[T.] Un ange a frappé à ma porte.

J'espère que ça vous plaira (yn')

Prologue :

Aujourd’hui une voiture m’a percuté violemment. Mon corps s’est rapidement retrouvé allongé sur le sol bétonné rafraichit par cette soirée printanière. Du sang coulait le long de mes tempes, atteignant mon cou. Malgré cela ma vie ne s’est pas arrêtée immédiatement. Avant cela j’ai eu le droit de garder les yeux ouverts quelques instants ainsi qu’assez de conscience pour comprendre que j’étais en train de quitter ce monde. Une larme a alors perlé ma joue, je ne puis vraiment dire si cette larme fut de joie ou de tristesse. D’un côté je trouvais cela cruel de me faire partir de la sorte, sans pouvoir faire mes adieux à ces rares êtres précieux pour moi, mes parents. Mais de l’autre je voyais enfin une échappatoire à mon existence sans intérêt. Au moment de ma mort je ne savais plus quoi penser. Pour une jeune fille venant tout juste d'atteindre la majorité, je me torturais bien l’esprit. Je songeais à toutes ces choses que j’allais rater, à ma jeunesse partant en fumée, à l’avenir incertain et effrayant qui m’attendait... Mais je considérais également que la routine ne cessait de m’envahir. Je n’en pouvais plus de cette vie où chaque jour ressemble à la veille et au lendemain. On dit que tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir. Moi je n’ai plus d’espoir alors je dois me laisser mourir. C’était la meilleure chose à faire. Je fermais alors les yeux attendant ma mort. J’entendais le chauffeur de la voiture meurtrière jurer, pleurer, implorer Dieu de me sauver… Mais je savais bien que ce n’était pas pour moi qu’il voulait que je reste en vie mais pour tous les ennuis que ma mort allait lui apporter. Je ne fis rien. J’attendis simplement, sans bouger. Je sentis une dernière fois le vent faire voler mes cheveux châtains et me sentis partir vers un autre monde, un monde meilleur. Adieu !

Oh, ça ressemble plus à une OS qu'à une FF, ça! Curieux de commencer par une fin, je demande donc une suite! Smile

Chapitre 1 : Un drôle de sort.

Je rouvris mes paupières et observais attentivement le lieu dans lequel je me trouvais. Mais je ne reconnus rien. Je me trouvais toujours allongée au sol de la même manière qu’avant. Mais contrairement à avant je pouvais bouger, toutes mes blessures avaient disparues. Je me levais alors et remarquais qe je me situais dans un long corridor blanc. Je me crus alors dans un film fantastique. J'entamais une avancée, et marchais alors pendant une cinquantaine de mètres lorsque je vis une porte au loin. Mon professeur de français ne cessait de répéter que les portes étaient des symboles, mais que symbolisait celle-ci ? La mort, à coup sûr. Je m'approchais et pris la poignée dans ma main droite et la fit tourner. Après avoir poussé la porte j’aperçus un vieil homme vêtu d’une sorte de toge blanche, encore une fois tel un film. Je souriais à cette pensée, moi dans un film ? Pauvres spectateurs… Quel ennui ce film serait il ! Je m’approchai de l’homme qui était tourné vers moi comme s’il m’attendait. J’étais persuadée, étant un minimum croyante, et ne connaisaant pas grand chose à la religion, qu’il s’agissait de Dieu. Je me mis face à lui et commença à lui parler :

