[T]33 Kilos d'Espoir (4ème Topic)

Awe...je pleure comme jamais...J'ai aucun mot, sauf "la suite". J'ai jamais pleure en lisant une fic. Jusqu'a maintenant.

Waaaaa
Je veux pas qu'elle meurt,
Tout le monde a besoin d'elle,
Bill et les deux petits Bébé <3
Et tout les autres aussi
La suiite<3

Voilà votre réponse aux coms ! j'espère qu'elle vous plaira.

Bizzzzzzzz
Milie

agathe, j'me suis légèrement gourrée... le commentaire par rapport à ton âge était en fait destiné à louloustart, dont le nom était juste en dessous du tien >< mais bon, ça n'empêche pas que je t'aurai quand même pas donné 15 ans (bientôt ^^). Bref.
ça m'embête pas du tout de te donner ma fiction et ça me prendra aucun temps puisque je l'ai sauvegardée dans mon pc (et ma clé usb ok maggle). Faut juste que tu me passes ton adresse mail. Par contre, j'ai commencé les modifications sur les 5 premiers chapitres, histoire d'embellir un peu l'écriture... alors si tu préfères attendre d'avoir tous les chapitres modifiés avant que je ne te l'envoie, préviens-moi ^^
Tu trouves vraiment que Georg avait abusé sur cette suite?
Oh Agathe, on est toutes dans ton cas, à nous morfondre sur notre vie alors qu'il y a pire que nous... rassure-toi, t'es pas la seule. Je le fais aussi, et c'est pour ça que j'ai écrit cette fic. Pour me montrer à moi-même qu'il y a bien pire que moi, et qu'on peut être heureux avec pas grand chose.

Ma Perv'EZ, si tu te recomprends pas toi-même, même après relecture, je peux plus rien faire pour nous XD. nan j'connais pas cette Tanya au pseudo rouge sur DL... J'm'en suis peut-être inspirée inconsciemment, mais j'vois pas du tout qui c'est (j'irai voir ^^) HEY, j'étais même pas invitée au gala !!!! (en même temps t'aurais eu du mal à me payer le billet >< brefouille, maggle).
J'te rassure, le con n'a pas refait des siennes (même si c'est pas un con ^^)
Oh, ça c'est super bien passé. T'inquiète (Ich denk' an dich , ça veut dire "je crois en toi"??? ^^)

Clem, tu sais ta vérité elle me fait trop du bien quand j'en ai besoin... alors merci. Et puis ton "bonne chance pour le bac" m'a sûrement été profitable, vu les notes que j'ai eu (j'arrive toujours pas à y croire en fait...)

tomforever92, j'ai réfléchis. Et effectivement, je crois que je voulais faire une intro à la Desperate Housewive dans cette suite... mais je sais pas si le résultat final est satisfaisant par rapport aux autres suites ^^
C'est Franziska qui a sûrement insisté pour faire la cuisine. Elle ne peut pas rester sans rien faire plus de deux secondes (pire que Tom xd) En fait, je dirai qu'elle a subit sa grossesse sans trop se poser de questions. Elle était tellement contente d'être enceinte que ça ne l'aurait pas dérangé d'accoucher plus tard.
Georg se doute bien que c'est pas un expert Bill... mais il se débrouille quand même assez, c'est pour ça que Georg a quand même tenté le coup. (Estelle se serait écroulée de rire si elle l'avait pu. xd)
Oh, Maria-Eva adooore taquiner Tom quand il s'agit de choses ayant attrait à sa sexualité de loin ou de près, surtout quand il est aussi paumé qu'à l'hôpital, mais je te rassure, Tom n'en rate pas une lui non plus.
Je m'auto-permets fréquemment ce genre de cassage d'une suite trop fleur bleue ^^ pardonnez-moi lectrices. Qu'est-ce qu'il faisait dans le coin de la maternité? Ben il allait rendre visite à des collègues XD
Je ne savais pas que j'avais le pouvoir de faire changer mes persos d'humeur, comme tu le dis ... Au fait pour le "fermement"... c'est pas le mot que je voulais dire. mais comme j'en ai pas trouvé de meilleur pour le moment, j'ai préféré laisser comme ça. Tu trouves vraiment que c'est la femme qu'il faut à Tom? Je suis contente alors ^^
Oui, c'est vrai qu'ils sont tous les deux responsables...mais comme c'est Franziska qui a accouché, Maria-Eva estime (et moi aussi) que la souffrance vécue mérite bien punition pour le mari xd (ben quoi c'est vrai, eux n'ont fait que...bon, on épargnera les détails xd)
Oui, le langage des signes est assez pratique de ce côté là ^^.

faina91, j'adore ta sign'... et j'suis contente de voir que malgré le temps qui a passé, tu as quand même continué à suivre ma fic'... merci beaucoup.

