[T]Je reviendrais, je te le promets.

Je suis sur du contraire moi

Chapitre 31 : Pourquoi j’ai fait ça ?


Je ne sais plus quoi penser … je ne sais plus si j’ai encore le droit d’aimer, de prendre quelqu’un dans mes bras … de la regarder … mais ai-je le droit de regarder son corps allonger à côté de moi ?

Ne croyez pas que nous sommes passé à l’acte … non, ce n’est pas mon truc, puis de toute façon, on ne sort pas ensemble, c’est juste qu’il n’y avait pas de lit pour moi, donc … j’ai eu le droit de dormir à côté d’elle … enfin je ne peux pas vraiment dormir, ça fait trois heures que je suis à la regarder, à me demander plein de truc.

Son corps bouge doucement à côté de moi, laissant un de ces bras se retrouver sur moi, sur mon corps. Sans comprendre pourquoi, mon cœur se sert, il manque un battement … son souffle se dépose doucement sur e haut de mon torse, me laissant la possibilité d’humer son parfum … le parfum de son shampooing noix de coco, son préférer.

Sa main se pose doucement sur mes abdos inexistant, laissant un léger frisson se transmettre dans tout mon corps.

« Je t’en pris Mistig, ne te réveille pas de suite, reste ainsi … que je puisse encore te regarder sans que mes yeux brulent ta peau. » J’ai murmuré ces mots, espérant qu’ils se réalisent, qu’ils soient entendu par un ange qui pourrais les entendre … qu’est ce que je raconte moi … je deviens complètement singlet à penser que les anges existent. C’est parce que … parce que, je n’ai pas assez dormi … oui c’est ça, je n’ai pas assez dormi … d’ailleurs je n’ai pas dormi du tout.


Je pousse doucement le corps de Mistig, me laissant la possibilité de sortir du lit, tout comme de la chambre. Je prends mon temps, comprenant que la nuit n’est pas encore prête à laissait sa place à la journée. Je me dirige doucement vers la cuisine … redécouvrant les meubles blancs, brillant à la lueur de la pleine lune.

Je prends la bouteille de lait, déjà bien entamé, se trouvant dans le frigo, plus un verre qui sort dû lave vaisselle. Je me sers un verre et le boit, puis un autre … jusqu’à temps que la bouteille soit vide.

… : Tu aurais pue m’en laisser quand même.

Je me retourne et découvre Mistig, encore un peut endormi.

Bill : Mais … je … y’en a pas d’autre ?
Mistig : Si, ne t’inquiète pas.

Je regarde sa silhouette déformer par une chemise XXL qu’elle a trouvé avant de se coucher. Mais pourtant, les cheveux en bataille, les jambes longues et fines, c’est cheveux regrouper dû côté droit de son visage, retombent doucement le long de son buste … son visage, dénuder de maquillage, découvrant quelque détaille que j’avais peut-être oublier, comme ça petit cicatrise dans son coup du côté gauche.

Je m’approche doucement d’elle, regardant encore les quelques détailles que j’avais encore oublié. Je suis à quelque centimètre d’elle. Je tans mon bras, dirigeant mes doigts vers son coup.

Ça peau, douce, chaude, ça cicatrise la déformant seulement sur quelque millimètre, et redevenant douce.

J’enlève mes doigts de sa peau, laissant mes joues se réchauffer, remarquant se que je venais de faire.

Bill : Je vais retourner me coucher.

Je sors, presque en courant, de la cuisine. Je monte, toujours aussi vite, les marches de l’escalier, tout sa pour rentré dans la chambre. Je ferme la porte, dans un silence de plomb, évitant pour la même occasion … je m’adosse contre la porte.

« Pourquoi j’ai fait ça ? » mais je suis vraiment con des fois …


Je me suis de nouveau allonger dans la lit, Mistig est de nouveau à côté de moi, aillant de nouveau pris possession de mon buste, laissant à son souffle se déposer délicatement sur le haut de mon torse.

Pour se qui est de moi, je ne bouge pas, d’un côté je n’ose pas bouger. Puis en plus, je ferais quoi ?


Le jour, depuis trois heures il fait enfin jour, depuis trois heures, je ne bouge pas … enfin non, ça fait beaucoup plus longtemps que je ne bouge pas.

