ...
...: Ben je penses que toi et moi on à demarrer du mauvais pied. Et... je voudrai... euh... comment dire...
Qu'on reprenne tout du debut. ça te dit une journée shopping?
...: C'est moi qui régale!
...: ...

Elle s'était levé, demander à Tom.

...: N'y va pas.
...: mais c'est ton frère! Comment tu
...: C'est bien pour ça! Il a quelque chose derrière la tête j'en suis sur.
...: Tu sais pour s'en sortir il faut pas mal de soutient et toit tu le laches. Comment tu veux qu'il s'en sorte?
Si tu arrêtais un peu de lui couper l'herbe sous le pied et que tu l'aidait un peu?
...: ...
...: J'y vais.

Elle n'avait pas confiance non plus, mais il fallait bien que quelqu'un s'y colle.
Une paire de lunettes noir et un bonnet sans oublier le sweat bill kaulitz, comme pour ne pas oublier qui il était.

15 minutes dans le van où aucun mot n'est échangé.

...: Viens.

D'un pas mal assuré et d'une maint tremblante Halalia suivit Bill à l'interieur de se qui s'avairait être un shopping de Luxe.
Beaucoup trop de lumière pour elle, les vitres trop propre et beaucoup trop de monde...

...: J'adores les lunettes DIOR on va voir si ils en ont des nouvelles!

Bill étaitcomme un gamin laché dans un magasin de jouet, il souriait à tous et avait déja repéré les jolies bourges qui ne l'avait pas loupé.
Il les remarqué mais il remarqua aussi la moiteur des mains de Lalia et le rouge qui lui était brusquement monté au joues.
Il avait choisit ce magasins expres, il y toujours une foule pas possible chez DIOR, et celle-ci augmenta à l'arrivée de la star.

...: Tu veux pas y aller un peu plus tard?
...: Non,non maintenant.

Un sourire machiavelique c'était formé sur ses lèvres. Il venait de trouver un des point faible de la jeune fille.

...: En fait si, un autre jour peut-être, par là il y a ue peite boutique sympas t assez discrète.

Remettre son plan à plus tard. Acquerir sa confiance dabord.

...: Je te tuerai...

Tom était resté à la maison , à faire les cent pas, tourner en rond, s'assoire puis se lever, quelque chose de mauvais dans l'air.
Une pollution indécise, une mauvaise intuition...

...: C'est nous!

Les voilà, enfin...

...: Pfiou!

Ils étaient en face de lui, Bill avait ce sourire narquoi.

...: Oh... Il se fesai du soucis pour nous!
...: ...
...: Ben elle est toujours vivante! Tu vois, je ne l'ai pas mangé!

Toujours vivante, mais pour combien de temps?
Parce que Tom savait, il sentait.



Bill ne l'avait pas forcé à affronter la foule. Ils ont fait tout les petits magasins et elle a decouvert qu'il était pire qu'une fille.
10 essayages pour finir par acheter une pantalon à 256 euro qu'il n'a même pas essayé!
Il l'avait fait rire en défilant, même si c'était vite devenu lassant. Il l'avait même coplimenté sur son corps pendant qu'elle se changeait.
Elle n'avait pas acheté grand chose.
Enfin... comparé à lui.


Une chose étrange c'était produite, ils ont mangé ensemble une gauffre chaude et bill a passé son bras autour
d'Halalia et là, ce simple contact la ( Lalia brulé, à travers toutes les couches de tissus. Elle s'est sentit
consumé, une sesation désagréable, quelque chose d'inexplicable...

Elle lui a demandé de le retirer, elle n'arrivait pas à le supporter...



Tom n'as rien dit lorsu'elle lui a raconté. Il a juste acquiecé.

...: Tu boudes?
...: ...
...: Oh, la pochaine fois on t'emène avec nous!

Bill vait dit ça sur le ton de la boutade.



Mon reflet s'est brisé
Mon sans est empoisonné
Le malin s'enchaine à mes pas
Rêvant de me voir succomber

Ma raison torture mon coeur
Mon ame recherche la lueure
Les étoiles mon sourient dans ses yeux
Me relevant à chaque chute

Mon relfet s'est brisé
Mon sang est empoisonné
Ma moitié est mon opposé
Mon ame soeur a sombré



Bill est parti dans sa chambre. Le pouvoir des mots l'avait saisi.
C'est lui qui était brisé, il était empoisonné, il était devenu son opposé, il sombrait.
ce qui effrayait Bill c'était quen aucun cas Tom avait dit qu'il esaierai de le réparer.


...: Tu es dur.
...: Et toi inconsciente.

La première opposition, la première confrontation.

Sur le vase Halalia et Tom, on pouvait voir la première fissure.

...: Bonne nuit.
...: ...