laurene, ce que j'aime avec toi, c'est que les trucs les plus débiles que je puisse écrire te font à chaque fois mourir de rire. ça me rassure, je me dis que mon humour n'est pas si merdique qu'il en a l'air xd
Toi aussi tu as aimé le coup du vase??? <3 ça me fais plaisir (pauvre Georg)
Oui, c'est vrai que je vous gâte...mais ça me fait plaisir alors je ne m'en prive pas. (me tue pas... c'est pas bien de tenir avec Ariane)
Non c'est vrai, elle ne peut pas mourir. Mais ça t'empêche pas d'avoir la frousse hein? ^^

sophie483, merci de continuer à me lire, même si la fin approche. Même si tu restes assez discrète sur ce que tu penses de mes suites, rien que le fait de savoir que tu as lu et que tu demandes la suite me fait du bien ^^

Ma radoteuz', tu sais, le fait que tu dises que ma suite est parfaite, ben je sais pas si j'dois te croire... Tes coms ils sont trop beaux, que j'ose à peine croire qu'ils me sont destinés <3 T'as fait partie des meilleurs rencontres que j'ai faites cette année. Merci. Merci pour tout.
(Bordel arrêtez de vous droguer à mon histoire je vais finir en taule !!!!! XD)

Ariane, quand tu dis que les paroles de Bill sont très recherchées dans cette suite... ça voulait dire que c'était bien et qu'on avait l'impression que son raisonnement s'enchaînait???
Musique : Best of Me, de Sum41 (ou With me, cette chanson va aussi. Mais je préfère l'autre, ça marquera plus le fait que je suis désolée du retournement de situation de ma fic ^^)
Couleur du cercueil : même couleur que ma guitare (elle est en cèdre je crois)

[-°Piitiite No'°-], ton mot là : sublimissime... j'étais sur le cul en le voyant dans ton com. J'm'y attendais pas, ça m'a fait le coup d'une bonne baffe. Mais merci. merci mille fois (je passe mon temps à remercier le monde en ce moment ><)
J'ai l'impression que tu as aimé le fait que Maria-Eva ait donné naissance à des jumeaux ^^ (rassure-toi, elle ne mourra pas)

CaCaHuète, ça faisait un bail !!! Oh, je suis désolée de t'avoir fait pleurer. Je ne pense pas qu'elle mourra, sincèrement (de toute façon si ça arrive je me fais buter par toutes les lectrices ><)

lalaline merci pour ton com qui m'a fait très plaisir.

@2line, qu'est-ce qui t'énerve??? NON, Ariane une sadique???? AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH ! xd.

Billirina, merci beaucoup pour ce com qui m'a très touchée...

@2line, tu sais j'suis encore plus sadique qu'ariane alors... ça fait un an et bientôt 8 mois que je prive mon chéri de tu sais quoi XDDDD (il commence à péter les plombs d'ailleurs... brefouille) Bon c'est vrai que j'brûle pas les moustiques et les abeilles, mais ça encore j'le ferai de bon coeur, parc que c'est méchatn ces petites bestioles ^^ XD

Bizzzzzz
Milie

Bonjour donc voila la folle qui vien de se taper les 3 topic plus le debut du 4° tous ça pour te dire que j'aime trop ton histoir et que je voudrais bien avoir une suite x)

Donc voila bon courage pour la suite et ne t'arrête pas d'écrir ! =)

Oh ma Filante. ça me touche beaucoup que tu me dises ça. Et je peux te dire la même chose. Tu fais parti de ces merveilleuse rencontre que j'ai faite sur ce forum (que Dieu le bénisse). Et pour ça, j'crois qu'on peut remercier cette beauté inoubliable, cette étoile venu de ce ciel trop sombre, cette histoire, faite par toi. Je ne te dirai jamais assez que tu as un talent fou & que le fait que cette fiction soit bientôt finie me fou une boule au ventre plus grande et énorme que tu ne peux l'imaginer. Ta fiction restera dans ma mémoire aussi longtemps que je serai sur cette terre. Ce sont les plus beaux mots que j'ai pu lire. C'est la plus belle histoire. C'est la meilleure. Je ne veux jamais que tu t'arrêtes d'écrire tu entends ? Dès que tu as fini cette pure merveille, tu t'attaques à une nouvelle (bien que je sais déjà quelques trucs ). Tu sais, je me dis que rien ne pourra dépassé cette fiction, même venant de ta part. Mais je veux que tu me prouves le contraire. Je te prend carrément au défi ma belle. Fais moi rêver encore plus que tu ne l'as déjà fait. Fais moi sourire encore plus que tu ne l'as déjà fait. Fais moi pleurer encore plus que tu ne l'as déjà fais. Donne moi ces putains d'étoiles & je sais que tu le peux. J'pourrais jamais me passer de tout ça, c'est quasiment impossible. Et si par malheur, on perdait contact toute les deux, purée, tu ne sais pas comment ça me ferrait chier. (pardon pour l'expression). Tes racontages de life me manquerait beaucoup trop & toi encore plus, comme c'est pas possible.

J'crois que je vais stopper mon monologue parce que j'suis carrément HS là.

Pour en venir à ces deux dernières suites. Je suis complètement accro. C'est impossible. J'aime tout dans ton écriture. Tu dégages des sentiments de fou.
Je ne m'attendais pas à des jumeaux. J'trouve ça vraiment bien & j'ai hate de savoir leur prénom.
Et puis, bien sur, tu ne peux pas faire mourrir Maria-Eva sinon je participe au meurtre ok ?