<< J’ai toujours su que vous existiez ! Déclarais-je. Je m’excuse de ne pas venir à l’église mais je trouve cela un peu idiot de venir dans un seul endroit pour prier. Je préfère faire ça seule et lorsque l’envi m’en prend, et surtout quand j'en ai besoin. J'avoue que je devrais pus souvent prier mais ...
- Tu n’as pas à t’excuser, la coupa-t-il. Et je ne pense pas être celui que tu crois que je suis.
- Vous n’êtes pas Dieu ? L’interrogeais-je.
- Non, rigola-t-il. Je suis un ange. Un porte parole.
- Un ange … répétais-je. Les anges ne sont-ils pas sensés être jeunes ?
- Insinuerais-tu que je suis vieux ? Ironisa t-il.
- Non, non, ce n’est pas ce que je voulais dire. Lorsque je disais jeune, je voulais dire enfant, ou adolescent.
- Eh bien non Sixtine, nous autres, ne sommes pas forcément des enfants il est même très rare de voir des enfants anges. Il ne faut pas toujours croire aux stéréotypes humains.
- Ah …
- Enfin, ce n’est pas pour cela que je voulais te voir. Tu as certainement remarqué que tu avais perdu la vie.
- Oui oui, souriais-je.
- Ne ris pas, certaines personnes arrivent devant moi pensant être encore en vie. Enfin, es-tu triste ?
- Pour être honnête non, pas vraiment...

La jeune fille réfléchit quelques instants. Non elle n'était pas triste. Et elle s'en voulait. Combien de personnes meurent sans le vouloir. Et ses parents ? Ah pauvres gens. Comme ils doivent etre abattus. Peut être ne se relèveront-ils jamais. Leur fille adorée était maintenant décédée. En pensant à cela Sixtine eut tout de même les larmes aux yeux. Oui elle était triste mais pas comme une personne venant de mourir devrait l'être.

- Je ne vais pas au paradis c’est cela que vous avez à me dire ? Je le savais. J’aurais du profiter de ma vie, m'amuser, c’est pour cela que vous m’envoyez en enfer. C’est ma punition pour avoir gâché une vie, m’affolais-je.
- Calmes toi Sixtine ! Ce n’est pas cela. En réalité, j’ai une proposition à te faire.
- Une proposition ?
- Oui, vois-tu. Ici nous trouvons que tu n’as pas pu profiter pleinement de ton existence, si ta vie se termine maintenant, tu manqueras beaucoup d’expériences. Alors je te propose de retourner sur Terre …
- Je ne veux pas ! M’écriais-je. C’est finit pour moi.
- Laisse-moi terminer s’il te plait. Tu pourras te décider par la suite. Je disais donc que tu pourrais retourner sur Terre mais pas dans le même environnement que celui dans lequel tu vivais. Tu serais envoyée pour aider une personne, tu devras la remettre dans le droit chemin. C’est une seconde chance pour toi. Tu pourrais aider quelqu'un, peut être même sauver une vie. Réfléchis bien.
- Si je choisis d’y aller. Combien de temps resterais-je ?
- Autant de temps qu’il le faudra.
- Et si je veux arrêter ?
- Tu ne pourras pas, si tu y vas, tu ne reviendras que si j’estime que tu n’as plus rien à faire sur Terre ou si tu commets une infraction.
- Une infraction ?
- Tu n’es pas la seule dans ce cas, alors pour éviter qu’il y ait des débordements nous avons créé des règles, tu devras bien évidemment les suivre.
- Et quelles sont-elles ?
- Premièrement tu ne devras dévoiler à personne que tu es une envoyée. Deuxièmement tu devras rester pure. Et pour finir tu ne devras jamais pleurer.
- Ne jamais pleurer ? Mais je ne vois pas en quoi cela pourrait causer des débordements, m’enquis-je.
- Nous avons instauré cette règle ci pour que nos envoyés ne montrent jamais leur tristesse. C'est important
- Hum… Je vois.
- Alors Sixtine que décides tu ? Il me faut ta réponse maintenant.
- Je vais retourner sur Terre aider cette personne, cela m’aidera peut être également.
- Bien dans ce cas, prend cette enveloppe et pars par la porte que tu as emprunté pour venir. Surtout n'oublis pas, ne désobéit pas aux règles, je t'en pris Sixtine.

Je hochais la tête.