Tom était une tête de mule, même si c'était pour le bien de sa Lalia.
Lalia a serré les yeux, a attendu les bras de Tom.

...: Pour toi, le vrai toi... pour Tom.

Elle se jettait dans la gueule du loup pour Tom.
Pour son bien à lui.

Durant la nuit Tom est venu réchauffer Lalia, et le matin elle s'était réveillée seule.
Il a plut toutela journée, comme dans le coeur d'Halalia.
A croire que le ciel compatisait à sa peine.



De son souffle j'ai réspiré
De sa chaleur j'ai vécu
Dans ses bras j'ai batti mon royaume
De sa bouche mon ame s'est libéré
De ses doigts ma voix a vibré

Et pourtant...
Il dit...


De mes yeux qu'ils l'ont éclairé
De mains qu'elles l'ont secouru
Dans mes mots qu'il a retrouvé la foi
De mon instabilité son équilibre
De mes errences qu'ils s'est retrouvé

Et pourtant...



Les non-dits assourdissant
Les protes restent closes
L'antidote...
Le sarifice...
La moitié redevenir l'ame soeur.

Tom c'était enfermé dans la salle de répètition. Sans un mot, sans un regard pour personne.
Et pourtant, il avait vu les larmes sur les joues de sa Lalia.
Il avait entendu cette prière qui n'en était pas une.
Il avait hais le mot sacrifice, parc qu'il ne supportait pas...

Il ne voulait pas, pas elle, pas pour lui.
Au diable son reflet si elle n'a que d'yeux que pour lui.
Au diable son sang puisque les étoiles lui ont sourient.
Et puis quoi?

Il ne voulait plus payer, son frère c'était déja bien assez.
Alors il l'a boudé, encore...
Ses larmes ont coulé et ont sèché sans qu'il n'y soit pour rien, et quelque par il s'en voulait.

C F C F
C C7 Am

Juste des accords qui s'enchainent.
Ses doigts cornés s'acharnaient sur les cordes d'acier.
Les notes se liaient et Musique murmurait à son oreille...

Oublie...

Et il a oublié avec son amante de toujours...
Il a fermé les yeux et Elle lui a montré le soleil, effaçant la pluie.
Elle a crée un ciel tout bleu rien que pour lui.
Adieu le gris...

Et pendant des heures il a joué, pendant des heures la pluie est tombée, et lui souriait du solei.
Grace à Musique, une journée, une merveille de notes et daccords.




Bill était sorti, il devait refaire son stock. Un peu de -ci, un peu de ça et il oubli...

Rien de tel que l'artificiel pour sublimer le réel.
Il mrchait sourire au lèvres, était trempé et sautait dans chaque flaque comme un gamin.
Personne ne l'enguelerai, pesonne car dans ce monde il est seule et heureux.
Dans ce monde Tom n'existe pas, ou plutot, Tom et lui ne sont qu'un alors il se sent bien.

Mais ça ne dure jamais longtemps, trop court, toujour trop court...

Le soir venu, ils ont tous mangé dans leur coin. Halalia n'a rien avalé.

...: Je vais me coucher.

Il était 19H00 et elle était déja sous les couettes.
Tom est entré et s'est assis sur le lit.

...: Désolé.

Elle fermait les yeux, faire semblant de dormir.

...: Tu es mauvaise comediènne.
...: Je sais.
...: Demain Georg et Gustav reviennent.
...: C'est pour ça que tu es désolé?
...: Non.
...: ...
...: Je t'ai entendu, tu parlais de sacrifice, de la moitiè qui doit redvenir l'ame soeur.
Lalia, je ne veux pas que tu te mêles des mes histoires. Bill et moi, c'est...
Et puis, tu sais il va te faire du mal. Je ne veux pas.
...: Et quoi? je vais te regardé continué à avancer en boitant parce qu'il te manque Bill?
Si j'ai vraiment réussi à ta sauver, d'une manière ou d'une autre...
Alors Bill aussi devrait l'être, et ce n'est pas le cas.
...: C'est son choix.
...: Et toi aussi tu en souffres. Alors pourquoi TU fais semblant?
...: ça fait moin mal.

Pour la première fois, Tom se l'avouait, voir Bill dans cet état le torturait bien plus qu'il ne le laissait parraitre.

Une douleur aussi forte soit-elle, ignorée, elle devient inexistente. C'est comme un dicton qui dit que lorsqu'on a mal aux dents, on devient une dent souffrante embulante.
Tom souffrait et Lalia était sous opium. Lorsqu'il la regardait il oublait comme avec Musique, à la seule différence que celle-ci n'avait aucun lien avec son frère.