Allez gros bisous ma Filante & ponds nous une suite le plus vite possible.

Je t'adore.

Ps: Un comz de trois kilomètres, un !

[center]lol

ca me fait du bien d'écrire se que je pense au fond de moi sur ta fic !

d'abitude j'en parle pas !

mais t'as fic m'ouvre les yeux

et me donne envi de l'écrire pour me dire que je l'ai pensé une fois :p

mon adresse mail elle est sur mon profil normalement !

et je veux bien les suite modifié :p

bref vivement la suite !

bisous

[b]

Elle n’eut pas de réaction, mais Bill sentit que son pouls s’était légèrement accéléré. Il lui embrassa tendrement la main et prit la parole à son tour.
- Mon ange, tu sais, ça fait sept jours entiers que je te veille. Et chaque seconde qui passe augmente ma peur de ne jamais te revoir éveillée. Je ne mange plus, je dors à peine, et encore, d’un sommeil si léger que le moindre changement de rythme de ta respiration me fait me lever en sursaut. Je pense beaucoup à notre situation présente, aux bébés et à moi. Tu sais, il sont si petits ! Ils pourraient tenir sur mon avant-bras. Des petites crevettes, comme les surnomment les infirmières qui s’occupent d’eux en couveuse. Notre fille est très vive. Elle te ressemble beaucoup, même si elle a hérité de mes cheveux blonds, bien dissimulés sous ma teinture. Le garçon lui est plus feignant, moins énergique, un peu comme moi à la naissance. Il ne se réveille que quand il y a de la nourriture à proximité, ou quand il sent mon odeur.

Bill parlait, parlait. Il n’avait pas remarqué que les machines autour de Maria-Eva avaient commencé à clignoter, pas plus qu’il ne s’était rendu compte que son frère souriait à s’en fendre les lèvres. Le chanteur avait baissé la tête et caressait doucement la main de la jeune femme, tout en continuant à parler.
- Et tu sais, quand tes gosses me regardent, je ne peux pas m’empêcher de sourire, parce qu’on dirait qu’ils ont de grosses billes à la place des yeux. Ils me regardent vraiment avec des yeux exorbités, comme s’ils se posaient beaucoup de questions à propos du grand dadais coiffé bizarrement qui vient les voir presque tous les jours. Mais surtout, j’ai l’impression qu’ils cherchent quelqu’un qui devrait m’accompagner. Tu sais, une présence féminine dont la voix les a rassuré pendant les six mois et demi où ils sont restés bien au chaud alors qu’ils se formaient. Et quand je vois leurs yeux avides, j’aimerai bien leur expliquer que leur maman dont ils ont tant besoin dort sur un lit d’hôpital, et qu’elle risque de ne pas se réveiller… Mais les mots n’arrivent pas à franchir mes lèvres. Je ne peux pas détruire les petites étoiles que je vois dans leurs yeux et qui font le charme de leur innocence, ça me ferait trop mal. Je n’arrive pas à les rassurer, pas plus que je ne leur trouve de prénoms. Je ne m’en sors pas quand tu n’es pas là pour m’aider.
Une larme coula à nouveau le long de sa joue.
- J’ai déjà du mal à m’occuper de moi-même, alors je n’imagine pas ce que ça sera quand j’aurai les deux petits à charge. Au final, je ne fais pas un si bon père que ça, contrairement à ce que tu m‘avais affirmé lorsqu‘on dormait encore tous les deux ensembles avec ton gros ventre entre nous, murmura-t-il doucement.
- Bill, le manque de sommeil te fait dire des conneries pas possibles, grommela une voix faible. Tu as été un père super jusqu’à présent.
Il leva brusquement la tête et croisa le regard bleu océan qu’il avait tant cherché ces derniers jours.
- Maria-Eva…
Il n’osait le croire. Elle était réveillée, enfin. Les larmes aux yeux, il s’assit sur le rebord du lit et la serra dans ses bras avant de l’embrasser passionnément.
- Putain, tu m’as manqué, comme tu m’as manqué ! murmurait-il entre deux baisers salés par ses larmes. Ne me refais plus jamais ça, plus jamais ça bordel… Merde, j’y crois pas, putain…
- MR KAULITZ, si je vous entends encore une fois dire des mots aussi vulgaires et qu‘on entend depuis le couloir, je vous jette de l’hôpital comme un rustre à grands coups de compresses froides ! S’écria en entrant l’infirmière qui avait soigné Maria-Eva peu de temps auparavant.
Cette dernière s’arrêta sur le pas de la porte, la bouche grande ouverte, lorsqu’elle comprit la raison de l’élan de joie de Bill.
- Docteur Klein, venez vite, la petite s’est réveillée ! Docteur Klein !!!
Les trois amis, qui étaient restés interdits à son entrée, ne purent s’empêcher d’éclater de rire.
- Je file prévenir les autres, fit Tom en embrassant Maria-Eva sur la joue une fois que leur fou-rire fut passé. Ils vont sauter de joie.
Il sortit en courant, laissant les deux tourtereaux seuls quelques instants. Maria-Eva enleva l’alliance que Bill lui avait donné avant son opération et la lui remit au doigt.
- Merci, lui murmura-t-elle avant de l’embrasser à nouveau. Elle m’a été d’un grand secours quand j’étais dans les vappes, incapable de me défaire de mon sommeil.