Je sans qu’elle commence à bouger, je ferme vite les yeux … je sans une de ces mains s’appuie doucement contre mon torse, brulant au passage cette parcelle de peau.

Mais qu’est ce qu’il m’arrive ?

J’entends la porte se fermer, laissant un souffle de soulagement sortir de ma bouche, enfaite, c’est un souffle de soulagement, mais en même temps un souffle de déception, parce que j’aurais aimer qu’elle reste, que son souffle se dépose encore sur ma peau, que sa main brule encore une parti de ma peau.

Haan Mais Il est Amoureux D'elle, C'est Pas Possible Autrement =O
J'adore x)
Il est Gêné, C'est Mignon x)
La Suite Stp =D

C'est mignon, il est tout gêner ^^
J'aime la suite stp

je ne sais pas trop quand je vais poster la suite ... depuis samedi ... quand j'ai appris quelque chose ... je n'ai pas écrit un mot sur mes fictions ... j'ai eu un peut de mal à digérer se que j'ai appris, même si je m'en douter ... j'essaie d'oublier en fessant autre chose (en autre faire de la couture) ... donc si vous voulez, la prochaine fois que je poste je vous previendrais par MP ... pour se qui est de la prochaine suite peut-être samedi ou dimanche prochain ... mais je vous previendrais par MP des qu'elle sera poster.
kis
**Mistig**

ok ma sadique ^^

t'inquiète pas ^^

Évidemment qu'on la veut ^^

La suite s'il te plait !!! ^^

Bien Sur Qu'on La Veux =D Quelle Question x)
Vivement Demain =D

Oukii Oukii ^^

Okay =)

Chapitre 32 : Petit ange noir


Tout est tellement différent depuis une semaine … les gestes de Bill ne sont plus les même envers Mistig … envers ça meilleure amie … son amie qui ne la jamais oublier. Tom c’est beaucoup rapprocher de Val, laissant des mots jamais prononcer sortir de sa bouche. Gustav et Georg sont venus les rejoindre il y a deux jours, Gustav en a profité pour présenter sa meilleure amie, avec qui il est extrêmement proche, laissant penser qu’ils sont en couple. Georg est toujours avec ça copine, ne la laissant sous aucun prétexte … l’amour comme au premier jour.

Bill : Qu’est ce qui se passe ?

Il vient de descendre la dernière marche des escaliers.

Tom : On parle de toi et de …

Il reçoit un coup de coude dans les cotes de la par de Mistig qui est installer juste à côté de lui.

Tom : Ok, c’est bon j’ai compris.
Bill : Moi, je n’ai pas compris.

Gustav s’approche de Bill, dépose non délicatement sa main sur son épaule.

Gustav : Achète-toi des lunettes, parce que là, tu es limite aveugle.
Bill : Donne-moi les tiennes, je ne veux pas devenir aveugle.

Bill essaie d’attraper les lunettes de Gustav, qu’il a sur le nez … au bout de quelque seconde les rires sont déjà à profusion dans le salon … personne ne peut s’empêcher de rire en voyant Gustav essayant d’échapper à Bill qui lui court après pour attraper les lunettes.


Au bout de plusieurs minutes, Bill avait enfin réussi à attraper les lunettes de Gustav et les avait mie sur son fin nez, ceci le rend un peut plus féminin … mais malgré ça, des yeux brulent ça peau.


La soirée se continue, malgré toute attente, dans un restaurant … il avait pris une table de 8, laissant les regards se déposent sur eux. Des phrases ont vite pris place dans la conversation prenant vie petit à petit. Les rires n’arrêtent pas de s’étendre autour de la table.

Bill : Mon petit ange noir tu peux me donner l’eau s’il te plait.

La demande a fait mouche autours de la table … tout les regards brulent vivement la peau de Bill rougissant à vue d’œil … le regard de Bill se tourne doucement vers Mistig, regardant son visage, fessant passé la réponse dans ces yeux … et une sorte de pardon …

Ça fessait tellement longtemps qu’elle n’avait pas entendu se surnom … elle s’avait que c’était elle … C’est Bill qui l’avait appelé comme ça le jour où ...