On dit qu'il n'y a rien de pire que de voir quelqu'un qui souffre et qu'on aime sourire...
Mais lorsque cette personne aime sa souffrance et vous balance ces putins de sourires à la face?

Tom a serré Sa Lalia dans les bras et elle s'est endormi contre son torse, contre sa chaleur.

Elle s'est réveillé seule, encore...
Quelqu'un frappait à la porte, quelle heure était-il?

11H16

...: Tom?

Elle ne conaissait pas cette voix à laquelle une autre s'ajouta.

...: Tom, t'es là?
...: Ben oui je suis là.

Un silence et puis des éclats de rire.

...: ça fait du bien de te revoir!
...: t'as l'aire en forme!
...: Merci les gars! Vous ausi vous m'avez manqué!

Lalia s'est levée en vitesse et s'est mangée la couverture.

...: T'as entendu?
...: Tom! Me dis pas que t'as déja ramené une conquète à l'appart!

Lalia se releva en vitesse, juste au moment où Tom ouvrit la porte.
Son coeur battait à cent à l'heure.
Elle savait qu'ils étaient là, et elle appréhendait.

...: Viens Lalia, je vais te présenter mes amis.

C'est vétue d'un pyjama avec des nounours bleu ciel qu'elle rejoind Tom.
Elle resta dans son dos et passa à peine la tête pour voir Georg et Gustav qui scrutait l'espace derrière Tom, esperant voir quelqu'un surgir.

Ce fut Gustav qui remarqua les deux gouffres étoilés en premier.

...: Salut!

Saisit, Lalia cacha son visage dans le dos de Tom et agrippa celui-ci par la taille.
L'idée de rancontrer Georg et Gustav la tétanisait.
Allez savoir pourquoi?

Georg ne comprit pas.

...: Je fais si peur que ça?

Gustav pris alors l'initiative de faire le premier pas.

Tom?
Il souriait, amusé de la situation.

...: Ils ne vont pas te manger tu sais!

Gustav s'approcha de Tom et passa la tête derrière son bras.

...: Salut, moi c'est Gustav.

Les yeux noisettes du reveur rencontrairent ceux de la jeune fille.
Ils brillaient de la même lueure, Tom avait raison. Ils fesaient parti du même monde.

...: Halalia.
...: C'est jolie, qu'est ce que ça veut dire?
...: Pure.
...: Tu veux pas sortir de la Halalia? Comme Tom l'a dit, on ne va pas te manger.

Toujours plongée dans les yeux de Gustav, Halalia sorti de l'ombre de Tom.

...: Lalia, je te presente Georg.
...: Enchanté!
...: Bonjour.

Apres les yeux noisettes du petit blond, ce fut le regard emmeraude du basiste qu'elle rancontra.
Elle sourit, ces yeux étaient plein de tendresse. Georg lui sourit aussi.

Une sentation étrange, elle se sentait en sécurité.

...: Maintenant que les présentation sont faite. Je tiens à préciser que Lalia n'est pas une conquète.
Elle va vivre ici, avec nous, elle a 18 ans et sans elle je ne serai pas là.
Donc, pas touche Georg!

Les barrières posées Tom enlaça la main d'Halalia et ils allèrent manger.

Gustav ne pouvait détacher ses yeux d'elle, et elle de lui. Quelque chose, une similitude...

Gustav ne pouvait détacher ses yeux d'elle, et elle de lui. Quelque chose, une similitude...


Gustav ne savait plus, ne savait pas.
En fait il se disait " que sais-je?"

Parce que cette fille qui dit s'appeler pure est comme lui et qu'au paravant, jamais il n'avait rencontrer des gens comme lui.
Il était toujours dans les nuages, en fait il ne rêvait pas comme tout le monde se l'imaginait.
Il voyait ce que les autres ne voyaient pas. Il écoutait ce que les autres n'entendaient pas.
Le coeur de la terre battait dans ses timpans et son sang se proplusait dans son corps au rythme de la vie.
Il avait compris que pour vivre il fallait une pulsasion.
Un boum.
Le boum revelateur de tout.
Il n'a jamais su pourquoi, mais tout tenait dans ça.

Et son ame ne pouvait s'empêcher d'écouter la vie et ses rythmes enivrant.
Et sa tête n'a pu se retenir de se balancer de gauche à droite.
Et ses doigts de taper en cadanse tout ce qui passait.

C'est comme ça qu'il est devenu musiscien.
En écoutant...

Les autres n'ont jamais compris son mutisme...
Ils disaient qu'il était timide ou solitaire, il n'a jamais démenti, sauf une fois...

et on la prit pour un fou.