Bill répondit à son baiser puis nicha doucement sa tête dans le cou de la jeune femme, se gorgeant de l’odeur fruitée et chaude de sa peau qu’il pensait ne plus jamais sentir autrement qu’en rêve.
- Bill, je suis guérie ? lui demanda la jeune femme doucement.
- Oui ma belle, bel et bien guérie.
- Ils sont beaux ?
Bill devina qu’elle parlait de leurs bébés.
- Les plus magnifiques que la terre ait jamais portée. Et aucun n’est porteur de ta maladie.
Elle frotta doucement son nez contre le sien en souriant, avant de reprendre doucement possession de ses lèvres. La vie allait pouvoir reprendre un cours normal et tranquille, jusqu’à la fin de leurs jours.

____________________________

Et c'est là qu'il crèvent shootés par un camion !!!!
(se fait lapider) C'ETAIT UNE BLAGUE !!!!!!!!!!!!!!!!

Plus sérieusement, je posterai sans doute ce soir le dernier chapitre, l'épilogue. Histoire de bien planter ma fin heureuse et de me régaler à l'aide de quelques petits retournements de la situation marrants. Je plains les parents xd

Bizzzzzzzzzz
Milie

PUTAIN DE SA MERE !!!!!!


Je suis trop contente là.

Ah non, en fait. C'est fini .... enfin bientot !

Je t'aime ma filante !

wAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Je suis trop heureuse
Oui tu as raison, je suis super contente qu'elle est eu 2 bébés<3
J'ai même pas de mots xD
C'est tellement Fantastorifique =D
Sublimissime,tous les motssont trop faible
La suiite<3

Ça faisait deux mois que Maria-Eva s’était réveillée, et pour la première fois depuis leur naissance, les jumeaux allaient sortir de leur couveuse. Comme ils avaient atteint un poids et une taille raisonnables et que leurs vies n’étaient nullement en danger, les médecins de la maternité avaient donné leur accord pour que Bill et Maria-Eva les ramènent à l’appartement.

C’était la première fois qu’ils tenaient leurs bébés dans leurs bras, alors ils étaient un peu intimidés. Mais l’infirmière de garde les mit vite en confiance, et ils cessèrent de craindre que le moindre geste un peu trop vif de leur part puisse blesser ces petits anges.

Ce fut à ce moment qu’ils se décidèrent définitivement sur les prénoms qu’ils porteraient. Il y aurait Matéo et il y aurait Chloé. Les deux bambins eurent les yeux grands ouverts pendant tout le trajet vers l’appartement. C’était la première fois qu’ils sortaient de leur monde fermé, alors tous leurs sens étaient en éveil, et leur curiosité mise en avant.

L’arrivée de Matéo et Chloé apportait une nouvelle bouffée de joie à l’appartement. Tout le monde se pressait auprès des petits arrivants. Maé leur offrit sa peluche en guise de bienvenue, ce qui fit bien sourire Maria-Eva, parce que c’était elle qui avait donné à sa filleule le nounours pelucheux à qui il manquait un œil.

Les jumeaux n’avaient pas l’habitude de tant de sollicitations. Ils s’endormirent très vite après leur bain et leur biberon, épuisés par tant d’émotions fortes en même temps.
- Ils ne sont vraiment pas difficiles par rapport à la mienne, fit Véronica à Maria-Eva après avoir couché tant bien que mal Maé.
Maria-Eva regardait ses petits, qui dormaient paisiblement dans le salon dans un grand berceau placé dans la pénombre.
- On verra si ça dure, murmura-t-elle après les avoir embrassés. J’attends de voir si les nuits sont aussi calmes que les soirées.
Elles s’installèrent dans la cuisine où se trouvaient les autres, attablés devant une pizza fumante.
- Alors Georg et Estelle, quand est-ce que vous adhérez à la baby-boom THienne ? demanda Tom après avoir attaqué son bout de pizza.
Estelle faillit s’étouffer avec le bout qu’elle était en train de mâcher.
(Tu ne trouves pas qu’il y a déjà assez de gosses par ici ?) s’exclama-t-elle lorsqu’elle reprit son souffle.
- Justement, un de plus, un de moins, ça ne changera pas grand-chose. En plus j’ai l’impression que tu as pris du ventre ces temps-ci…
- ça c’est parce qu’on ne danse plus depuis le concours, répliqua Jordan pour prendre la défense de sa partenaire. Mais je doute qu’elle soit enceinte comme tu le supposes. Ou alors c’est que Georg l’a changée totalement.
(NON je ne suis PAS ENCEINTE !) rumina Estelle.
- Et de mon côté, je ne suis pas encore chaud à l’idée d’être père, termina Georg avec un sourire. On prendra le temps qu’il nous faudra. Qui sait, peut-être qu’un jour on changera d’avis.
Il y eut un court silence.
- N’empêche, fit Gustav, l’appartement commence à être petit pour tout ce petit monde…
- C’est ce que je pensais aussi, acquiesça Bill. Peut-être qu’on pourrait envisager de s’acheter un appartement plus grand, voire une petite maison avec jardin, ça serait super pour que les gosses puissent jouer.
- Il faudra y réfléchir, reprit Franziska songeuse. Mais ça me fera quand même quelque chose de quitter cet appartement. On y a vécu tellement de choses…
- On n’en est pas encore au déménagement, fit Tom en lui prenant doucement la main pour la rassurer.
- Le temps que nous trouvions l’endroit idéal, je pense qu’on aura encore de bons mois à passer au chaud ici, tous ensembles, finit Maria-Eva.

