Chapitre 34 : Une promesse … une drogue
Toute la maison est débout … les rires sont de rigueur, la bonne humeur ne se perd pas dans les mois qu’y vienne de passé … deux mois et demi qu’il est revenu … ça valise est prête, il n’a encore rien dit à personne … mais il doit y aller … avec eux … c’est l’heure de tout dire … de leurs dire … de leurs avouer.
[PDV de Bill]
Nous sommes tout les huit dans le salon … Priscilla, la meilleure amie est maintenant petite amie de Gustav … les rires ne s’arrêtent pas …mais je repense à la promesse que j’ai faite … il faut que je la tienne, il faut que j’y retourne, qu’ils viennent avec moi.
Je reprends vite mon sérieux, les regarde un par un, comment je peux leurs dire que je dois repartir, mais qu’ils viennent tous avec moi … voudront-ils bien m’accompagner ?
Bill : Je dois vous dire quelque chose …
Les rires s’arrêtent, les regards se posent sur moi, les questions fusent dans le silence.
Bill : Il y a deux mois et demi, j’ai fait une promesse … et je dois là tenir … je veux la tenir … mais pour ça, j’ai besoin de vous.
Mistig me prend la main, entrelace nos doigts
Bill : Je dois retourner à Paris …
La main de Mistig se ressert encore un peut plus sur la mienne. Mon frère se lève. Il passe à côté de moi, mais avant qu’il aille plus loin, j’attrape vivement son bras.
Bill : Je n’ai pas fini … Je …
Tom : Si tu as fini … Si tu veux parti, part … Je ne te retiendrais pas … Abandonne ceux qui t’aime …
Il y a de la tristesse dans ça voix … des larmes font pétiller ces yeux de tristesse …
Bill : Laisse-moi finir …
J’avais presque crié les mots.
Bill : Ma promesse c’est « Je reviendrais te voir avec eux, je te le promets », quand j’ai dit « eux » je parlais de vous tous … il veut vous connaitre, je lui parlais souvent de vous.
Je prends la main de mon frère dans la mienne, me retourne vers les autres me regardant.
Bill : Voulez-vous venir avec moi à Paris, pendant deux peut-être trois jours ?
★★★
Le départ est enfin arrivé … ça fessait tout juste trois yeux que je leurs ai demandé de m’accompagner … ils ont tous répondu « oui » j’en ai presque sauté de joie partout … j’ai même pris mon frère dans mes bras.
Nous sommes tous à la gare de Berlin, je suis un peut stresser de retrouver les rue de Paris … mais j’ai promis d’aller les revoir, alors je dois le faire … parce que trop longtemps j’ai fait des promesses sans les tenir, maintenant, quand j’en fais une, je la tiens.
★★★
Le train est enfin devant nous, laissant des portes s’ouvrirent … nous montons dans la voiture 260 (Si c’est possible … croyez mon expérience, d’ailleurs j’ai eu du mal à la trouver, que de bon souvenir) nous installons nos valises à la place handicaper, sans oublier d’avoir regardé si un handicaper montrera dans les prochains arrêts … se qui n’est pas le cas …
Nous nous dirigeons vers nos places, nous installant confortablement, aillant largement assez de place pour nos jambes.
★★★
Le train démarre, laissant une pointe de stresse s’évaporer au même instant.
Je dépose rapidement mes lèvres contre celle de Mistig, laissant une vague de surprise se dessiner sur son visage.
Elle replonge ces yeux dans l’écran de son ordinateur, affichant une page « Word » se remplissant de ces idée … de ces mots. Elle adore écrire … elle ne sans cache plus … je n’ai pas encore eu le droit de lire, mais j’attends avec impatience de lire ces mots qu’elle aime t’en écrire.
Je dépose de nouveau mes lèvres contre le sienne, ne pouvant pas m’empêcher de ne pas l’embrasser … faut peut-être que je me face soigner, non ? C’est peut-être grave comme drogue ? Oui parce que, ces lèvres sont devenues une drogue …
Elle ferme l’écran de son ordinateur et se tourne vers moi … sans dire un seul mot … elle s’installe en califourchon sur moi, ces deux genoux se retrouvant sur l’assise confortable (ça pour être confortable, elles le sont ^^) du siège.
Elle passe doucement ces doigts contre mes lèvres, fessant le signe que je dois rester silencieux. Elle se soulève un peut, pour être à genoux … se laissant grandir … je lève mon visage tout en l’appuyant sur l’appui tête. Sans attendre une minute de plus, nos lèvres se rencontre … je n’attends pas une seconde de plus pour ouvrir doucement les lèvres. Mes yeux se ferment pour pouvoir profiter un maximum de tout cette amour … je donne autant que je peux d’amour dans ce baisser … le ressent-elle ? Je ne peux pas m’empêcher de poser mes mains sur ces hanches, passant mes doigts sous son corset (
) … le baisser devient vite désire, je n’arrive pas à faire quitter mes mains de sa peau. Nos langues jouent entre elle, n’oubliant pas de se toucher, de se chercher, de se trouver, de s’enlacer. Ces mains viennent s’emmêler dans mes cheveux, lui donnant la possibilité de rapprocher son corps du mien.
Nous sommes rentré dans notre bulle … plus rien ne peut nous en faire sortir … nous terminons notre baisser, par des milliers de chastes baisser … rien de mieux après une dosse de ma drogue préférer.
Je plonge dans l’océan bleu de ces yeux, ne pouvant pas m’empêcher de mie noyé pour le plus grand de mes plaisirs.
… : Maman, maman … se sont des amoureux eux aussi, comme toi et papa ?
Je tourne là tête au même moment que Mistig pour découvrir un petit garçon aux cheveux blonds et avec un œil bleue et un marron … bizarre … mais très chou.
Mistig se penche vers lui, lui caresse la joue avec son pouce.
Mistig : Oui.
La femme aux cheveux blonds sourie, je lui réponds de même.
La femme : Vous allez très bien ensemble.
Bill : Merci.
La femme : Bonne voyage.
Mistig : Vous de même madame.
Je sais que se chapitre est plus que nul ... donc voilà
mais je demande quand même votre avis
kis
Mistig