...:Pourquoi tu n parles jamais?
...: J'écoutes.
...: Tu écoutes quoi?
...: La terre qui respire et les batements de son coeur. Le vent qui souffle et qui se fracasse contre les montagnes.
...: Tu entends tout ça?
...: Oui. J'entend la pluie qui tombe dans la rivière, les pas des hommes sur la terre ou le beton. J'entends la vie.
...: Et c'est comment?

Gustav à improvisé un solo e batterie.

...: C'est comme ça.
...: Vraiment?
...: C'est beau.

Il s'en rappel comme-ci c'était hier, le psy, que ses parents l'avait envoyé consulter, a declaré qu'il souffrait de grave problème psychologique.
Que le laisser jouer à la batterie ne ferait qu'agraver son cas.
Gustav se rappelait la depressio qu'il a faite à 10 ans quand son père lui retiré son instrument de la chambre.
Quelque part, tout ses beat, tout ses coups de baguettes, c'était son moyen à lui de s'exprimer, de raconter comment la terre était belle.
Comment les branches s'ennuyaient ou encore, quand le ciel était en colère.

Boum boum tchac tss tss tchac

C'était son language à lui.

Au but de trois mois c'est parents lui ont rendu ses baguettes, desesperant de son silence qui n'en finissait plus.
Il est devenu solitaire, regardait pas la fenêtre, attentif au moindre bruit, comme pour rattraper tout ce qu'il avait perdu.
Frappant de plus en plus fort, de plus en plus vite, il était de plus en plus précis.
Le coeur n'avait plus de secret pour lui.
Les mots n'étaient plus nécéssaire, et pourtant les mots de Bill...
Ces mots à lui, il les aimait. Et lorsu'il rencontré Tom et Georg, il s'est rendu compte qu'il n'était pas seul.
Que d'autre comme lui entendait, sentait...

Il se sentait bien avec eux, le groupe à commencer et ils acceptaient ses silence, ses aires ailleurs, ses doigts qui tapaient, sa tête qui se balançait...
Il était bien avec eux parce que comme lui ils étaient fou.

Et il n'y a qu'un fou pour reconnaitre un autre fou...

...: Mais le fou n'est-il pas le plus sage de tous?

Halalia a sourit de plus belle.

Gustav a fermé les yeux, et remis son cerveau en place.
Avait-il rêvé?
Cette fille savait lire dans les pensées?

...: Tu es le roi de fou, si tu penses que je lis les pensées.
...: ...

Tom et Georg ne fesait pas attention à l'apparté, l'un trop absorbé par le récit de l'autre, la vie de rue est passionnante!

...: Tes yeux se sont perdu dans le vague et tes pupilles se sont dilaté, tu rêvais.

Il avait enfin mit le doigt dessus, cette fille lui rappelait sa soeur.
Mais ces yeux là, il n'en avait jamais vu de semblable, des yeux marron foncés ça existe, mais les siens, on en distinguait même pas l'iris...
Un contraste saisissant entre le blanc / le noir, et ses étoiles...

...: Tu es complètement folle

Et les deux jeunes gens rirairent sous les yeux étonnés de Georg et Tom.

Un rire de fou.

Ils étaient tous devant la télévision, Georg au téléphone avec sa chérie.
Halalia sur les genoux de Tom.
Gustav a dabord froncé les surcils, Halalia s'était glissée sous le T-shirt de Tom.
Voyant le regard perdu du batteur, Tom sourit.

...: Il faut que je la guarde à température ambiante.

Gustav n'a rien compris, et encore moin quand Tom a embrassé Halalia sur la joue en la serrant un peu plus.
Il avait pourtant dit que ce n'était pas sa petite amie...

...: Salut!

Bill était rentré, encore et toujours déchiré. Il a sourit à Gustav et a voulu le serrer dans ses bras.

...: Bill, tu pus l'alcool.

13H24

Et Bill était complètement soul. Il n'avait pas dormi à l'appart, sa chemise à l'envers et les marques sur son cou, laissaient deviner qu'il ne c'était pas amusé seul.
Quand Georg entra dans la pièce et découvrit l'état de son ami, il ne put s'empêcher de le regarder avec peine.

...: Quoi? Hein! faites chier.

C'est tout ce que trouva Bill face au groupe qui le fixait.

...: Il est pire que lorsqu'on est parti...

Un soupir que Georg avait poussé avant de s'affaler auprès de Gustav.

Georg avait été le premier à partir. Sous ses aire d'armoire à glace, il n'avait pas supporter...
Trop de souvenir.

...: C'est elle ou moi.


Elle portait un long manteau rouge, ses cheveux long et brun flottait dans l'air. Une classe se dégageait de son corps et dans ses yeux gris cette classe se noyait;
Ensevelit sous les cernes et le teint de cendre. Le manque...