Le reste du repas se déroula joyeusement, et était entrecoupé de sujets de discussions aussi divers que la prochaine tournée des garçons, les examens réussis pour Jordan et Estelle, Véronica et Franziska, Maé, qui commençait à regarder avec intérêt son père jouer de la batterie, l’exposition de Maria-Eva qui continuait à battre son plein, ou encore les enfants. Tom félicita d’ailleurs son petit frère et sa belle-sœur en disant qu’ils étaient les premiers à avoir créé un petit garçon - l’honneur du groupe était sauvé -. Matéo serait tout de même bien choyé au milieu de toutes ces petites filles.

Bill de son côté ne pouvait s’empêcher de regarder Maria-Eva. Il était heureux. Elle mangeait de nouveau avec appétit, elle n’avait plus besoin d’être suivie par un médecin, et surtout, elle n’était plus obligée de prendre ses médicaments qui l’avaient suivie durant de nombreuses années. Elle savourait pleinement cette victoire sur son corps, et ses yeux bleus qui pétillaient de nouveau d’un feu secret ayant pour nom l’espoir le rendaient plus joyeux qu’il ne l’avait jamais été.

[…]

Il était près de minuit. Maria-Eva terminait tranquillement un dessin, assise face à la fenêtre. Bill entra dans la chambre, vêtu d’un simple peignoir, les cheveux encore humides.
- Voilà, je suis près à sombrer dans un sommeil profond, fit-il en l‘embrassant dans le cou.
Elle traça encore quelques traits puis posa son bloc-notes et répondit à son baiser.
- Hey ! Mais dis-moi, tu es devenue bien dodue toi ces derniers temps, s’exclama Bill avec un regard appréciateur tandis qu‘il palpait doucement ses côtes.
- Tu trouves ? lui demanda-t-elle avec un sourire équivoque.
- Et comment ! Encore un peu, et je pourrais te passer à la marmite.
Elle rit doucement.
- Je croyais que vous vouliez me manger toute crue, Mr Kaulitz.
- Ah mais non, répliqua Bill tout sourire en la soulevant et en la portant jusqu’au lit, où il la déposa doucement avant de se mettre au-dessus d‘elle. Je préfère mille fois l’odeur et le contact de ta peau fiévreuse contre moi, ça me met tout de suite en appétit.
- Et comment me ferez-vous cuire, vous n’avez pas de marmite assez grande ici !
Il lui enleva le tee-shirt avec lequel elle dormait et caressa du bout des doigts sa peau encore pâle.
- Je te ferai mijoter sous mes caresses et mes baisers ardents, souffla-t-il tandis qu’il lui embrassait le creux de la clavicule.
Elle frémit.
- Les gourmands se brûlent toujours lorsqu‘ils préparent leurs repas, tu sais… fit-elle en défaisant la boucle du peignoir de son amant et en faisant des petits cercles avec ses doigts sur son torse.
Il se mordit la lèvre et bascula légèrement sa tête en arrière, les yeux fermés. Puis, il la regarda, les yeux emplis de désir.
- C’est un risque que je prends sans hésiter. Tu mérites bien cette attention, et mes brûlures seront dérisoires si je les compare au plaisir que j’aurai à me délecter de ta chair tendre…
Elle l’embrassa et fit doucement glisser le peignoir le long du corps de son amant. Ce dernier s’en débarrassa rapidement et continua ces préliminaires pour le moins enflammés.

Alors qu’ils étaient au point d’aller plus loin dans la quête du corps de l’autre, un pleur de bébé se fit entendre.
- Oh merde…marmonna Bill.
Il regarda sa compagne, comme écartelé entre deux choix.
- Si je décide de faire patienter bébé une dizaine de minutes, le temps d’assouvir mon besoin viscéral d’unir nos deux corps, je serai un mauvais père ? demanda-t-il finalement en faisant la moue.
- Oui, déclara-t-elle en se retenant de rire, légèrement essoufflée.
Il jura et roula sur le côté, tentant de calmer sa respiration.
- Non, reste-là, dit-il alors que Maria-Eva commençait à se lever. J’y vais. Je ne serai pas long, promis.
Il enfila son caleçon et ouvrit la porte.

C’était Matéo qui pleurait dans le berceau à s’en déchirer les cordes vocales. Bill le prit dans ses bras et le regarda dans les yeux.
- Allons Matéo, qu’est-ce qui ne va pas ? murmura-t-il. Tu as faim ? Tu as fait un cauchemar ? Ta couche ne sent pas la rose ?
Matéo prit l’auriculaire de son père entre ses doigts et tenta de le téter.
- Ok, tu as faim. Attends un peu, ça arrive.