- Bonne chance ! >>

Je saisis l’enveloppe et baissais les yeux pour pouvoir lire ce qu’il était inscrit dessus ‘’ Tu as saisi ta chance c’est bien, maintenant ne la gâche pas ! ‘’ Je relevai la tête vers l’homme mais il avait disparu. Je me retournai alors et pris le chemin de la porte. Une autre chance. Je ne vais pas la lâcher. Qui que tu sois, toi qui a besoin de mon aide, saches que j’arrive et que je vais faire de mon mieux pour te sauver. Pour une fois dans ma vie j'ai de l'espoir. Pour une fois j'ai confiance en moi. J'ouvris la porte ...

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Il est vrai que le prologue aurait pu être une fin mais pour moi c'est le début ^^ J'ai décidé de me lancer dans un registre fantastique. J'spère que cela ne déplaira pas.

Des critiques ? Surtout n'hésitez pas ! Au contraire.

J'adore !! vraiment, cette univers me plait beaucoup !
je suis impatiente d'en savoir un peu plus !
Je te demande donc une suite ^^

Merci. J'espère ne pas te décevoir par la suite alors. Je posterais la suite ce soir ou demain Smile

t'inquiète pas, quand une fic' me plait dès le début, généralement elle me plait jusqu'à la fin ;-)
okay ce soir ou demain ^^

Chapitre 2 : Que le défi commence.

J’ouvris la porte et fus extrêmement surprise lorsque je vis que je me retrouvais en pleine rue. La rue était bondée, je devais me situer en plein centre ville. Il y avait un tel brouhaha, un mélange de klaxon de voiture, de musiques différentes, de pas et de voix ; que j’en avais presque mal à la tête. Il était rare que je me retrouve dans des grandes villes … avant. J’étais habituée à ma petite commune de vingt mille habitants.
Ici, je ne savais pas par où aller. Ni ce que je devais faire. J’eus alors l’idée d’ouvrir l’enveloppe et de regarder à l’intérieur, une lettre s’y trouvait, je la dépliai donc :

<< Sixtine,

Cela a du te faire un choque, de te retrouver ici. Mais n’ais pas peur tu t’en sortiras j’en suis sûr. Tu dois certainement te demander qui donc est la fameuse personne que tu dois aider. Mais cela serait bien trop simple si je te le dévoilais maintenant. La mission que tu dois réaliser est en même temps un défi pour toi. Tu dois mériter ce qu’il t’arrive. De plus tu ne pourrais pas agir naturellement avec la personne, si tu étais sûre que c’était elle. Pour que tu puisses tout de même la trouver, je vais faire en sorte que tu croises son chemin. Tu devras par toi-même la reconnaître. Tu ne pourras compter que sur toi-même. Courage ! >>

Quoi ? C’est tout ? Je ne pourrais jamais m’en sortir seule. Je veux bien avoir confiance en moi mais tout de même. Me laisser me débrouiller par moi-même de la sorte. Je n’ai même pas d’argent. Je n’ai rien. J’aurais surement dût refuser.
Moi qui pensais que cela aller être simple. Mais aider les gens n’est jamais une affaire facile. Surtout pour moi, je déteste ça. Aider les gens est pour moi, une façon détournée de se mêler de leur vie privée pour en apprendre davantage. Je trouve ça plutôt malsain. Pour moi une personne ne peut compter que sur elle-même. Je ne m’appuis jamais sur les autres. Les gens sont si fourbes. Ils font mine de t'aider mais t'enfonce encore plus. Je n'ai jamais eu beaucoup d'amis. Et je n'ai pas honte de le dire. Il est vrai que c'est une des raisons qui a fait ma vie d'avant ce qu'elle était. Mais les gens qui m'entouraient ne me donnaient vraiment pas envi de m'interesser à eux. Là était surement mon erreur. J'aurais peut être trouvé quelqu'un qui m'aurait correspondu, qui aurait été comme moi. Mais je n'ai pas essayé. Je suis comme ça moi. Je me fiche de tout, surtout des autres.
C'est sur cette brillante pensée que je me mis tout de même en marche, lentement. N’aillant aucun but, je regardais les gens passer devant moi, j’admirais également les vitrines superbement décorées. C’est en me promenant de cette façon que je me suis rendue compte que la ville dans laquelle je me trouvais n’était autre que Berlin. Me voilà belle. Moi qui ne connaissais que quelques mots d’allemand, et encore les plus basiques. Comment m’en sortir ?
Je décidais de m’asseoir sur un banc, pour pouvoir réfléchir. Je mis mes mains dans mes poches et sentis un objet en métal, je le sortis et me m’aperçus que c’était une clé. Elle était attachée à un porte clé, sur lequel était inscrit ‘’Deutsche Bank’’ et en dessous on pouvait clairement lire ‘’ 67 ‘’. Ah ! Une piste enfin ! Je savais bien qu’il ne pouvait pas m’avoir laissé sans rien. Je repris alors le chemin du centre ville à la recherche de la banque. Je parcourais plusieurs rues, mais ne la trouvais nulle part. Peut être n’y en avait il pas dans cette ville. Je me décidais alors à essayer de demander à un passant. J’arrêtais une femme et commençais :