Tom, lui … avait fait doucement le rapprochement entre se surnom et le temps.

Les autres, eux, ils cherchent encore à qui la demande à été faite.

Mistig : J’ai … Je … J’ai besoin de prendre l’aire … Je vais … Euh ... dehors.

Elle a vivement pointé la vitre de l’indexe tout en se levant, laissant sa chaise tomber à la renverse. Elle ramasse maladroitement la chaise … et sors vivement du restaurant.


Je sors du restaurant, laissant les autres autour de la table … pitié, ne me dite pas qu’il a dit ces mots … qu’il les a prononcé sans aucune gêne … faite que se repas ne soit qu’un rêve et que je me réveille tout de suite.

Je sans des mains entourer mon coup, une peau frôler ma joue, une peau douce.

… : Tu ne veux plus que je t’appelle comme ça ?

Ça voix, cristalline et douce, me fait savoir que ce n’est pas un rêve, que tout est bien réelle.

Mistig : La dernière fois que tu ma appelais comme ça, c’était quand on … quand on a … quand on c’est embrasser.

Bill se positionne devant moi …

Bill : Oui je sais … je m’en rappelle comme si c’était hier … tes yeux plonger dans les miens …

Son regard marron … une rivière de chocolat … un délisse sans fin …

Bill : Mes mains caressant doucement ta nuque ...

Il passe ça main droite dans mon coup tout en effleurant de son pouce ma joue.

Bill : Ton souffle sur mes lèvres.

Il a approché ces lèvres près des miennes, collant nos nez l’un contre l’autre. Je ne peux plus bouger, il fait exactement les gestes qu’il avait fait se jour là … mais plus lentement, me laissant le temps de regarder … me laissant le temps de ressentir les frisons se propageant dans tout mon corps … de regardais chaque détaille de son visage, des ces yeux tellement près de moi.

Bill : Tes yeux qui se ferment …

Sans comprendre … en entendant ces mots … je ferme doucement les yeux.

Bill : Tes lèvres contrent les miennes.

J’ai senti ces lèvres frôler les miennes, laissant un nouveau frison parcourir mon corps. Nos lèvres se touchent enfin … j’ouvre doucement les lèvres … ces mains descendent le long de mes bras, se retrouvant sur mes hanches, sous ma veste en cuir noir. Il joue un peut avec l’un de mes piercings … nos langues se touchent, mais se séparent sans attendre … avons-nous le droit d’avoir se contacte ?

Je pose ma main dans sa nuque … je ne veux plus me poser de question … je fais une légère pression pour approfondir notre baisser ... nos langues se cherchent … il chatouille mon palet avec sa langue laissant son piercing me donner un nouveau frisson, parmi tout ceux qui sont déjà présent.

C'est mignon ^^
J'aime la suite please

Haaaaaaaaaaaaaaan Enfin =D
J'adore J'adore J'adore =D
La Suite Steuplait =D

oukii impatiente

on est demain

Chapitre 33 : Visage naturel d’un ange.


Bill et Mistig, ne se sont pas fait attendre pour monter dans la chambre …


Ils rentrent tous dans la maison, riant aux éclats, réveillant au passage un voisin gueulant déjà en allumant la lumière de sa chambre.

Bill et Mistig se sont beaucoup rapprocher … mais ne laissant pas voir une forme de couple en eux deux, ils veulent garder se secret pour eux deux. Sans attendre un mot, ils sont tout les deux monter dans la chambre, laissant les autres parler dans le salon … arriver en haut des escaliers, les bras de Bill entourent la taille de Mistig, les lèvres de cette homme se déposent doucement dans le coup de cette femme n’attendant que ça de ça par.

Le visage de Mistig se penche sur le côté laissant libre d’accès, aux lèvres de Bill, à son coup. La porte de la chambre s’ouvre devant eux, laissant apparaitre devant eux des murs blancs, un plafond gris, des poutres noires … des dessins noirs et blancs laissant voir des visages identiques des un des autres … se visage appartient tout simplement à Bill … Mistig aime le dessiner, elle ne lui cache pas, dés qu’il est rentré dans la chambre il la bien pris.

Bill laisse une trace délicatement rouge dans le coup de Mistig … elle se retourne vers cette homme, son regard tombe immédiatement dans l’océan chocolat de cette être à l’âme d’un ange.