Il alla dans la cuisine et prépara un biberon d’eau sucrée. Le petit garçon le prit avidement et le but en regardant son père dans les yeux. Bill rit doucement tout seul en regardant ses petits yeux qui étaient devenus noisette et ses tout petits cheveux noirs qui commençaient à boucler, comme ceux de sa mère.
Lorsque Matéo fut repus, il le recoucha sans oublier de le faire roter. Il commençait à avoir l’habitude vu qu’il s’était occupé de Maé et de Tanya quand leurs parents étaient trop crevés pour se lever.

Il en profita pour réveiller Chloé et lui donner aussi son biberon, sachant qu’elle le ferait une heure plus tard pour réclamer s’il ne le faisait pas. La petite semblait toujours dormir alors qu’elle buvait. Il put cependant regarder à loisir ses petites prunelles bleues, qu’elle ouvrait de temps en temps pour le regarder dans les yeux. Il adorait ses enfants, et avait déjà pardonné à Matéo de les avoir dérangé sa mère et lui. Le spectacle des petits monstres en train d’engloutir lentement mais sûrement leur biberon en valait bien la peine. Il couvrit les deux petits et s’engouffra dans le couloir après les avoir embrassés.

Alors qu’il retournait dans la chambre, il s’aperçut que Maria-Eva dormait.
- Oh non Maria-Eva, tu ne vas pas me faire ce coup-là… soupira Bill, dépité.
Voyant qu’elle n’avait pas eu la force de l‘attendre avant de se laisser aller au sommeil, il dut admettre que ce soir, il devrait se coucher en restant sur sa faim. Il s’allongea alors à côté d’elle et tenta de fermer les yeux.

Il sentit alors sa compagne se relever et s’asseoir à califourchon sur lui. Il ouvrit les yeux et la vit lui lancer un sourire.
- Tu croyais sincèrement que j’allais te laisser en plan comme ça ? Lui dit-elle en se retenant de rire.
Il la fit rouler sur le côté pour se retrouver au-dessus d’elle.
- Tu es une très bonne comédienne, j’avoue, souffla-t-il en l’embrassant tendrement. Alors, où en étions-nous…
- Tu tentais de me faire cuire sans marmite adaptée je crois.
- Ah oui ça y est je me souviens, fit-il avec un sourire. Je sens que je vais me régaler…

Ce qui se passa cette nuit-là ne regarde qu’eux.
Souvenez-vous juste qu’ils finirent heureux.
Car même dans les moments les plus noirs,
Ils ne perdirent jamais espoir.

FIN

__________________________________

Voilà, ces trois lettres maléfiques sont écrites. Je me sens mal, vraiment mal. J'ai mis tellement du mien dans cette longue fiction que c'est un peu de moi-même que j'abandonne en marquant ce mot terrible.

Au départ, ce n'était qu'une simple fiction dont j'avais les idées en tête, et qu'une adepte de la PO (qui se reconnaîtra) m'a demandé de poster parce qu'elle voulait lire un de mes écrits. En un peu moins de 10 mois, de quelques pages et quelques lectrices venues là par hasard, cette fiction est passée à quatre topics et à un nombre de lectrices que je n'ai pas souhaité compté, mais qui reste quand même impressionnant pour une fiction de ce genre.

C'est tout d'abord vous, lectrices, que je souhaite remercier. Certaines sont là depuis le début, d'autres sont arrivées un peu plus tard, et d'autres encore viennent de se joindre à l'aventure, qui se termine déjà.

Il y en a qui sont fidèles et qui ne sont jamais parties. Il y en a qui ont décroché à un moment, mais qui ont eu le courage de revenir. D'autres ont totalement laissé tomber, et je ne leur en veux pas. On a toutes une vie, et il est parfois difficile de concilier rattrapage de fic' et emplois du temps surchargés. Il y a aussi celles qui lisent, mais qui n'ont jamais laissé de coms pour montrer qu'elles étaient lectrices. J'encourage d'ailleurs vivement celles-ci à se manifester maintenant que la fiction est finie, pour qu'elles m'expliquent ce qui leur a plu et ce qui ne leur a pas plu dans mon écrit.

Je demande d'ailleurs cela à vous toutes. J'en demande beaucoup je sais, mais c'est pour savoir ce que je dois faire pour m'améliorer encore dans ma façon d'écrire (oui, même moi je dois encore m'améliorer, même si certaines pensent le contraire ^^)

Franchement, je ne sais pas quoi dire. C'est la fin, j'ai le cerveau embrouillé et j'ai du mal à trouver mes mots. Je veux juste vous dire que, si écrire m'a aidée à m'évader de mon quotidien parfois trop opressant, je n'y aurais pas pris tant de plaisir si je ne savais pas que vous étiez là, vous les lectrices. Merci de m'avoir soutenue dans toutes les étapes de mon écriture, même lorsque vous vouliez me tuer, merci de m'avoir remonté le moral avec vos coms quand j'en avais besoin (notamment lors de la mort de Flavien), merci de m'avoir donné vos avis et surtout, merci de m'avoir lue. Parce qu'un auteur n'est rien si on ne lit pas ses oeuvres. Et je ne suis qu'une petit auteure, même si, encore une fois, vous n'êtes pas toujours de cet avis. J'ai été super heureuse de partager cette fiction avec vous. Vous êtes le meilleur cadeau que m'ait donné le forum.