<< Excusez-moi, ne sauriez-vous pas où se situe la ‘’ Deutsche Bank ‘’ ?

Imaginez ma surprise, lorsque ces mots sont sortis de ma bouche dans un allemand parfait. Moi, la française, qui n’a jamais voulu apprendre l’allemand à l’école, je parlais maintenant cette langue avec une fluidité énorme.

- Il vous suffit de continuer cette rue, de prendre la première à droite puis la deuxième à gauche et vous verrez la banque, me renseigna la femme. >>

J’avais tout compris immédiatement. Je n’eus même pas besoin de la faire répéter. Je n’en revenais toujours pas. La femme n’attendit pas mes remerciements, elle repartit aussitôt.
Je suivis alors ces instructions à la lettre et arrivais effectivement devant la banque. Je n’attendis pas et entrais à l’intérieur. Je fus stupéfaite par la beauté du bâtiment, c’était immense et d’un style plutôt moderne, de grands tableaux électroniques affichaient les cours de la bourse. Je vis au loin des casiers, je me dirigeais vers ceux-ci, pensant peut être en trouver un qui m’appartiendrait. Je les observais tous et en vis un avec le numéro 67, je mis ma clé dans la serrure et tourna. Un sourire illumina mon visage lorsque je vis le casier s’ouvrir. Je regardais alors à l’intérieur pour y trouver plusieurs papiers ainsi qu’un portefeuille. Mon désespoir s’envola. Rien n’était perdu.

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Alors alors ? Tout avis est bon à prendre. Mettez moi en plein la face s'il le faut Very Happy

Bon sinon, la présence de TokioHotel ne se fera pas tout de suite. J'ai encore besoin de quelques chapitres.

En espérant ne pas vous avoir ennuyé. :/

Ce n'est pas ennuyeux du tout =D. C'est même très bien n_n.
Suite.

Merci ça me rassure Smile

La suite demain si tout va bien. Je vais essayer de poster une suite par jour durant les vacances, ou au maximum deux jours. Et encore merci <3

Okay =D. Hâte de savoir la suite.
Un petit coup de pub pour ma fic que je viens de commencer xD..
"Elle refuse que je la touche..."

Je vais de ce pas lire ce début alors Very Happy

C'est gentil =DD. <3

hey hey hey! j'aime.
l'idée de la jeune fille qui revient sur terre en tant qu'ange m'intrigue.
suite please Smile

J'aime toujours I love you

désolé j'ai pas le temps de commenter en détaille, mais tout ça est bien mystérieux ! je suis pressé d'en savoir d'avantage ^^.