Elle s'appelait Mira. Une jeune espagnole avec qui il était sorti.
Elle avait fait comme-ci elle ignorait qui il était. Elle l'avait fait rire, elle roulait les "R" bizarrement lorsqu'elle parlait allemand.
Elle l'avait séduite, lorsqu'elle s'était assise en taileur et l'avait regardé jouer rie que pour elle.
Elle avait dit qu'il était magique.
Elle s'était déshabilée.

...: caresse moi, comme avec ta basse.

Il s'était executé. Une, nuit et bien d'autre.
Georg a appris à jouer avec Mira, folant chque parcelle de son corps comme avec son istrument.
Georg était amoureux.
Georg il l'aimait...

Elle aussi...
Enfin cest ce qu'elle disait...

Il était reparti en tornée, il l'appelait tout les jours, et elle ne supporait pas son absence.

Alors elle a essayé, un peu, beaucoup, passionnement, à la folie...


Quand Georg est revenue, aprs 3 mois de route, elle était avec un autre, des autres.
Son corps pour un peu de poudre et son coeur aux oubliettes.

...: Pourquoi?
...: Parce que ta voix ne me suffisait plus, parce que je voulais oublié, parce que tes bras n'était pas là quand j'avais besoin de toi!
Parce que tu me manquait alors je t'ai remplacé, parce que ça me rendait malade de te voir partout, sauf avec moi!
Parce que tu n'était pas là! à cause du manque de TOI!

Il avit essayé de la récupérer, mais dans un mois il repartait.

...: Va t'en.
...: Je t'aime.
...: Alors part.

Il est resté.
Elle a continué.
Il est arrivé à bout.
Elle a abandonné.

...: Elle.

Et elle est partie avec son long menteau rouge,...

Une jeune fille a été retrouvé morte d'une overdose. Elle portait un menteau rouge et un collier avec un M.
Si vous possédez toutes informations, contactez la police.

Une simple annonce dans le journal.

Mira...
Regarde...

Georg a regardé Bill et Tom...
Georg a eu mal...

Comme avec Mira, alors il est parti.

Halalia observait ce gaillard, et ce reveur...
Un sourire encore plus radieu que les autres s'inscrivit sur son visage...

L'atmosphère bouillonnait, les atomes s'entre-choquaient dans la nostalgie que avait prit possession de l'espace...

Parce que les souvenires, c'est ce qui nous raccroche à cette terre, parce que c'est eux qui nous définnissent et nous aident à nous construire...
Parce que Lalia allait s'en faire de souvenirs.

Bon ou mauvais...

Elle en aurait.

...: J'ai faim.
...: Je vais faire des lasagnes

Petit à petit les reflexes reviennent, les habitudes se réinstalent.

...: Je peux t'aider?
...: Si tu veux.

Elle regardait attentivement les mains expertes de Gustav. Comment il assaisonnait la viande hachée, humidifiait les feuille de pate.

...: Tu sais faire la sauce blanche?
...: Oui.

Elle prit un casserole, la remplis de lait, un peut de crême fraiche à préparer pour lui donner de l'onctuosité, du maïzena, et de la farine, sans oublier le poivre et le sel.

...: Elle est délicieuse!
...: Merci.

Il vennait de mettre le plat au four.

...: euh... dis moi... Tom et toi, enfin vous êtes quoi au juste?
...: ...
...: Je veux dire, il... et puis toi... euh... dans sont lit et les calins.
...: Je ne sais pas. Je dors avec lui parce que j'ai toujours froid et lui, il est chaud. On fesait comme ça dans la rue.

Gustav ne voulut pas ensavoir plus. D'ailleurs, la réponse qu'il avait reçu le mettait encore plus dans l'ombre.
Elle avait toujours froid?
Etait-elle frileuse?
Son gros pull ne lui suffisait donc pas?

...: C'est prêt.

Le diner se déroula sans Bill. Halalia entre Tom et Gustav et Georg,seul de l'autre coté.
Tom et georg fesait le concours de celui qui mangerai le plus salement.
De vrai gosse.

L'estomac bien remplit, il décidèrent de faire unpeu de Musique.

Gustav s'installa derière sa batterie, Georg prit sa basse et Tom sa guitare.
Ensemble il ont repasser la moitiè de leur répertoire en revu.

Halalia s'est déchainée sur Ich brech aus,Wo sind eure Hände , et pleuré sur In die nacht.

...: Vous pouvez me jouer schwartz?

Elle aimait bien cette chanson.

La basse qui démarre, la guitAre suit et Gustav donne la pulsasion.

Halalia chantonnait les paroles en balançant la tête...

Pas de retour au noir, pas de retour au néant.

Elle aimait l'idée qui se dégageait...

Pas de retour en arrière.
Aller de l'avant sans se retourner.
Ne pas oubli, mais avancer,plus loin...