Je vous avouerai quand même une chose, avant de m'en aller. Au départ, je ne savais pas vraiment pourquoi j'écrivais. Je le faisais parce que j'en avais envie, du moins c'est ce que je croyais. Mais au fil des mois, je me suis rendu petit à petit compte que je n'avais pas choisi ce titre et ce thème pour ma fiction par hasard. Et ce n'est qu'aujourd'hui, quand j'ai tapé les dernières phrases, que j'ai véritablement compris.

J'ai mis volontairement les dernières phrases en vers. Je trouvais que ça ressemblait assez aux morales qu'on trouve dans les Fables. C'est en quelque sorte le but de 33 Kilos d'Espoir. Ma morale, celle qui est devenue ma devise sans que je m'en rende compte, c'est "Gardez espoir quoi qu'il arrive" (je ne me suis pas inspirée pour rien du roman d'Anna Gavalda, 35 Kilos d'Espoir...) L'histoire de Maria-Eva, c'est un peu la nôtre à toutes. C'est l'histoire d'une jeune femme qui se retrouve un jour face à des situations où on fait tout pour qu'elle perde espoir. Mais elle se distingue de nous parce qu'elle a toujours gardé espoir. Et quand cet espoir lui faisait défaut, elle allait le chercher chez des gens de confiance. C'est le modèle auquel on devrait s'efforcer de ressembler pour avoir une vie meilleure, même si on a toujours tendance à vouloir se laisser aller et à se refermer sur notre douleur.

On a tous des espoirs. Osons faire tout ce qui est possible pour les réaliser. Car comme dirait l'autre, l'espoir fait vivre.

Avec 33 Kilos d'Espoir, j'ai pu trouver la confiance en moi nécessaire à mon envie de publier un roman. Je l'écrirai dans le courant de l'année prochaine et si j'ose me lancer, je chercherai un éditeur. ça ne change en rien mes envies de poster une nouvelle fic ici. Mais je prendrai une sorte de grande période de vacances avant poster la-dite fic. S'il y en a qui sont quand même intéressées, envoyez-moi un mp, ou signalez-le moi sur ce topic. Je vous enverrai le lien lorsque je commencerai.

Sinon, j'ai encore une chose à dire à propos de cette fic. Vous voyez le nom de la fille de Bill et Maria-Eva? Je ne l'ai pas choisi par hasard. Il appartient à une des premières lectrices fidèles que j'ai eues, et qui a disparu après le premier topic. J'ai été très troublée par sa disparition, et encore aujourd'hui je me demande les raisons qui l'ont poussé à abandonner, elle qui était si virulente dans ses commentaires. Mon dernier espoir pour cette fiction, c'est que cette jeune canadienne me lise et m'explique tout dans un dernier com, ou tout simplement reprenne contact avec moi. ça me filerait la banane, et je cesserait de penser qu'elle s'est faite ensevelir sous deux tonnes de neige.

Voilà, j'ai fini (enfin hein? ^^) Merci encore de m'avoir lue. Vous êtes des anges. Je n'oublierai jamais tout ce que vous avez fait pour moi.

Mille Bisous et à bientôt.
Milie

Ps : je continue les RAR.

Je suis contente que tu ais pris ton temps. C'est peut être la seule chose où tu ne t'es pas vraiment dépêchée pour moi... Je m'en serais VRAIMENT voulue car ton "petit mot de la fin *quel mot déprimant!* " fait partie de ton histoire (en quelques sortes...). Et si tu l’avais abrégé, ce serait un peu écorché ta fic, car tes remerciements sont eux aussi supers ! Tu sais bien que je n’ai pas le temps de te laisser un com *pourtant, j’en meurs d’envie, mais sinon je vais rater mon bus…* mais je suis malgré tout hyper heureuse d’avoir lu la fin de ton histoire merveilleuse. Elle restera à jamais dans ma mémoire. Et pour cela, je te félicite encore une fois.

Merci...
Merci pour tout.
Je te revaudrais cela.

Ma Filante. J'ai enfin lu cette suite ... cette fin.
Je t'avoue que je ne sais absolument pas quoi dire. J'en ai déjà fait dans mon comz qui t'as foutu la petite larme à l'oeil. (dont je suis très fier d'ailleurs ^^).
Tu sais, je voudrais tellement faire plus. Te dire vraiment ce que j'ai ressenti durant ces 10 mois. Alors je vais essayer. Parce que tu le mérites plus que n'importe qui.