Merci, ça me fait plaisir que vous aimiez l'histoire. Very Happy

Je vais faire en sorte de continuer ainsi alors. Si vous avez n'importe quelle critique à faire, faut pas hésiter. Jme répète mais comme ça je pourrais rectifier. La suite ce soir si j'ai le temps. Very Happy

okay j'ai hate d'etre a ce soir!!! =D

je conte sur toi !! tu es une Meusienne tu gère Wink

Oh j'avais pas vu que tu étais meusienne aussi, je vais faire en sorte de montrer ce que nous Meusiennes savons faire xD

Chapitre 3 : A la rencontre de Maria.
Partie 1.

Je saisis tout le contenu du casier, et commençais par ouvrir le portefeuille pour voir ce qu’il contenait. Mon regard se posa instinctivement sur une carte bancaire, ce qui m’enleva un poids, me douta qu’il y aurait de l’argent sur le compte. Je reconnus également quelque chose qui ressemblait à une carte d’identité, je crois. Je l’examinais, et d’après les informations qu’elle contenait, ce n’était pas la mienne. Elle appartenait à une dénommée Maria Sanchez. Une autre carte identique à celle de Maria se dissimulait sous la première. Je reconnus la mienne, par un petit pli que j’avais fait il y a de cela quelques mois. Mais en regardant en détail je vis que certaines données avaient changé telles que ma date de naissance, qui ne fut plus le neuf novembre mais le neuf décembre. Ces changements avaient surement étaient fait pour ne pas que l’on me reconnaisse. Quelques autres cartes trônaient également à l’intérieur des pochettes, tel qu’une carte de fidélité d’un café, ou d’un coiffeur.

Je refermais le portefeuille pour me concentrer à présent sur les feuilles. Je regardais la première et admis qu’il s’agissait d’un plan de Berlin. La deuxième ressemblait à une lettre, mais elle était écrite en espagnol. L’écriture était fine et d’une allure plutôt féminine. J’essayais de décrypter les informations principales. Mais au lycée, dans mon ancienne classe d’espagnol il y avait bien trop de bruit pour que je réussisse à m’intéresser au cours, de ce fait j’avais abandonné au milieu du premier trimestre. Je réussis tout de même à traduire les mots travail, bébé, argent et mal. Ce ne fut donc pas grâce à ces quelques mots que je compris la lettre et son utilité. Surement par la suite, me dis-je. Une dernière feuille me restait entre les mains. Je fus surprise de constater que celle-ci était remplie de photographies d’une maison. Il y avait des photos avec une vue de l’extérieur et d’autres vues de l’intérieur. La maison me semblait être immense. Il était facile de voir qu’elle correspondait surement à une famille aisée par tous les ornements que l’on apercevait, ainsi que les tableaux accrochés sur les murs. La maison paraissait neuve et d’un design moderne à souhait. Au devant de la demeure, plusieurs voitures étaient garées, dont une superbe Cadillac blanche. Je n’avais jamais vu une maison aussi luxueuse que celle-ci et me demandait quel était le lien entre cette habitation et ma mission.

Je pris soin de ranger les papiers et songeait à ce que j’allais faire. Je réfléchis quelques instants et décidais de rencontrer Maria Sanchez. Je me doutais que si sa carte d’identité avait atterri dans ce portefeuille ce n’était pas le fruit du hasard. Je pris alors la route du café ‘’ Sensaciones hispánicas ‘’ d’où j’avais la carte de fidélité. Je cherchais sur mon plan un café de ce nom dans la rubrique Bar et Cafés, je le trouvais assez rapidement.

Après avoir minutieusement suivi le plan, je me trouvais dans une ruelle désertée pas la foule. J’aperçus un insigne où une tasse de café fumait, je me précipitais alors vers le bâtiment. J’entrais sans réfléchir et me dirigeai vers le comptoir, où une serveuse, probablement espagnole vu sa longue chevelure brune, m’accueillit.

<< Bienvenue, que puis-je vous servir ? M’interrogea t’elle.
- A vrai dire, je voudrais simplement un renseignement.
- Si vous voulez rester il faut consommer, me dit-elle d’une façon nonchalante.
- Bien mais je ne peux payer qu’en carte.
- Ca fera l’affaire, grogna la brune.
- Alors servez-moi un chocolat chaud.

