[ Terminée ] Au Mariage de l'Homme de ma Vie.

Cette fan-fiction est inspirée d’une magnifique chanson d’Etta James, All I could do was cry.






Ceci n’est pas une histoire d’amour comme on les voit dans les contes de fées. Cette histoire est l’incarnation de la célèbre phrase « Le bonheur des uns, font le malheur des autres. »
Effectivement, ma vie fut peuplée de hauts et de bas.
Tantôt si belle, si heureuse, puis finalement si triste, si désespérante…

Là où mon histoire commence, j’ai 18 ans. Nous sommes à Berlin. Le vendredi 23 Octobre 2009. Il est 14h09 quand je les vois enfin. Les Tokio Hotel. Ca faisait longtemps que je les attendais.
Je fais des études de journalisme et j’ai été chargée d’un projet que tout le monde rêve d’avoir, sauf moi. Je ne les aime pas plus que ça. Je suis plus du genre Hip Hop pas tellement rock. Enfin ce n’est pas grave car mon professeur est fan de ce groupe, donc j’arriverai à avoir une bonne note !
Je me suis renseignée sur le groupe, alors celui avec les tresses indiennes noires est Tom, le chevelu son jumeau, Bill, et les deux autres sont apparemment insignifiant pour une bonnes parties des fans et surtout des médias. Le grand balèze, Georg et le plus petit tout mignon, Gustav.
Ils m’ont l’air sympathique.
Je m’attendais à ce que Tom me fasse un sourire charmeur, mais c’est Gustav qui me le fit ! Je lui rendis un bref sourire et entrepris de me présenter ensuite.

- Bonjour à vous, je m’appelle Alison.
- Bonjour à toi Alison, nous sommes les Tokio Hotel, mais je suppose que tu connais … Me répondit Gustav.
- Oui je vous connais, mais je ne suis pas fan, dis –je en souriant.

Je leur posais donc quelques questions où le plus souvent c’était Gustav et Tom qui répondaient, ensuite Georg et contrairement à ce que l’ont voit à la télévision, Bill était très renfermé.

- Bill, une question pour vous. Contrairement aux émissions télévisées, vous ne parlez pas énormément. Êtes-vous vraiment le leader de ce groupe ?
- Non, je ne suis pas le leader de ce groupe, le vrai leader c’est Gusty, c’est lui qui prépare toutes nos interviews.
- Mais, Bill ?! Tu es dingue ou quoi ? s’étonna Gustav. Non il divague mademoiselle, le leader, c’est lui !
- Si vous le dites.

L’interview toucha à sa fin au bout d’une heure. Ils étaient très détendus. Gustav me donna un rendez vous au grand parc de Berlin, mais je ne pensais pas y aller.
Bill paraissait beaucoup plus grand qu’en vidéo ou en photo, c’était impressionnant, quelque part, il m’impressionnait beaucoup.

Nous avions échangé nos numéro de téléphone, mais aucun d’eux ne m’avaient téléphonée après un an. C’est pendant que j’étais en boite de nuit, le 21 septembre 2010, pour mon anniversaire que je les ai revu tout les quatre. Je n’osais pas m’avancer car il y avait beaucoup de filles qui leur tournaient autour mais ma meilleure amie, Johanne les a vu, elle les adore.

- Mon Dieu ! Alison, regarde ! Ce sont les Tokio Hotel ! Me murmura-t-elle à l’oreille.
- Oui, tu te rappelles, je les avait interviewé il y a un peu moins d’un an, je lui répondis.
- Peut –être se souviennent-ils de toi ! Viens, on va vérifier, me dit-elle en me trainant par le bras.

Elle poussait les gens qui lui barraient le chemin alors que je fixais Bill, un frisson me traversa l’échine lors qu’il croisa mes yeux émeraudes. Automatiquement, mes yeux se sont baissés sans que je leur en donne l’ordre.

On arriva enfin à eux, je ne savais pas pourquoi j’étais tellement gênée.

- Bonjour, leur fit Johanne, je suis l’amie d’Alison, elle n’osait pas venir vous voir !

Ca, c’était la meilleure ! Je lui donnais un coup de coude qui l’a fit rigoler.