Ils s’allongent tout les deux dans le lit, s’embrassant, ne pouvant déjà plus se passé … des piercings de l’une … des lèvres de l’un.

Mistig : Reste là, je reviens.


Ça allait bientôt faire 5 minutes que Mistig avait quitté la chambre, se dirigeant vers la salle de bain. De ces mains un peut maladroite par la joie, elle prend le démaquillant et deux ou peut-être trois cotons puis se dirige de nouveau dans la chambre, emprisonnant dans son esprit une brise de conversation provenant du salon.

Bill c’est doucement endormi pendant l’absence de femme se dessinant déjà dans ces rêves. Les cheveux un peut en bataille, le visage montrant sa sérénité … il ne manque plus que les ailles pour qu’il ressemble à un ange.

Mistig s’approche doucement de lui, lui susurre doucement à l’oreille de se réveiller … elle a toujours voulu le démaquiller, elle a toujours voulu découvrir par elle-même le visage au naturel d’un ange.

Les yeux de l’ange s’ouvrent doucement, laissant un sourire étirer ces lèvres. il reste allonger mais change de position en voyant le flacon de démaquillant dans les mains de son « petit ange noir ».

Mistig s’installe à genoux à côté de Bill, se dernier ferme déjà les yeux. Mistig asperge doucement un coton de se liquide qui laissera apparaitre le visage naturel de cette ange.

Elle passe délicatement le coton sur les yeux maquillé préalablement de noir de l’androgyne. Démaquillant chaque parcelle de ces yeux, n’oubliant aucune trace noir de se maquillage … c’est yeux démaquiller, elle prend de nouveau un morceau de coton, l’imbibe de nouveau de ce liquide et démaquille le reste de visage de l’ange … ces lèvres redevenant naturel sous les gestes doux de cette être féminin.

Le démaquillage terminer, elle dépose tout se qu’elle a utiliser à côté du lit, en se relevant elle regarde le visage de Bill … se visage naturel … magnifique … aucun défaut … elle passe doucement ces doigts sur chaque recoin de se visage de nouveau endormi devant elle … en arrivant aux lèvres de cette homme … ces doigts s’arrêtent juste à la limite de ces lèvres … elle put s’empêcher de poser chastement ces lèvres sur celle de l’androgyne … après tout, elle avait le droit, non ?

Elle déboutonne doucement la chemise de Bill, laissant la peau laiteuse de se dernier se découvrir devant ces yeux … elle ne veut rien faire de mal, juste le déshabiller pour qu’il soit un peut plus à laisse dans son sommeil.

Les vêtements de l’androgyne pliaient soigneusement sur le dossier d’une chaise noir … les vêtements de cette être pas encore endormi, se retrouve délicatement poser au côté des vêtements poser il y a quelque minute.

Elle s’allonge doucement dans le lit, à côté du corps de son petit ami … Est-ce vraiment son petit ami ? Elle regarde le visage de l’ange allonger à côté d’elle une dernière fois avant de s’endormir le cœur léger.


Les deux corps enlacé l’un contre l’autre … des cheveux long recouvrent doucement le visage féminin. Le visage masculin c’est doucement … pendant la nuit … retrouver dans le coup de son petit ange noir.

Le corps féminin bouge doucement, emmêlant encore un peut plus leurs jambes entre elles.


Des yeux bleues s’ouvrent doucement, découvrant le visage de l’androgyne en face dû sien … elle rougie à vue d’œil. Le pouce droit de l’homme caresse doucement la joue pourpre de sa compagne.

Bill : Tu es très jolie quand tu rougie.
Mistig : Tu es mignon sans maquillage.

Leurs lèvres se rencontrent pour la première fois de la journée en un chaste baiser.

Mistig : On peut rester au lit se matin, j’ai envie d’être avec toi.

Bill vêtu d’un simple boxer noir, s’allonge doucement dans le lit, collant son corps contre celui de Mistig.

Les lèvres de ces deux êtres se rencontrent de nombreuse fois dans la même minute.

Ils restent tout les deux dans le lit jusqu’à 14h, laissant l’imagination des colocataires déambuler sans gêne dans les secrets des plus intime.