Je ne pris même pas la peine d’ajouter un ‘’ s’il vous plait ‘’. Je déteste les personnes comme elle. Moi qui suis généralement peu aimable envers les inconnus, je n’essaie même pas de l’être lorsque je rencontre des personnes de son type. Elle me servit mon chocolat en m’annonçant le prix d’une façon qui me donna envi de lui balancer la carte dans sa figure avide d’expression.

- Quatre euros cinquante, S’IL VOUS PLAIT.

Je lui tendis simplement ma carte. En plus d’avoir un mauvais service, le prix était élevé pour un chocolat. Elle me rendit mon bien ainsi qu’un ticket de caisse.
Cette pimbèche a faillit me faire oublier ma mission.

- Au fait, l’interpellais-je. Mon renseignement …
- Humm …

Quand je vous dis. SYMPATHIQUE.

- Vous ne connaitriez pas une Maria ?
- Je connais beaucoup de Maria …
- Maria Sanchez, précisais-je.
- Que lui voulez-vous ? M’agressa t-elle.
- Simplement la rencontrer.
- Elle n’est pas ici.
- Et où puis-je la trouver ?
- Je ne sais pas.
- Bon sang, ne vous moquez pas de moi ! J’ai besoin de la voir, c’est important, m’emportais-je.
- Je ne sais vraiment pas où elle est. Cela fait longtemps que je ne l’ai pas vu. La dernière fois on s’est disputées. Oh et puis je n’ai pas à me justifier. Je ne sais pas un point c’est tout.
- Bien …

Je me levais de ma chaise et sortis du café. Je restais plantée un moment devant, ne sachant trop quoi faire. Je songeai à la carte pour le coiffeur que j’avais également en ma possession. Mais lorsque je m’apprêtais à partir on m’interpella :

- Mademoiselle … >>

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Voilà la 1ere partie de ce chapitre.
Qu'en pensez vous ?

Suite please =D

Je posterais la 2eme parie ce soir Very Happy

"mademoiselle.....!!"
nan je veux savoir !!!!!!!

4 euros 50, c'est cher mais à peut près normal pour un chocolat. lol. J'ai déjà eu à payer 5 euros !! Bref... on s'en fou ><'

Qui est cette Maria Sanchez ? De qu'elle façon vont atterrir les Tokio Hotel ? Plein de questions qui me trottine la tête, donc histoire m'intrigue ^^

Ehh oui j'ai coupé là pour laisser un peu de suspense lol.

C'et vrai que c'est pas si cher, mais je ne savais pas top quel prix mettre pour que ça fasse cher en restant dans des limites tout de même normales xD Mais c'est un détail, enfin j'espère ^^

J'essaie de créer quelque chose d"assez intriguant, pour que vous ayez envi de lire la suite. Mais je suis assez '' déçue '' si je puis dire , mis à part tiffie. et toi, je n'ai pas d'autres lectrices. J'écris pour moi, pour me détendre, me faire rêver ... mais j'aimerais qu'elle soit aimée par d'autres personnes.
Mais bon après, il est possible que le autres n'aiment pas. :/

Mais c'est pas grave, la suite toute à l'heure Very Happy

je veux la suite =D. J'aime beaucoup cette fic' ♥

Bah, de toute façon fait toi plaisir et a nous par la meme occasion Wink

Ecrit tout dabbord pour toi hein Wink

Suite ???

Bien sûr ce n'est qu'un détaille le prix du café, comme je l'ai dit on s'en fou qu'il soit à 4euros ou à 5 euros (c'est juste moi qui pête des cables sur des détails con ><') lol
Cependant, plein de petits détails rend une fic' riche et vivante. C'est le cas !
C'est clair, il faut avant tout que tu écrive pour toi, surtout si ça te fait rêver ^^. Et puis je suis sûr que d'autre lectrices vont se joindre à nous =)

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