- Vous ne vous rappelez certainement pas de moi, je suis la fille qui vous avait interviewé il y a un peu moins d’un an.
- Bien sur qu’on se souvient, me dit Bill en me fixant droit dans les yeux, mais un idiot de première à perdu ton numéro. Suivez mon regard.

Ses yeux noisette se tournèrent vers Gustav qui devint rouge comme une tomate.

- Elle ne nous a pas téléphoné non plus, répondit-il avec appréhension.
- Je suis désolée, mais je n’osais pas, je me suis dit que dès le lendemain, vous ne vous souveniez plus de mon nom.

Johanne me regarda d’un drôle d’air. **

- Tu avais leur numéro et tu ne m’as rien dit ?!
- Euh..

Bill intervint pour me tirer de cette impasse difficile. Effectivement, je n’avais dit à personne que j’avais leurs numéros, et encore moins à ma meilleure amie, sur ce coup, je me sentais mal.

- On allait partir, pour ton anniversaire, venez passer la soirée à notre hôtel ?
- Je ne sais pas si … commençais-je.
- On accepte ! répondit Johanne en me coupant la parole.
- Bon, eh bien c’est d’accord, répondis-je.

Tout cela m’avait semblé trop facile. Alors il suffisait simplement d’être assez jolies e d’avoir un tout petit contact avec eux pour pouvoir les atteindre alors que des milliers de fans n’attendaient que ça depuis des années ? Quelque part, je ressentais une mélancolie pour elles, toutes celles qui pleuraient le soir dans leur lit à cause d’eux. **

J’avais un peu trop bu ce soir là, et je ne me rendais pas tellement compte de ce qui se passait réellement. Bill et Tom avait une main posée sur ma taille, Gustav s’occupait de ma meilleure amie. Que se passait-il ?

Je me souviens qu’ensuite, nous avons regardé quelques films qui n’étaient pas très bons. J’ai du m’endormir pendant l’un d’entre eux, je me suis réveillée au milieu de la chambre. Johanne dans les bras de Gustav, dormait paisiblement. Elle avait raison de ne pas boire en soirée, j’avais mal à la tête.

J’entrais dans la salle de bain pour me voir. Une tête blonde parmi tant d’autres. Des yeux verts sans grands intérêts, cernés d’une touche de crayon noir et de mascara.
Ce jour là, j’étais habillée d’un short avec des bas, et un haut moulant simple et mes colliers de toujours. **

Bill entra dans la salle de bain au moment où je me passais de l’eau sur le visage.

- Gueule de bois ? me dit-il.
- Oui…

Je le regardais dans le miroir. Il était beau. Tellement beau, que n’importe qui aurait pu le vouloir à ses cotés. Il avait un air de jeune garçon insouciant, mais il avait l’air aussi très mature. Il était indescriptible.

- Que regardes-tu ?

Les effets de l’alcool n’étant pas encore dissipés totalement, je fus un peu trop franche. Peut-être ce qui nous a rapproché par la suite. Cette simple phrase qui a débuté une grande histoire d’amour…

- C’est toi que je regarde. Tu es magnifique…

Il me regarda d’un air surpris. J’étais aussi surprise que lui d’ailleurs.




Plusieurs moi plus tard, nous filions le parfait amour, j’étais la plus heureuse des filles.
J’avais réussit mes épreuves de journaliste, je n’étais hélas pas encore engagée dans un journal ou magazine, mais j’étais sure que tout allais s’arranger. Je n’avais aucune inquiétude. Tout allait bien pour moi.

Johanne et moi étions plus proches que jamais. On habitait tous chez les Kaulitz, elle sortait avec Georg, contre toute attente. **

J’étais persuadée que Bill était l’Homme de ma Vie. Je le savais, c’était une évidence. Il m’avait tellement consolée quand ça n’allait pas avec d’autres garçons qu’un jour, nous nous sommes embrassés.

J’étais persuadée qu’il m’était fidele. Je le savais, tout comme le reste. Mais je me trompais lourdement. Et cela allait me couter la vie.

Il me trompait avec elle. Celle qui était tout pour moi. Johanne, ma meilleure amie. Et je ne voyais rien.