Plus loin...

Plus près de nos rêves.

A la fin de la musique elle s'est levée et est parti ce coucher, plus près de ses rêves, des rêves qu'elle avait abandoné depuis bien longtemps...

L'ordre est rétablit, chaque chose a reprit sa place.
Les soirées se terminaient par cette frainaisie nommée MUSIQUE.

Chaque soirs, ils prennaient leurs instruments et s'unissaient dans l'harmonie des accords, au rythmes que la terre donnait à Gustav.
Et ensemble, il parlait le language des fous...

C'étaient une sorte de tour de Babel musical, chacun parlait une langue différente et pourtant tous semblaient se comprendre.

Il ne manquait que sa voix...

Il ne manquait que ses mots...

Il ne manquait que ses yeux qui vous sondent et vous donnent...

Il ne manquait que Bill...


Et Bill n'était pas là.

Dans les nuages, haissant cette musique quil cherissait tant.
Il n'en pouvait plus parce qu'ELLE ne voulait plus de lui.
Dans Anissa, Clara ou encore Morgane, les fesant hurler plus fort les une que les autres dans l'espoir que leurs gémissements bruyant fassent éclater MUSIQUE, que dans la chaleur de leurs reins,
la rondeurs de leurs seins ou encore le fruité de leurs bouches, il oublierai qui il est...

Qu'il oublierai ce qu'il est devenu, se rappelerai celui qu'il n'est plus, car ses filles couchaient avec Bill Kaulitz.
Il esperait secrètement que leurs cries forceraient les portes de sa memoire et qu'il se rappelerait où se trouvait l'issue, la sortie, pour s'échapper de là.

Mais trop de lacheté, trop d'égocentrisme, trop d'égoïsme et de jalousie.

Les autres savaient, ils avaient le droit d'être avec Elle.
Même Halalia,...

MUSIQUE, l'amante des plus grands, traversant les ages et changeant de visage, tantot classique, l'instant d'après Rock.
Elle avait toujours été un soutient pour l'homme, l'inspiration et la force dans les pires moments, à tel point qu'elle avait engendrer des cultures.
Et pourtant musique n'appartenait à rien, écume d'un jour dans l'éternité des âmes...

Surtout Halalia, elle était privilégié, elle avait les mots qu'il avait perdu.
Le frère qu'il n'avait plus, les yeux pétillants sans cette dope.

Injuste, c'était injuste, pourquoi elle et pas lui?
Pourquoi il n'avait la volonter de rien?

Pourquoi? Pourquoi?

Et Dieu répond Rien.

Et ce silence tout puissant le rendait encore plus fou, plus desespéré.

La vie est injuste et le justice des hommes encore plus.
La vie est injuste...

Injustice à laquelle il allait remedier très bientot...

Georg et Gustav étaient sortis faire les courses.
Tom était assis dans le salon, fixant la moquette blanche. Il n'entendit pas Halaia qui entra dans le living room.
Elle se planta en face de lui et mouva ses mains de gauche à droite devant le guitariste qui ne semblait pas la voir.
D'un geste vif il l'empoigna et l'attira vers lui, elle tomba sur ses genoux et rit.
Tom plongea ses yeux dans les siens et sourit.

...: ça fait longtemps.

En effet depuis le retour des eux autres Tom n'avait plus de moment privilégiés avec Sa Lalia.
Toujours le sourir aux lèvres elle colla son front à clui de Tom et murmura des choses innaudibles.
Le souffle d l'un et de l'autre s'échouait sur leurs visages, Halalia avait posé ses mains froides sur le torse de Tom.

...: Mon Tom...

Une situation etrange, Halalia à califourchon sur Tom.
Quand Gustav et Goerg rentrairent ils les trouvèrent dans la même position, coupé du monde, dans une bulle, rien que eux.
Gustav sourit et Georg aussi, la relation qu'entretenaient ses deux-là, depassait de loin leur comprehenssion, mais les deux amis sy étaient fait.

Sournoisement tapis dans l'ombre, la vengance du chanteur attendait, pre^te à bondir, s'impatientant...

Vengance se delectait déja.
Un plat froid certe, mais un plat comme même.

...: Salut!

...:'lut.

Georg était parti dans sa chambre.

Un mois quil était revenu et un mois quil sen allait quand Bill arrivait, un mois durant lequelle il a refusé de lui parler.

...: Toujours de mauvais poile le yeti? Tu devrais essayé la coc' ça te debriderais.

D'un geste violent Bill se retrouva plaqué contre le mur, la cage torasique sous la pression des bras de Georg.

...: pppfff... t'en vaux pas la peine.

D'un cou sec le chanteur se retouva au sol et se releva en entendant la porte de Georg claquer.

