[T]La vie continu ou s’arrête ???

ok je suis preser

aller la suite stp ma chanteuse

bon ba je poste la suite comme je lé promi

je mé en forme et je poste

Une voix allemande et un peu grave retenti.

… (En allemand) : Pleure tout ce que tu as dans le cœur.

Ce que je fis, je pleure toutes les larmes de mon cœur, qui sortent comme des rivières. Au bout de quelques minutes plus aucune larme ne coule. Je sans une odeur, une odeur agréable. J’entends son cœur battre à toute vitesse, c’est battement fond un rythme de musique. Ces bras se desserrent de moi. Des lèvres se pose sur ma joue droite, pour ensuite laisser place à un vide. Je ne sans plus sa présence près de moi, ni son odeur, je voudrais tellement ressentir son odeur et ça présence, me sentir en sécurité, comme je me suis senti en sécurité dans ces bras et ce de Bill. La sécurité que j’ai besoin pour vivre, leurs sécurités.

Daniel : Mistig, ça va ??? Pourquoi tu es parti comme ça ??? Tu as pleuré ???
Moi : Oui ça va. Je suis parti car Florie a fait une gaffe, et je n’ai pas apprécié.

Je passe mes mains sur mon visage pour l’essuyer, l’essuyer de ces larmes qui on couler.

Moi : Emmène moi à ma chaise s’il te plait.

Il me prend par le bras, nous fessons plusieurs pas et il me dit de m’assoire. Quelque minute plus tard nous commençons à signer des papiers que je ne vois pas, mais je signe. Arriver à une certaine feuille, je sans cette odeur, l’odeur que j’ai senti il y a quelque temps, l’odeur que je veux près de moi. Une main ce pose sur la mienne, cette force de tenir, cette odeur.

Moi (En allemand) : Qui es-tu ???

Personne ne répond, mais la main ne quitte pas la mienne. Je pose mon autre main sur la main de cet inconnu. Ça main est si douce. Une voix retentie, mais je ne l’écoute pas, je suis plus inspirer par l’odeur et la mains. La sécurité est revenue. Mais repars trop vite. La main quitte la mienne. Je ne veux pas que cette main me quitte, je veux que la sécurité que je ressens reste, j’essais de retenir cette main, ...[u]

la suite please

la suite ma chanteuse j'adore

je suis préte à écrire une suite pour celle ki la ve

Ki ve la suite ???

MOI !!!!!!!!!!
suite !!!!!!!!!!!!

moi moi moi et moi

ok je vous écri une suite




Val: Tu as resus limage ???

oui merci beaucoup j'adore

je mé la suite en forme

et je poste

ok ???

oui oui oui oui

La sécurité est revenue. Mais repars trop vite. La main quitte la mienne. Je ne veux pas que cette main me quitte, je veux que la sécurité que je ressens reste, j’essais de retenir cette main, mais elle par beaucoup trop vite.

Moi : Alex, je veux que cette personne vienne dans la loge tout à l’heure et qu’il vienne avec ce qui l’accompagne
Alex : Ok, je les emmène de suite dans la loge et je viens vous chercher juste après. Moi : Ok.

Nous continuons à signer des autographes pendant plus de 30 minutes. Alex vient nous chercher. Je lui demande l’heure au passage.

Alex : Il est 14H30.
Moi : Déjà.
Alex : Oui. Tu peux t’installer. (à l’oreille) Ils sont déjà là.
Moi : Ok, tu peux aller nous chercher quelque chose à manger.
Alex : Les filles vous voulez quoi à manger ???
TLM : Pizzas.
Alex : OK, je vous amène tout ça.

J’entends Alex sortir de la loge. J’entends également des chuchotements. Je reconnais un voix, cette voix, et non ce n’est pas celle de cette inconnu, je reconnais celle de Bill.

Moi : Bill ???

Les chuchotements s’arrêtent, plus personne ne parle, plus un son dans la salle, mais une voix casse le silence, cette voix grave, la voix de cette personne inconnu, pour moi. Je l’écoute parler, sans vraiment l’écouter. Je me lève et me dirige vers le son de ça voix, ça voix grave si parfaite, comme je les aimes. Je me dirige vers cette voix, mais il arrête de parler, je m’arrête donc de marcher.

Moi (En allemand) : Continu à parler, que je te trouve, pour pouvoir enfin te rencontrer.

Ces paroles retenties de nouveau, je marche vers lui. J’arrive au niveau de cette personne. Je sans sa respiration dans mes cheveux, j’entends ...

personne néme



bon ba temp pi j'arrête décrire

j'aime desoler pour le retard

et moi je t'aime ma sadique

jadore torp suite ma mistig
kusse

je vais bientot métre la suite

vive TH, tom té tro bo a écrit:

personne néme



bon ba temp pi j'arrête décrire

je plésante je vé pas arrêter décrire

jé tro d'inspi pour arrêter

même dans la nuit quand je réve de quelque chose je vien lécrire

et quelque fois ça fait poarti de la fic

Ces paroles retenties de nouveau, je marche vers lui. J’arrive au niveau de cette personne. Je sans sa respiration dans mes cheveux, j’entends son cœur battre, ça respiration s’accélère, son cœur bas de plus en plus vite.

Moi (En allemand) : Monte mes mains à ton visage, que je puise le voire, et enfin te connaître.

Je sans des mains prendre les miennes. La sécurité revient en moi, son odeur envahie ma respiration. Ces mains sont si douce, des mains si douce, impossible à abîmer, peux être à par pas des cordes, le bout de ces doigt son abîmer. Les mains se desserrent petit à petit des miennes, il dépose mes mains sur mon visage, ce visage aussi doux que ces mains, je sans une bosse au niveau de mes pouces, je les descends très peux et découvre de l’aire rentrant et sortant, c’est son nez. Je descends mes mains, je fait les tour de cette chose, cette chose un peu humide et avec un peu de creux, des creux qui ce réuni en un seul grand creux long et courber, arriver à un deux ces coin du creux je sans quelque chose de froid et de dure, ce son des lèvres. Je remonte sur le nez et continu mon chemin vers les yeux, mais quelque chose m’empêche de découvrir ces cheveux. Ce quelque chose et doux, comme un bandeau. Je fais glisser mes doigts sur le bandeau et arrive à quelque chose de beaucoup plus dure, une plate forme légèrement arrondie vers le dessous, avec une étiquette sur le dessous. Je monte mes doigt sur cette plate forme et continu mon chemin, je cogne mes doigts contre quelque chose d’autre, quelque chose qui monte, qui monte vers le haut, ce que je fais également. Une bosse m’interpelle, elle est longue, elle n’est pas que longue elle a également différent virage. Je les suis tous, arriver à l’arriver de cette bosse, je pose ma mains sur cette bosse former de fil, je sans que ça fait un "S" accrocher à un "E" il est également accrocher à un "X", j’ai découvert ça casquette. Quelque seconde plus tard j’arrive à son dos. Je sans quelque chose sortir de ça casquette, quelque chose de long formé en queue de cheval. Je le reconnais, c’est lui, lui que j’admire tellement, il est unique, il est tout simplement Tom, Tom le frère de Bill. Je me reculs, par peur que lui aussi recul, et aussi par peur de lui faire mal. Par surprise un mot sort de ma bouche, oui un seul, ce seul mot que j’arrive à dire en cas de tristesse, cette tristesse qui ce transformait en bonheur des que je regardais son visage sur une photo.

Moi : ...

la suite

please
j'adore

que ce que je vais dire ???

tu as différent mot

mé je suis sur ke tu pe trouver !!!

"reste"