Si je me souviens, je crois que j'ai été une de tes premières lectrices, non ? Enfin, bref, ce n'est pas important. Je me rappelle que je suis tout de suite tombée sous le charme de ton écriture, de ton histoire qui me semblait si intriguante et qui méritait amplement d'être suivie. Je n'ai pas pu décroché. Je suis devenue plus qu'accro et de voir qu'une suite avait été posté me donnait une banane pas possible. Quand est venu le moment où je me suis absentée pour des raisons X ou Y. C'est vrai, je n'ai pas eu le courage de ratrapper mon retard dès le début. Et si tu savais comme je m'en suis voulu, et même encore aujourd'hui parce que ce n'est pas ce que tu méritais. Mais je m'en souviens. Je me suis dit que c'était impossible que je laisse passer une fic tel que celle ci. Alors j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai envoyé valser ma flemmardise, et je suis revenue te soutenir dans ton écriture. Tu sais, j'ai été contente de moi, parce que, en effet, je ne me suis pas trompée. Ta fic est une merveille. Je suis retombée d'un coup dans ton histoire & une bouffée de bonheur immense m'a envahit une nouvelle fois & ne m'a plus quitté jusqu'à aujourd'hui malheureusement. Mais, on dit toujours que toute les bonnes choses ont une fin. Si tu savais comme je déteste ce proverbe. Je le hais plus que n'importe quoi. Mais c'est la vie.

Toujours gardez espoir. Oui je suis d'accord avec toi. C'est l'attitude que tout le monde devrait avoir. On a tous des moments difficiles mais la différence, c'est que beaucoup de personnes baissent les bras et s'enfoncent dans leur monde trop sombre. Tu vois, je ne sais pas si tu rappelles mais je t'ai parlé de quelques trucs. J'ai besoin de ces putains d'étoiles, parce que sans elles, je serai déjà sur un coin de la route en train de songer à la meilleure façon de m'envoler vers un monde meilleur. Tu penses que j'exagère de dire ça ? Mais pas du tout. J'ai toujours garder de l'espoir, toujours. Je me suis contentée de foutre mes problèmes de côté et d'essayer de penser à autre chose, même ne serait ce que quelques heures ou bien quelques minutes. Alors, je profite des plaisirs de la vie. Les rires, les rêves, les ami(e)s, la famille, les rencontres, le forum, les fictions, ton histoire. Si tu savais comme 33 kilos d'espoir m'a aidé. Et tu ne sais même pas à quel point. Comme tu dis, tu exprimes la notion d'espoir, et bien grace à ta merveille, j'ai renforcé encore plus mon envie d'avancer & de profiter. Je t'en remercie ma Filante. Plus que tout.

Tu as réussi à me faire passer par toutes les émotions qu'il puisse existé. En passant par les rires, la peur, la colère, les pleurs ( et je n'ai pas du tout honte de l'avouer ), le bonheur, le rêve ... et encore bien d'autre. J'me suis vraiment attachés à chacun de tes personnages. J'suis totalement tombée amoureuse de Tom dans ton histoire (quoique, c'est peut-être pas une fiction ça ^^), alors ne me demande pas pourquoi. C'est peut-être le fait de le voir autant amoureux et autant maternel, ou le fait qu'il soit un boulet fini (mais pas trop quand même ^^). Puis Georg, grand frère de notre héroïne, qui a été la en premier, et qui a toujours là. Personnage plus qu'attachant. Gustav, le protecteur, plus qu'amoureux. Bill, le sujet de l'histoire. Plus que sensible mais tellement beau dans sa personnalité ( et extérieurement aussi xD), il a su donner de l'espoir à notre Maria-Eva et il a toujours été là pour elle. Que aurait été cette histoire sans lui ?. Estelle, la grande gueule du groupe, mais super attachante et bien rigolote. Jordan, celui avec qui rien ne serait arrivé, celui qui a réussi à faire sortir cette chanson et qui a prit de gros risques. Véro & Franziska, nos mamans respectives et amoureuses de notre giutariste et batteur préférés. Elles ont toujours été là pour notre héroïne. Et viens enfin le tour de Maria-Eva. Fille pleine d'espoir. Bien dans sa tête. Qui sait prendre des décisions et résoudre les problèmes. Son objectif a été de vaincre contre cette merde de maladie et on peut dire qu'elle a réussi grace à son homme. Ya aussi les petits bouts de chous, Maé, Tanya, Chloé et enfin Matéo (qui sauve l'honneur du groupe).

Je tiens à t'adresser un grand bravo ma Filante. Oui, bravo pour cette magnifique fiction. Bravo pour cette histoire. Bravo à toi, tout simplement. Tu as un talent pas possible, et il faut que t'en rende compte. Je te souhaite bonne chance pour ce roman que tu voudrais produire, je sais que tu en es capable. Et tu mérites d'être reconnue.

Fais moi signe quand tu posteras cette nouvelle fiction. Tu sais que tu peux compter sur moi de toute façon.

Je crois que je n'ai jamais fait un comz aussi long. Et j'en suis fière. Encore une chose que tu mérites amplement.

Gros bisous ma Filante.
Et merci beaucoup pour tout ce que tu as fais.
Je t'aime.

July. Ta Radoteuz'.

Ca me fait bizzare de me dire que c'est la fin
okey je n'ai jamais laisser de grands commentaires
mais je ne trouvais jamais les mots
alors ta fic a été tout simplement génial
c'est une des rares fics que j'adore
tu écrit super bien
ta un talent fou
j'èspère voir une autre fic de toi
je te dit un grand merci pour celle-ci car j'ai Aimer
y'a pas d'autres mots
voila le plus grand com que je t'aurais écrit ^^