...: ça en fera plus pour moi.. du con.

Tous avait vu la scne et personne n'avit réagis.
Halalia toujours sur Tom et Gustav terminait un livre d'Aldus Huxley.
Bill fut pris d'une rage profonde en voyant son frère et son amie si proche.

Il était temps de réparé l'injustice...

...: Halalia? Tu viens faire du shopping avec moi?

Elle se décolla de Tom.

...: euh...

Tom serra ses bras autour delle pour lui faire comprende sa désprobation.

...: Au même endroit que la ernière fois, s'il te plait!
...: D'accord.

Pourquoi pas?
Elle s'était bien amusée la dernière fois.

Le même centre commercial, les même magasins.

...: On va chez Dior?

Il y avait endore plsud monde que la dernièr fois, la nouvelle collection était sortie.

...: Je...
...: Allé, on ne restera pas longtemps.

Regard de chien battu, sourire en coin, il avait acquis sa confiance... enfin...

Elle fit trois pas vers la cohut, puis stoppa, hésitante.

...: Ben? avance, dit Bill en la poussant un peu dans le dos.


Le coeur au bod de l'explosion, un noeurd dans la george, les larmes qui pique les yeux, le vertige, le tournie, la perte des repères, et Bill qui souriait.
Ses jambes la lachèrent, elle ferma les yeux, Bil souriait toujours.
Les larmes dévalaient ses joues, son sang qui cogne dans ses tempes, et Bill qui souriait toujours.
Le souffle qui manquait, le bruit qu'elle ne suportait pas et Bill qui souriait toujours.

...: Alors, on a peur de la foule?

Il s'était accroupit près d'elle fintant une tentative de secours. Une jubilation dans la voix, une lueure de folie dans les yeux.

...: Ben debout!

Et Halalia desemparée comme une vielle merde à terre. Tous regardaient la scène avec attention, tel des rapaces scutant le ciel à la recherche du moindre lambau de chair.
Bill c'était redressé, pret à tourner le dos et à l'abanonner. Bon debaras.

Vengance avait été libéré, c'était un vrai carnage...


Il est resté figé en le voyant, lui l'a contourné avec un regard méprisant.

...: Je suis là maintenant...

Il les avait suivit, trop douteux, il avait senti, lien précieux.
Bill ne pouvait pas être heureux, et pourtant il était, il le sentait, quelque chose clochait...

Il la soulevé comme la première fois et est sorti avec elle comme la première fois.
En esperant que ce serai la dernière...

...: Je t'avais prévenu.

Elle s'était endormi dans le van, épuisée.
Il n'avait ien dit à son jumau et son jumau à mordu sur sa chique.

Loupé...

Il l'a porté jusqu'a la chambre, l'a allongé et a enlevé ses chaussures avant de la couvir.
Les autres ont voulu savoi, il le leur a raconté.
Bill a foncé ans sa chambre, une piqûre et un peu plus. Un ticket vers un monde ou elle ne serait pas, plus...

...: ...

Elle venait à peine d'ouvrir les yeux, Tom se tenait devant elle.
Que réponse donner à ça?
Elle se rammassait toutes ses illusions en pleine face.
Pas de rêve pour Halalia, plus de rêve juste une promesse...

Elle avait mal, une douleur poignante au coeur, les yeux de son Tom était vitreux.
Lui aussi aurai espéré que tout se passe bien.

Mais les espoirs ne sont fantaisie dans la réalité.
Et Tom avait arrêté d'esperé...

Plus un mot n'a plus été échangé, Gustav a apporté de quoi mange à Lalia, Georg parlait avec sa petite amie, et Tom s'est enfermé dans le mutisme.

Que se serait-il passé si il n'avait pas été là?

Le simple fait d'envisager un tel scenario le mettait hors de lui.

Sa moitier, son doubble, son tout, son unique, SON FRERE.
Sa moitié, son doubble, son tout, son unique, SON
sa moitiè, son doubble, son tout, son unique,
Sa moitiè, son doubble, son tout, son
Sa moitiè, son doubble, son tout,
sa moitiè, son doubble, son
Sa moitiè, son doubble,
Sa moitiè, son
Sa moitiè,
Sa
Rien.

Un inconnu partageait son sang, son visage, son ADN, son ame.
un monstre au doux visage sans foi ni loi.
Un fardau à qui il avait tourné le dos et qui le rattrappait.

Un vide, un trou, un gouffre, un manque
Un jumau absent, un coeur mort, une voix muette, Bill...

Il regardait pas la fenêtre, laissant s'échapper l'utopie du bonheur derrière les tuiles rouges.
Elle l'observait sans force, ni courage, elle était vidée.
Tom lui envoulait, elle s'en voulait...