*Le vent caresse ma peau pale. Il fait froid mais je ne frissonne pas. Je regarde autour de moi, pensant à tout ce que j’allais quitter… Ha ce parc. Là où je n’avais pas été au rendez-vous donné par les Tokio Hotel le jour de notre rencontre. Ma robe vol au gré de ce zéphyr si accueillant… C’est beau, c’est si beau. *


Je les avais surprit dans mon propre lit le 22 septembre 2011 à 15h29. Il la dévorait des yeux, elle de même.

- Alison ! Criai-t-elle, revient !
- Laisses la, l’entendis-je dire.

Mon dieu, qu’avais-je vu. Je courrais. Les larmes aux yeux.
Tom me vit, il essaya de me rattraper, mais la porte de la maison claquait déjà. Il pleuvait des cordes ce jour là. Je m’en souviens. Mes talons claquaient sur le sol. Ma jupe volait au rythme de mes pas. J’avais mal. J’avais tellement mal. Mon Ange, l’Homme de ma vie. Tout était partit en fumée. Pourtant mon cœur lui appartenait encore et toujours.

Je tombais sur le sol dur et froid, je tombais d’épuisement. La rue était sombre.
Depuis combien de temps étais-je partie ? Je n’en sais rien encore maintenant. Il faisait clair quand j’avais quitté la chambre de l’horreur. Maintenant, la nuit tombait. Mon portable n’arrêtait pas de sonner. Mes collants noirs, noir comme ma vie l’était désormais, étaient trempés. J’avais froid soudainement. Je me recroquevillais sur moi-même, la tête entre mes mains. J’avais l’impression que le moindre bruit me ferait exploser la tête. Mon cœur était serré. Ma gorge nouée. Mes yeux clos.
Il y avait quelques passants qui me regardaient d’un drôle d’air. Ne pensant pas que j’avais surement besoin d’aide. Ils se contentaient de me regarder et de passer leur chemin.

Je me suis endormie comme ça, jusqu’au tout petit matin. Il pleuvait toujours autant quand quelqu’un m’a soulevée et m’a murmuré des paroles réconfortantes. Je n’avais pas la force de me rendre compte que c’était Tom. Je m’accrochais à lui et il me mit dans sa voiture. Mes yeux coulaient encore de larmes…

Plus tard, je me retrouvais dans un lit, changée et sèche. Il faisait à nouveau nuit. Tom me regardait assis à l’autre bout de la chambre.

- Pourquoi m’ont-ils fait ça ?...
- Je suis désolé.
- Tu savais… j’en suis sure.
- Oui, mais j’ai fait le serment de ne rien te dire…
- Je veux mourir.
- Ne dis pas ça.
- Pourtant… **



Finalement, j’essayais de faire comme si tout allait bien. J’avais « fait mon deuil ». J’en ris encore. J’aimais beaucoup Tom, il était beau et sensible quoi qu’en disent les journaux people. Il m’avait dit qu’il m’aimait et qu’il ferait tout pour que j’aille mieux. Je me suis laissé séduire. Comme une autruche qui met la tête dans le sable en attendant que ça se passe.

J’avais trouvé un travail dans un journal allemand. J’y restais très tard le soir, cela m’évitait de les voir, tout les deux.
Un jour elle m’avait dit, « Si tu nous aimes, alors tu nous laisseras nous aimer. »
Je ne voulais que leur bonheur.
Le malheur des uns, fait le bonheur des autres. Mon dieu que ce proverbe est vrai.

Je passais de bons moments avec Tom et le reste du groupe. Georg se remettait de la « trahison » de Johanne. Elle semblait vraiment heureuse de ne plus avoir besoin de se cacher. Je l’admirai quelque part. Cela avait du être vraiment dur de me faire ça. Mais si elle l’aimait et que lui aussi, je n’y peux rien. C’est comme ça. J’essai de ne plus penser à lui. D’ailleurs, je ne l’ai plus jamais touché depuis. Je ne le regarde pas dans les yeux. C’est trop dur.

C’était encore plus dur quand ils partaient en tournée. On les rejoignait quelques fois à certains endroits lorsqu’on voulait visiter. Comme Paris, Londres, New York !
La vie aurait pu être magnifique. Voir du pays, avoir un bon travaille et un fiancé.
Ha oui, je pensais qu’il allait me demander en fiançailles car j’avais vu un petit coffret à bague. Mais, ce n’était pas pour moi… Mais pour Johanne. Ils étaient fiancés.
Tom m’aimait vraiment. C’était dur de concrétiser mon projet en sachant que j’allais le faire souffrir. Mais je ne voulais plus penser.