Le remord, rien de pire que le remord et celui-ci avait prit possesion de son coeur.
Un poids dans le bas du ventre, une envie de vomir mais rien ne sort, un dégout inexpilqué pour soi même.
Elle regarait le dos de Tom se souleve legèrement à chaque repiration. Elle avait l'impression d'être devant une muraille invisible, son visage était fermé, son coeur endurci.

Puisque ce qui ne tue pas rend plus fort, jusqu'ou s'étaient élevées les fortification autour du coeur de Tom?

Gustav était toujours egal à lui même, Halalia ne sortait plus et s'ennuiait à mourir, Tom passait son temps avec guitare et Geog passait ses journées au téléphone avec Laurie-Anne.
On peut dire que l'episode du centre commercial avait jeté un froid en Lalia et Tom, mais personne n'osait y faire allusion.
Bill fier de sa connerie enchainait les filles, la poudre, les médocs et l'héro. Il avait même l'intention de gouter le champignon hallucinogène.

...: Salut les jeunes!
...: Salut.

Pas d'enthousiamse, David était réaparu après plus d'un mois, le sourir au lèvre.

...: Tom et Bill faite vos valises, vous partez à Munich faire une émission pour ce weekend.

Gustav se replonga dans son livre, quelque par il était content d'être le batteur dit timide du groupe, il se coltinait un minimum de sortie.
Halalia ne fit pas un mouvement, Tom s'executa et en une demie heure il avait finit son sac. Bill prit plus de temps, dur dur quand l'esprit ne guide pas le corps.
Quand la porte se ferma, Lalia eu un sursaut, il ne lui a même pas dit aurevoir...

...: Tu veux que je te fasse un gateau?

Surprise Halalia tourna son visage vers Gustav, il lui souriait.

...: ma soeur adorait que je lui en fasse quand elle déprimait, alors...

Elle acquieça et le suivit du regard avant de le rejoindre dans la cuisine.
3 oeufs, 200 grammes de chocolat noir, 150 gramme de farine, 100 grammes de sucre, 100 ml de lait pour le mouelleux et 45 minutes au four à 140°
Une odeur à baver par terre se dgageait dans toute la maison.
Le gateau prèt, Gustav en coupa dux énorme part et en donna une à Halalia. Ils mordurent tous deux et savourèrent leur bouchée.
Une simple affirmation, Gustav était un cordon bleu.

Il lui avait rendu le sourire. Il avait le don pour detendre l'atmosfère.

...: Tu veux faire quoi?
...: Je ne sais pas, qu'est-ce que tu aimes?
...: La musique et lire.
...: Va pour la musique.
...: Je ne sais pas si tu vas aimer...
...: On verra.

La batteur ouvrit une armoire qui en fait était une bibliothèque de disc en tous genre.

...: Tous ça c'est à toi?
...: Non un peu à tout le monde, on achète et on les range ici.

Ils s'assaièrent en tailleur, Gustav enclancha la stereo tandis qu'Halalia admirait la pochette du CD.

...: Slipnok... Il m'on toujours fait peur.
...: Le son c'est du tonner, en plus la batterie...

Hard Rock:
une évolution naturelle de la musique de l'époque (The Beatles, The Rolling Stones, The Who...) tant par la technique que dans la sonorité.
Il se caractérise par l'utilisation d'un trio de base constitué d'une guitare saturée, d'une guitare basse et d'une batterie. On ajoute à cela une certaine agressivité, tout en restant proche des racines blues et rock.
Le son des guitares électriques utilisé dans le hard rock est dit « saturé ». Il s'agit d'un son très riche en harmoniques, et qui dégage une impression de puissance et d'agressivité.

Dabord une véritable agression pour les oreilles.
Puis on s'habitu à la violence des notes.
Ensuite on apprècies le chaos de la musique.
Enfin les cris sauvages et pertinants du chanteur.

Comment décrire...

Cerain aime d'autre pas et halalia aime, contre toute attente elle bouge sa tête en rythmes avec les batteur à s'en donne le tournie.
Ses cheveux se secouent dans tous les sans, un concretisation de la déchéance du son qui àpenetre son coeur.

Violent?
Sauvage?
Sans finesse?

Oui, evidement, après tout le violence ne fait-elle pas parti de l'homme?
L'homme n'est-il pas un être sauvage qui rejette au plus profond de lui sa nature?
L'homme prend-il des gants lorsqu'il saccage tout sur son passage?

Entre la douceur du chocolat et la brutalité de cette musique, Lalia et Gustav avait trouver le juste milieu.
Entre le gouter et l'ouïe, les contraste se fesaient l'amour dans l'esrit des deux jeunes gens;
Et eux souriait parce qu'au fond ils savouraient un moment de bonheur, tout simplement.