Au bout de quelques mois, j’arrivais à ne plus penser du tout. Je vivais au jour le jour. J’écrivais mon « courrier du cœur » chaque jour. Je donnais des conseilles aux gens qui crevaient de douleur.

« Que dois-je faire pour ne plus le voir avec elle ? »
« Déménagez, donné lui l’adresse et il reviendra en courant vous chercher parce que vous lui manquerez. »

Effectivement, quelques semaines plus tard, j’avais à nouveau reçu une lettre de cette personne qui me remerciait infiniment de mon conseil. Ils vivaient maintenant à la montagne tout les deux, et elle était enceinte. Un bon moyen d’attendrir un homme et de le faire aimer encore plus. Et surtout le pousser à se faire pardonner pour devenir un bon mari et un bon père.

J’aimais beaucoup mon travaille. Aider les gens alors que c’était moi qui avais besoin d’aide était assez amusant. **




J’étais à nouveau très proche de Johanne. Je la trouvais tellement rayonnante, que parfois, elle me contaminait quand je ne pensais pas pourquoi elle était si heureuse. Je l’adorais, elle était parfaite comme amie. On passait tout notre temps ensemble. Et quelle surprise quand elle m’apprit qu’elle était enceinte ! Il allait être magnifique ce bébé ! Un vrai petit Ange. Dommage que je ne le verrai pas. Partir, loin. J’avais hâte.

Mon projet connu une date fixe quand on m’annonça leur mariage… Le 12 Juillet 2012. Quel choc ! C’était bientôt nom d’une pipe ! Je visitais donc plusieurs endroits pour avoir un billet sur une envolée vers un autre monde. Je ne pensais plus qu’a ça. Je laissais une lettre pour Tom. Il allait me manquer.
Et dire que tout ceci avait débuté pour un simple projet à l’école. C’est drôle de repenser à ça.

Une semaine après, tout était prévu. Dans un mois, c’était le grand jour. Je leur avais fait un beau cadeau, une sorte de « Gap year ». Cela consiste à visiter beaucoup de pays où on ne va pas forcément en tant que touriste. Mais j’avais prévu une escale à Tahiti. Je leur offrais leur voyage de noce enfaite. J’espère qu’ils seront heureux.






Nous sommes maintenant le 12 juillet 2012. J’entends les cloches sonner. Elle se tient là, sa main dans la sienne. Elle est magnifique. Il est magnifique aussi. Ils sont beaux ensemble.
Je ne pleure pas. Je me retiens pour eux. Je leur dois au moins ça.
Le prête les lient pour l’éternité. Ils s’embrassent… Avec une telle passion.
Et tout ce que je pouvais faire, c’était pleurer.**




Je suis maintenant assise sur le rebord de cet immeuble gigantesque. J’ai choisit cette méthode de mourir pour avoir l’impression de me libérer de mon amour à sens unique. Et aussi pour être sure qu’on ne puisse pas me sauver une fois en bas. J’aurai voulu qu’ils ne soient pas là. Qu’ils ne voient pas ma chute. Mais ils m’avaient suivie…

« Je t’aimerai toute l’éternité, je suis à toi pour l’infini. »
Mes dernières paroles. Je voudrai qu’elles soient gravées sur ma tombe. Je l’ai écrit dans la lettre que j’ai laissée à Tom.
Finalement, c’est beau la mort.

Je me lance dans le vide. J’ai l’impression d’être un oiseau. Je me libère peu à peu de mon amour. Le sol se rapproche tellement vite.

Je m’écrase sur le sol, mes yeux se ferment sur Bill qui est en bas. Il est beau… Je l’aimerai toujours.

FIN

.




Les " ** " correspondent aux endroits où c'était coupés pour faire les suites lorsqu'elle était en cours, mais j'ai décidé de la mettre en entier pour que ça soit plus lisible
J'espère que ça vous a plus.

Je vais peut être faire un Tome 2 avec une surprise, qu'en pensez vous ?

Wow!!!

emmm.... c'est tellement touchant (?)
cette histoire est magnifique.
on pourrait croire que tout va trop vite. mais non,
tout est tellement bien organisé.

J'aime!

Magnifique !

Han merci ça me touche
Je suis entrain d'écrire le 2 =)

wahou ! O_O j'ai vraiment adoré !! j'ai hâte de lire le 2 !

bravo !

Merciii han je croyais j'avais fait un bide enfaite non ça va encore hihi :p

whouaou vraiment bien ton histoire! Sa fait pensé a une histoire vraiment,et pour une fois pas une histoire féérique qui fini par "ils vécurent heureux..." pour la personne principal.
J'adore! Vivement le 2 !

J'aime J'aime J'aime =)

Vivement le Tome 2 =D

=D

Pour le deux, il y aura un peu de fantastique, mais, ça peut être prit pour des réaliste, ça dépend en quoi nous croyons

et tu crois qu'il sera fini quand?

J'espère mi-novembre

J'aime beaucoup, mais le "je m'écrase sur le sol" de la fin m'a fait l'effet d'une giffle, ça m'a ramenée à la réalité. Je trouve que ça fait un peu... familier. Ca casse un peu le 'petit truc' de ton histoire.
Mais sinon, j'aime. C'est ce que j'appelle une histoire qui ne traîne pas en longueur. x)
Vivement le deux.

Merci
Ouais t'as ptetre raison pour la phrase .. Je sais pas trop ce que je pourrai mettre à la fin... Je vais réfléchir ^^
Je préfere une histoire courte bien structurée où j'ai tout calculer à l'avance, plutot qu'une loooooongue fan-fic' avec plein de fautes de 80 pages... Après j'ai lu des fic' très longues vraiment bien !

Alors j'avoue j'ai je sais pas un truc qui me bloque. J'adore l'idée, j'adore l'histoire pas de soucis sur sa. Mais je trouve justement que
c'est trop bien organisée, j'arrive pas à bien ressentir les émotions (je suis désolé si c'est pas terrible ce que je dis ><) les moments où
tu pourrais nous faire pleurer tu les coupes trop vite à mon goût. Après chacun ses goûts mais c'est vrai que j'aime quand on me
prend par le cœur qu'on me le tourne et retourne pour me faire découvrir des émotions que je ne connaissais même pas par moi
même. J'ai trouvé que t'aurais tellement pu encore plus exploité l'histoire que j'en reste sur ma fin. C'est dommage car j'aime bien,
beaucoup même mais je sais que t'aurais pu aller plus loin encore

Je comprend ce que tu veux dire, le tome 2 est plus exploité.
Mais pour celle ci, la superficiallitée était fait exprès parce que le personnage s'extrait de sa propre vie pour ne plus ressentir la douleure. Elle raconte sa vie avec passabilité. Comme si elle n'en faisait pas partie. Plus partie. Les meilleurs moments de sa vie ne lui arrache même pas un sourire. Rien. Elle s'est totalement bloquée face à l'amour, à la tendresse. C'est une erreure, ce pourquoi je reviens avec un tome deux pleins de surprises

Dasn ce cas la hate au tome 2 alors

Merci
J'espère qu'il te plaira ! Mais bon, je ne peux pas plaire à tout le monde non plus... Mais je prend ta critique

J'ai adoré le fait qu'il soit court mais tellement touchant, ta su trouvé les bons mots au bon endroits. En tout cas hate de voir le tome 2 et surtout ce qu'il nous reserve. Bisous

=) Mercii

C'est une très belle fiction, bien écrite. Le seul reproche que je puisse faire est qu'elle est un peu trop 'speed'. Cela fait qu'on ne ressent plus les sentiments. Mis à part cela, elle est très bien.

Hâte de lire le tomme 2.

Bonne continuation.

Merci
Je vous avoue que le tome 2 sera pour dans longtemps, j'ai beaucoup de problèmes avec mon copain en ce moment, j'n'ai pas trop la tête à écrire en fait...
P'tetre pour janvier

on attendra

J'viens de lire.

Oui, j'ai beaucoup aimé.
Mais comme le disait ime-p0ssi-b3l-girl Tu aurais pu aller plus lin et nous tirer nos larmes.

Enfin, bon, j'ne suis qu'ne gamine de 14ans après tout.

Peu importe. J'attends ton tome 2.

Elo'